Reprise du message précédent :
 
 
ça me fait pas rire

L'usage d'aller à la ligne après chaque phrase avec un retour ligne pour faire bonne mesure, façon liste à puces sans les puces, tu sais d'où il vient ? Vraie question, je l'avais déjà posée mais personne n'a pu me répondre.

 
ça c'est parce que t'as moins de 50 ans

 
Une simple question de ventilation  
 
Et mettre son doigt dans une fleur de Digitale, c'est quand même plus poétique que de taper un index sur son clavier.

Ça se faisait beaucoup au XIXe dans certains types de littérature.

Louise Michel écrit comme ça.

Ça fait très bizarre à la lecture.

Pourtant, elle avait pas de téléphone portable.

Mais ça m'étonnerait que les gens fassent ça par imitation de Louise Michel.

Il y a des gens qui ont lu Le Prince des Marées ? J'ai lu plus de 200 pages mais je trouve ça assez inintéressant et il en reste 400. J'aime pas ne pas finir mes livres mais là c'est long.

Moi je l'ai lu le mois dernier. Beaucoup aimé mais j'ai largement préféré le début (la première moitié lue hyper vite, le reste m'a un peu fatiguée avec la répétition d'un motif pas très crédible)
 

Ouais. Pas aimé du tout. (Lecture trop ancienne pour que je puisse argumenter).

J'ai un téléphone portable.
 
Néanmoins je comprends pas la logique.
 
Ni en temps gagné, ni en lisibilité.
 
Que ce soit pour l'auteur ou le lecteur.
 
Y compris sur un smartp... téléphone portable.
 
Et je le comprends encore moins quand cela vient de grammar naz... de nazis de la grammaire française.

En utilisant l'expression "à la base"
 
Edit : la conclusion    
 

 
Wokay...

Ignorer le fonds pour se focaliser sur quelques mots sortis de leur contexte, c'est toujours efficace dans une polémique mais ça pisse rarement loin. Pour ceux qui n'ont pas envie de lire l'article (et je les comprends, c'est une question assez insignifiante, surtout sur un forum où la langue est massacrée à longueur de posts, y compris sur ce topic), la première citation est la réponse à une question débile (lequel des deux mots va gagner, madame Irma ?) et la deuxième porte sur les néologismes en Grande-Bretagne.
 
Mais effectivement, ils parlent comme tout le monde. Ce qui est assez logique puisque leur boulot est d'étudier le langage, pas de lutter pour le conserver en l'état. Pour ça, il faut réveiller quelqu'un à l'Académie française. Du moins quelqu'un qui s'y pointe de temps à autres. Et de préférence qui a quelques cvompétences. Bon, ça ne laisse pas grand monde, mais on peut aussi attendre la prochaine édition du Dictionnaire. La dernière édition date de 1935 mais la prochaine est déjà bien avancée.  

Je suis tentée par Capitalisme et idéologie de Piketty, mais j'ai pas lu Le Capital au XXIe siècle. Je risque de rien comprendre ?
 
Et j'ai commandé la bio d'Akhénaton dans la collecque Grands Pharaons pour la relire, elle rejoindra celles de Sésostris Ier, Sésostris III, Ramsès II et Toutankhâmon sur mon étagère, ça commence à faire du monde (elle est bien cette collection sur les pharaons, mais le résultat est très variable d'un tome à l'autre).

Y a aucun fond, justement. C'est encore un lien que t'as sorti en googlant vite fait pour faire comme si t'avais des billes dans le débat (d'ailleurs, de ton propre aveu, la question ne t'intéresse pas, pourquoi tu recherches alors ?). Manque de bol, il est parfaitement creux.
 
Et non ils ne parlent pas comme tout le monde - je doute qu'on m'ait jamais entendu dire "à la base".

Prévert ?

Ah ? Il y a pourtant quelques remarques intéressantes, en particulier sur la polysémie (ma bête noire, du moins l'une d'entre elles). En tout cas, il est moins creux que ton post, ce qui n'a rien de difficile. A quoi le "encore" dans "encore un lien que t'as sorti" fait référence ? T'aimes pas quand je mets un lien ?   Ou juste ceux qui te contredisent ?

Ah alors là il faut une petite explication. Pas besoin de lien, je peux le faire moi-même en une phrase : l'expression "comme tout le monde" n'est que très rarement littérale et ne désigne qu'exceptionnellement tous les êtres humains vivants.
 
Par exemple, si je dis "il emploie le mot cool, comme tout le monde" (anglicisme apparu dans ma jeunesse et qui exaspérait les plus de 30 ans), je sais néanmoins que la population la plus âgée ne l'a jamais employé. De même, l'anglicisme assez récent "googler" passe mal ou ne passe pas dans une grande partie de la population mais son usage continue de croître au point que l'on pourra peut-être dire dans une dizaine d'années que celui qui l'emploie fait "comme tout le monde".  
 

Ou n'importe quelle poésie, alors ? Mmmmh... j'ai autant de doutes que pour l'influence de Louise Michel.  

A ta place je lirais d'abord le premier.

C'est un peu la réponse que je craignais

Et encore je t'ai pas donné une biblio à lire AVANT pour comprendre les différentes théories économiques pour mieux comprendre.

Même une bédé ?

Atta, atta, une bibliographie sous BibLaTeX aux petits oignons, avec page de garde chatoyante et liens hypertextes... Tu pourras pas résister !    
 
/ cross-topic

Economix ?

Nan, un truc édité sous zotero norme APA.

OUI !

Ah j'en ai vendu mais je l'ai jamais lu, c'est si bien que ça ? J'aime beaucoup Logicomix auquel le titre m'a toujours semblé faire référence, mais c'est tout ce que j'en sais.

Mes directeurs sont contre

Très bien, aussi velu que logicomix et tout aussi intéressant. Je recommande à tous mes élèves et ça les aide pas mal.

Ils préconisent laquelle ?  

Ah ben je vais lire ça alors, merci !

« Une bibliographie à la française » sans plus de précisions.

C'est un peu HS, j'avais déjà râlé sur le topic LaTeX, mais en gros ils sont contre les citations dans le texte « en mode Harvard » avec nom+année (c'est incompréhensible et obscur apparemment), ils préfèrent des titres abrégés. L'un de ceux pour qui j'ai bossé promeut un système dans le genre parce que « c'est plus clair », mais 1. sans donner de règles sur les abréviations (donc pas deux auteurs n'auront les mêmes) 2. voire sans système cohérent d'abréviations au sein de la même bibliographie et 3. avec des trucs qui dépendent de critères subjectifs (« si c'est quelque chose que tout le monde connaît on n'a qu'à mettre ça comme format »).

Donc à moins de te référer article par article à leur bibliographie pour recopier comme c'est fait, impossible de suivre la « norme ». Et impossible à coder, bien sûr

Ça me rend DINGUE

'Tain les mecs qui improvisent des trucs alors qu'il existe des normes bien faites. C'est dingue.
La documentation c'est un métier, ça s'improvise pas.

J'ai eu une engueulade conversation passionnée avec l'un d'eux à ce sujet, il a fallu que j'explique ensuite aux gens qui nous avaient entendus depuis la pièce d'à côté que, oui, on peut s'enguirlander comme ça s'enthousiasmer pour un sujet pareil

Les discussions de bibliothécaires c'est sportif aussi.

Mais je suis sûr que les mecs dont tu parles c'est le genre de sauvage qui met les notes en fin de livre et pas en bas de page.

  Le pire c'est les livres d'histoires où 95% des notes sont une références bibliographique et le 5% restant des infos nécessaires si tu connais pas la période sur le bout des doigts.

 
J'en avais parlé sur le topic livres d'histoire, tiens
 

Ces gens sont des terroristes.  
 
Me suis pris la gueule avec un pote éditeur à ce sujet.  
 
Mais sinon ouais les bd en comix sont toujours d'une très grande qualité, me semble que c'est une collection à part maintenant. Je pense que celui qui écrira Linguistix sera un fou dangereux par contre.

Ah tiens, je suis allé voir leurs normes. Je vais peut-être les suivre, tiens... Le style de biblio que j'ai choisi pour l'instant, dans le gros machin que je suis en train de rédiger, est du genre :

Einstein, Z., Zweistein, D., Dreistein, V., Vierstein, F. & St. Pierre, E. 1974 Spatial integration in the temporal cortex. Res. Proc. Neurophysiol. Fanatic Soc. 1, 45--52.  (-- étant un demi-cadratin, il va de soi )

Je remarque d'ailleurs que j'ai toujours choisi de ne pas mettre le (numéro) qui suit le numéro de volume, considérant que ce n'était pas important, vu qu'on avait le numéro de la page. Fais-je mal ?    

Je fais alors allusion aux travaux d'Einstein et al. (1974), dans le corps du texte. Travaux pas forcément pertinents dans certains passages précis, soit dit en passant (Einstein et al. 1974, p. 47; ibid., Fig. 3).

Dans le traduction de Au bord de l'eau en édition de la Pléiade, c'est pas mal aussi, les notes de fin de volume.
A+,

Sûrement les mêmes qui utilisent digital au lieu de numérique.

 
C'est un sujet clivant

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Bon j'ai laissé tomber, il y a trop de livre à lire et là j’avançais plus. J'aime bien le style et il y a plein de passages sympa mais ça manque de naturel comme histoire, puis l'histoire avec le psy à New York   Les dialogues artificiels à rallonge, le personnage principal horripilant.