Reprise du message précédent :
Coriolis in HFR is Infinite Loop (cause of coriolis)

TALC : Mon prof de physique ma dit que la force centrifuge n'existait pas (histoire de force centripète tout ça)  
 
J'invoque gilga !

Bah en fait ça dépend du référentiel dans lequel tu te places. En gros, si tu considères le référentiel terrestre et que tu te places dans un manège, la force qui s'exerce sur toi est celle du siège qui te ramène vers le centre du manège(force centripète, dirigée vers le centre du manège). En effet, s'il n'y avait pas cette force, ta trajectoire serait rectiligne... (tu vois : pas de force centrifuge)
La force centrifuge est une pseudo-force qu'on ajoute pour pouvoir appliquer les lois de Newton habituelles dans le référentiel du manège dans lequel elles ne pourraient pas s'appliquer sinon.
En fait, dans le référentiel du manège, tu es immobile donc la somme des forces qui s'appliquent sur toi devrait être nulle. Cette force centrifuge vient en fait compenser la force centripète qui, elle, est une force réelle.  
Question sensation, tu te sens éjecté vers l'extérieur car tu sens bien que s'il n'y avait pas cette force centripète, tu partirais effectivement en direction du marchand de glace...
J'espère avoir été clair... Sinon gilga fera sûrement mieux que moi

 
une force est une interaction physique entre deux corps, la force centrifuge est une force apparente due à l'inertie d'un corps dans un référentiel non galiléen

Rien à ajouter  

 
Et si on utilise ca sur un skyblog, ca le rends lisible, ou ca fait   ?  

même les pseudo sont traduits  

Eh hop  - Descarte - Sixième méditation en kikoolol
Le texte : http://pagesperso-orange.fr/minerva/Mm/MM6.htm

Cherchez pas, c'est expérimental   . Aucun philosophe n'a été maltraité dans cette expérience  lol

--

Il ne m reste + mintenan k'à examiné sil y a de chose matérièls : é certe o moins sès-je déjà k'il y en peut avoir, en tan k'on lé konsidèr kom lobjet de démonstrations de géométrie, vu k de 7 façon jlé konçoi for clèreman é for distinctement. kar il n'y a point de doute k Dieu n'è la puissansse de produir tte lé chose k jsui kapabl de konssevoir avec distinxion - é jn'è jamès jugé k'il lui fût impossibl de fèr kelk chose, k'alors k jtrouvès de la kontradixion à la pouvoir bi1 konssevoir. De +, la fakulté dimaginé ki è en moi, é de lakèl jvoi par expériensse k jm sers lorsk jm'aplik à ta konsidération de chose matérièls, è kapabl de m persuadé leur existensse : kar kan jkonsidèr atentiveman se k c k limagination, jtrouve k'èl nè otr chose k'une certine aplikation de la fakulté ki konaît, o korps ki lui è intimeman présent, é partan ki existe.
 
Et pr rendr sa très manifeste, jremark premièreman la diférensse ki è entr limagination é la pur intèlxion ou konsseption. Par exemple, lorsk j'imagine un triangle, jne le konçoi pas seuleman kom une figur konposée é konprise de 3 lignes, mès outr sa jkonsidèr se 3 ligne kom présente par la force é laplikation intérieur de mon esprit ; é c propreman se k j 'apèl imaginer. k 6 jveu pensé à un chiliogone, jkonçoi bi1 à la vérité k c une figur konposée de miye côtés, aussi facileman k jkonçoi k'un triangle è une figur konposée de 3 côtés seuleman ; mès jne pui pas imaginé lé miye côtés d1 chiliogone, kom jfès lé 3 d1 triangle, ni, pr insi dire, lé regardé kom présents avec lé yeu de mon esprit. é koike, suivan la koutum k g de m servir toujours de mon imagination, lorsk jpense o chose korporèls, il arrive k'en konssevan un chiliogone jm représente konfuséman kelk figure, ttefoi il è très évidan k 7 figur nè point un chiliogone, puisk'èl ne difèr nulleman de cèl k jm représenterès, 6 jpensès à un myriogone, ou à kelk otr figur de bcp de côtés ; é k'èl ne ser en aukune façon à dékouvrir lé propriétés ki fon la diférensse du chiliogone davec lé otr polygones. k sil è kestion de konsidéré un pentagone, il è bi1 vrè k jpui konssevoir sa figure, aussi bi1 k cèl d1 chiliogone, san le sekours de limagination ; mès jla pui aussi imaginé en aplikan latention de mon esprit à chakun de sé 5 côtés, é tt ensembl à lère, ou à lespace k'ils renferment. insi jkonès clèreman k g besoin d1 partikulièr kontention desprit pr imaginer, de lakèl jne m sers point pr konssevoir ; é 7 partikulièr kontention desprit montr évideman la diférensse ki è entr limagination é lintèlxion ou konsseption pure. jremark outr sa k 7 vertu dimaginé ki è en moi, en tan k'èl difèr de la puissansse de konssevoir, nè en aukune sorte nécessèr à ma natur ou à mon essensse, c-à-dir à lessensse de mon esprit ; kar, enkor k jne leusse point, il è san doute k jdemeurerès toujours le mêm k jsui mintenan : doù il sembl k lon puisse konclur k'èl dépend de kelk chose ki difèr de mon esprit. é jkonçoi facileman ke, 6 kelk korps existe, aukel mon esprit soit konjoint é uni de tèl sorte, k'il se puisse apliké à le konsidéré kan il lui plaît, il se peut fèr k par se moyen il imagine lé chose korporèls : en sorte k 7 façon de pensé difèr seuleman de la pur intèlxion, en se k lesprit en konssevan se tourne en kelk façon vers soi-mêm é konsidèr kelk'une de idée k'il a en soi ; mès en imaginan il se tourne vers le korps, é y konsidèr kelk chose de konform à lidée k'il a formée de soi-mêm ou k'il a reçue par lé sens. jkonçois, dis-je, èséman k l 'imagination se peut fèr de 7 sorte, sil è vrè k'il y è de korps ; é parce k jne pui renkontré aukune otr voie pr expliké koman èl se fèt, jkonjectur de là probableman k'il y en a : mès se nè k probablement, é koik j'examine soigneuseman tte choses, jne trouve pas néanmoins k de 7 idée distincte de la natur korporèl, k g en mon imagination, le puisse tiré aukun arguman ki konclue avec nécessité lexistensse de kelk korps. xD
 
Or g akoutumé dimaginé bcp dotr choses, outr 7 natur korporèl ki è lobjet de la géométrie, à savoir lé kouleurs, lé sons, lé saveurs, la douleur, é otr chose semblables, koik moins distinctement. é dotan k j'aperçoi bcp mieu se choses-là par lé sens, par lentremise deskels, é de la mémoire, èls semblan êtr parvenue jusk'à mon imagination, jcroi ke, pr lé examiné + komodément, il è à propos k j'examine en mêm tan se k c k sentir, é k jvoie 6 de idée k jreçoi en mon esprit par 7 façon de penser, k j'apèl sentir, jpui tiré kelk preuve certine de lexistensse de chose korporèls. ^^
 
Et premièreman jrapèlrè dan ma mémoir kèls son lé chose k g ci-devan tenue pr vrèes, kom lé ayan reçue par lé sens, é sur kels fondements ma créansse étè apuyée. é après, j'examinerè lé rèsons ki m'on obligé depui à lé révoké en doute. é enfin jkonsidérerè se k j'en doi mintenan croire. xD
 
Premièreman donc g senti k j'avès une tête, de mins, de pieds, é tou lé otr membr don è konposé se korps k jkonsidérès kom une partie de moi-même, ou peut-êtr aussi kom le tt. De + g senti k se korps étè placé entr bcp dotres, deskels il étè kapabl de recevoir diverse komodités é inkomodités, é jremarkès se komodités par un certin sentiman de plèsir ou de volupté, é se inkomodités par un sentiman de douleur. é outr se plèsir é 7 douleur, jressentès aussi en moi la fin, la soif, é dotr semblabl apétits, kom aussi de certine inclinations korporèls vers la joie, la tristesse, la kolère, é otr semblabl passions. é o dehors, outr lextension, lé figures, lé mouvements de korps, jremarkès en eu de la dureté, de la chaleur, é tte lé otr kalités ki tonban sou latouchement. De + j'y remarkès de la lumière, de kouleurs, de odeurs, de saveurs é de sons, don la variété m donè moyen de distingué le ciel, la terre, la mer, é généraleman tou lé otr korps lé uns davec lé otres. é certes, konsidéran lé idée de tte se kalités ki se présentè1 à ma pensée, é leskèls seul jsentès propreman é imédiatement, se n'étè pas san rèson k jcroyès sentir de chose entièreman diférente de ma pensée, à savoir de korps doù procédè1 se idées. kar j'expérimentès k'èls se présentè1 à èl, san k mon konsenteman y fût rekis, en sorte k jne pouvès sentir aukun objet, kelk volonté k j'en eusse, sil ne se trouvè présan à lorgane d1 de me sens ; é il n'étè nulleman en mon pouvoir de ne le pas sentir, lorsk'il sy trouvè présent. é parce k lé idée k jrecevès par lé sens étè1 bcp + vives, + expresses, é mêm à leur façon + distinctes, k'aukune de cèls k jpouvès feindr de moi-mêm en méditant, ou bi1 k jtrouvès imprimée en ma mémoire, il semblè k'èls ne pouvè1 procédé de mon esprit ; de façon k'il étè nécessèr k'èls fussan kausée en moi par kelke otr choses. Deskèls chose n'ayan aukune konèssansse, sinon cèl k m donè1 se même idées, il ne m pouvè venir otr chose en lesprit, sinon k se choses-là étè1 semblabl o idée k'èls kausèent. é parce k jm ressouvenès aussi k jm'étès plutôt servi de sens k de la rèson, é k jrekonèssès k lé idée k jformès de moi-mêm n'étè1 pas 6 expresses, k cèls k jrecevès par lé sens, é mêm k'èls étè1 le + souvan konposée de partie de cèls-ci, jm persuadès èséman k jn'avès aukune idée dan mon esprit, ki n'eût passé auparavan par me sens. se n'étè pas aussi san kelk rèson k jcroyès k se korps (lekel par un certin droit partikulié j'apelès mien) m'apartenè + propreman é + étroiteman k pas un otre. kar en �fet jn'en pouvès jamès êtr séparé kom de otr korps ; jressentès en lui é pr lui tou me apéti é tte me afexions ; é enfin j'étès touché de sentiments de plèsir é de douleur en sé parties, é non pas en cèls de otr korps ki en son séparés. Mès kan j'examinès pourkoi de se jne sès kel sentiman de douleur suit la tristèce en lesprit, é du sentiman de plèsir naît la joie, ou bi1 pourkoi 7 jne sès kèl émotion de lestomac, k j'apèl fin, ns fè avoir envie de manjr, é la sécherèce du gosié ns fè avoir envie de boire, é insi du reste, jn'en pouvès rendr aukune rèson, sinon k la natur m lenseignè de la sorte ; kar il n'y a certe aukune afinité ni aukun rapor (au moins k jpuisse konprendre) entr 7 émotion de lestomac é le désir de manjr, non + k'entr le sentiman de la chose ki kause de la douleur, é la pensée de tristèce k fè naîtr se sentiment. é en mêm façon il m semblè k j'avès apri de la natur tte lé otr chose k jjujès touchan lé objè de me sens ; parce k jremarkès k lé jujments k j'avès koutum de fèr de se objets, se formè1 en moi avan k j'eusse le loisir de pesé é konsidéré aukune rèsons ki m pussan obligé à lé fère. ^^
 
Mès par après +ieurs expériensse on peu à peu ruiné tte la créansse k j'avès ajoutée o sens. kar g observé +ieurs foi k de tours, ki de loin m'avè1 semblé rondes, m parèssè1 de près êtr karrées, é k de kolosses, élevés sur lé + hots somè de se tours, m parèssè1 de petite statue à lé regardé den bas ; é insi, dan une infinité dotr renkontres, g trouvé de lerreur dan lé jujments fondés sur lé sens extérieurs. é non pas seuleman sur lé sens extérieurs, mès mêm sur lé intérieurs : kar y a-t-il chose + intim ou + intérieur k la douleur ? é cependan g otrefoi apri de kelke persone ki avè1 lé bras é lé jambe koupés, k'il leur semblè enkor kelkefoi sentir de la douleur dan la partie ki leur avè été koupée ; se ki m donè sujet de penser, k jne pouvès aussi êtr assuré davoir mal à kelk'un de me membres, koik jsentisse en lui de la douleur. é à se rèsons de douté j'en è enkor ajouté depui peu 2 otr for générales. La premièr è k jn'è jamès ri1 cru sentir étan éveillé, k jne puisse aussi kelkefoi croir sentir kan jdors ; é kom jne croi pas k lé chose k'il m sembl k jsens en dormant, procèdan de kelke objè hors de moi, jne voyès pas pourkoi jdevès plutôt avoir 7 créansse touchan cèls k'il m sembl k jsens étan éveillé. é la sekonde, ke, ne konèssan pas enkore, ou plutôt feignan de ne pas konaîtr loteur de mon être, jne voyès ri1 ki pût empêché k jn'eusse été fè tel par la nature, k jm tronpasse mêm dan lé chose ki m parèssè1 lé + véritables. é pr lé rèsons ki m'avè1 ci-devan persuadé la vérité de chose sensibles, jn'avès pas bcp de peine à y répondre. kar la natur semblan m porté à bcp de chose don la rèson m détournèt, jne croyès pas m devoir konfié bcp o enseignements de 7 nature. é koik lé idée k jreçoi par lé sens ne dépendan pas de ma volonté, jne pensès pas k lon dût pr sa konclur k'èls procédè1 de chose diférente de moi, puisk peut- êtr il se peut renkontré en moi kelk fakulté (bi1 k'èl m'è été juske ici inkonue), ki en soit la kause, é ki lé produise. lool
 
Mès mintenan k jkomensse à m mieu konaîtr moi-mêm é a dékouvrir + clèreman loteur de mon origine, jne pense pas à la vérité k jdoive témérèreman admètr tte lé chose k lé sens semblan ns enseigner, mès jne pense pas aussi k jlé doive tte généraleman révoké en doute. xD
 
Et premièrement, parce k jsès k tte lé chose k jkonçoi clèreman é distinctement, peuvan êtr produite par Dieu tèls k jlé konçois, il sufit k jpuisse konssevoir clèreman é distincteman une chose san une otre, pr êtr certin k lune è distincte ou diférente de lotre, parce k'èls peuvan êtr posée séparément, o moins par la tte-puissansse de Dieu ; é il n'importe pas par kèl puissansse 7 séparation se fasse, pr m'obligé a lé jugé diférentes. é partan ? de sa mêm k jkonès avec certitude k j'existe, é k cependan jne remark point k'il apartiene nécessèreman aukune otr chose à ma natur ou à mon essensse, sinon k jsui une chose ki pense, jkonclu for bi1 k mon essensse konsiste en sa seul, k jsui une chose ki pense, ou une substansse don tte lessensse ou la natur nè k de penser. é koik peut-êtr (ou plutôt certinement, kom jle dirè tantôt) j un korps aukel jsui très étroiteman konjoint ; néanmoins, parce k d1 côté g une clèr é distincte idée de moi- même, en tan k jsui seuleman une chose ki pense é non étendue, é k d1 otr g une idée distincte du korps, en tan k'il è seuleman une chose étendue é ki ne pense point, il è certin k se moi, c-à-dir mon âme, par lakèl jsui se k jsuis, è entièreman é véritableman distincte de mon korps, é k'èl peut êtr ou existé san lui.
 
Davantaj, jtrouve en moi de fakultés de pensé tte partikulières, é distincte de moi, à savoir lé fakultés dimaginé é de sentir, san leskèls jpui bi1 m konssevoir clèreman é distincteman tt entier, mès non pas èls san moi, c-à-dir san une substansse intellijnte à ki èls soi1 atachées. kar dan la notion k ns avons de se fakultés, ou (pour m servir de terme de lÉkole) dan leur konssept formel, èls enferman kelk sorte dintèlxion : doù jkonçoi k'èls son distincte de moi, kom lé figures, lé mouvements, é lé otr mode ou akidents de korps, le son de korps même ki lé soutienent. jrekonès aussi en moi kelke otr fakultés kom cèls de changé de lieu, de se mètr en +ieurs postures, é otr semblables, ki ne peuvan êtr konçues, non + k lé précédentes, san kelk substansse à ki èls soi1 atachées, ni par konsékan existé san èls ; mès il è très évidan k se fakultés sil è vrè k'èls existent, doivan êtr atachée à kelk substansse korporèl ou étendue, é non pas à une substansse intellijnte, puiske, dan leur konssept clèr é distinct, il y a bi1 kelk sorte dextension ki se trouve kontenue, mès point du tt dintellijnsse. De +, il se renkontr en moi une certine fakulté passive de sentir, c-à-dir de recevoir é de konaîtr lé idée de chose sensibl ; mès èl m serè inutile, é jne m'en pourrès aukuneman servir, sil n'y avè en moi, ou en otrui, une otr fakulté active, kapabl de formé é produir se idées. Or 7 fakulté active ne peut êtr en moi en tan k jne sui k'une chose ki pense, vu k'èl ne présupose point ma pensée, é aussi k se idées- là m son souvan représentée san k j'y kontribue en aukune sorte, é mêm souvan kontr mon gré ; il fot donc nécessèreman k'èl soit en kelk substansse diférente de moi, dan lakèl tte la réalité, ki è objectiveman dan lé idée ki en son produites, soit kontenue formèlman ou émineman (kom jlè remarké ci-devant). é 7 substansse è ou un korps, c-à-dir une natur korporèl, dan lakèl è kontenu formèlman é en �fet tt se ki è objectiveman é par représentation dan lé idée ; ou bi1 c Dieu même, ou kelk otr créatur + nobl k le korps, dan lakèl sa mêm è kontenu éminement. Or, Dieu n'étan point tronpeur, il è très manifeste k'il ne m'envoie point se idée imédiateman par lui-même, ni aussi par lentremise de kelk créature, dan lakèl leur réalité ne soit pas kontenue formèlment, mès seuleman éminement. kar ne m'ayan doné aukune fakulté pr konaîtr k sa soit, mès o kontrèr une très grande inclination à croir k'èls m son envoyée ou k'èls partan de chose korporèls, jne voi pas koman on pourrè lexkusé de tronperie, 6 en �fet se idée partè1 ou étè1 produite par dotr kause k par de chose korporèls. é partan il fot konfessé k'il y a de chose korporèls ki existent. ttefoi èls ne son peut-êtr pas entièreman tèls k ns lé apercevons par lé sens, kar 7 perception de sens è for obskur é konfuse en +ieurs chose ; mès o moins fot-il avoué k tte lé chose k j'y konçoi clèreman é distinctement, c-à-dir tte lé choses, généraleman parlant, ki son konprise dan lobjet de la géométrie spékulative, sy retrouvan véritablement. mdrrr
 
Mès pr se ki è de otr choses, leskèls ou son seuleman partikulières, par exemple, k le soleil soit de tèl grandeur é de tèl figure, etc., ou bi1 son konçue moins clèreman é moins distinctement, kom la lumière, le son, la douleur, é otr semblables, il è certin k'enkor k'èls soi1 for douteuse é inssertines, ttefoi de sa seul k Dieu nè point tronpeur, é k par konsékan il n'a point permi k'il pût y avoir aukune fausseté dan me opinions, k'il ne m'è aussi doné kelk fakulté kapabl de la korrijr, jcroi pouvoir konclur assuréman k g en moi lé moyens de lé konaîtr avec certitude. é premièreman il n'y a point de doute k tt se k la natur m'enseigne konti1 kelk vérité. kar par la nature, konsidérée en général, jn'entan mintenan otr chose k Dieu même, ou bi1 lordr é la disposission k Dieu a établie dan lé chose créées. é par ma natur en partikulier, jn'entan otr chose k la konplexion ou lassemblaj de tte lé chose k Dieu m'a donées. ptdr
 
Or il n'y a ri1 k 7 natur m'enseigne + expressément, ni + sensiblement, sinon k g un korps ki è mal disposé kan jsens de la douleur, ki a besoin de mangé ou de boire, kan g lé sentiments de la fin ou de la soif, etc. é partan jne doi aukuneman douté k'il n'y è en sa kelk vérité. mdrr
 
La natur m'enseigne aussi par se sentiments de douleur, de fin, de soif, etc., k jne sui pas seuleman logé dan mon korps, insi k'un pilote en son navire, mès, outr sa, k jlui sui konjoint très étroiteman é tèlman konfondu é mêlé, k jkonpose kom un seul tt avec lui. kar, 6 sa n'étè lorsk mon korps è blessé, jne sentirès pas pr sa de la douleur, moi ki ne sui k'une chose ki pense, mès j'apercevrès 7 blessur par le seul entendement, kom un pilote aperçoit par la vue 6 kelk chose se ronpt dan son vèsso ; é lorsk mon korps a besoin de boir ou de manjr, jkonaîtrès simpleman sa même, san en êtr averti par de sentiments konfu de fin é de soif. kar en �fet tou se sentiments de fin, de soif, de douleur, etc., ne son otr chose k de certine façons konfuse de penser, ki provienan é dépendan de lunion é kom du mélanj de lesprit avec le korps. lool
 
Outr sa, la natur m'enseigne k +ieurs otr korps existan otour du mien, entr leskels jdoi poursuivr lé uns é fuir lé otres. é certes, de se k jsens diférente sorte de kouleurs, dodeurs, de saveurs, de sons, de chaleur, de dureté, etc., jkonclu for bi1 k'il y a dan lé korps, doù procèdan tte se diverse perceptions de sens, kelke variétés ki leur répondent, koik peut-êtr se variétés ne leur soi1 point en �fet semblables. é aussi, de se k'entr se diverse perceptions de sens, lé une m son agréables, é lé otr désagréables, jpui tiré une konsékensse tt à fè certine, k mon korps (ou plutôt moi-mêm tt entier, en tan k jsui konposé du korps é de lâme) peut recevoir diverse komodités ou inkomodités de otr korps ki lenvironent.
 
Mès il y a +ieurs otr chose k'il sembl k la natur m'è enseignées, leskèls ttefoi jn'è pas véritableman reçue dèl, mès ki se son introduite en mon esprit par une certine koutum k g de jugé inkonsidéréman de chose ; é insi il peut èséman arrivé k'èls kontienan kelk fausseté. kome, par exemple, lopinion k g k tt espace dan lekel il n'y a ri1 ki meuve, é fasse impression sur me sens, soit vide ; k dan un korps ki è chaud, il y è kelk chose de semblabl à lidée de la chaleur ki è en moi ; k dan un korps blanc ou noir, il y è la mêm blancheur ou noirceur k jsens ; k dan un korps amé ou doux, il y è le mêm goût ou la mêm saveur, é insi de otr ; k lé astres, lé tours é tou lé otr korps éloignés soi1 de la mêm figur é grandeur k'ils parèssan de loin à nos yeux, etc. Mès afin k'il n'y è ri1 en ceci k jne konçoive distinctement, jdoi préciséman définir se k j'entan propreman lorsk jdi k la natur m'enseigne kelk chose. kar jpran ici la natur en une signifikation + resserrée, k lorsk jlapèl un assemblaj ou une konplexion de tte lé chose k Dieu m'a donée ; vu k 7 assemblaj ou konplexion konprend bcp de chose ki n'apartienan k'à lesprit seul, deskèls jn'entan point ici parler, en parlan de la natur : kome, par exemple, la notion k g de 7 vérité, k se ki a une foi été fè ne peut + n'avoir point été fèt, é une infinité dotr semblables, k jkonès par la lumièr naturèl, san lède du korps, é k'il en konprend aussi +ieurs otr ki n'apartienan k'au korps seul, é ne son point ici non + kontenue sou le nom de natur : kom la kalité k'il a dêtr pesant, é +ieurs otr semblables, deskèls jne parle pas aussi, mès seuleman de chose k Dieu m'a donées, kom étan konposé de lesprit é du korps. Or 7 natur m'aprend bi1 à fuir lé chose ki kausan en moi le sentiman de la douleur, é à m porté vers cèls ki m komunikan kelk sentiman de plèsir ; mès jne voi point k'outr sa èl m'aprene k de se diverse perceptions de sens ns devions Jamès ri1 konclur touchan lé chose ki son hors de ns, san k lesprit lé è soigneuseman é mûreman examinées. kar c, se m semble, à lesprit seul, é non point o konposé de lesprit é du korps, k'il aparti1 de konaîtr la vérité de se choses- là. insi, koik'une étoil ne fasse pas + dimpression en mon œil k le feu d1 petit flambo, il n'y a ttefoi en moi aukune fakulté réèl ou naturèl, ki m porte à croir k'èl nè pas + grande k se feu, mès jlè jugé insi dès me premièr anée san aukun rèsonabl fondement. é koik'en aprochan du feu jsente de la chaleur, é mêm k m'en aprochan un peu tro près jressente de la douleur, il n'y a ttefoi aukune rèson ki m puisse persuadé k'il y a dan le feu kelk chose de semblabl à 7 chaleur, non + k'à 7 douleur ; mès seuleman g rèson de croir k'il y a kelk chose en lui, kèl k'èl puisse être, ki excite en moi se sentiments de chaleur ou de douleur. De mêm aussi, koik'il y è de espace dan leskels jne trouve ri1 ki excite é meuve me sens, jne doi pas konclur pr sa k se espace ne kontienan en eu aukun korps ; mès jvoi ke, tan en ceci k'en +ieurs otr chose semblables, g akoutumé de pervertir é konfondr lordr de la nature, parce k se sentiments ou perceptions de sens n'ayan été mise en moi k pr signifié à mon esprit kèls chose son konvenabl ou nuisibl o konposé don il è partie, é juske-là étan assé clèr é assé distinctes, jm'en sers néanmoins kom 6 èls étè1 de règle très certines, par leskèls jpusse konaîtr imédiateman lessensse é la natur de korps ki son hors de moi, de lakèl ttefoi èls ne m peuvan ri1 enseigné k de for obskur é konfus. ^^
 
Mès g déjà ci-devan assé examiné koment, nonobstan la souverine bonté de Dieu, il arrive k'il y è de la fausseté dan lé jujments k jfès en 7 sorte. Il se présente seuleman enkor ici une difikulté touchan lé chose k la natur m'enseigne devoir êtr suivie ou évitées, é aussi touchan lé sentiments intérieurs k'èl a mi en moi ; kar il m sembl y avoir kelkefoi remarké de lerreur, é insi k jsui directeman tronpé par ma nature. kome, par exemple, le goût agréabl de kelk viande, en lakèl on aura mêlé du poizon, peut m'invité à prendr se poizon, é insi m tronper. Il è vrè ttefoi k'en ceci la natur peut êtr exkusée, kar èl m porte seuleman à désiré la viande dan lakèl jrenkontr une saveur agréable, é non point à désiré le poizon, lekel lui è inkonu ; de façon k jne pui konclur de ceci otr chose, sinon k ma natur ne konaît pas entièreman é universèlman tte chose : de koi certe il n'y a pas lieu de sétoner, puisk lome, étan d1 natur finie, ne peut aussi avoir k'une konèssansse d1 perfexion limitée. LOOOL
 
Mès ns ns tronpons aussi assé souvent, mêm dan lé chose auxkèls ns some directeman portés par la nature, kom il arrive o malades, lorsk'ils désiran de boir ou de mangé de chose ki leur peuvan nuire. On dira peut-êtr ici k se ki è kause k'ils se tronpent, è k leur natur è korronpue ; mès sa n'ôte pas la difikulté, parce k'un hom malade nè pas moins véritableman la créatur de Dieu, k'un hom ki è en pleine santé ; é partan il répugne otan à la bonté de Dieu, k'il è une natur tronpeuse é fotive, k lotre. é kom une horloj, konposée de roue é de kontrepoids, n'observe pas moins exacteman tte lé loi de la nature, lorsk'èl è mal fète, é k'èl ne montr pas bi1 lé heures, k lorsk'èl satisfè entièreman o désir de louvrié ; de mêm aussi, 6 jkonsidèr le korps de lom kom étan une machine tèlman bâtie é konposée dos, de nerfs, de muscles, de veines, de sang é de po, k'enkor bi1 k'il n'y eût en lui aukun esprit, il ne lèsserè pas de se mouvoir en tte lé même façons k'il fè à présent, lorsk'il ne se meut point par la direxion de sa volonté, ni par konsékan par lède de lesprit, mès seuleman par la disposission de sé organes, jrekonès facileman k'il serè aussi naturel à se korps, étant, par exemple, hydropike, de soufrir la sécherèce du gosier, ki a koutum de signifié à lesprit le sentiman de la soif, é dêtr disposé par 7 sécherèce à mouvoir sé nerfs é sé otr parties, en la façon ki è rekise pr boire, é insi daugmenté son mal é se nuir à soi-même, k'il lui è naturel, lorsk'il n'a aukune indisposission, dêtr porté à boir pr son utilité par une semblabl sécherèce du gosier. é koike, regardan à lusaj aukel lorloj a été destinée par son ouvrier, jpuisse dir k'èl se détourne de sa nature, lorsk'èl ne mark pas bi1 lé heur ; é k'en mêm façon, konsidéran la machine du korps humin kom ayan été formée de Dieu pr avoir en soi tou lé mouvements ki on koutum dy être, j sujet de pensé k'èl ne suit pas lordr de sa nature, kan son gosié è sec, é k le boir nuit à sa konservation ; jrekonès ttefoi k 7 dernièr façon dexpliké la natur è bcp diférente de lotre. kar cèl-ci nè otr chose k'une simple dénomination, lakèl dépend entièreman de ma pensée, ki konpar un hom malade é une horloj mal fète, avec lidée k g d1 hom sin é d1 horloj bi1 fète, é lakèl ne signifie ri1 ki se retrouve en la chose don èl se dit ; o lieu ke, par lotr façon dexpliké la nature, j'entan kelk chose ki se renkontr véritableman dan lé choses, é partan ki nè point san kelk vérité. LOOOOL
 
Mès certes, koike, o regar du korps hydropike, se ne soit k'une dénomination extérieure, lorsk'on dit k sa natur è korronpue, en se ke, san avoir besoin de boire, il ne lèsse pas davoir le gosié sec é aride ; ttefois, o regar de tt le konposé, c-à-dir de lesprit ou de lâm unie à se korps, se nè pas une pur dénomination, mès bi1 une véritabl erreur de nature, en se k'il a soif, lorsk'il lui è très nuisibl de boir ; é partant, il reste enkor à examiné koman la bonté de Dieu n'empêche pas k la natur de lome, prise de 7 sorte, soit fotive é tronpeuse. mdrrr
 
Pour komencé donc 7 examen, jremark ici, premièrement, k'il y a une grande diférensse entr lesprit é le korps, en se k le korps, de sa nature, è toujours divisible, é k lesprit è entièreman indivisible. kar en �fet, lorsk jkonsidèr mon esprit, c-à-dir moi-mêm en tan k jsui seuleman une chose ki pense, jn'y pui distingué aukune parties, mès jm konçoi kom une chose seul é entière. é koik tt lesprit sembl êtr uni à tt le korps, ttefoi un pied, ou un bras, ou kelk otr partie étan séparée de mon korps, il è certin k pr sa il n'y aura ri1 de retranché de mon esprit. é lé fakultés de vouloir, de sentir, de konssevoir, etc., ne peuvan pas propreman êtr dite sé partie : kar le mêm esprit semploie tt entié à vouloir, é aussi tt entié à sentir, à konssevoir, etc. Mès c tt le kontrèr dan lé chose korporèls ou étendue : kar il n'y en a pas une k jne mète èséman en pièce par ma pensée, k mon esprit ne divise for facileman en +ieurs partie é par konsékan k jne konèsse êtr divisible. se ki sufirè pr m'enseigné k lesprit ou lâm de lom è entièreman diférente du korps, 6 jne lavès déjà dèlleurs assé apris. mdrrr
 
Je remark aussi k lesprit ne reçoit pas imédiateman limpression de tte lé partie du korps, mès seuleman du cervo, ou peut-êtr mêm d1 de sé + petite parties, à savoir de cèl où sexerce 7 fakulté k'ils apellan le sens komun, lakèl, tte lé foi k'èl è disposée de mêm façon, fè sentir la mêm chose à lesprit, koik cependan lé otr partie du korps pui san êtr diverseman disposée , kom le témoignan une infinité dexpériensses, leskèls il nè pas ici besoin de raporter. LOL
 
Je remarke, outr sa, k la natur du korps è tèl, k'aukune de sé partie ne peut êtr mue par une otr partie un peu éloignée, k'èl ne le puisse êtr aussi de la mêm sorte par chakune de partie ki son entr 2, koik 7 partie + éloignée n'agisse point. kome, par exemple, dan la korde ABCD ki è tte tendue, 6 lon vi1 à tiré é remué la dernièr partie D, la premièr A ne sera pas remuée d1 otr façon, k'on la pourrè aussi fèr mouvoir, 6 on tirè une de partie moyenes, B ou C, é k la dernièr D demeurât cependan imobile. é en mêm façon, kan jressens de la douleur o pied, la fysik m'aprend k se sentiman se komunik par le moyen de nerfs dispersés dan le pied, ki se trouvan étendu kom de korde depui là jusk'au cervo, lorsk'ils son tirés dan le pied, tiran aussi en mêm tan lendroit du cervo doù ils vienan é aukel ils aboutissent, é y excitan un certin mouvement, k la natur a institué pr fèr sentir de la douleur à lesprit, kom 6 7 douleur étè dan le pied. Mès parce k se nerfs doivan passé par la jambe, par la kuisse, par lé reins, par le dos é par le kol, pr sétendr depui le pied jusk'au cervo, il peut arrivé k'enkor bi1 k leurs extrémités ki son dan le pied ne soi1 point remuées, mès seuleman kelkes- une de leurs partie ki passan par lé reins ou par le kol, sa néanmoins excite lé même mouvements dan le cervo, ki pourrè1 y êtr excités par une blessur reçue dan le pied, en suite de koi il sera nécessèr k lesprit ressente dan le pied la mêm douleur k sil y avè reçu une blessure. é il fot jugé le semblabl de tte lé otr perceptions de nos sens.
 
Enfin jremark ke, puisk de tou lé mouvements ki se fon dan la partie du cervo don lesprit reçoit imédiateman limpression, chakun ne kause k'un certin sentiment, on ne peut ri1 en sa souhèté ni imaginé de mieux, sinon k se mouveman fasse ressentir à lesprit, entr tou lé sentiments k'il è kapabl de kauser, celui ki è le + propr é le + ordinèreman util à la konservation du korps humin, lorsk'il è en pleine santé. Or lexpériensse ns fè konaître, k tou lé sentiments k la natur ns a donés son tels k jvi1 de dir ; é partant, il ne se trouve ri1 en eux, ki ne fasse paraîtr la puissansse é la bonté de Dieu ki lé a produits. insi, par exemple, lorsk lé nerfs ki son dan le pied son remués fortement, é + k'à lordinère, leur mouvement, passan par la moèl de lépine du dos jusk'au cervo, fè une impression à lesprit ki lui fè sentir kelk chose, à savoir de la douleur, kom étan dan te pied par lakèl lesprit è averti é excité à fèr son possibl pr en chassé la kause, kom très danjreuse é nuisibl o pied. Il è vrè k Dieu pouvè établir la natur de lom de tèl sorte, k se mêm mouveman dan le cervo fît sentir tte otr chose à lesprit : par exemple, k'il se fît sentir soi-même, ou en tan k'il è dan le cervo, ou en tan k'il è dan le pied, ou bi1 en tan k'il è en kelk otr endroit entr le pied é le cervo, ou enfin kelk otr chose tèl k'èl peut êtr ; mès ri1 de tt sa n'eût 6 bi1 kontribué à la konservation du korps, k se k'il lui fè sentir. De même, lorsk ns avons besoin de boire, il naît de là une certine sécherèce dan le gosier, ki remue sé nerfs, é par leur moyen lé partie intérieur du cervo ; é se mouveman fè ressentir à lesprit le sentiman de la soif, parce k'en 7 okazion- là il n'y a ri1 ki ns soit + util k de savoir k ns avons besoin de boire, pr la konservation de notr santé -- é insi de otres. ptdr
 
doù il è entièreman manifeste ke, nonobstan la souverine bonté de Dieu, la natur de lome, en tan k'il è konposé de lesprit é du korps, ne peut k'èl ne soit kelkefoi fotive é tronpeuse. kar sil y a kelk kause ki excite, non dan le pied, mès en kelk'une de partie du nerf ki è tendu depui le pied jusk'au cervo, ou mêm dan le cervo, le mêm mouveman ki se fè ordinèreman kan le pied è mal disposé, on sentira de la douleur kom 6 èl étè dan le pied, é le sens sera naturèlman tronpé ; parce k'un mêm mouveman dan le cervo ne pouvan kausé en lesprit k'un mêm sentiment, é se sentiman étan bcp + souvan excité par une kause ki blèce le pied, k par une otr ki soit èlleurs, il è bi1 + rèsonabl k'il porte à lesprit la douleur du pied k cèl daukune otr partie. é koik la sécherèce du gosié ne viene pas toujours, kom à lordinère, de se k le boir è nécessèr pr la santé du korps, mès kelkefoi d1 kause tte kontrère, kom expérimentan lé hydropikes, ttefoi il è bcp mieu k'èl tronpe en se renkontre-là, k si, o kontrère, èl tronpè toujours lorsk le korps è bi1 disposé ; é insi de otres. xD
 
Et certe 7 konsidération m ser bcp, non seuleman pr rekonaîtr tte lé erreurs auxkèls ma natur è sujète, mès aussi pr lé éviter, ou pr lé korrigé + facileman : kar sachan k tou me sens m signifi1 + ordinèreman le vrè k le faux, touchan lé chose ki regardan lé komodités ou inkomodités du korps, é pouvan presk toujours m servir de +ieurs dentr eu pr examiné une mêm chose, é outr sa, pouvan usé de ma mémoir pr lié é joindr lé konèssansse présente o passées, é de mon entendeman ki a déjà dékouver tte lé kause de me erreurs, jne doi + crindr désormès k'il se renkontr de la fausseté dan lé chose ki m son le + ordinèreman représentée par me sens. é jdoi rejeté tou lé doute de se jours passés, kom hyperbolike é ridikules, partikulièreman 7 inssertitude 6 général touchan le someil, k jne pouvès distingué de la veiye : kar à présan j'y renkontr une très notabl diférensse, en se k notr mémoir ne peut jamès lié é joindr nos sonj lé uns o otr é avec tte la suite de notr vie, insi k'èl a de koutum de joindr lé chose ki ns arrivan étan éveillés. Et, en �fet, 6 kelk'un, lorsk jveiye, m'aparèssè tt soudin é disparèssè de même, kom fon lé imaj k jvoi en dormant, en sorte k jne pusse remarké ni doù il viendrèt, ni où il irèt, se ne serè pas san rèson k jlestimerès un spectr ou un fantôm formé dan mon cervo, é semblabl à ceu ki sy forman kan jdors, plutôt k'un vrè home. Mès lorsk j'aperçoi de chose don jkonès distincteman é le lieu doù èls vienent, é celui où èls sont, é le tan aukel èls m'aparèssan é ke, san aukune interruption, jpui lié le sentiman k j'en è, avec la suite du reste de ma vie, jsui entièreman assuré k jlé aperçoi en veillant, é non point dan le someil. é jne doi en aukune façon douté de la vérité de se choses- là, 6 après avoir apelé tou me sens, ma mémoir é mon entendeman pr lé examiner, il ne m'est ri1 raporté par aukun deux, ki è de la répugnansse avec se ki m'est raporté par lé otres. kar de se k Dieu nè point tronpeur, il suit nécessèreman k jne sui point en sa tronpé. Mès parce k la nécessité de afèr ns oblij souvan à ns déterminer, avan k ns ayons eu le loisir de lé examiné 6 soigneusement, il fot avoué k la vie de lom è sujète à fèllir for souvan dan lé chose partikulières, é enfin il fot rekonaîtr linfirmité é la fèblèce de notr nature.

hormis quelques fautes d'ortho ca se tiens

Oui, ça demande une lecture différente, beaucoup plus soutenue et linéaire, car on ne photographie plus les mots / expressions.

a+

mdr ta tro réson et a ba lé prof    

Descartes est mort une deuxième fois
 
sinon c'est bien sympa tout ca mais à quand l'inverse, le traducteur kikoolol -> français  ?

lol g tou kompri xpdr

 
Avec un texte traduit mécaniquement comme celui ci, ça devrait être largement possible.  
 
a+

http://www.traducteur-sms.com/

 
bof bof
 
 
mais on dérape, vite un TALC  

TALC : la sonde Mars Odyssey a été lancée en 2001, d'où son nom.
 
   C'est tout ce que j'ai.

Le mythe s'effondre.

 
Bah pourquoi ?
 
a+

TALC : le premier satellite français s'appelait Asterix

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

 
L'homme aux posts qui valaient 1 million de dollars a posté un TALC pourrite

Pas con comme principe

 
Ca m'apprendra à vouloir faire plaisir.
 
 
Bon, je vais essayer de me refaire   .  
 
TALC : la poudre est une invention chinoise.
 
 
 

TALC : les caractères mobiles métalliques pour l'imprimerie sont apparue bien avant Gutenberg en Chine (sont fort ces chinois   )

Y en a un qui me revient...

TALC: Artemia salina (ou nauplii), une espèce de crevette qui s'est fait connaître sous nos latitudes par le biais de Pif Gadget (qui offrait un sachet d'oeuf à faire éclore chez soi), a une propriété encore mal comprise aujourd'hui. En effet, la plupart des composés chimique qui affectent ou détruisent les cellules cancéreuses ont un effet particulièrement mortel sur ces crevettes. Un moyen efficace de découvrir et de tester des anticancéreux est donc d'utiliser le brine shrimp lethality test (brine shrimp = Artemia salina), qui va mesurer la mortalité des crevettes exposées à différents produits, et ainsi permettre d'identifier des anticancéreux potentiels.

Tout ceci me rappelle un episode de South Park assez fameux  

 
Lequel ?

Appelées Pifises, ou poudre de vie à l'époque...
 
http://193.251.82.94/pif-collectio [...] get_4.html

Les cyclops aussi sont sympa dans le genre  

 
dans le genre cadeau dégueulasse qui devait ravir les mômes et horrifier les parents ca devait être pas mal  

 
6x07 Simpson already did it  

vous saviez que le sexe féminin était le sexe par défaut? (T SVT)

 
Ils en ont même ressortis y'a qq années    
C'était trop mignon ! Ca fait des petites larves qui nagent, au bout de qq jours. (Puis après tout ce petit monde meurt...)  

Je m'étais également posé la question mais trop honte de l'avouer Alors j'ai testé :  
l'original
le kikoololé
 
Edith : pas vue la nouvelle page, tant pis

oh putain

TALC : entre l'original et le kikoololé on a ici en math une illustration de la relation Identité et de l'ensemble vide

c tré for

 
TALC à verifier : j'ai ouïe dire que les spermatozoïdes "frais" donnaient plus facilement des filles que des garçons, c'est a dire que les spermatozoides subissent des modifications en "vieilissants" dans les testicules, qui masculiniesrait en quelque sorte le sperme
la corrélation avec ceci, c'est que ceux qui ont finalement beaucoup de rapport sexuels, ou a défaut pratique bcp la masturbation, (regeneration plus importantes du stock de spermatozoides jeunes) donneront plus facilement naissance a des filles que des garçons.
 
j'ai 2 filles
 
vous en concluerez ce que vous voulez, je m'en branle

 
C'est bien ce que l'on pensait

 
 
c'est bien pour ça que je l'ai écrit