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Auteur Sujet :

Topic à Sciences Po

n°931633
annelaure2
Posté le 09-01-2007 à 18:07:18  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Bon pour ne pas changer, (je vais surment poser des questions déjà posées^^) voici qq interrogations :
- quels ouvrages sont recommandés pour être prêt pr passer les concours ?
- quels concours paraissent les plus accessibles (ça je suppose que ça dépend de chacun mais je parle vis à vis de la demande) ?
- les maths de strasbourg avec un niveau moyen de term S ça vous paraît faisable ?
merci pour vos réponses


Message édité par annelaure2 le 10-01-2007 à 13:30:14
mood
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Posté le 09-01-2007 à 18:07:18  profilanswer
 

n°931682
Le Contrad​icteur
Vox populi, vox dei
Posté le 09-01-2007 à 19:03:50  profilanswer
 

Est ce que vous savez où (sur internet) je pourrais me procurer des copies (si possibles corrigées et/ou notées) de matière à ce que je puisse avoir une idée du travail à fournir ?

n°931703
nerbe
Posté le 09-01-2007 à 19:24:03  profilanswer
 

Bonjour,
 
Soyons concis : des personnes ayant réussi le concours d'entrée en 4ème année à Paris peuvent-elles nous raconter leur expérience ?
 
Merci d'avance !

Message cité 1 fois
Message édité par nerbe le 09-01-2007 à 19:44:31
n°931757
nassahel1
L'ambition pour utlime refuge?
Posté le 09-01-2007 à 20:12:36  profilanswer
 

Le Contradicteur a écrit :

Est ce que vous savez où (sur internet) je pourrais me procurer des copies (si possibles corrigées et/ou notées) de matière à ce que je puisse avoir une idée du travail à fournir ?


 
Un éxemple de dissertation - épreuve d'ordre general du concours d'entrée en 1ere année, IEP de Paris - notée 17.
D'avance désolé pour la place que ça prendra, c'est un peu long :)
 
"Sujet : Qu’est-ce que faire preuve de courage politique ?
 
           
 
          Dans La République, Platon compare l’Etat à un navire. Toutes sortes d’individus
tentent de s’emparer du gouvernail et, une fois qu’ils le possèdent, ces hommes fêtent leur
victoire en buvant avec leurs complices, laissant ainsi le bateau dériver vers des récifs et
des roches. Le courage politique dans ce cas, est de prendre le gouvernail à ces criminels et
de tenter, face aux événements, de garder la route que l’on s’est fixé seul -dans une
autocratie- ou collectivement -dans une démocratie-. Faire preuve de courage politique,
c’est donc s’affirmer dans l’action, face au hasard et accepter de prendre des risques de
tous genres, le tout pour mener l’Etat et plus encore la société à bon port.
          Cependant, plus généralement, qu’est-ce que faire preuve de courage politique ?
Est-ce être un héros, ce qui tendrait à réserver le courage politique à quelques surhommes
isolés ou bien est-ce être un homme qui développe tout simplement ses capacités et
actualise son essence ?
          Le héros en politique semble au premier abord être celui qui fait preuve de courage
politique. Cependant, les risques que comporte cette définition amènent à redéfinir le
courage politique véritable.
 
           
          Le héros réussit à imposer ses choix, ses idées ou celles de son clan, face aux
événements et face aux autres. Il semble donc dans la politique-domaine, c'est-à-dire la
politique des hommes politiques et non celle des principes, être celui qui fait preuve d’un
réel courage politique. Ce héros prend ainsi des risques, fait face aux troubles et affirme sa
croyance en des idées.
          Le héros cornélien prend des risques véritables. Don Rodrigue doit choisir entre son
honneur et son amour. C’est le dilemme cornélien, que Le Cid met particulièrement en
avant.
Choisir Chimène, c’est renoncer à l’honneur familial, sali par un soufflet. Mais choisir son
honneur, c’est dire non à l’appel de son coeur. De même, le héros politique prend des
risques pour lui ainsi que pour les siens. L’empereur Napoléon Ier est parmi ses hommes au
pont d’Arcole. Il est parmi ses hommes encore lorsque ceux-ci sont malades, lors de la
campagne d’Egypte. Ce héros meurt seul, à Sainte-Hélène, en plein Atlantique. Le risque
était donc grand, mais le héros a su être là quand la France, en pleine Révolution, est
envahie de toutes parts par les monarchies inquiètes. Le héros prend donc des risques,
paye le prix de ses actes mais reconstruit son pays de l’intérieur, grâce au code civil et de
l’extérieur, en sauvant les frontières. Pour Goethe, Napoléon, c’est la « révolution
couronnée ». Le héros politique est donc capable d’imposer ses idéaux –l’égalité civile- au
prix de sa vie. C’est la raison pour laquelle Hegel estime dans La raison dans l’histoire que
ce sont les héros qui font avancer l’histoire vers sa fin, utilisés en cela par l’Esprit. Ainsi, le
héros serait l’élu qui va réaliser la nécessaire avancée vers la fin de l’histoire et l’égalité
civile des hommes. Le héros est donc courageux et réussit à imposer son idée du mieuxvivre
ensemble, c'est-à-dire son idée politique. En outre, ce héros qui est un surhomme
réussit à faire face aux troubles. Face à la tyrannie d’un Cromwell, il faut un héros capable
de mettre en place le « Léviathan » qu’appelle de ses voeux Thomas Hobbes dans le
Léviathan. « N’importe quel ordre vaut mieux que le désordre » est en somme le contenu de
l’ouvrage. Le surhomme doit donc être capable de se mettre au-dessus des troubles et
d’affirmer un ordre. Le courage politique dont il doit faire preuve s’affirme donc dans les
événements. C’est dans la contingence de la vie en société que se développe ce courage du
héros. Nicolas Machiavel exprime en outre dans Le Prince l’importance de la ruse et de la
force dont doit faire preuve le héros en politique. Le courage se fonde donc également sur
cette dimension particulière de l’homme qui est son rapport à l’autre. Le héros n’est
courageux que face à l’autre, à celui qui exprime des idées contraires aux siennes. Le héros
courageux prend donc des risques et s’affirme dans l’action comme le seul recours possible.
          Mais ce courage serait vide et n’aurait de sens s’il ne servait pas à affirmer des
idées, une vision du monde (Weltanschauung en allemand) et une conception du mieuxvivre
ensemble. Le surhomme cherche à imposer ce en quoi il croit, c’est ce qui fonde son
action et par là même signe son courage politique. A l’origine de ce courage, il y a donc une
croyance en des idéaux. Lorsque l’anabaptiste Thomas Münzer mène la révolte des paysans
en Saxe entre la fin du XVème siècle et le début du XVIème siècle, il a une croyance
véritable et sûre d’elle-même en ce pour quoi il agit. Il prend des risques et est même
exécuté pour avoir trop cru en son idéal. C’est donc un héros qui, semble-t-il, fait preuve
d’un authentique courage politique. De même, le cardinal de Retz, qui mène la Fronde au
milieu du XVIIème siècle, croit fermement en l’importance de la féodalité locale et des
parlements régionaux. Dans ses Mémoires, il démontre que la monarchie absolue telle que
la construisent Richelieu et Mazarin est une erreur profonde pour la France. Le cardinal de
Retz est donc un authentique héros, qui suit la pente de ses idées face aux dangers de
l’adversité. Tout comme la croyance religieuse qui ne doute pas d’elle-même, la croyance
politique est le socle sur lequel s’érige le courage politique. Face aux oppositions et aux
idées contradictoires, le héros poursuit son chemin.
 
 
          Le courage politique du héros est donc triple : c’est une prise de risque, face aux
troubles et afin d’affirmer une croyance. Cependant, n’y-a-t-il pas là un risque grave qu’il
convient d’écarter ?
 
 
          En effet, un héros défini de la sorte fait preuve d’un courage dangereux. Le véritable
héros ou surhomme a une croyance en des idées qui ne doutent pas d’elles-mêmes. Il
confond facilement croyance et vérité. Le risque est donc d’agir par conviction, sans
mesurer la portée de ses actes. Cela amène à redéfinir le courage politique.
          La véritable croyance est celle qui doute d’elle-même. C’est le déséquilibre entre la
croyance profonde et le doute qui fait la richesse de cette dernière. En religion, le credo et le
culte sont des manières de jouer avec le doute, de mêler notre croyance à des remises en
cause. C’est bien le doute qui fait la richesse de la foi de ceux qui croient. Quel
investissement personnel l’humain engage-t-il face à la vérité ? Aucun. Il n’est nul besoin de
se réunir chaque dimanche pour réaffirmer que deux et deux font quatre. Si l’existence de
Dieu était démontrée et admise comme une vérité, la croyance disparaîtrait à l’instant.
Il en va de même au niveau politique. Ce qui fait la richesse d’un mouvement d’idées, c’est
la possibilité de douter de sa véracité. Toute dérive de la croyance vers la vérité est un
danger pour la politique et par là même pour la société. Dès que la croyance en ses idées
ne doute plus, elle devient une idéologie, allusion-illusion au réel, comme le définit Althusser.
En effet, l’idéologie croit être vérité mais n’est en fait qu’une approche partielle et illusoire.
La lutte des classes ou encore la supériorité de la race aryenne –si tant est qu’elle existesont
des croyances certaines d’elles-mêmes. Aucun doute n’est possible. Or, ces idéologies
nées au XIXème siècle puis réutilisées à leur insu au cours du XXème siècle sont au coeur
des totalitarismes qui nient l’humanité des hommes en ne recherchant pas le développement
de leurs qualités. Ce premier point montre le risque pour la société d’être menée par un
héros qui croit en son idéal. Ensuite, le surhomme défini plus haut agit par conviction et ne
pense que trop peu aux conséquences de ses actes. Est-ce une attitude responsable ? Estce
vraiment courageux de ne pas affronter ses erreurs ? Max Weber distingue en effet dans
Le savant et le politique deux éthiques de l’action politique. Tout d’abord, certains agissent
selon une éthique de conviction. Ceux-là sont certains d’eux-mêmes et si l’objectif à
atteindre ne l’est pas, ce ne peut être dû qu’à une mauvaise application de leurs ordres.
Ainsi, Staline poussait indirectement son administration à truquer les recensements afin que
ceux-ci correspondent aux objectifs fixés par lui-même. Au contraire, l’homme qui agit selon
une éthique de responsabilité accepte de répondre des conséquences prévisibles de ses
actes; en démocratie, la motion de censure est le meilleur moyen exemple de cette
responsabilité vis-à-vis du peuple souverain. Ici encore, le courage politique de celui qui
impose ses idées contre tous comporte le risque de ne plus douter de lui-même. Dans Les
sentiers de la gloire (Paths of glory)
, Stanley Kubrick montre que des hommes sûrs d’euxmêmes
peuvent envoyer des dizaines d’autres à la mort. Le film se déroule dans les
tranchées, durant la Première mondiale. Les généraux Mireau et Broulard décident, dans un
ravissant château, richement décoré et transformé en quartier général, d’envoyer les
hommes prendre un objectif impossible à atteindre, « la fourmilière ». Ici, les généraux
agissent par conviction, sans se soucier de l’application de leurs plans dans le réel. Il ne
semble plus que l’on puisse parler de courage ici. Une redéfinition est donc nécessaire, face
à ces nombreux risques qui dénaturent l’action politique et donc le courage politique. Il faut
alors distinguer le courage en politique du courage politique. Le héros, qui prend des
risques, s’affirme, face aux troubles et croit en des idéaux ne fait pas preuve de courage
politique mais, en fait, de courage en politique. Le héros importe de la mythologie dans le
champ politique. Il s’agit alors de courage en politique et non de courage politique véritable.
Cependant, la politique étant ce qui englobe toute une communauté d’hommes, elle ne peut
se résoudre à accepter un héroïsme partiel, conquis grâce aux armes par exemple. Le héros
militaire ne l’est que dans son domaine. Le politique, de par la richesse de son essence ne
saurait accepter de héros au sens quasi surnaturel du terme.
Toute tentative de créer des héros en politique est donc dangereuse. Le héros de Verdun
était certainement un héros militaire, mais sa tentative de devenir un héros politique a
historiquement échoué. Par opposition à ce courage en politique, dévoiement de la vraie
nature de la politique, on peut définir un courage politique véritable. Il ne s’agit plus d’être un
surhomme, mais simplement un vrai homme.
 
 
          Les risques de l’héroïsme, de la croyance aveugle et de l’éthique de conviction
permettent donc de redéfinir le courage politique. Celui-ci n’est pas celui de quelques-uns,
d’ « une aristocratie du courage », mais se trouve au coeur de chacun de nous.
 
 
          Le courage politique, c’est tout d’abord continuer à y croire -d’une croyance véritable
donc en proie au doute-, et ensuite, mêler conviction et responsabilité. En fait, faire preuve
de courage politique, c’est être homme, tout simplement.
Faire preuve de courage politique, c’est continuer à croire en ce que l’on fait, même quand
tout semble indiquer que c’est un échec. Il ne faut pas, bien entendu, se retrouver dans
l’éthique de conviction qui ne doute pas d’elle-même. La clef pour éviter de retomber dans
les dangers développés plus haut est de continuer à croire en l’humaine valeur dans l’action.
Toute action, toute idée est courageuse au sens positif du terme, pourvu que l’humanité de
chacun ne soit pas niée. Il est donc nécessaire de conserver une valeur dans l’action, sans
quoi cette dernière s’effondre et perd tout son sens. Le courage politique véritable est dans
cette persévérance face aux difficultés et aux malheurs. Faire preuve de courage politique,
c’est alors être un héros, mais « au sens le plus simple du mot » comme l’écrit Max Weber à
la fin de Le savant et le politique. Ce courage, c’est ce qu’il appelle le « paradoxe des
conséquences ». Croire, envers et contre tout en un dogme fixe, mais en la politique. C’est
cette croyance qui anime Jean Zay, Léon Blum ou encore Pierre Mendès-France dans leurs
procès durant la Seconde guerre mondiale. Ces hommes croyaient en la force de la loi et de
la politique face à l’idéologie qui les jugeait. Ils étaient des héros, bien plus que n’importe
quel chef militaire ou monarque.
Ensuite, faire preuve de courage politique, c’est mêler dans son action conviction et
responsabilité. Face à ceux qui agissent dogmatiquement, par conviction et à ceux qui
s’enferment dans l’inaction en se protégeant derrière leur responsabilité, l’homme courageux
politiquement croit en une manière d’organiser la vie commune mais accepte l’erreur et
reconnaît ses fautes. Le capitaine du navire doit donc prendre le cap qui lui semble le
meilleur pour aller à bon port, en considérant le vent et la marée -la contingence des
événements politiques- et ensuite, affronter les critiques s’il a fait une erreur. Il existait
jusqu’à peu des tribunaux pour juger les capitaines qui avaient conduit leur navire au
naufrage. Faire preuve de courage, c’est donc accepter un risque et, simplement et
humblement, reconnaître ses fautes. La navigation doit être prudente, mais pas inactive. En
politique comme en navigation, au milieu d’une tempête, il est impossible de temporiser. Il
faut alors savoir saisir l’occasion favorable à l’action visée. Aristote distingue ainsi dans La
Politique
la phronesis ou prudence du kaïros, la saisie de l’occasion favorable à l’action.
Faire preuve de courage dans l’action, c’est donc réussir à mêler ces éléments, tous dirigés
vers le mieux vivre ensemble.
          Faire preuve de courage politique, c’est en fait être simplement homme, et non
surhomme, et développer des facultés profondément humaines. Aristote démontre dans La
Politique
que l’homme est un animal politique, un zoon politikon. L’homme plus que
n’importe quel animal, se réalise dans la politique et l’échange que la société entraîne.
Chacun est donc porteur d’un courage politique en puissance, c’est à dire d’une capacité à
continuer à naviguer dans la tempête de manière toujours juste. Non pas juste au sens
d’exact, car les erreurs remplissent l’action du politique, mais juste au sens de moral, c'està-
dire que faire preuve de courage politique, c’est « dire oui, j’ai fait une erreur ». C’est donc
en étant d’abord homme que l’homme politique fait preuve de courage. Chacun, en outre,
par une citoyenneté active, fait preuve de courage, en refusant une loi injuste. David Henry
Thoreau explique le courage qu’il faut pour affronter un pouvoir injuste. Ainsi, à la suite de la
guerre de 1848 des Etats-Unis contre le Mexique, cet homme refuse de payer des impôts
qui servent à fondre des baillonnettes. Il fait preuve alors de désobéissance civile. Sans
gloire ni héroïsme, cet homme a fait le choix du légitime sur le légal et a fait preuve de
courage politique, à son échelle. Faire preuve de courage politique, c’est donc être homme.
          L’homme courageux mêle donc « esprit de finesse », selon l’expression de Pascal,
c'est-à-dire inspiration, avec raison et prudence. Faire preuve de courage politique nécessite
donc un esprit rationnel, voire scientifique, mais aussi l’âme d’un artiste, toujours conscient
de la gravité de sa tâche, mais déterminé à créer du nouveau, sans relâche.
 
 
          Faire preuve de courage politique, ce n’est donc pas être un surhomme, mais tout
simplement développer ses qualités naturelles. Le courage politique n’est donc pas le
courage en politique, simple collage de l’héroïsme dans le domaine de la politique. Il ne
s’agit donc pas de vouloir à tout prix être un surhomme ou un héros, mais d’être tout
simplement un homme. Car l’héroïsme au sens courant n’existe pas en politique. Etre un
homme véritable, c’est déjà être un authentique héros."

n°931862
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 09-01-2007 à 21:12:00  profilanswer
 

Ouais, enfin là y'a du niveau. J'en ai vu avoir 18 à Lille avec des choses bien moins documentées.

n°931967
ohio
Posté le 09-01-2007 à 22:24:24  profilanswer
 

ben, j'éspère parce ce que la quantité de réferences et impressionante!!!! en tout cas merci, c'était très interessant.

n°931999
nassahel1
L'ambition pour utlime refuge?
Posté le 09-01-2007 à 22:53:42  profilanswer
 

Et encore ... ils ont été gentils de lui mettre 17. Il a oublié de définir le concept de politique, il s'est contenté d'une étude approfondie sur le courage.

n°932000
Le Contrad​icteur
Vox populi, vox dei
Posté le 09-01-2007 à 22:53:43  profilanswer
 

Ok, merci beaucoup, ça me servira de référence, c'est vrai qu'il y a du gros niveau là. Et si quelqu'un en a d'autres ou connait un site ou sont répertoriés des copies (surtout d'histoire) je suis preneur !

n°932017
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 09-01-2007 à 23:16:17  profilanswer
 

Je posterai un scan d'une dissert' du concours de bordeaux que j'avais très bien réussi selon le correcteur, mais après mes exams car j'ai pô ltps!
C'est une dissert' faite en une heure donc ça permet de voir ce qu'il faut mettre pour ce concours. Ce n'est rien de grandiose. Il faut l'essentiel des idées, et un plan qui est du sens, rien de plus.
 
Au contraire, la dissert présentée plus haut prend le parti du style et vise plus à éblouir qu'à fournir des idées réellement efficaces. Néanmoins, les exemples donnés sont d'une grande pertinence par rapport au discours qui y est présenté. Enfin, je dirai que ce n'est pas du niveau de tout le monde.


Message édité par kimaswan le 09-01-2007 à 23:27:55
n°932129
Magicpanda
Pushing the envelope
Posté le 10-01-2007 à 02:59:54  profilanswer
 

nerbe a écrit :

Bonjour,
 
Soyons concis : des personnes ayant réussi le concours d'entrée en 4ème année à Paris peuvent-elles nous raconter leur expérience ?
 
Merci d'avance !


 
 
ca se passe en une journée, l' épreuve de spécialité est longue, l'épreuve de culture g très courte, la lv1 plus soft qu' a bac +1
la sélection de l' oral est assez forte ( 1 pour 3 environ )
 


---------------
" Quel est le but du capital ? Le but du capital c'est produire pour le capital. L'objectif, lui, est illimité. L'objectif du capital c'est produire pour produire." - Deleuze || André Gorz - Vers la société libérée
mood
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Posté le 10-01-2007 à 02:59:54  profilanswer
 

n°932177
Naonao
Posté le 10-01-2007 à 09:46:02  profilanswer
 

Alors pour répondre a Kerri, c'est que j'ai mon deug, et que je pensais laisser tomber la licence (parceque je me fais vraiment trop chier en droit) et en profiter pour préparer les concours, ce qui m'aurait aussi permis de tenter le concours du CELSA, qui n'offre des places qu'a Bac+1
Comme je ne pourrais pas ET avoir ma licence ET préparer les concours, je crois que je vais décaler le passage des concours à l'an prochain !
 

n°932260
Bu$i
Posté le 10-01-2007 à 12:51:29  profilanswer
 

kimaswan, tu es à Sciences po Bordeaux?

n°932264
seemann
Posté le 10-01-2007 à 12:57:47  profilanswer
 

Bonjour j'ai parcouru quelques pages mais le topic est vraiment trop vaste!
Alors voila ma question pour passer le concour pour les bac+1 à bordeaux il faut avoir validé une année ou juste s'etre inscrit à une année universitaire sans resultat au bout (ça me parait peu probable mais c'est ce qu'on m'a dit...) et les conditions d'acces pour les bachelier 2006 pr toulouse rennes sont elles connues (elles ne figurent pas sur leur site web)?
Merci

n°932291
annelaure2
Posté le 10-01-2007 à 13:30:42  profilanswer
 

Bon pour ne pas changer, (je vais surment poser des questions déjà posées^^) voici qq interrogations :  
- quels ouvrages sont recommandés pour être prêt pr passer les concours ?  
- quels concours paraissent les plus accessibles (ça je suppose que ça dépend de chacun mais je parle vis à vis de la demande) ?  
- les maths de strasbourg avec un niveau moyen de term S ça vous paraît faisable ?  
merci pour vos réponses

n°932348
Kerri
Posté le 10-01-2007 à 14:50:46  profilanswer
 

Naonao a écrit :

Alors pour répondre a Kerri, c'est que j'ai mon deug, et que je pensais laisser tomber la licence (parceque je me fais vraiment trop chier en droit) et en profiter pour préparer les concours, ce qui m'aurait aussi permis de tenter le concours du CELSA, qui n'offre des places qu'a Bac+1
Comme je ne pourrais pas ET avoir ma licence ET préparer les concours, je crois que je vais décaler le passage des concours à l'an prochain !

 


 :jap:  certains IEP ont des places "intégrable" avec un deug (on arrive en 3ème année donc) c'est le cas de Toulouse par exemple    

 


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Liste de téléphones compatibles 4g :) Comparatif débit 3G+ vs 4G
n°932405
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 16:00:41  profilanswer
 

seemann a écrit :

Bonjour j'ai parcouru quelques pages mais le topic est vraiment trop vaste!
Alors voila ma question pour passer le concour pour les bac+1 à bordeaux il faut avoir validé une année ou juste s'etre inscrit à une année universitaire sans resultat au bout (ça me parait peu probable mais c'est ce qu'on m'a dit...) et les conditions d'acces pour les bachelier 2006 pr toulouse rennes sont elles connues (elles ne figurent pas sur leur site web)?
Merci


Tout le monde peut s'inscrie à bordeaux du moment que t'as ton bac.

n°932406
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 16:01:23  profilanswer
 

Bu$i a écrit :

kimaswan, tu es à Sciences po Bordeaux?


nan, sciences po Melun :-) J'ai échoué à cause de l'anglais (4 ou 5, je sais plus). L'année passé, les derniers pris étaient autour de 9.5 de moyenne! J'avais déjà 11 avec les autres épreuves, mais l'anglais à tout cassé.


Message édité par kimaswan le 10-01-2007 à 16:03:09
n°932408
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 16:02:16  profilanswer
 

Kerri a écrit :

:jap:  certains IEP ont des places "intégrable" avec un deug (on arrive en 3ème année donc) c'est le cas de Toulouse par exemple


Pas toujours. Avec un deug on te fait souvent rentrer en deuxième année. Et avec une licence, c'est assez souvent en troisième année, pas toujours en master.

n°932466
nyssa
Posté le 10-01-2007 à 17:44:26  profilanswer
 

hello tout le monde, j'ai justement une question à propos de la validation des crédits en fac et pour l'entrée à sciences po
 
je suis actuellement en 1ère année de droit, mais l'ennui c'est que ça me plait pas trop, et que je suis meme pas sure de pouvoir valider ma 1ère année! j'ai eu mon bac avec mention TB et je pensais pouvoir tenter les concours pour sciences po à bac + 1, en plus comme on est qu'en janvier en bossant pas mal je pourrais peut etre y arriver, mais voila le probleme c'est qu'on m'a dit que désormais il fallait obligatoirement avoir validé les crédits de la 1ère année universitaire, pour pouvoir etre intégrée à science po même si on réussit très bien au concours! enfin voila j'aimerais qu'on m'explique tout ça parce que je suis un peu paumée!!
 
merci d'avance !!

n°932492
seemann
Posté le 10-01-2007 à 18:18:30  profilanswer
 

+1 nyssa chuis dans le meme cas que toi kimaswan m'a repondu que bordeaux c'était ok mais j'ai toujours un ptit doute, apres pour le sud est le concour est identique pr les bacheliers 2006 et 2007, pour Toulouse Rennes j'aimerai bien etre fixé aussi, et pour le reste c'est mort.

n°932595
ESTI100
Posté le 10-01-2007 à 19:36:52  profilanswer
 

slt a tous!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu n'aurai po aussi un exemple de dissert d'histoire au concours a bac +0 stp????????????
merci d'avance  
et ou les trouve tu ????????

n°932599
ESTI100
Posté le 10-01-2007 à 19:39:59  profilanswer
 

les derniers pris étaient autour de 9.5 de moyenne! J'avais déjà 11 avec les autres épreuves, mais l'anglais à tout cassé.
 
 
Comment sa se fait i faut pas avoir 12 minimum?????????????????

n°932621
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 19:55:06  profilanswer
 

ESTI100 a écrit :

les derniers pris étaient autour de 9.5 de moyenne! J'avais déjà 11 avec les autres épreuves, mais l'anglais à tout cassé.
 
 
Comment sa se fait i faut pas avoir 12 minimum?????????????????


pô à bordeaux. Ils prennent les meilleurs, mêmes si le dernier des 100 ou 120 premiers à 8/20.

n°932623
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 19:56:53  profilanswer
 

Pour les concours bac+1 normalement pas besoin de valider les crédits car nombre de prépa privé sont hors système donc ne délivrent aucun crédit. Par contre, pour les concours bac+2 ...et + il faut avoir validé.
Vérifiez mais normalement c'est comme ça.
 
Exemple avec Aix :
"L%u2019entrée en première année est subordonnée à la réussite à un concours auquel peuvent s%u2019inscrire les bacheliers de l%u2019enseignement secondaire de l%u2019année du concours ou de l%u2019année antérieure"
Ce qui importe c'est le bac, de l'année ou de l'année précédente. Il n'est pas qst de crédits ECTS.


Message édité par kimaswan le 10-01-2007 à 20:00:58
n°932672
Kerri
Posté le 10-01-2007 à 20:44:15  profilanswer
 

oui, mais là c'est pour une entrée en première année


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n°932698
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 10-01-2007 à 21:15:50  profilanswer
 

wi, mais c'est pareil pour les autres iep qui font rentrer en deuxième année : le requis est le bac, c'est tout. J'en suis sûr puisque des 100% des prépas privés n'offrent aucun crédit ects, juste des équivalences (à condition de les demander, et ce n'est jamais sûr). Donc s'il fallait des crédits ECTS, cela voudrait dire que ceux qui font une prépa privée Sciences Po ne pourraient pas tenter les concours de... sciences po. Tu vois bien que cela ne tient pas!
Lis les conditions, c'est pourtant clair : il faut le bac de l'année ou celui de l'année précédente dans le cas de tous les concours à bac+0 et bac+1, que tu rentres en première ou deuxième année (j'ai fais une prépa et des amis avaient eu Lille, rentrant en seconde année, alors qu'ils n'avait aucun crédit ECTS).

n°932707
carpediemi​kl
Posté le 10-01-2007 à 21:21:40  profilanswer
 

Dites moi les gens, appart à Bordeaux, les épreuves des concours d'entrée en première année sont les mêmes pour les Bac+0 et les Bac+1 ? (quand ces derniers sont acceptés, c'est-à-dire partout sauf à Lille et strasbourg me semble-t-il)

n°932708
carpediemi​kl
Posté le 10-01-2007 à 21:24:41  profilanswer
 

Oh pi zavè une autre question : d'après vous, en cas d'échec au concours des IEP, quelle est la meilleure alternative ? Une license de droit ? Une license de science politique (à Paris 8 et Lyon 2, mais parait que c'est moins bien que le droit si on projète de retenter le concours des iep à Bac+1) ? Une prépa (ce qui induit un travail énorme et un avenir très incertains...) ?
Big question

n°932736
seb1900
Posté le 10-01-2007 à 22:01:02  profilanswer
 

Oh pi zavè une autre question : d'après vous, en cas d'échec au concours des IEP, quelle est la meilleure alternative ? Une license de droit ? Une license de science politique (à Paris 8 et Lyon 2, mais parait que c'est moins bien que le droit si on projète de retenter le concours des iep à Bac+1) ? Une prépa (ce qui induit un travail énorme et un avenir très incertains...) ?
Big question
 
Partir à l'étranger faire un premier cycle peut être une possibilité intérressante, surtout si on a des liens avec le pays en question. On peut envisager de faire un diplôme au Québec en sciences politiques par exemle (au Québec : bonnes facs, vie pas très chère, français payent pas frais d'inscription) et entrer à sciences po en master sur dossier en tant qu'étudiant étranger. Personnellement, si je foire sciences po, je v en Angleterre (je suis anglais) faire un BA en POlitique philosophie économie et, après, je pourrai tenter science spo en master sur dossier  :D  :D .

n°932741
Kerri
Posté le 10-01-2007 à 22:05:40  profilanswer
 

bonjour
en université on enseigne la science politique
dans les iep on enseigne les sciences politiques (droit, économie, histoire,...)
ce n'est pas la même chose: ce ne sont pas les même matières.


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n°933019
nyssa
Posté le 11-01-2007 à 11:32:47  profilanswer
 

merci pour vos réponses! mais j'ai tjrs un tit doute lol, parce que j'ai une amie qui est en prépa à l'institut catholique de paris, c'est privé bien sur, et la bas elle fait une prepa sciences po d'un an mais en meme temps elle a des cours d'histoire de sorte à ce qu'on valide la 1ère année de fac d'histoire pr les IEP!
 
mais dans cette prépa les profs et la directrice ont dit que des élèves de l'année dernière avaient obtenus sciences po mais qu'ils n'avaient pas pu y aller car ils n'avaient pas validé leur première année et qu'ils n'avaient pas leurs crédits!
 
donc voila moi ça me rassure pas trop, et c'est vrai qu'en regardant sur les sites des IEP, il faut avoir validé les crédits!!
 (uhuh je sais pas si j'ai été très claire dc mon explication, mais bon c'est vraiment bete de pas pouvoir faire sciences po alors qu'on a réussi le concours, tout ça parce qu'on a pas validé une première année de fac)
 

n°933083
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 11-01-2007 à 13:54:57  profilanswer
 

nyssa a écrit :

merci pour vos réponses! mais j'ai tjrs un tit doute lol, parce que j'ai une amie qui est en prépa à l'institut catholique de paris, c'est privé bien sur, et la bas elle fait une prepa sciences po d'un an mais en meme temps elle a des cours d'histoire de sorte à ce qu'on valide la 1ère année de fac d'histoire pr les IEP!
 
mais dans cette prépa les profs et la directrice ont dit que des élèves de l'année dernière avaient obtenus sciences po mais qu'ils n'avaient pas pu y aller car ils n'avaient pas validé leur première année et qu'ils n'avaient pas leurs crédits!
 
donc voila moi ça me rassure pas trop, et c'est vrai qu'en regardant sur les sites des IEP, il faut avoir validé les crédits!!
 (uhuh je sais pas si j'ai été très claire dc mon explication, mais bon c'est vraiment bete de pas pouvoir faire sciences po alors qu'on a réussi le concours, tout ça parce qu'on a pas validé une première année de fac)


Oui, et bien on te raconte des bétises. Ils voulaient probablement donner une excuse à leur taux très bas d'intégration car c'est impossible qu'ils soient refusés si ils sont en première année. C'est clair pour tous les concours bac+1, on ne demande que le bac de l'année précédente. Ce qui fait que tu as pu te fourrer les doigts dans le nez pendant un an, si tu réussi le concours, tu es accepté sans aucune condition de crédits ECTS, ce qui n'est pas vrai pour les intégrations à bac+2 (enfin, pas toutes car Lille, par exemple permet de postuler à bac+1, deux ans après le bac, sans condition de crédits ects, je crois).
"en regardant sur les sites des IEP, il faut avoir validé les crédits!!"
Donne moi un lien alors!
Si cette faculté offre des crédits ECTS c'est uniquement pour fournir une équivalence à ceux qui n'auront pas l'iep et donc ne seront pas obligés de rentrer en première année de fac mais directement en deuxième année.

n°933097
Kerri
Posté le 11-01-2007 à 14:15:12  profilanswer
 

Citation :

Donne moi un lien alors!


IEP de grenoble

Citation :

Peuvent être candidats au concours pour l'année universitaire 2007-2008 :
-  les étudiants ayant validé (ou sous condition de validation) 60 crédits ECTS à la première session d'examen dans le cadre d'une année universitaire réalisée en 2006-2007 ;
-  les étudiants ayant obtenu au moins 60 crédits ECTS au cours des années universitaires précédentes ;


 
IEP de Lyon

Citation :

Conditions d'accès
 
Etudiants inscrits de plein droit : titulaires de 60 crédits ECTS ou d’une 1e année de classe préparatoire.


 
à noter: je n'ai pas sélectionné, j'ai juste regardé ces 2 là (et toulouse qui n'indique pas encore ses modzlités d'inscription)


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n°933122
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 11-01-2007 à 14:38:17  profilanswer
 

Ce sont les conditions d'entrée en deuxième année, pas en première année. Or Lyon et Grenoble te permettent de rentrer en première année même avec bac+1 (ce qui fait que tu peux en fait faire deux concours pour lyon et grenoble). Je le sais car des amis avaient fait les deux, c'est à dire Lyon Première année et Lyon Deuxième année (et échoué!). Donc si tu n'as pas les crédits ECTS, peu importe, inscris toi au concours de première année.

 

"Conditions d'accès
L'accès au concours est exclusivement réservé aux candidats ayant obtenu leur baccalauréat en 2006 ou préparant leur baccalauréat en 2007"


Message édité par kimaswan le 11-01-2007 à 14:39:06
n°933128
Kerri
Posté le 11-01-2007 à 14:43:01  profilanswer
 

l'iep de paris ne prend à ma connaissance que les diplômés du baccalauréat de l'année, donc ça prépa était forcément pour la deuxième année


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n°933146
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 11-01-2007 à 15:12:25  profilanswer
 

Oui, mais à Paris, j'en suis sûr et certain, le critère est "bac de l'année précédente" et non pas crédits ECTS. Sûr et certain, sinon cela veut dire que j'ai fais le concours, moi et mes collègues de prépa, inutilement.
http://www.sciences-po.fr/admissio [...] roc34.html
Il n'y a pas de conditions données ici, mais pour arriver à cette page j'ai dû remplir un formulaire qui me demande uniquement si je suis une première année d'études supérieures et si mon bac est bien de l'année précédente. C'est tout. Pas de crédits ECTS needed.

  

Du reste, concernant ce que j'ai dis auparavant sur Lyon et Grenoble. Ils parlent de crédit ECTS et de prépa. Or, les prépas n'offrent pas de crédit ects donc c'est un peu ambivalent! Car cela voudrait dire qu'une grosse merde de prépa pourrait avoir le concours alors qu'une personne meilleure mais qui malencontreusement loupe un semestre et donc n'a pas ses 60 crédits ECTS ne peut pas être acceptée. Bizarre! Je ne sais pas si ils s'imposent réellement ces règles. Qu'en est-il des prépas privés type Ipesup qui ne sont pas vraiment des prépas puisqu'on ne les intégre pas par la même marche à suivre. Donc, à mon avis, c'est un peu du vent dans leur cas.


Message édité par kimaswan le 11-01-2007 à 15:14:55
n°933166
bettyf
Silentman
Posté le 11-01-2007 à 15:51:38  profilanswer
 

je rectifie une erreur concernant les prépas; toutes les prépas littéraires (publiques ou privées sous contrat) offrent des crédits ECTS -équivalence L1 et L2 pour les hypokhâgnes et khâgnes, parfois même des morceaux de L3 en "cubant"; toutes les prépas HEC, pour ceux qui le désirent (3 élèves sur 4 à peu près sur Paris) font de même -équivalences en économie-gestion, mass, histoire voire anglais

n°933176
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 11-01-2007 à 16:07:54  profilanswer
 

bettyf a écrit :

je rectifie une erreur concernant les prépas; toutes les prépas littéraires (publiques ou privées sous contrat) offrent des crédits ECTS -équivalence L1 et L2 pour les hypokhâgnes et khâgnes, parfois même des morceaux de L3 en "cubant"; toutes les prépas HEC, pour ceux qui le désirent (3 élèves sur 4 à peu près sur Paris) font de même -équivalences en économie-gestion, mass, histoire voire anglais


Je ne sais pas, ils offrent des équivalences, certes mais pas de crédits ECTS. Cela veut dire que c'est à toi de demander ton équivalence, qui n'est pas systématique donc. Tu as les crédits ECTS si tu fais marcher l'équivalence, nan ???
Sinon, tu soulignes le pb que j'ai remarqué tout à l'heure. Qu'en est-il des prépas sans contrat (type prépa privée sciences po) pour ce genre de chose :
"Conditions d'accès  
 Etudiants inscrits de plein droit : titulaires de 60 crédits ECTS ou d’une 1e année de classe préparatoire"
??

n°933180
bettyf
Silentman
Posté le 11-01-2007 à 16:13:15  profilanswer
 

merci de ta remarque mais si, il y a crédits ects : le conseil de classe de laprépa les délivre en fin d'année et un professeur de l'université où l'étudiant de prépa est inscrit (Paris I, Versailles Saint-Quentin, je prends des ex. que je connais) est présent à ce conseil pour valider (enfin, quand il ne dort pas ou n'a pas une excuse pour oublier..) la décision
les élèves des prépas purement privées sont pour moi jors jeu sauf accord particulier avec une université

n°933278
ESTI100
Posté le 11-01-2007 à 18:17:13  profilanswer
 

pô à bordeaux. Ils prennent les meilleurs, mêmes si le dernier des 100 ou 120 premiers à 8/20.
 
 
quelqu'un sait si cela se passe aussi comme sa a lyon?????

n°933424
kimaswan
Gutta Cavat Lapidem
Posté le 11-01-2007 à 20:56:43  profilanswer
 

oui, normalement c'est comme ça pour tous les concours, même Paris, sauf que eux ils montent les notes si nécessaire je crois. Enfin cela ne change rien au pb, car si seulement 100 ont 10/20, ça veut bien dire que ce n'est pas facile!


Message édité par kimaswan le 11-01-2007 à 20:57:30
mood
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