Reprise du message précédent :
Je pense plutôt qu’il cherchait une accroche mobilisatrice.

 
Si les faits sont exacts, et à la place de ton pote je me retournerai contre le conducteur bien sûr mais également contre l'hosto, on trouve de plus en plus de boucher dans ce type de service public, et l'hosto pourra verser une belle indemnité en général.

J'avais compris, mais j'ai pas aimé

 
Vu les sommes en jeu, tu veux pas consulter un avocat ou un juriste ?

Ouais mais regarde, juste pour une consultation et eventuellement pour du contentieux, par ex, (je pense que tu fais la différence), mais tu déposes plainte lorsqu'il y a une infraction pénale de suspectée. L'action civile sur la nullité du contrat, c'est devant les juridictions civiles donc une action différente à envisager

Là je me rend compte que je me suis mal exprimé

bien sur que tu peux concilier, si ca t'arrange. Je parlais des dommages et interets éventuels...
 
Preuve qu'il faut consulter

Je sais que c'est pas trop le sujet mais auriez vous un bon petit bouquin (max 200/300 pages), d'intro général à l'économie, avec les principaux penseurs/théories/grands principes, s'attachant aussi bien à la macro et micro économie ?
 
Mercid d'avance

Y'en a un dans la collection "pour les nuls":
http://www.amazon.fr/LEconomie-pou [...] 2754003517
 
Après, j'en avais acheté un qui a pris la poussière chez moi mais qui n'a pas l'air mal, je te donne les infos quand je rentre.

 
on vient de vérifier, elle est bien inscrite au barreau  

Son site va connaître une affluence monumentale, j'étais à une soirée avec pleins d'avocats samedi, ils se sont tous promis de venir voir ce matin et de montrer à leur collègue

Perso, j'aime bien celui-là : http://www.amazon.fr/Déchiffrer-lé [...] 060&sr=1-1

C'est aujourd'hui un classique (16ème édition déjà), ni trop compliqué, ni trop évasif. Tu dois même pouvoir le trouver en édition poche.

Par contre, attention avec les bouquins d'éco, certains sont très marqués politiquement. Ce n'est pas un problème en soi, mais il faut le savoir avant d'entamer la lecture. Une simple recherche Google avec le nom de l'auteur pourra te renseigner. Il ne faut pas se laisser avoir par une vision biaisée ou trop partisane des choses

En gros, il faut savoir trouver le juste milieu en Jacques Marseille et Bernard Marris.  

Bonjour,
Je vous expose mon cas :
J'ai commandé une pompe à chaleur début juillet 2008, payé un acompte et je ne suis toujours pas installé à ce jour, soit 7 mois après la signature de la commande. J'ai déjà eu 3 dates de chantier, toutes repoussées car l'installateur n'arrive pas à obtenir la pompe (le fabriquant n'arrive pas à faire face à la demande). Je finance cette pompe par un prêt pass-travaux qui arrive à échéance dans 1 mois, ce prêt n'est pas renouvelable en 2009 (il à été supprimé). C'est donc ma seule chance de combiner un prêt à taux faible + un crédit d'impôt (car le nouveau prêt à taux zéro n'est pas cumulable avec le crédit d'impôt). J'ai déjà fait des travaux pour tout passer en triphasé (car pompe en triphasé), je paye un abonnement EDF de plus forte capacité pour rien pour l'instant. J'ai eu le PDG au téléphone pour l'insulter copieusement, mais rien n'y fait. Dans 1 mois je n'aurais plus le crédit qui me permettait de financer la pompe, je l'ai expliqué à la société, mais j'ai l'impression qu'ils ne se bougent pas plus que ça. J'ai donc envoyé une lettre recommandée avec AR, expliquant les multiples dates de chantier repoussées, la non livraison du matériel 7 mois après avoir signé la commande, les frais déjà engagé, le chèque d'acompte déjà versé, l'offre de prêt pass-travaux qui arrive à son terme, et donc que j'allais devoir demander le remboursement du chèque d'acompte + des dommages et intérêts. Qu'en pensez-vous ? Quelles sont les démarches à faire ?
 
Merci.

 
Et celui que tu me conseilles est plus a droite ou a gauche ou mieux c'est faire la synthèse?
 
le bouquin d'éco pour les nuls, ouais pourquoi pas, je l'avais feuilleté il avait l'air pas mal, même si je cherchais quelque chose de plus... académique.

 
L'auteur est plutôt à gauche. Il a été rédacteur en chef et participe encore aujourd'hui à Alternatives Economiques.  
 
Mais il a su dans l'ouvrage se départir d'une vision dogmatique des choses. Il pourrait presque faire office de manuel.

 
OK, tu m'as convaincu, je vais donc commander celui-ci
 
(en plus je préfère un prof d'éco légèrement à gauche qu'à droite   )

Et le droit pénal, en ce qu'il touche aux libertés, un domaine de la gauche

T'en trouveras pas assez

Je suis pas sûr que ce soit le topic idéal, mais bon, je tente :

Je suis locataire d'un appart non meublé, j'ai envoyé ma lettre de congé le 07/01 donc mon préavis court jusqu'au 07/04.

Mon proprio a déjà trouvé un nouveau locataire, ils se sont mis d'accord sur une entrée le 01/04 mais n'ont rien signé pour l'heure.

J'occupe toujours l'appartement pour le moment.

Je suis censé récupérer les clés de mon nouvel appartement le 20/02 (mais je n'ai encore rien signé). Pour des raisons diverses et variées, il se pourrait que j'envoie chier les proprios de mon futur appartement et que je préfère rester dans mon appartement actuel.

Avant de le faire, ma question est la suivante : d'un point de vue légal, quid de mon appartement actuel ? Ai-je la possibilité de revenir sur ma lettre de congé et de conserver l'appartement ou le proprio peut-il me forcer à dégager au terme du préavis ?

Mon proprio est plutôt sympa et je pense qu'en discutant avec lui, il ne serait pas contre me garder comme locataire (aucun retard de paiement de loyer, appartement en excellent état), mais je préfère savoir ce qu'il en est d'un point de vue légal, au cas où ça ne se passe pas aussi bien que prévu en discutant (non pas que l'idée de me retrouve sans appartement au 07/04 ne me tente que modérément, mais...).

 
Non, le contrat est rompu définitivement. A la fin du préavis, tu es occupant sans droit ni titre.

Ok, comme prévu.
 
J'ai plus qu'à espérer trouver un arrangement avec mon proprio actuel ou à passer outre ce qui me bloque pour mon futur appart
 
Merci pour la réponse

Mon cas pratique de cette semaine en sociétés, attention c'est du lourd
 

"(pour voir perdre le PSG)", j'adore      

 
l'orthographe craint quand même    

 
Ah oui j'avais pas fait attention... comme quoi même un professeur de droit en fait encore

 
Yop, je me quote moi-même
Bon bah comme je m'y attendais, toutes mes questions acceptées ont été utilisées, je viens de relancer l'agence pour dire que c'est bien gentil, mais qu'il me semblerait quand même la moindre des choses d'être au moins payée pour le travail effectué. En cas de faisage de mort, mon recours, ça serait quoi? Plainte pour contrefaçon, donc? Je fais des impressions d'écran de chaque question et je monte mon petit dossier?

Commence par une LRAR avec menace de porter l'affaire au tribunal, puis ensuite, en effet, plainte pour contrefaçon devant les flics, et tu y vas avec toutes les pièces nécessaires.

Merci

 
Quelle conciliation, quelle mansuétude, quelle déférence devant le conflit naissant : je te sens de bonne humeur l'ami

Bon j'ai une question bête et simple, mais j'arrive pas à trouver une réponse claire : dans une SA, quelles sont les conséquences de l'absence de souscription au capital ?

La nullité de la société en formation tout simplement, ou alors le souscripteur reste tenu des dettes jusqu’à concurrence de ses apports ?

 
 
Comme moi, vous déduisez de cette superbe assertion que si en général les juristes universitaires ne se mobilisent pas, c'est parce que d'habitude parce que les textes sont trop compliqués pour qu'ils les comprennent ?  

Non, j'en déduis que d'habitude, c'est tellement compliqué que seuls les juristes comprennent les textes et voient qu'ils sont bons, alors que les mécréants, eux, n'y voient que du mauvais  

L'autre interprétation possible, c'est que seuls les juristes comprennent les textes, même ultra simples, et que si cette fois ils se mobilisent, c'est qu'il y a un pb (mais cette fois ci seulement). Et après ils s'étonnent d'être moyennement populaires (euphémisme )

Dans les deux cas, cette phrase rappelle une évidence : un universitaire ne sait pas parler, et fait souvent un très mauvais avocat, le genre qui va détruire son dossier pour le plaisir de donner une leçon de droit au juge ²

On en a un comme ca, ici. Tous les magistrats le détestent, parce qu'il commence toujours par une citation (parfois, il a passé plus de temps à la trouver que sur son dossier), et il fait une lecon de droit comme il ferait à son étudiant en lieu et place de plaidoirie. Devant une Cour d'appel (i;e, des juges qui ont au minimum 15 ans d'XP), ca déplait  

En parlant de moyennement populaire, les juristes ont du mal à s'insérer dans le mouvement ici.  
1° parce que mener un mouvement, ils n'ont pas l'habitude (en général, on les combat, les mouvements, monsieur )
2° parce que les autres UFR sont méfiants: les juristes qui mènent un mouvement de protestation, ca rentre pas dans le schéma, alors ils attendent de voir la suite