Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
3188 connectés 

 


La politique économique du Gouvernement vous semble :
Sondage à 5 choix possibles.




Attention si vous cliquez sur "voir les résultats" vous ne pourrez plus voter
Les invités peuvent voter

 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  17  18  19  ..  22  23  24  25  26  27
Auteur Sujet :

Emploi/Travail 2007-2012. Le chômage s'envole

n°13731097
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 14:13:04  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Bon, ça coince a priori. Ca va donc passer par la loi

mood
Publicité
Posté le 10-01-2008 à 14:13:04  profilanswer
 

n°13731269
doutrisor
Posté le 10-01-2008 à 14:26:59  profilanswer
 

Les négociations entreprise par entreprise et salarié par salarié, c'est surtout casser les conventions collectives, et par la suite les fédérations syndicales.
Le rêve du MEDEF  : le salarié tout seul face à l'employeur. Salarié qui à cause du chômage sera bien obligé d'accepter ce qu'on daignera lui accorder.
 


---------------
"A toute chose sa saison, et à toute affaire sous les cieux, son temps"
n°13731316
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 14:30:52  profilanswer
 

doutrisor a écrit :

Les négociations entreprise par entreprise et salarié par salarié, c'est surtout casser les conventions collectives, et par la suite les fédérations syndicales.
Le rêve du MEDEF  : le salarié tout seul face à l'employeur. Salarié qui à cause du chômage sera bien obligé d'accepter ce qu'on daignera lui accorder.
 


 
 
Mais dès que tu dis ça à un Sarkofan, il monte sur ses grands chevaux en trouvant les explications les plus fumeuses pour te dire que non, c'est toi qui comprends mal et que de toute façon comme le chômage c'est fini et que la croissance va être énorme grâce au choc fiscal et compagnie, bein y'a pas de rique que ça se produise.

n°13732268
dante2002
HEUUU NOOOOOOOOON
Posté le 10-01-2008 à 15:58:59  profilanswer
 

Un texte interessant sur actuchomage
 

Citation :

Petit tour des idées reçues sur la mesure phare du gouvernement Jospin, que la droite n’a jamais cessé de combattre et que la gauche a de plus en plus de mal à assumer.
 
Les 35 heures n’ont pas créé d’emplois
 
FAUX. Pendant la campagne électorale de 1997, le PS promettait la création de 600.000 à 800.000 postes grâce aux lois Aubry. La réalité est probablement plus près de 350.000 emplois entre 1998 et 2002. Ce chiffre arriverait presque même à faire consensus. Reste à savoir ce qui a permis ces créations de postes. Pour les économistes libéraux, ce n’est pas la baisse de quatre heures du temps de travail qui libère des postes, ce sont la flexibilité accrue et les baisses de cotisations sociales sur les bas salaires qui sont à l’origine de cet effet emploi. D’autres considèrent que la baisse du temps de travail couplée à une croissance mondiale favorable à l’époque a encouragé les entreprises à créer des emplois.
 
Elles coûtent très cher à l’Etat
 
VRAI. En 2008, les allègements de charges liés aux 35 heures vont coûter 21,4 milliards d’euros au budget. Mais de fait, il faudrait plutôt parler d’allègements de charge qui s’appliquent aux bas salaires, dont un peu plus d’une moitié sont directement en lien avec la réduction du temps de travail. Des allègements dits «Fillon», puisque c’est l’actuel Premier ministre qui a inventé le dispositif qui s’applique aux salaires entre 1 et 1,6 fois le Smic. En 2007, ces allègements représentaient 20,6 milliards d’euros. Reste à savoir s’ils n’encouragent pas à un «tassement» des grilles salariales vers le bas. Au-delà de 1,6 Smic, les entreprises paient davantage de charges. En 2008, l’Assemblée nationale a décidé de se pencher sur le problème et d'en réaliser une réelle évaluation.
 
Elles nous ont rendus paresseux
 
FAUX. Non seulement les Français ne sont pas les plus flemmards de la classe européenne, mais si l’on en croit Eurostat, l’organisme de statistique de la Commission, ils travaillent autant voire plus que leurs voisins. Avec 35,9 heures travaillées par semaine (tout emploi confondu), les Français sont au turbin un peu plus longtemps que les Anglais (35,7 heures), que les Allemands (35,8 heures) et beaucoup plus que les Bataves (34,5) ou que les Suédois (34,5). Pourtant la France est bien le pays dans lequel un salarié à temps complet travaille le moins en Europe. Contradiction ? Non, car c’est la part du temps partiel dans l’emploi total qui fait toute la différence. Or en la matière et notamment grâce aux 35 heures, la part du temps partiel, notamment chez les femmes, est beaucoup plus faible en France (17%) qu’au Royaume-Uni (25,5%), en Allemagne (26,3%) et bien sûr aux Pays-Bas (46,9%), le champion européen.
 
Elles ont fait baisser la productivité
 
FAUX. Le salarié français a toujours affiché une bonne productivité (nombre d’unités produites par heure de travail). Mais la mise en place des RTT dans les entreprises françaises, loin de semer le chaos, a encore amélioré cette performance. Lisons la prose de l’INSEE dans sa dernière livraison sur «l’évolution des salaires en France en 2007» : «La mise en œuvre de la réduction du temps de travail s’est accompagnée des modifications dans l’organisation du travail visant une meilleure productivité». Résultat, la productivité horaire du salarié français était en 2004 de 16,5% supérieure à la moyenne de l’Europe des Quinze, contre un écart déjà positif de 11% en 1996.
 
Elles ont fait stagner les salaires
 
VRAI. Au cours de la période 2000-2005, les salaires du secteur privé ont augmenté péniblement de 0,5% par an, alors que la croissance annuelle moyenne du PIB s’est élevée à 1,6%. Entre 2001 et 2003, le taux de croissance du salaire net moyen a même baissé, avant de repartir légèrement à la hausse à partir de 2004. Deux effets se sont conjugués. Un : les accords de modération salariale qui ont accompagné de nombreux accords de réduction du temps de travail dans les entreprises. Deux : la remontée du chômage à partir de 2001 qui a, elle aussi, pesé sur les salaires.
 
Elles ont semé la zizanie à l’hôpital
 
VRAI. Aujourd’hui, ce sont près de 25 millions d’heures supplémentaires impayées et de 3,5 millions de jours de congés stockés dans des comptes épargne temps qui se sont accumulés dans le secteur hospitalier. Cela, en dépit des milliers d’emplois créés dans les secteurs médicaux et para-médicaux grâce à la RTT. La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a programmé des rencontres avec les syndicats pour désamorcer des mouvements de grève qui s’annoncent. Mais la situation catastrophique de l’hôpital ne date pas de 2002. Les 35 heures n’ont fait que radicaliser le problème des recrutements dans certaines professions, comme les infirmières. Toutes les créations d’emploi promises n’ont pu être tenues faute de candidats et, dans certains cas, de financement.
 
Elles ne sont pas applicables dans les PME
 
FAUX. Jusqu’ici les PME ne se plaignaient pas trop. D’abord, elles avaient obtenu un délai de deux ans avant de choisir d’appliquer la RTT et bénéficiaient des allègements de charges sur les bas salaires. Surtout, pour celles qui baissaient le temps de travail, les heures supplémentaires entre la 35e et la 39e heures étaient majorées de 10%, contre 25% pour une heure sup’ normale. Sauf que depuis le mois d’août dernier, la première heure sup’ est facturée à 25% par la loi Tepa (travail, emploi, pouvoir d’achat) voulue par... Nicolas Sarkozy. Résultat, c’est aujourd’hui que les PME montent au créneau pour dénoncer ce renchérissement du coût des heures supplémentaires.
 
(Source : Libération)


---------------
Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
n°13732656
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 16:42:12  profilanswer
 

Citation :

Modernisation du marché du travail: dernière séance de négociation  
AFP - Jeudi 10 janvier, 12h20
PARIS (AFP) -  
La dernière séance de négociation sur la modernisation du marché du travail, entamée en septembre, s'est ouverte jeudi matin au siège du Medef à Paris, après une première journée de discussions jugée un peu décevante par les syndicats.
 
Cette ultime réunion pourrait éventuellement se prolonger jusque dans la matinée de vendredi.
 
A leur arrivée, les négociateurs syndicaux, surtout la CGT, FO et la CFTC ont critiqué l'attitude patronale (Medef, CGPME et UPA) et notamment les "trois heures et demie de suspension de séance intervenues mercredi dans l'après-midi", pour faire des contre-propositions jugées encore très insuffisantes sur le "point dur" de l'allongement de la période d'essai.
 
Pour Stéphane Lardy (FO), "on verra si ce soir, ils nous refont le coup d'hier en jouant la montre. Si c'est le cas, la négociation sera terminée, ce sera un échec, et nous ne le souhaitons pas".
 
Pour la CFDT, Marcel Grignard, selon lequel "personne ne joue la montre", était moins pessimiste: "nous espérons que le patronat est prêt à faire un effort." Il a cité notamment la limitation de l'abus d'utilisation des contrats précaires, des indemnités de licenciement plus conséquentes et un accès à la formation pour les moins qualifiés. "Vu la trajectoire d'hier, a-t-il ajouté, nous pensons qu'il y a des possibilités d'accord mais la journée va être encore difficile".
 
La discussion doit porter notamment sur la création d'un nouveau mode de rupture dit "à l'amiable" du CDI et d'un nouveau CDI à "objet particulier". Elle doit aborder également la possibilité pour le salarié, après sa sortie d'une entreprise, de garder une partie de ses droits (formation, santé/prévoyance).
 
Après quatre mois de discussion, les partenaires sociaux sont censés aboutir jeudi soir ou vendredi. Les employeurs demandent plus de flexibilité et les syndicats plus de sécurité pour les salariés. A défaut d'accord, le gouvernement menace de légiférer.
 
Maryse Dumas (CGT), contente de "convergences syndicales fortes", a "l'impression que le patronat joue la montre". "La question est de savoir si le patronat veut véritablement un accord ou s'il a déjà tranché en faveur d'une loi faite par le gouvernement, ce serait une perte de crédibilité terrible pour le Medef."
 
Pour Stéphane Lardy (FO), il va falloir aborder très rapidement les points durs, notamment "le CDI à objet précis qui est la mort du contrat à durée indéterminée en France, tout sera mission, que vous soyez cadre dirigeant ou femme de ménage, pour nous c'est inacceptable", tout en se disant "prêt à regarder un CDD à objet précis".
 
Si certains au patronat, a-t-il conclu, jouent la logique de l'échec et espèrent que le gouvernement va leur accorder plus que ce qu'ils auraient par la négociation, "tout le monde sera perdant."
 
De son côté, Gabrielle Simon (CFTC) qui a le sentiment d'avoir "perdu une journée" mercredi s'est demandé si le patronat cherchait un échec et a espéré "une prise de conscience" de la délégation patronale.
 
Côté patronal, Patrick Liébus (UPA) a espéré un accord, prévenant qu'il n'était "pas pour l'instant question de réduire" les périodes d'essai.


http://fr.news.yahoo.com/afp/20080 [...] ?printer=1

n°13732666
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 16:43:18  profilanswer
 

Citation :

35 heures: Sarkozy corrige le tir  
 
Par Nathalie Schuck et Emmanuel GeorgesPicot AP -
 Mercredi 9 janvier, 21h00PARIS
 
 
 - "C'est faux!" Après avoir pour la première fois clairement avoué la veille qu'il voulait en finir avec les 35 heures en 2008, Nicolas Sarkozy a rectifié le tir mercredi pour éteindre l'incendie, affirmant qu'il ne comptait pas remettre en cause la durée légale du travail et accusant ses détracteurs d'avoir "menti".
 
"Oui, en 2088 je veux qu'on aille beaucoup plus loin dans la réforme des 35 heures", mais "il n'est pas dans l'intention du gouvernement de supprimer la durée légale du travail", a-t-il juré dans ses voeux aux parlementaires -surtout UMP et NC- et au Conseil de Paris à l'Elysée, au lendemain de sa conférence de presse.
 
"Voilà la vérité!", a-t-il lâché, se posant en victime d'un monde politique "inutilement cruel". "On peut être en désaccord avec cette politique, mais pour exprimer ce désaccord, on n'est pas obligé de mentir" ou de "caricaturer", a-t-il grondé devant les élus. Seule une poignée de socialistes avait fait le déplacement.
 
Cela ne l'a pas empêché de tacler à nouveau les lois Aubry du 13 juin 1998 et du 19 janvier 2000: "si ces 35 heures c'était si bien, pourquoi il n'y a aucun pays qui nous ait imité?", a-t-il moqué. "C'est la seule idée où on n'a pas besoin de déposer de brevet!"
 
La veille, alors qu'on lui demandait s'il souhaitait que l'année 2008 signe la fin des lois Aubry, le président avait eu ce cri du coeur: "pour dire les choses comme je les pense, oui!" La sortie avait provoqué un tollé à gauche et chez les syndicats, contraignant le gouvernement et l'entourage du président à monter au front.
 
Vingt-quatre heures plus tard, le président a certifié qu'il voulait simplement aller plus loin dans l'assouplissement des 35 heures pour "libérer les entreprises du carcan des règles qui freinent ou empêchent le recours aux heures supplémentaires" et "déplafonner le recours aux heures supplémentaires". "Oui à plus d'heures supplémentaires, non à ce qui en limite le nombre, et pas de remise en cause de la durée légale du travail!", a-t-il résumé.
 
Et pour cause: supprimer la durée légale à 35 heures réduirait à néant sa promesse de "travailler plus pour gagner plus", entrée en vigueur au 1er octobre. Cela repousserait en effet le seuil de déclenchement des heures supplémentaires défiscalisées. "Si on supprime la durée légale, il n'y a plus d'heures supplémentaires", a-t-il fait valoir. Et d'ironiser: "je ne suis pas très intelligent, mais j'ai compris ça!"
 
Comme il l'avait fait le 29 novembre, il a pourtant répété qu'une entreprise pourrait déroger aux 35 heures en cas d'"accord majoritaire" offrant des "améliorations" aux salariés. Mais il n'a pas expliqué ce qui se passerait pour une entreprise qui repasserait par exemple aux 39 heures: quel serait le seuil de déclenchement des heures supplémentaires défiscalisées, 35 ou 39 heures?
 
Soucieux de rectifier le tir sur l'autre sujet crucial du pouvoir d'achat, première préoccupation des Français, Nicolas Sarkozy s'est également défendu vivement de s'en "désintéresser". "Prétendre qu'on se désintéresse du pouvoir d'achat, c'est un mensonge!"
 
La veille, le "président du pouvoir d'achat" avait admis que ses marges de manoeuvre étaient très limitées. "Qu'est-ce vous attendez de moi? Que je vide des caisses qui sont déjà vides? Que je donne des ordres à des entreprises à qui j'ai pas à donner d'ordres?"
 
Les députés socialistes présents ont promptement épinglé un "rétropédalage" sur les 35 heures. C'"était une séance de rattrapage", a raillé Patrick Bloche. Marylise Lebranchu se félicitait de cette "rectification". "C'est une explication de ses propos d'hier, mais en aucun cas une rectification", a récusé Dominique Paillé, secrétaire général adjoint de l'UMP.
 
Député non-inscrit et "heureux" que la durée légale soit maintenue à 35 heures, Nicolas Dupont-Aignan moquait l'explication de texte du président: "la nuit a semblé porter conseil. Mais j'espère qu'il n'y aura pas un changement demain matin..." AP
 
sch-egp/sb


 
http://fr.news.yahoo.com/ap/200801 [...] ?printer=1

n°13732672
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 16:44:00  profilanswer
 

Citation :

Il y aura toujours une durée légale du travail, assure Lagarde  
Reuters - Jeudi 10 janvier, 09h49PARIS (Reuters) - Le gouvernement veut assouplir l'organisation du travail en France sans en supprimer la durée légale, qui est de 35 heures, déclare la ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, Christine Lagarde.
 
(publicité)
 
"Ce que nous souhaitons faire, c'est libérer les contraintes qui actuellement pèsent sur les entreprises et les salariés et qui les empêchent, pour les cas où c'est utile pour les entreprises et souhaité par les employeurs et les salariés, de travailler au-delà de la durée légale", a-t-elle dit sur BFM.
 
"Ce que les entreprises me disent aujourd'hui, c'est 'les contingents on n'en veut plus' (...) C'est vraiment ça que le président a en tête : faire en sorte que dans les entreprises, en fonction de l'activité économique, on puisse organiser le travail dans un contexte plus souple", a-t-elle expliqué.
 
"On est en train de libérer les contraintes. Le chef de l'Etat a ça en tête", a insisté Christine Lagarde, après les propos tenus par le président Nicolas Sarkozy sur la "fin" des 35 heures lors de sa conférence de presse mardi.
 
Mercredi soir, devant les parlementaires invités à l'Elysée, Nicolas Sarkozy a nié vouloir supprimer la durée légale du travail, comme l'en accusent syndicats et opposition.
 
"La durée légale, elle va subsister telle qu'elle existe, il y aura toujours une durée légale du travail", a renchéri Christine Lagarde sur BFM.
 
Pour la ministre, le président de la République et le gouvernement donnent un "signal fort" : "un régime de liberté, une méthodologie de concertation et le travail au coeur de l'économie.
 
Laure Bretton


 
http://fr.news.yahoo.com/rtrs/2008 [...] ?printer=1
 
 

Citation :

"Ce que nous souhaitons faire, c'est libérer les contraintes qui actuellement pèsent sur les entreprises et les salariés et qui les empêchent, pour les cas où c'est utile pour les entreprises et souhaité par les employeurs et les salariés, de travailler au-delà de la durée légale", a-t-elle dit sur BFM.
 
"Ce que les entreprises me disent aujourd'hui, c'est 'les contingents on n'en veut plus' (...) C'est vraiment ça que le président a en tête : faire en sorte que dans les entreprises, en fonction de l'activité économique, on puisse organiser le travail dans un contexte plus souple", a-t-elle expliqué.


 
 
Comment se contredire en 2 phrases, par christine Lagarde


Message édité par Yop ma caille le 10-01-2008 à 16:46:33
n°13734655
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 10-01-2008 à 19:22:03  profilanswer
 

TRICHET EST CONTRE l'augmentation des salaires, ça amenerait de l'inflation


---------------
marilou repose sous la neige
n°13734848
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 10-01-2008 à 19:38:10  profilanswer
 

Sauf que l'inflation est déjà là, et les salaires suivent pas.

Message cité 1 fois
Message édité par Yop ma caille le 10-01-2008 à 19:38:18
n°13734953
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 10-01-2008 à 19:49:28  profilanswer
 

Yop ma caille a écrit :

Sauf que l'inflation est déjà là, et les salaires suivent pas.


oui mais non  
il y a plusieurs source d'inflation  
la plus importante c'est les salaires
3% c'est pas vraiment de l'inflation  
a partir de 6% ça commence a causer


---------------
marilou repose sous la neige
mood
Publicité
Posté le 10-01-2008 à 19:49:28  profilanswer
 

n°13736215
Leg9
Fire walk with me
Posté le 10-01-2008 à 21:33:33  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

TRICHET EST CONTRE l'augmentation des salaires, ça amenerait de l'inflation

Il va se prendre une balle de 7.62 en travers du citron lui un de ces 4....


---------------
If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°13736417
matt62
Posté le 10-01-2008 à 21:43:01  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

TRICHET EST CONTRE l'augmentation des salaires, ça amenerait de l'inflation


Ben, l'inflation, on l'a déjà. Reste plus que l'augmentation des salaires. Enfin l'inflation française n'a rien à voir avec l'inflation chinoise qui doit etre aux alentours de 7%.


---------------
Tu l'as voulu, tu l'as eu...
n°13736623
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 10-01-2008 à 21:54:56  profilanswer
 

matt62 a écrit :


Ben, l'inflation, on l'a déjà. Reste plus que l'augmentation des salaires. Enfin l'inflation française n'a rien à voir avec l'inflation chinoise qui doit etre aux alentours de 7%.


ils n'ont rien inventé hein ;)

 

les plus fort en inflation c'est les allemands :o


Message édité par vapeur_cochonne le 10-01-2008 à 21:55:28

---------------
marilou repose sous la neige
n°13751037
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 12-01-2008 à 11:12:47  profilanswer
 

http://fr.news.yahoo.com/rtrs/2008 [...] ?printer=1
 

Citation :

Les négociations sur le travail s'achèvent sur une note mitigée  
 
Reuters - il y a 1 heure 8 minutes
PARIS (Reuters) -
 
 Les négociations sur le contrat de travail et la sécurisation des parcours professionnels se sont achevées sur une note mitigée, les syndicats confiant à leurs instances le soin de se prononcer sur l'éventuelle signature d'un accord.
 
Seule la délégation CGT a clairement indiqué vendredi qu'elle recommanderait à son conseil confédéral de voter contre les 29 et 30 janvier. Force ouvrière et la CFTC se prononceront lundi, la CFE-CGC mardi et la CFDT jeudi.
 
Le gouvernement a d'ores et déjà annoncé qu'un texte de loi reprenant tout ou partie du document finalisé vendredi serait présenté à la fin du premier semestre.
 
Malgré des concessions des organisations patronales sur les périodes d'essai ou le nouveau contrat "de projet", tous les syndicats ont fait part de leur déception après trois jours de négociations serrées qui clôturaient quatre mois d'échanges.
 
Le Medef s'est en revanche félicité d'un projet d'accord qui permettra selon lui de dynamiser le marché de l'emploi.
 
Le texte propose notamment un nouveau mode de séparation négociée entre l'employeur et le salarié ouvrant droit à l'assurance chômage, un nouveau contrat de projet pour les ingénieurs et les cadres, des périodes d'essai fixées au niveau interprofessionnel.
 
Les salariés pourront également continuer de bénéficier des droits acquis à la formation et, pour au minimum trois mois, de leurs assurances complémentaires santé et prévoyance d'un emploi à un autre ou entre deux emplois.
 
"VRAIES SATISFACTIONS ET PROFONDS REGRETS"
 
"La CFDT a des vraies satisfactions et de profonds regrets", a dit à la presse Marcel Grignard, secrétaire national de la CFDT, à l'issue des négociations au siège du Medef.
 
Côté positif, il a notamment cité le doublement de l'indemnité légale de licenciement, le transfert des droits et la création d'une prime pour les jeunes demandeurs d'emploi.
 
Il a en revanche regretté que le nouveau mode de rupture des contrats, baptisée "rupture conventionnelle" ne soit pas homologuée par les prud'hommes mais la direction départementale du travail.
 
"En dépit des bonnes volontés, de la bonne qualité de nos travaux, les frilosités patronales ne nous ont pas permis d'aller plus loin", a-t-il regretté.
 
Force ouvrière a tenu un discours assez semblable, Stéphane Lardy notant "des avancées" et confiant "pas mal de regrets".
 
"C'est assez mitigé", a dit Gabrielle Simon, de la CFTC, qui a précisé qu'elle ne serait "pas dithyrambique" devant ses instances.
 
"C'est vraiment très juste et je ne sais si ce sera suffisant", a-t-elle ajouté.
 
Alain Lecanu s'est dit incapable de "dire quelle sera la position de la CFE-CGC" une fois qu'elle aura "pesé exactement ce que représente cet accord".
 
Maryse Dumas, secrétaire confédéral de la CGT a estimé de son côté qu'"il y a dans cet accord plus de dangers que de points positifs". "Je crois pouvoir dire que la délégation CGT proposera aux organisations CGT de ne pas signer cet accord", a-t-elle ajouté.
 
Pour le Medef, Cathy Kopp a salué "une négociation moderne" permettant de créer une "flexi-sécurité française".
 
"Si nos syndicats signent cet accord, nous aurons fait un progrès sensible dans notre pays", a-t-elle ajouté.
 
Jean-Baptiste Vey


Message édité par Yop ma caille le 12-01-2008 à 11:13:24
n°13751047
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 12-01-2008 à 11:16:31  profilanswer
 

http://www.boursorama.com/internat [...] ws=5020499

Citation :


 
(Cercle Finance) - Après avoir brusquement bondi hier au dessus du seuil de 1,48 dollar, l'euro s'est légèrement déprécié ce vendredi, demeurant ferme à 1,4792 dollar, en repli de seulement 0,10%.
 
La devise européenne est soutenue par les perspectives d'un resserrement du différentiel de taux entre le billet vert et l'euro à très court terme.
 
Ben Bernanke a de fait implicitement laissé la place à un assouplissement de la politique monétaire de Reserve Federale américaine lors de sa prochain réunion de politique monétaire du 29-30 janvier.
 
Le patron de la FED a déclaré que les perspectives des Etats-Unis se dégradaient et que la banque centrale était prête à agir de nouveau de façon 'substancielle' pour éviter une contamination du ralentissement du secteur immobilier à l'ensemble de l'économie... et fournir une protection adéquate contre les risques de récession (la FED ne valide pas encore l'imminence de ce scénario).
 
Dans le cas d'une baisse de 50 points base, le taux des Fed fund s'établirait même à 3,75%, sous les 4% du taux de repo de la BCE.
 
De son côté, Jean Claude Trichet a enfoncé le clou en plaçant un biais haussier sur la politique monétaire de la BCE, indiquant que l'institut monétaire européen était prêt à réagir (en fait relever ses taux) en cas de spirale inflationniste, notamment sur les salaires.

La livre sterling s'échange pour sa part face au billet vert, à 1,9613 dollar, pratiquement stable par rapport à ce jeudi, qui a vu la Banque Centrale britannique laisser son principal taux directeur inchangé à 5,5%
 
Face à la monnaie unique, la devise britannique s'échange à 75,48 pence pour un euro, affichant également une certaine stabilité.


 
ah maastricht ....


---------------
marilou repose sous la neige
n°13795912
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 16-01-2008 à 20:20:47  profilanswer
 

entendu sur rtl ce soir par edwie plenel  
 
20 des 27 pays européens ont un smic, le smic français n'est pas du tout le plus elevé  
 
par contre 17% des français sont au smic seul la bulgarie fait mieux  
3% des anglais en comparaison.
 
Le cout du travail ? un ouvrier allemand gagne 34% de plus qu'un français...


---------------
marilou repose sous la neige
n°13796748
Ciler
Posté le 16-01-2008 à 21:39:17  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

entendu sur rtl ce soir par edwie plenel  
 
20 des 27 pays européens ont un smic, le smic français n'est pas du tout le plus elevé  
 
par contre 17% des français sont au smic seul la bulgarie fait mieux  
3% des anglais en comparaison.
 
Le cout du travail ? un ouvrier allemand gagne 34% de plus qu'un français...


Ben oui. En Irlande, pourtant (supposement) le pays le plus capitaliste d'europe, le smic est plus eleve qu'en france (8.65€/heure contre 8.44€/heure), a la fin de l'annee, c'est 300€ de difference, c'est pas rien.


---------------
And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°13799906
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 17-01-2008 à 07:56:24  profilanswer
 

la raison ?  
les trappes a bas salaires, entre 1 et 1.3 smic l'employeur a des charges sociales réduites.


---------------
marilou repose sous la neige
n°13804844
Ciler
Posté le 17-01-2008 à 18:15:27  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

la raison ?  
les trappes a bas salaires, entre 1 et 1.3 smic l'employeur a des charges sociales réduites.


Et c'est pour ca qu'on ne reviendra pas sur les 35 heures  :whistle:


---------------
And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°13804928
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 17-01-2008 à 18:24:28  profilanswer
 

Ciler a écrit :


Et c'est pour ca qu'on ne reviendra pas sur les 35 heures  :whistle:


évidement  
35h => 21 miyard d'allègement de charges pour les employeurs  


---------------
marilou repose sous la neige
n°13809781
Leg9
Fire walk with me
Posté le 18-01-2008 à 09:16:58  profilanswer
 

L'éditorial du jour des DNA, au sujets des négociations salariales en Allemagne :
http://www.dna.fr/edito/20080118_DNA003705.html
 

Citation :

Economies en mutation
 
Du jamais vu en Allemagne : les conducteurs de trains viennent d'obtenir 11% d'augmentation après dix mois de conflit. Toujours outre-Rhin, les grands syndicats partent à la charge dans les diverses négociations en présentant des revendications salariales de 8%. Pour rattraper un pouvoir d'achat qui s'effrite.
 
 En France aussi, le problème est sur toutes les lèvres avec, en plus, une forte connotation politique autour des promesses électorales du président de la République, « le président du pouvoir d'achat ». En réalité, le problème est commun à toute l'Europe. Partout, l'inflation est en hausse et, partout, les prévisions de croissance sont révisées à la baisse.
 
 En toute logique monétariste, la Banque centrale européenne dénonce ces revendications syndicales qui pourraient activer - ou emballer - la spirale salaires-prix. Avec un oeil particulièrement sourcilleux sur l'Allemagne, parce qu'elle est le moteur économique de l'Europe. C'est de là, craint-on à Francfort, que pourrait partir un mouvement qui dans la zone euro ferait boule de neige.
 
 Evidemment, celui qui voit les prix de ses achats quotidiens augmenter et ses revenus stagner n'a cure de ces affres de grands argentiers. Il ne peut que constater l'amère réalité en balayant toutes les savantes explications sur la hausse du pétrole, des matières premières, sur le désordre monétaire ou sur le risque de récession aux Etats-Unis. Le constat du « panier de la ménagère » est si évident : depuis l'introduction de l'euro, les prix n'ont jamais autant dérapé qu'en 2007, et 2008 ne s'annonce pas mieux. Pourtant, la BCE mène une politique restrictive en maintenant des taux d'intérêt très élevés pour une devise forte, cherchant la stabilité avant une croissance artificielle, alors que la Réserve fédérale ne se gêne pas pour stimuler l'économie américaine. Sans grands résultats ces derniers temps, il est vrai.
 
 Le cycle économique mondial serait-il en train de changer ? La crise des crédits «subprime» aux Etats-Unis a montré la fragilité de la mondialisation financière. De nouveaux acteurs économiques apparaissent, comme ces « fonds souverains » des Etats pétroliers qui investissent à plus long terme que les « fonds de pension » intéressés par les bénéfices immédiats. Les circuits financiers indispensables aux grandes entreprises entrent dans une nouvelle mutation.
 
 A cet environnement changeant s'ajoute une inquiétude : la demande qui entraînait la croissance en Europe et aux Etats-Unis s'étiole avec la hausse de l'inflation. L'activité s'en ressent et les revendications montent.


 
 
 


---------------
If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°13822573
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 19-01-2008 à 14:51:46  profilanswer
 

INFLATION§§§§§§§§§§§§§§§§
 
http://www.lepoint.fr/content/system/media/2/20071224/2007-12-24T102536Z_01_NOOTR_RTRIDSP_2_OFRBS-ECO-TRICHET-PRESSE-20071224.jpg

n°13822579
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 19-01-2008 à 14:52:58  profilanswer
 

OUI JE LA VOIS VENIR
 
http://www.lejdd.fr/images/200740/trichet-jean-claude.jpg

n°13822585
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 19-01-2008 à 14:53:32  profilanswer
 

MY PRECIOOOOOOOOUS§§§§§§§§§§
 
http://www.elblogsalmon.com/images/2007/02/trichet.jpg
 
I WANT YOU
 
http://www.cadranpolitic.ro/imagini/economie38.jpg
 
 
ELLE EST ENORME§§§§§§§§§
 
http://permanent.nouvelobs.info/photos/20051121.OBS7969.jpg
 
 
OUI OUI A PEU PRES DE CETTE TAILLE§§
 
 
http://estaticos01.cache.el-mundo.net/mundodinero/imagenes/2007/03/29/1175186370_g_0.jpg
 
PRIONS§§§§§§§§§
 
http://www.elpais.com/recorte/20070209elpepieco_1/LCO340/Ies/Jean-Claude_Trichet.jpg


Message édité par Yop ma caille le 19-01-2008 à 14:58:15
n°13830674
ebola2
ah ah ah
Posté le 20-01-2008 à 17:58:13  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

entendu sur rtl ce soir par edwie plenel  
 
20 des 27 pays européens ont un smic, le smic français n'est pas du tout le plus elevé  
 
par contre 17% des français sont au smic seul la bulgarie fait mieux  
3% des anglais en comparaison.
 
Le cout du travail ? un ouvrier allemand gagne 34% de plus qu'un français...


 
pas nouveau...simple je pense à quitter la france. en finlande moins d'heure chomage de quelque %, salaire plus hauts, mooins d'impots etc.

n°14047833
Leg9
Fire walk with me
Posté le 13-02-2008 à 11:54:25  profilanswer
 

Gagner plus? Comment?
 
En étant patron d'une grande entreprise française.
 
3 patrons sur 4 ont gagné en 2007 40% de plus qu'en 2006, faisant désormais des patrons Français les mieux payés d'Europe. (source : 20minutes du jour).

Message cité 1 fois
Message édité par Leg9 le 13-02-2008 à 11:54:41

---------------
If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°14048215
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 13-02-2008 à 12:33:07  profilanswer
 

Leg9 a écrit :

Gagner plus? Comment?
 
En étant patron d'une grande entreprise française.
 
3 patrons sur 4 ont gagné en 2007 40% de plus qu'en 2006, faisant désormais des patrons Français les mieux payés d'Europe. (source : 20minutes du jour).


 
 
Ecrasés par les charges, broyés par les impôts, étouffés par les 35heures, il faut bien qu'ils trouvent une compensation quelque part, ces pauvres patrons [:aloy]

n°14048689
Leg9
Fire walk with me
Posté le 13-02-2008 à 13:25:51  profilanswer
 

La moyenne de leurs revenus (tout compris) s'élève désormais à 5.87 millions d'euros annuels.
Soit 490 années de smic.
 
Il y a quelques mois, donc avant l'annonce de cette augmentation supplémentaire de 40%, ces revenus soulevaient déjà la polémique :
http://tf1.lci.fr/infos/economie/a [...] ayes-.html
 


---------------
If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°14077423
Ciler
Posté le 16-02-2008 à 13:35:44  profilanswer
 

Un article de l'expansion qui confirme l'echec de la defiscalisation des heures sup quand faire travailler les francais plus :
http://www.lexpress.fr/info/econom [...] ?id=144124

Citation :


Selon le ministère de l’emploi, la durée hebdomadaire collective moyenne du travail est restée stable à 35,6 heures à la fin décembre, trois mois après l’entrée en vigueur de la loi. S’ils ont gagné plus, du fait des exonérations, les salariés n’ont pas travaillé plus. Entreprises et salariés ont donc bénéficié d’un effet d’aubaine.


---------------
And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°14111855
Ciler
Posté le 20-02-2008 à 12:20:07  profilanswer
 

Et pour completer ces chiffre, c'est encore le ministere qui confirme que les TPE ont moins eu recours aux heures sup defiscalisees que la moyenne. EN parallele :

Citation :

Selon Christine Lagarde, les secteurs les plus concernés sont «l'industrie, pour l'essentiel», c'est-à-dire «l'automobile, la métallurgie, la chimie, les équipements mécaniques et l'agroalimentaire», mais aussi «la construction, le commerce, l'hôtellerie et la restauration».

 
Bref, les postes d'ouvriers dans les multinationales et les emplois peu qualifies dans le secteur de l'hospitalite, deux secteurs qui beneficiaient deja de larges remises sur les taxes


---------------
And I looked, and behold a pale horse: and his name that sat on him was Death, and Hell followed with him. Revelations 6:8
n°14112045
Kalymereau
This is not a method
Posté le 20-02-2008 à 12:49:41  profilanswer
 

Perso j'ai une question pour les enseignants et autres fonctionnaires faisant des heures sup qui participent à ce topic:
- est-ce que vos heures sup ont été majorées ?
- est-ce qu'elles vont être défiscalisées ?
 
J'ai l'impression que depuis la publication du décret sur le dispositif dans la fonction publique, on n'en entend plus parler...


---------------
rm -rf internet/
n°14112096
Elessar777
Tripatt' Faux-reveur.
Posté le 20-02-2008 à 12:56:31  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

TRICHET EST CONTRE l'augmentation des salaires, ça amenerait de l'inflation


 
 
Trichet est un con, et ca, c'est pas recent. deja à l'epoque ou il etait Gouverneur de la BdF il ne faisait que raconter des conneries.

n°14112178
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 20-02-2008 à 13:05:31  profilanswer
 

La négociaton annuelle sur les salaires vient d'avoir lieu dans ma boîte.
Les non cadres ont 2.5% d'augmentation générale (contre 2.4 proposés en ouverture de négos). L'augmentation individuelle est capée à 1.2%, c'est pas très motivant.
 
Bon comme il fallait s'y attendre, la direction a argumenté en disant qu'elle n'avait pas à augmenter fortement les salaires cette année car elle proposait un dispositif de rachat des RTT conformément à la nouvelle loi. Donc en gros il ont dit : si vous voulez gagner plus, travaillez plus, mais les hausses de salaires, c'est le minimum et c'est à prendre ou à laisser.

Message cité 1 fois
Message édité par Yop ma caille le 20-02-2008 à 13:05:56
n°14112186
Kalymereau
This is not a method
Posté le 20-02-2008 à 13:06:44  profilanswer
 

Yop ma caille a écrit :

La négociaton annuelle sur les salaires vient d'avoir lieu dans ma boîte.
Les non cadres ont 2.5% d'augmentation générale (contre 2.4 proposés en ouverture de négos). L'augmentation individuelle est capée à 1.2%, c'est pas très motivant.
 


 
c'est toujours mieux que dans le public  :whistle:


---------------
rm -rf internet/
n°14112204
Leg9
Fire walk with me
Posté le 20-02-2008 à 13:09:03  profilanswer
 

Et dans le public c'est bien mieux que dans beaucoup d'entreprises privées... :sweat:


---------------
If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°14159523
Profil sup​primé
Posté le 25-02-2008 à 15:46:42  answer
 

Citation :

Alimentation: le gouvernement promet des mesures pour répondre à la flambée des prix
 
Le gouvernement devrait annoncer des "mesures" lundi face à la flambée des prix des produits alimentaires, alors que la réforme de la loi Galland engagée en décembre semble avoir peu d'impact sur les étiquettes.
 
Alors que le débat sur l'envolée des prix des produits alimentaires a été relancé dimanche par une enquête de l'Institut national de la consommation (INC), Matignon a annoncé une réunion entre François Fillon et les ministres Christine Lagarde (Economie), Michel Barnier (Agriculture) et Luc Chatel (Consommation).
 
Des "mesures" sur "l'évolution des prix des denrées alimentaires" seront annoncées à l'issue de cette rencontre, ont ajouté les services du Premier ministre, à moins de semaines des élections municipales.
 
Selon l'étude de 60 millions de consommateurs, mensuel de l'INC à paraître mardi, les prix de produits laitiers et céréaliers se sont envolés entre novembre et janvier de 5% à 48%.
 
Cette enquête appuie les chiffres du cabinet Nielsen Panel publiés il y a quelques jours, montrant une augmentation globale des prix en janvier (+2,39%), pour le quatrième mois consécutif, avec des hausses de plus de 10% pour les pâtes, les oeufs et le lait.

 
Les pouvoirs publics et les associations de consommateurs s'étonnent de l'ampleur des hausses, estimant que l'envolée des matières premières ne justifie pas la flambée dans les magasins.
 
Le Conseil de la concurrence ou la Direction générale de la concurrence et de la consommation (DGCCRF) pourraient se pencher sur l'existence d'une éventuelle entente ou un abus de position dominante dans le secteur.
 
Yves Jego, porte-parole de l'UMP, a ainsi souhaité que le gouvernement saisisse "sans délai" le Conseil de la concurrence.
 
"Le prix du lait a augmenté de 30% à la production. Il pèse pour environ 20% à 30% dans la fabrication d'un yaourt, donc l'augmentation du yaourt n'aurait pas dû augmenter de 10%", a estimé lundi Luc Chatel. L'enquête INC montre que certaines marques de yaourts ont augmenté de 40%.
 
Ces hausses profitent à un "système aberrant qui fait que distributeurs et industriels se partagent le gâteau au détriment du consommateur", a-t-il ajouté.
 
Les distributeurs estiment que les industriels exagèrent les hausses de leurs tarifs. Mais ces derniers les justifient par la forte hausse des cours des matières premières (céréales, lait, pétrole), et soulignent que la nouvelle législation donne une plus grande marge de manoeuvre aux enseignes pour baisser les prix.
 
Une réforme de la loi Galland qui régit les relations entre distributeurs et industriels, intervenue en décembre, assouplit le seuil de revente à perte et donne la possibilité de baisser les prix plus facilement qu'auparavant.
 
Il y a quelques mois, M. Chatel avait estimé que cette réforme entraînerait une baisse des prix de 3% à 7% sur les produits de grandes marques.
 
Bercy avait calculé en décembre qu'une mère célibataire gagnant 1.600 euros par mois et payant un loyer de 600 euros pourrait augmenter son pouvoir d'achat d'un montant équivalent, grâce notamment une baisse des prix dans la grande distribution.
 
Interrogé lundi, M. Chatel a refusé de donner des prévisions sur les évolutions de prix à venir, mais il avait indiqué la veille qu'ils étaient "5% plus chers en moyenne que les autres pays européens dans la grande consommation".
 
Les distributeurs préviennent que les prix vont continuer de monter. Michel-Edouard Leclerc, patron des centres éponymes, prévoit une augmentation de 4% chaque mois au cours du premier semestre, alors que le patronat des distributeurs (FCD) évoque +3% sur l'ensemble de l'année.
 
http://www.boursorama.com/infos/ac [...] ws=5186466


 
 
 
 

n°14178296
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 27-02-2008 à 09:01:12  profilanswer
 

Le CNE est mort.

n°14244695
starone
l'europe c'est bien, mangez-en
Posté le 05-03-2008 à 09:53:54  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

entendu sur rtl ce soir par edwie plenel  
 
20 des 27 pays européens ont un smic, le smic français n'est pas du tout le plus elevé  
 
par contre 17% des français sont au smic seul la bulgarie fait mieux  
3% des anglais en comparaison.
 
Le cout du travail ? un ouvrier allemand gagne 34% de plus qu'un français...


 
Dans le SMIC français tu as la protection sociale, la retraite,.... tout ça pour environ 12 000 euros par an... qui ne vont donc pas directement dans la proche du salarié. Alors les smics comparés : net? brut? cout total pour la boite? avec ou sans protection sociale?

n°14261188
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 06-03-2008 à 19:22:09  profilanswer
 

http://fr.news.yahoo.com/rtrs/2008 [...] ?printer=1
 

Citation :

Le taux de chômage à 7,5% en France, au plus bas depuis 1983
 
Reuters - Jeudi 6 mars, 09h52PARIS (Reuters) - Le taux de chômage a baissé à 7,5% en France métropolitaine au quatrième trimestre 2007, s'inscrivant à son plus bas niveau en 25 ans, selon les chiffres publiés par l'Insee.
 
Les résultats trimestriels de l'Enquête emploi de l'Insee tombent à point nommé pour le gouvernement à trois jours du premier tour des élections municipales.
 
La ministre de l'Economie et des Finances, Christine Lagarde, constatant une "amélioration structurelle sensible du marché du travail", a confirmé l'objectif d'un taux de chômage ramené à 5% en 2012.
 
Les économistes s'attendent toutefois à ce que cette embellie ne dure pas compte tenu du ralentissement de l'économie mondiale qui n'épargnera pas la France.
 
Le taux de chômage de 7,5% au sens du Bureau international du Travail est le plus faible depuis le quatrième trimestre de 1983, quand il était de 7,3%, selon l'Institut national de la statistique.
 
Celui du troisième trimestre 2007 a en outre été révisé en légère baisse à 7,8% contre 7,9% précédemment annoncé. Il était de 8,1% au deuxième trimestre 2007 et de 8,4% les deux trimestres précédents.
 
En moyenne au quatrième trimestre, 27.964.000 personnes étaient actives en France métropolitaine, soit 56,5% de la population de 15 ans et plus. Parmi elles, 2.084.000 étaient au chômage au sens du BIT et 25.880.000 avaient un emploi, précise l'Insee dans un communiqué.
 
Le taux d'emploi de la population âgée de 15 à 64 ans a progressé à 64,8% contre 64,4% au troisième trimestre et celui des 55-64 ans est passé de 41,3 à 41,6%, une tendance jugée particulièrement encourageante par le ministère de l'Economie et des Finances.
 
ACCÉLERER LES RÉFORMES
 
"Christine Lagarde est confiante dans la poursuite de cette évolution, qui devrait continuer à tirer profit des évolutions de l'économie française et de l'amélioration du fonctionnement du marché du travail", lit-on dans un communiqué du ministère qui rappelle les quelque 300.000 créations d'emplois en France en 2007.
 
"Christine Lagarde considère que ces évolutions (...) confortent l'accélération des réformes qu'elle met en oeuvre pour libérer le travail, soutenir la compétitivité des entreprises et moderniser le service public d'emploi, afin de parvenir à un taux de chômage de 5% et un taux d'emploi de 70% en 2012", ajoute Bercy.
 
"C'est une forte baisse et il est compréhensible que le gouvernement s'en réjouisse", commente Jean-Christophe Caffet, économiste chez Natixis.
 
"En même temps, on sait que l'emploi et le chômage sont des indicateurs décalés par rapport à l'activité. Avec le ralentissement observé en fin d'année dernière et au début de cette année, nous pensons que l'amélioration du marché de l'emploi que nous avons connue depuis trois ans touche à sa fin", dit-il en ajoutant que le taux de 7,5% de la fin 2007 est "certainement un point bas".
 
"Les principaux déterminants de l'amélioration de l'emploi en 2007 ont été le secteur de la construction et celui des services avec notamment les services financiers. Avec le ralentissement du marché immobilier et les difficultés que traverse le secteur financier, il est peu probable que ces deux moteurs continuent de tourner à plein", fait valoir Jean-Christophe Caffet.
 
Pour l'ensemble de la France métropolitaine et des départements d'outre-mer, le taux de chômage s'est établi à 7,8% au quatrième trimestre contre 8,2% au troisième.
 
Véronique Tison


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
n°14261197
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 06-03-2008 à 19:23:04  profilanswer
 


http://fr.news.yahoo.com/rtrs/2008 [...] ?printer=1
 

Citation :

Les retraités manifestent pour leur pouvoir d'achat
 
Reuters - il y a 1 heure 58 minutesPARIS (Reuters) - Des milliers de retraités ont manifesté jeudi à Paris et dans les grandes villes à l'appel des syndicats pour demander une augmentation des pensions, à trois jours des élections municipales et à quelques semaines d'une possible relance de la réforme du régime général.
 
Aux cris de "Augmentez nos retraites" et "Fillon, du pognon", derrière des camions dont la sono pastichait des chansons de Carla Bruni, des milliers de personnes - 3.000 selon la préfecture, 10.000 selon les organisateurs - ont manifesté à Paris dans le quartier des ministères, avec la présence notamment de Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT.
 
Une délégation de représentants syndicaux a été reçue à la mi-journée par un conseiller du Premier ministre. Selon la CGT, "le conseiller a renvoyé une éventuelle revalorisation au rendez-vous 'retraites 2008'", après les élections.
 
L'UMP a estimé dans un communiqué que le gouvernement avait déjà agi et a évoqué les "mesures générales en faveur du pouvoir d'achat : diminution des prix dans la grande distribution, ajustement de l'augmentation des loyers".
 
Dans les régions, la CGT fait état d'une centaine de manifestations. Selon les préfectures et la police, 500 personnes ont notamment manifesté à Marseille, 140 à Strasbourg, 300 à Nancy et 300 à Briey, 150 à Besançon, 500 à Rennes, de 700 à 1.000 à Toulouse, plusieurs centaines à Lille.
 
A Paris, le cortège était composé en majorité de retraités de la fonction publique, mais certains étaient venus à titre individuel, en couples, marchant parfois en s'aidant de cannes.
 
"Je suis un pauvre con de l'Archèche", affichait sur son dos un marcheur, clin d'oeil au chef de l'Etat. Les personnes interrogées par Reuters affirmaient toutes avoir changé leurs habitudes en raison de la hausse des prix.
 
"Je voyageais plus avant, maintenant je pars moins en vacances, ou alors chez des copains. On fait aussi attention de ne pas chauffer toutes les pièces, parce que c'est trop cher", a dit Thérèse Gasnier, 68 ans, retraitée de Ris-Orangis (Essonne).
 
"CRI DE DETRESSE", DIT THIBAULT
 
Bernard Thibault, qui parle de "cri de détresse", a déclaré à Reuters que l'action anticipait la suite prochaine de la réforme Fillon de 2003, qui pourrait amener l'allongement de la durée de cotisation à 41 ans dans la fonction publique.
 
"La situation est urgente socialement et si on ne fait rien, nous prenons le risque, dans un pays comme la France, d'avoir des dizaines de milliers de retraités pauvres, alors que certains (...) déjà aujourd'hui, se privent de soins de santé et ont de plus en plus de mal à se loger", a-t-il dit.
 
"C'est évident qu'une manifestation, une mobilisation comme aujourd'hui, nous rend plus fort pour dire au gouvernement qu'il ne faut absolument pas s'inscrire dans la logique des réformes précédentes, parce que c'est elle qui participe à dégrader le niveau des retraites versées", a-t-il ajouté.
 
Les réformes ont rendu plus ardue l'obtention d'une pension à taux plein. Selon les derniers chiffres officiels disponibles, la France comptait en 2005 13,5 millions de retraités, soit un habitant sur cinq. Environ 600.000 de ces personnes percevaient l'allocation de solidarité, le "minimum vieillesse", qui est au maximum de 628 euros.
 
Les retraites ont été augmentées au 1er janvier dernier de 1,1%. De récentes études officieuses puis officielles ont montré des augmentations des produits alimentaires de base depuis novembre allant jusqu'à 30%, voire 40%.
 
Nicolas Sarkozy a promis d'augmenter les "petites" retraites et de relever le minimum vieillesse de 25% d'ici 2012. Une avance de 200 euros est annoncée pour le "minimum" fin mars.
 
Les syndicats affirment que la paupérisation des retraités est d'ores et déjà une réalité, notamment pour les femmes, dont les carrières sont souvent incomplètes ou peu rémunératrices. Un tiers des retraitées toucherait moins de 700 euros par mois, et la moitié moins de 900 euros, selon la CGT.
 
Le premier syndicat français réclame notamment un rattrapage immédiat de 200 euros pour tous les retraités, l'instauration d'un minimum au niveau du Smic et l'augmentation des pensions de "réversion" versé aux veufs et aux veuves au titre de leur conjoint décédé.
 
Thierry Lévêque


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
n°14261205
Yop ma cai​lle
Assassin d'enfants
Posté le 06-03-2008 à 19:23:57  profilanswer
 

http://fr.biz.yahoo.com/27022008/2 [...] u-cne.html
 
 

Citation :

mercredi 27 février 2008, 18h26  
 
Le gouvernement confirme la disparition du CNE
 
CAEN (Reuters) - Le Premier ministre, François Fillon, a confirmé mercredi la disparition prochaine des contrats nouvelles embauches (CNE), déclarés incompatibles avec le droit international.
"C'était inscrit dans les décisions de justice qui ont été prises. Le gouvernement, naturellement, est respectueux des conventions internationales et préfère les solutions négociées par les partenaires sociaux", a-t-il déclaré à la presse lors d'un déplacement à Caen, dans le Calvados.
 
A la question de savoir si cette décision était un désaveu du gouvernement de Dominique de Villepin, qui avait institué ce contrat, François Fillon a répondu : "Ça montre simplement qu'il faut le plus possible aller vers la négociation sociale parce que ça donne des solutions plus durables, plus sûres sur le plan juridique et plus acceptées par tout le monde".
 
Créé en août 2005 et destiné aux petites entreprises, le CNE prévoit une période d'essai de deux ans durant laquelle il est possible de licencier sans motif. Ce contrat a été condamné par le Bureau international du travail.
 
Le porte-parole du gouvernement, Laurent Wauquiez, a expliqué que les CNE seraient transformés en contrat à durée indéterminée lorsque la période d'essai est dépassée et en contrat à durée déterminée lorsqu'elle court toujours.
 
"On transforme les CNE en CDI et ceux qui sont en dessous de la période d'essai restent sur des contrats à durée déterminée", a-t-il dit lors du compte rendu du conseil des ministres.
 
"Le but est de transformer le stock de CNE suite aux décisions de justice qui sont intervenues, notamment sur la compatibilité avec le droit international du travail", a-t-il ajouté.
 
Laurent Wauquiez a estimé que le nombre de CNE devait actuellement être inférieur à 100.000, tout en précisant qu'il n'avait "pas de chiffre précis".
 
"Je ne pense pas que ça puisse avoir un impact sur les chiffres du chômage", a-t-il ajouté.
 
Jean-Baptiste Vey et Elizabeth Pineau


---------------
Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons, mais il ne faut pas oublier qu'ils le sont.
mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  17  18  19  ..  22  23  24  25  26  27

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
Legislatives 2007 1er tour : vote apres la victoire de Sarkozy[Législatives 2007] Qui gagnera l'Assemblée Nationale ?
Nicolas Sarkozy President De la France 2007Portes ouvertes du parc ACROMIX 01/07/2007
Intentions de vote aprés le débat du 02/05/2007??assurance chomage formation
Prime à l'emploiComment concilier le travail, les loisirs et le reste?
A Drum'n Bass Addicted...by Dj kriktus (new mix avril 2007) 
Plus de sujets relatifs à : Emploi/Travail 2007-2012. Le chômage s'envole


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)