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Auteur Sujet :

Emploi/Travail 2007-2012. Le chômage s'envole

n°20334935
Bad Bond
Agent #003
Posté le 26-10-2009 à 20:32:10  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

starone a écrit :


 
Pas le bon topic. Mais la réponse est malheureusement non. Si tu as 3 ans d'ancienneté ça se negocie je crois.


ok
t'as quoi comme source de ce coté là ?


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recordman du jeu du screenshot : Okiron en 12Secondes
mood
Publicité
Posté le 26-10-2009 à 20:32:10  profilanswer
 

n°20340564
starone
l'europe c'est bien, mangez-en
Posté le 27-10-2009 à 10:56:56  profilanswer
 

Ca a déjà été discuté sur un autre topic, coté salaire je crois et on avait fait une recherche sur le site du pôle emploi. J'étais très étonné car une rupture de période d'essai par l'employeur et bien une rupture par l'employeur et pas une démission, donc je trouve ça totalement anormale.

n°20345500
Bad Bond
Agent #003
Posté le 27-10-2009 à 17:21:18  profilanswer
 

j'ai pas compris ta dernière phrase
tu peux la reformuler stp


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recordman du jeu du screenshot : Okiron en 12Secondes
n°20375859
starone
l'europe c'est bien, mangez-en
Posté le 30-10-2009 à 10:02:06  profilanswer
 

mmmm c'était clair pourtant.
Ce qui compte normalement pour que l'ASSEDIC te prenne en charge ou non (en dehors des aspects cotisations) c'est que ce soit l'employeur qui ai décidé de rompre le contrat de travail et pas toi. Même en cas de faute lourde tu as le droit à l'ASSEDIC par exemple.
Donc je ne comprends pas pourquoi, lorsque l'employeur met fin à une période d'essai, tu n'as pas le droit à l'ASSEDIC. Pourtant, c'est comme ça. A mon avis, ça peut se plaider au tribunal d'ailleurs.

n°20384269
Bad Bond
Agent #003
Posté le 30-10-2009 à 21:23:25  profilanswer
 

ok d'acc
merci bien


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recordman du jeu du screenshot : Okiron en 12Secondes
n°20824871
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 08-12-2009 à 23:12:24  profilanswer
 

http://www.lesechos.fr/pme/social/ [...] -diete.htm
 
Salaires  2010 : les cadres à la diète
 
[ 08/12/09  ] 1 commentaire(s)
Côté rémunérations, 2009 était une année noire. 2010 s'annonce plus sombre encore. De quoi inquiéter les DRH, qui, contraints de resserrer les cordons de la bourse, craignent le désengagement de leurs équipes en cas de rebond.  
 
Du jamais-vu depuis 1995 ! En 2010, l'enveloppe vouée aux augmentations des cadres ne devrait pas dépasser 2,4 %, pour une inflation prévue à 1,2 %. Et à peine 1,5 % sera attribué individuellement, selon l'enquête de Cegos, réalisée en partenariat avec « Les Echos » sur les salaires des cadres.
 
Déjà, en 2009, les fiches de paye avaient déçu. A l'orée de la tourmente financière, les DRH, rodés à la croissance, avaient pourtant évalué à 3,7 % le montant des augmentations de 2009. Hélas, surprises par la violence de la crise, nombre d'entreprises ont dû faire marche arrière. Ainsi, Michelin a dû ramener les 2,2 % d'augmentations envisagées pour ses cadres à zéro. De son côté, le géant du conseil Accenture a gelé les salaires pour la première fois de son histoire ! Bilan, selon Cegos, en 2009, les augmentations n'ont pas excédé 2,5 %, pour une inflation, il est vrai, quasi nulle. Et quelque 37 % des 600 cadres sondés n'ont rien perçu.  
Nuages sur le front de l'emploi
 
Phénomène inédit : l'an dernier, sur les traces du tour-opérateur Donatello, qui a proposé de réduire de 10 % les rémunérations pour éviter des départs, plusieurs employeurs, dont le loueur Hertz, ont mis en balance baisse des salaires et licenciements.
 
Sur le front de l'emploi, l'année 2010 ne s'annonce guère plus clémente. Un quart des 157 DRH sondés songent à réduire leur masse salariale et 13 % ne se prononcent pas sur leurs intentions. De même, l'enveloppe des récompenses devrait se réduire comme peau de chagrin, même chez les employeurs qui, soucieux de garder leurs talents, s'étaient jusque-là montrés généreux. En témoigne Areva, qui a distribué en 2009 4 % d'augmentations individuelles : « Nous ne passerons pas de 4 % à zéro, mais 2010 sera sans doute marquée par un ralentissement »,commente son DRH, Philippe Vivien.
 
De quoi créer un dilemme, notamment dans des PME qui, contrairement aux grands groupes, ne disposent pas de tout un arsenal pour fidéliser leurs troupes : 53 % d'entre elles redoutent que la mise des cadres à la diète n'engendre des problèmes de recrutement. L'incertitude règne. « Nos augmentations sont largement au-dessus de la moyenne, mais je ne sais pas si je pourrais garder ce niveau en 2010, raconte Sylvain Breuzard, PDG de Norsys, une SSII de 200 personnes. Toutefois, il y aura des augmentations, q uitte à puiser dans notre trésor de guerre. Si les entreprises ne récompensent pas leurs équipes, elles ne devront pas se plaindre de voir leurs salariés faire preuve d'opportunisme le moment venu. »
« Les CV commencent à circuler »
 
Or les DRH, contraints de resserrer les cordons de la bourse, craignent de ne pas pouvoir fidéliser leurs compétences clefs en cas de rebond. Beaucoup redoutent aussi le désengagement des équipes s'ils imposent deux ans de disette.Pourtant durement éprouvé par la crise, Renault promet ainsi à ses 37.000 salariés français que « mê me si les revenus disponibles sont à la baisse, il n'y aura pas de deuxième année blanche », déclare son DRH France Jean Agulhon.
 
Côté cadres, le désengagement est latent. « Crise ou pas, nos objectifs n'ont pas changé. Mais le rythme des reportings et la pression se sont accentués. Or les augmentations ne sont pas là. Les CV commencent à circuler », commente ce salarié d'une banque. Lassitude, aussi, pour cette cadre supérieure d'un grand groupe : « Depuis la crise, nos salaires sont gelés. Notre variable est indexé à la fois sur le groupe et sur les objectifs individuels. Bien qu'ayant atteint mes objectifs, j'ai perdu 15 % de mon salaire. La colère prend le pas sur la motivation. Je suis contente d'avoir un job, mais il ne faudrait pas que les sacrifices durent. »
Individualiser ou saupoudrer ?
 
Pour les employeurs, l'équation est délicate. D'autant que, même en pleine tempête, « on ne peut pas négocier de politique salariale sans se projeter après la crise », analyse Jean-Paul Bouchet, numéro un de la CFDT-Cadres. Aussi, « nous sommes ballottés entre deux réflexes : celui d'individualiser davantage les rémunérations pour maintenir les meilleurs, et celui d'augmenter plus globalement pour éviter un désengagement général » , explique Christophe Catoir, directeur général d'Adecco Experts, filiale du groupe Interim, spécialisée dans le recrutement des cadres.
 
Aide au logement, chèque emploi-service... nombre de DRH réfléchissent à développer des aspects non monétaires de la rémunération. Mais, dans l'immédiat, leurs armes sont limitées : ajustements d'effectifs, recul des augmentations générales et, pour 82 % d'entre eux, sélectivité accrue dans les augmentations individuelles. « Autant, en période de croissance, on peut adopter une politique plus généreuse, autant, en ce moment, il faut affiner pour investir sur les bonnes compétences. Car, pour un cadre, il est bien plus motivant d'avoir une différenciation marquée que de bénéficier de saupou drage », commente Anne Mercier-Gallay, DRH du groupe Monoprix.
 
Tous les cadres ne l'entendent pas de cette oreille. Seuls 29 % d'entre eux se disent prêts à accepter une forte hausse de leur variable. « En période de crise, les cadres sont hostiles au côté aléatoire ! », observe Christophe Catoir. D'ailleurs, 55 % sont contre l'arrêt des augmentations générales. Et, malgré une inflation dérisoire, 44 % déplorent une dégradation de leur pouvoir d'achat. « Les rémunérations sont du domaine du perçu », analyse Philippe Canonne, DRH de Sephora.
Soif d'équité
 
Justement, les perceptions sont maussades. 37 %  des DRH craignent que ne se renforce la césure entre employés et managers de proximité d'un côté, et cadres dirigeants de l'autre. Dans certaines entreprises, le divorce semble consommé. Hormis les managers, qui ont accepté, plus de 90 % des salariés d'HP (surtout des cadres) auraient, selon les syndicats, refusé de diminuer leurs salaires malgré le spectre d'un plan social... Or ils avaient donné leur accord à pareille disposition, sans sourciller, par le passé. « A l'époque, la mesure était temporaire, se souvient Odile Sczyglowski, déléguée du personnel CFTC chez HP. L'entreprise n'allait pas bien, nous le comprenions  et personne n'hésitait à donner des jours de congés ou à diminuer son salaire. Aujourd'hui, on nous parle de la crise. Mais HP s'en sort très bien. » L'initiative, prise à l'échelle mondiale est, selon la direction, à replacer dans la morosité économique de l'hiver 2009. Mais les syndicats ne décolèrent pas. « En plus, certains dirigeants ont reçu des primes colossales. Ca a créé un formidable sentiment d'injustice  », poursuit Odile Sczyglowski.
 
Un décalage évoqué aussi par les employés de la Société Générale, en grève fin novembre contre des promesses d'augmentations jugées faibles au regard des centaines de millions d'euros de bonus versés en cash et en actions pour 2009.
 
Soucieux de se sentir davantage associés à l'entreprise, 88 % des cadres plaident donc pour une hausse du niveau d'intéressement. Ce que seuls 28 % des DRH semblent envisager. De même, assurer la transparence des rémunérations est primordial pour 86 % des salariés. « Il faut plus que jamais communiquer », juge Sylvain Breuzard, qui ne cache rien, ni de son salaire, ni de sa politique salariale. Mais seuls 38 % des DRH entendent lever le voile. Une attitude risquée, selon Philippe Canonne  : « De tels écarts annoncent les prémices d'un divorce. Or les cadres font preuve d'une grande loyauté. Il y a une demande d'équité considérable. Mais les ponts ne sont pas rompus. Il faut en tenir compte. »
LAURANCE N'KAOUA, Les Echos
Pour 2009, les DRH avaient initialement évalué à 3,7 % le montant des augmentations, pour n'accorder finalement que 2,5 % du fait de la crise.
Pour 2009, les DRH avaient initialement évalué à 3,7 % le montant des augmentations, pour n\'accorder finalement que 2,5 % du fait de la crise.Pour 2009, les DRH avaient initialement évalué à 3,7 % le montant des augmentations, pour n\'accorder finalement que 2,5 % du fait de la crise.


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marilou repose sous la neige
n°20830083
dante2002
HEUUU NOOOOOOOOON
Posté le 09-12-2009 à 14:04:52  profilanswer
 

Très interessant :)


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Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
n°20830300
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-12-2009 à 14:19:22  profilanswer
 

tu m'étonnes, pourqqun qui lit que des BD et lorrain magazine  [:littlebill]


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marilou repose sous la neige
n°20830403
Leg9
Fire walk with me
Posté le 09-12-2009 à 14:27:52  profilanswer
 

Citation :

En 2010, l'enveloppe vouée aux augmentations des cadres ne devrait pas dépasser 2,4 %, pour une inflation prévue à 1,2 %. Et à peine 1,5 % sera attribué individuellement

Bah... 1.5% + 2.4% c'est déjà pas si mal :o

Message cité 1 fois
Message édité par Leg9 le 09-12-2009 à 14:38:47

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If I could start again, a million miles away, I would keep myself, I would find a way... "Loreleï's dead ; Heaven is about to fuzz."
n°20830541
dante2002
HEUUU NOOOOOOOOON
Posté le 09-12-2009 à 14:38:16  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :

tu m'étonnes, pourqqun qui lit que des BD et lorrain magazine  [:littlebill]


 
Je lis LeMonde moi monsieurs  :o


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Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
mood
Publicité
Posté le 09-12-2009 à 14:38:16  profilanswer
 

n°20830762
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 09-12-2009 à 14:57:18  profilanswer
 

Leg9 a écrit :

Bah... 1.5% + 2.4% c'est déjà pas si mal :o


Dès que ça dépasse + 0,000 % toi c'est pas si mal on dirait [:ocube]


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Horse_man
n°20834505
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-12-2009 à 20:58:36  profilanswer
 

dante2002 a écrit :


 
Je lis LeMonde moi monsieurs  :o


apres ta journée et ton trajet en diesel ? :/
 
moi je le lis le matin, en arrivant ;)


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marilou repose sous la neige
n°20834507
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-12-2009 à 20:58:54  profilanswer
 

Black_Jack a écrit :


Dès que ça dépasse + 0,000 % toi c'est pas si mal on dirait [:ocube]


tu vas avoir 600€ en fevrier toi :o


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marilou repose sous la neige
n°20834538
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 09-12-2009 à 21:02:00  profilanswer
 

Pour services rendus à la nation...il le faut :/


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Horse_man
n°20834548
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-12-2009 à 21:02:49  profilanswer
 

pour des proc freq ....


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marilou repose sous la neige
n°20834582
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 09-12-2009 à 21:05:29  profilanswer
 

Ah non, un poil plus complexe, 'tention :o


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Horse_man
n°20834603
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-12-2009 à 21:06:55  profilanswer
 

des macro ? [:cupra]


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marilou repose sous la neige
n°20834631
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 09-12-2009 à 21:09:09  profilanswer
 

yep et avec des call symput, des macros dans des macros (  [:oh shi-] ) et j'en passe [:jdbh]


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Horse_man
n°20837862
dante2002
HEUUU NOOOOOOOOON
Posté le 10-12-2009 à 06:46:54  profilanswer
 

vapeur_cochonne a écrit :


apres ta journée et ton trajet en diesel ? :/
 
moi je le lis le matin, en arrivant ;)


 
En fait je ne le lis que le week end, ayant trop peu de temps libre, je ne suis abonné que le we :(


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Parce que le vote pour Emmanuel Macron n'est pas un vote de conviction mais une nécessité démocratique
n°20838061
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 10-12-2009 à 08:42:16  profilanswer
 

dante2002 a écrit :


 
En fait je ne le lis que le week end, ayant trop peu de temps libre, je ne suis abonné que le we :(


oui cc'est pour avoir le monde2 et le dvd ...


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marilou repose sous la neige
n°21193336
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 13-01-2010 à 11:28:21  profilanswer
 

http://www.lemonde.fr/politique/ar [...] r=RSS-3208


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marilou repose sous la neige
n°21300930
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 22-01-2010 à 20:26:59  profilanswer
 

http://prdchroniques.blog.lemonde. [...] r=RSS-3208
 
 
Mohamed, dit Laurent
 
Lorsqu’il est entré en 2000 comme employé dans une maison pour personnes âgées, à Marseille, Mohamed A. a accepté de mettre un badge sur sa blouse au prénom de Laurent. C’était son employeur qui le lui avait demandé. Mieux valait adopter un prénom qui puisse convenir “au type de clientèle fréquentant l’établissement, en l’occurence la bourgeoisie marseillaise”, lui avait-on dit. Et puis, il y avait déjà quatre Mohamed employés dans la maison de retraite, avait-on ajouté.
 
Après deux ans de service, “Laurent” a écrit une lettre pour solliciter le droit de reprendre son véritable prénom ce que la direction a aussitôt accepté.  registresetat-civil.1264176959.jpgQuelques mois plus tard, suite à divers incidents et difficultés, Mohamed A. a été licencié pour faute grave.
 
Devant le conseil des prud’hommes de Marseille, il a contesté ce licenciement, mais il a été débouté. En 2007, nouvel échec devant la cour d’appel d’Aix-en-Provence qui confirme le jugement.  
 
Mohamed A., qui s’estime victime d’une discrimination, dépose alors un recours devant la cour de cassation.
 
Dans un arrêt rendu le 10 novembre 2009 - qui donne lieu à un long commentaire dans la Gazette du palais des 6 et 7 janvier, la chambre sociale de la cour de cassation casse l’arrêt de la cour d’appel. ”Le fait de demander au salarié de changer son prénom de Mohamed pour celui de Laurent est de nature à constituer une discrimination à raison de son origine”, constate-t-elle en précisant que “la circonstance que plusieurs salariés portaient le prénom de Mohamed n’était pas de nature à caractériser l’existence d’un élément objectif susceptible de la justifier”.
 
Elle considère que “la seule constatation de la demande d’un changement de prénom par l’employeur lorsque ce prénom traduit une origine ethnique ou géographique ou l’appartenance à une religion” est une violation de l’article L 1132-1 du code du travail et du préambule de la Constitution du 4 octobre 1958.


Message édité par vapeur_cochonne le 22-01-2010 à 20:28:35

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marilou repose sous la neige
n°21778298
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 05-03-2010 à 11:45:10  profilanswer
 

on pourrait mettre suicide dans le titre pour le retrouver plus facilement :o²


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marilou repose sous la neige
n°22284116
darkangel
C2FFA
Posté le 20-04-2010 à 11:32:10  profilanswer
 

'tain les règles sont vraiment mal foutues :o Il y a un an et demi, je me suis arrêté pour pour suivre une formation à mes frais à 100%, la je viens de me réinscrire pour trouver un emploi et on me dit que je n'ai même pas le droit de toucher d'aide à la reprise parce-que j'ai dépassé le délai maximal de 12mois avant inscription depuis ma dernière activité salariée [:ubik75]  
C'est formidable cette aide à la reprise [:neowen]

n°23093398
yoyo tchik​ita
Je suis le mythe d'HFR
Posté le 25-06-2010 à 07:38:08  profilanswer
 

up


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Je suis un mâle alpha, et j'aurais tendance à dire que je vous aime tous mais je sais que je suis la personne la plus brillante du forum. Pourquoi ? Je suis mignon, intelligent, marrant, malin....-> voir la suite dans ma config matérielle...
n°23319797
douleur po​stnuptiale
Femme de goût
Posté le 15-07-2010 à 22:12:16  profilanswer
 

up :o²


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putain dante tu fais chier :fou:
n°23358313
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 20-07-2010 à 11:03:52  profilanswer
 

http://www.lemonde.fr/economie/art [...] r=RSS-3208

Citation :

 

Baisses de salaires ou augmentation du temps de travail contre maintien de l'emploi.
 Ce donnant-donnant d'un genre nouveau en France se multiplie dans les entreprises. Ainsi, General Motors est en négociation avec les salariés de son ancien site de Strasbourg. Cette usine, qui fabrique des boîtes de vitesse, est aujourd'hui entre les mains de MLC, la société chargée de céder les actifs du constructeur américain à la suite de sa faillite prononcée en 2009.

 

Un an plus tard, à la faveur de son retour à meilleure fortune, GM veut bien reprendre le site, mais à condition que les 1 150 salariés s'alignent sur les coûts de production des usines mexicaines du groupe. Concrètement, cela aboutirait à une baisse des salaires de 10 % et à renoncer à un tiers des jours de réduction du temps de travail (RTT). Le référendum se déroule jusqu'à 23 heures, lundi soir.

 

L'exemple n'est pas isolé. Ainsi, Continental négocie actuellement avec les syndicats des sites de Toulouse, Boussens (Haute-Garonne) et Foix (Ariège) une réduction de divers avantages afin de diminuer les coûts salariaux de 8 %. Pour y arriver, la direction du fabricant allemand de pneus évoque l'abandon de jours de RTT, la baisse des cotisations sociales, la réduction des primes d'intéressement ainsi qu'une limitation des augmentations de salaires à 1,2 % en 2011. Une réunion de négociation est prévue jeudi 22 juillet.

 

GEL DES SALAIRES PENDANT TROIS ANS

 

Mais la CGT et la CFDT, qui représentent 60 % des voix au comité d'entreprise ont pour le moment refusé les propositions de la direction. Les syndicats font valoir que les trois sites, qui fabriquent des capteurs électroniques, ont dégagé globalement un bénéfice de 38 millions d'euros. De plus, la crise a déjà conduit à supprimer une centaine de postes. Une négociation similaire a été engagée par Continental sur son usine située en Bavière.

 

Dans ce débat sur le détricotage des 35 heures, Bosch avait ouvert la brèche en 2004. Pour assurer la pérennité du site de Vénissieux (Rhône), l'équipementier allemand avait supprimé six jours de RTT sur vingt, sans compensation salariale. Parallèlement, les salaires avaient été gelés pendant trois ans et les majorations des heures de nuit avaient été revues à la baisse. L'effort avait permis le déblocage de 25 millions d'euros d'investissement pour cette usine qui fabrique des systèmes d'injection. Mais les normes d'émission de CO2 sont en train d'évoluer et il n'est pas évident que Vénissieux se voit attribuer la fabrication des systèmes de nouvelle génération. Le ballon d'oxygène obtenu en 2004 pourrait donc être de courte durée.

 

Le producteur de volailles Doux avait négocié le même type d'accord que chez Bosch. Il s'agissait de revenir sur les 33 heures hebdomadaires accordées en 1999 pour passer aux 35 heures.

 

Désireuse de restaurer sa compétitivité, la direction de Goodyear-Dunlop à Amiens (Somme) avait elle aussi demandé, en 2007, des efforts à ses salariés. L'idée : passer aux "4×8", c'est-à-dire quatre fois huit heures, afin de faire tourner les machines en continu. Après des mois de conflit, les nouvelles cadences ont été instaurées.

 

Les salaires ont été légèrement compensés mais le rythme de travail est devenu plus pénible. En revanche, dans l'usine Goodyear appartenant au même groupe et situé juste en face, les salariés avaient refusé de se plier à cette exigence en matière de compétitivité. Bilan : la production de pneus tourisme a filé sur d'autres sites européens.
Stéphane Lauer


Message édité par vapeur_cochonne le 20-07-2010 à 11:04:47

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marilou repose sous la neige
n°23358542
240-185
Yoshi anthropophage ò('')ó
Posté le 20-07-2010 à 11:25:20  profilanswer
 

Une offre du Pole-Emplwa reçue à l'instant :

 

Numéro de l'offre 921044W
Offre proche de vos critères

 

Technicien / Technicienne de maintenance de réseaux informatique
(Code Métier ROME I1401)
SOCIETE DE DEPANNAGE ET INSTALLATION DE PC RECHERCHE UN TECHNICIEN DE MA INTENANCE INFO ET RESEAUX. MISSION: DEPANNAGE, INSTALLATION, CONSEIL CHE Z DES TPE, PME ET PARTICULIERS. PROF IL: EXP. SIMILAIRE DE 2 A 5 ANS

 

Lieu de travail : 31 - TOULOUSE
Type et Nature du contrat : TRAVAIL INTERIMAIRE DE 10 JOURS / CONTRAT DE TRAVAIL
Expérience : EXIGEE DE 2 A 5 ANS
Salaire indicatif : HORAIRE DE 8,86 A 9 Euros (58,12 A 59,04 F)
Déplacements : JAMAIS
Horaires : 35H00 HEBDO

 

C'est moi ou cette annonce est la manifestation de la débilité profonde du DRH ?


Message édité par 240-185 le 20-07-2010 à 11:25:43

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Tel un automate, le Yoshi noir s'avance vers le chef des Chain Chomps et lui dit : « Le CEC reprend du service : http://www.latelier240.fr/CEC »
n°23361615
Black_Jack
Bo_Jack
Posté le 20-07-2010 à 15:39:11  profilanswer
 

C'est le salaire au vu de l'expérience exigée qui me choque.
Maintenant avec la crise, ils auront peut-être qu'à se baisser pour avoir des demandes.


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Horse_man
n°23508234
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 03-08-2010 à 10:58:26  profilanswer
 

http://www.rue89.com/economie-terr [...] ant-160732

Citation :


Qui se souvient encore de la promesse « Travailler plus pour gagner plus » ? Pas le préfet de Paris, qui vient de rejeter la demande de la mairie de Paris de classer les sept zones touristiques de la capitale en « périmètre d'usage de consommation exceptionnelle » (PUCE), ce qui aurait permis de mieux protéger les salariés du commerce et de la distribution y travaillant le dimanche.
 
C'est ce que nous apprennent Les Echos de ce lundi. Possibilité offerte par la loi Mallié d'août 2009 dans les régions parisienne, marseillaise et lilloise, le PUCE donne un cadre protecteur aux salariés travaillant le dimanche, à négocier via un accord collectif. A défaut d'accord, il leur garantit au moins un repos compensateur, un salaire doublé et la possibilité de refuser de travailler le dimanche.
 
Avec le classement « zone touristique » actuellement en vigueur, le travail dominical est de plein droit sans repos compensateur ni doublement de la rémunération. Rien n'interdit de négocier des contreparties, mais rien n'y oblige non plus, et le rapport de forces, favorable aux employeurs, n'incite guère ces derniers à faire des cadeaux.
« La loi Mallié est une loi faite pour les grandes enseignes »
 
La CFTC, qui dénonce le refus préfectoral, rappelle que Nicolas Sarkozy avait lui-même promis, en plein débat sur la loi Mallié (qui n'est à l'époque pas passée comme une lettre à la poste), que « ceux qui travailleront le dimanche seront volontaires et payés le double ». Nous voilà donc encore une fois face à une promesse non-tenue, où l'excès de démagogie permettant de faire passer la pilule de la loi, est vite oublié dans la mise en pratique.
 
Défendant sa paroisse, la CFTC déplore :
 
    « Une fois de plus la démonstration est faite que la loi Mallié sur le dimanche est une loi uniquement faite pour les grandes enseignes et ce, incontestablement, au détriment de la vie familiale, personnelle, associative et spirituelle. »
 
Non content de renier les promesses de campagne du candidat Sarkozy, le gouvernement a proposé d'allonger le nombre de zones touristiques dans la capitale, précisent Les Echos. De sept secteurs aujourd'hui (avenue des Champs-Elysées, place des Vosges et rue des Francs-Bourgeois, rue d'Arcole, la rue de Rivoli partiellement, le viaduc des Arts partiellement, Montmartre partiellement, le boulevard St-Germain partiellement), on passerait à beaucoup plus. Un projet à ce jour bloqué par la mairie de Paris.
 
Paris constate en outre sur le terrain un autre problème : celui de l'effet d'entraînement et de « décomplexitude » initié par le discours dérégulateur. De nombreuses supérettes ouvrent désormais le dimanche alors qu'elles ne le faisaient pas avant. Sans être situées ni en zone touristique ni en PUCE. Bref, en toute illégalité et sans être inquiétées par quiconque.


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marilou repose sous la neige
n°23543444
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 06-08-2010 à 08:42:28  profilanswer
 

http://www.lexpress.fr/medias/1058/542059_pole-emploi.jpg
 
250 100 emplois détruits en 2009, c'est un record jamais observé depuis l'après-guerre.
 
 
L'emploi salarié recule de 1,5 % entre fin décembre 2008 et fin décembre 2009, soit une perte nette de 256.100 postes de travail. Un tel niveau des destructions nettes d'emploi salarié n'avait jamais été observé depuis l'après-guerre selon les chiffres publiés hier par Pôle emploi.  
 
Après onze années de hausse ininterrompue, le secteur de la construction a réduit ses effectifs en 2009 (- 2,9 %). L'emploi dans le secteur tertiaire poursuit sa baisse (- 0,4 %) et les destructions d'emploi dans l'industrie s'accélèrent (- 5,2 %).  
 
L'emploi féminin a mieux résisté aux conséquences de la crise économique : il recule de 0,7 %, alors que l'emploi masculin chute de 2,2 %.  
 
Toutes les régions sont touchées
 
A l'exception de la Corse (+1,7%), toutes les régions sont frappées par les pertes d'emplois. les huit régions les plus touchées sont la Picardie (- 3,8 %), la Haute-Normandie (- 3,0 %), la Lorraine (- 2,6 %), le Centre (- 2,3 %), l'Alsace (- 2,2 %), Poitou-Charentes, Champagne-Ardenne et la Bourgogne (- 2,1 % chacune).  
 
Pour la première fois depuis 1976, le nombre d'établissements affiliés à l'Assurance chômage a baissé (- 0,5 %, soit 7 620 unités de moins). Cette baisse concerne toutes les tailles d'établissements. L'emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus, qui représente 75,2 % des salariés, connaît en 2009 une forte diminution (- 2,0 %), concentrant ainsi 98,5 % des pertes nette d'emploi.  


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marilou repose sous la neige
n°23544996
darkangel
C2FFA
Posté le 06-08-2010 à 11:10:28  profilanswer
 

[:parti manger]

n°23567187
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 09-08-2010 à 09:36:02  profilanswer
 

http://www.lesechos.fr/info/france [...] record.htm
 
Mieux ciblée, la lutte contre la fraude sociale engendre des redressements record
 
[ 09/08/10  - 01H00  - Les Echos  - actualisé à 00:35:50  ]
Les redressements ont permis à la Sécurité sociale de récupérer 781 millions d'euros l'an dernier, en hausse de 70 %, contre 213 millions restitués aux cotisants. Près des deux tiers des entreprises contrôlées ont fait l'objet d'un redressement. Le non-paiement de cotisations sur les primes et les avantages en nature arrive en tête des régularisations.

Citation :


Le bilan des contrôles réalisés par les Urssaf dans les entreprises l'an dernier est sans précédent. Il s'agit de détection de fraude mais aussi d'erreurs ou d'oublis de la part des employeurs. Les organismes qui recouvrent les cotisations pour le compte de la Sécurité sociale ont ainsi récupéré 781 millions d'euros en leur faveur au cours des redressements, 70 % de plus qu'en 2008. Les restitutions en faveur des cotisants, elles, sont beaucoup moins importantes (213 millions), et elles ont reculé de 15 %. Autrement dit : le « gain » net de ces opérations pour la Sécurité sociale a représenté près de 570 millions d'euros, contre un peu plus de 200 millions en 2008 !
 
Au total, les régularisations de prélèvements en faveur ou en défaveur de la Sécurité sociale ont atteint 994 millions d'euros, selon le bilan, encore provisoire, de l'Acoss, l'organisme qui chapeaute les Urssaf. Un bond de 40 % en un an. Comment expliquer une progression aussi fulgurante ? D'abord, elle survient après deux années de léger recul. La réorganisation du réseau des Urssaf a décalé dans le temps certains contrôles de grandes entreprises en 2007 et 2008. Surtout, les Urssaf ont fait des progrès importants « en termes de ciblage des cotisants à risque », affirme l'Acoss. Autrement dit, les inspecteurs du recouvrement se sont focalisés sur les cas les plus suspects, et ont perdu moins de temps à contrôler des entreprises en règle. Du coup, leur travail a été plus efficace.
Les petites structures épargnées
 
C'est une tendance visible depuis plusieurs années. Le taux de redressement -c'est-à-dire le nombre de redressements rapporté au nombre de contrôles réalisés -était inférieur à 40 % il y a dix ans, il dépasse 63 % aujourd'hui (voir graphique). Les Urssaf orientent les contrôles vers « les enjeux financiers importants », épargnant souvent les toutes petites structures : le taux de contrôle dépasse 20 % pour les entreprises de plus de 200 personnes, alors qu'il n'est que de 12 % pour celles qui emploient entre 10 et 200 salariés, et de 3 % pour celles de moins de 10 personnes.
 
Première cible des inspecteurs de l'Urssaf, les rémunérations qui ne sont pas soumises à cotisations. Primes, avantages en nature, intéressement ou participation représentent presque la moitié des redressements. Ces rémunérations sont parfois non conformes à la législation, ou bien elles dépassent les plafonds autorisés. Les redressements liés aux avantages en nature, en particulier -par exemple les véhicules de fonction -, sont en forte hausse en 2009.
 
Les mesures dérogatoires en faveur de l'emploi arrivent en deuxième position. Il s'agit essentiellement des allégements de charges dont bénéficient les entreprises pour les bas salaires. « La succession dans le temps des différentes mesures d'exonération de cotisations [Aubry I, Aubry II, Fillon…] génère des irrégularités », relève l'Acoss, qui pointe « la complexité des calculs ».
 
Certains employeurs ne respectent pas les différents seuils (les exonérations décroissent progressivement au fur et à mesure que le salaire augmente, jusqu'à la limite de 1,6 SMIC). Les anomalies concernant la déclaration des frais professionnels (repas d'affaires non justifiés par exemple), troisième chef de redressement, ont elles aussi vivement progressé l'an dernier. La lutte contre le travail illégal vient loin derrière en termes de montants, mais ce type de contrôle se développe rapidement (lire ci-dessous). Les contrôles donnent lieu à plus de 10.000 condamnations pénales chaque année.
VINCENT COLLEN, Les Echos


Message édité par vapeur_cochonne le 09-08-2010 à 09:36:33

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marilou repose sous la neige
n°25005501
vapeur_coc​honne
Stig de Loisir
Posté le 24-12-2010 à 14:15:37  profilanswer
 

Mauvaise nouvelle pour le réveillon de Noël. Après l'embellie du mois d'octobre, le marché de l'emploi enregistre une nouvelle dégradation en novembre. Selon les derniers chiffres parus ce vendredi, la Dares et Pôle emploi comptabilisent sur cette période plus de 4 millions de personnes à la recherche d'un emploi.
 
Et cette hausse s'observe aussi bien parmi les demandeurs d'emploi de catégorie A (sans emploi), qu'au sein des catégories A, B, C qui incluent les personnes travaillant à temps partiel. 2.698.100 personnes étaient ainsi sans emploi et à la recherche d'un emploi en novembre (catégorie A), soit une hausse de 0,8% par rapport au mois précédent.
 
Mauvaise surprise, le nombre de demandeurs d'emploi des catégories A, B et C, qui s'était inscrit en baisse en octobre pour la première fois depuis le début de la crise, repart en effet à la hausse, de 0,8% également sur un mois, franchissant à nouveau la barre des 4 millions de personnes. Sur un an, la hausse atteint 5%.
 
Hausse du chômage des jeunes
«Malgré cette augmentation sur un mois, ce chiffre témoigne de la stabilisation du nombre de demandeurs d'emplois depuis six mois», a jugé ce vendredi le ministre du travail Xavier Bertrand, après la publication des chiffres de Pôle emploi. «La mobilisation du gouvernement se poursuivra sans relâche afin que 2011 soit l'année de la baisse significative du chômage. L'effort portera en particulier sur les publics les plus fragiles», a-t-il fait savoir. L'emploi des jeunes notamment, figure parmi les priorités du ministère. Les discussions sur le sujet devraient démarrer entre les partenaires sociaux au début 2011, mais Xavier Bertrand compte d'ores et déjà prendre certaines mesures pour encourager l'apprentissage, conformément au souhait de Nicolas Sarkozy.
 
Si les extrêmités de la population active (jeunes et seniors) sont traditionnellement plus touchées par le chômage, celui des jeunes avait entamé, depuis quelques mois, une évolution positive. Sur un an, les moins de 25 ans en recherche d'emploi sont moins nombreux de 3,9%. Mais en novembre, leur nombre s'est à nouveau inscrit en hausse de 0,8% dans les trois premières catégories. Quant aux seniors, leur nombre a encore grossi en novembre de 1,5% sur un mois, et de 16,5% sur un an.
 
Dans ses prévisions pour les mois à venir, Pôle emploi anticipait début décembre une hausse du nombre de demandeurs d'emploi d'ici la fin de l'année. «Conséquence d'une croissance limitée et de créations d'emplois encore modestes, le chômage continuera à augmenter en 2010», prédit l'établissement public. En 2011 en revance, la tendance devrait s'inverser progressivement.


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marilou repose sous la neige
n°25365121
vanessa59
Posté le 29-01-2011 à 16:31:32  profilanswer
 

up

n°25520562
jdbh
multi
Posté le 14-02-2011 à 11:52:21  profilanswer
 

up


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[quote]Pour tous vos problèmes de sql, envoyez un MP a Harkonnen ! [/quote]
n°30851367
vanessa59
Posté le 05-07-2012 à 14:40:10  profilanswer
 

[:xeen] ce topic

n°32369681
michoudu59
Posté le 18-11-2012 à 19:28:44  profilanswer
 

j'ai une petite question qui me trotte dans la tête. Je sais qu'il faut travailler 4mois à taux pleins sur les 2 dernières années pour le toucher.
 
j'ai travaillé 2 mois en juillet aout 2011, puis j'ai continué mes études jusque juin 2012. Je fais actuellement, une année de césure et je travail actuellement depuis le 27aout. Mon contrat s’arrête jusqu'au 30 novembre.
 
Ce qui me fait un total de 5mois travaillé sur les 2 dernières années.
 
à votre avis, les deux mois d’intérims, job d'été de 2011 vont il être pris en compte alors que j'ai repris les études juste après ?

n°34240894
jdbh
multi
Posté le 08-05-2013 à 10:59:00  profilanswer
 

remonte petit topic :/


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[quote]Pour tous vos problèmes de sql, envoyez un MP a Harkonnen ! [/quote]
n°34642792
douleur po​stnuptiale
Femme de goût
Posté le 13-06-2013 à 09:08:44  profilanswer
 

en tout cas depuis la gauche c'est pas mieux ...


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putain dante tu fais chier :fou:
n°36226915
vanessa59
Posté le 17-11-2013 à 08:12:07  profilanswer
 

c'est meme pire

mood
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