Reprise du message précédent :
Je viens juste de tomber sur ce merveilleux topic, drapal donc
 
Je viens d'effectuer le test posté quelques pages plus tot et j'ai eu 57    
En fait cela ne fait que confirmer ce que je n'ose pas vraiment avouer, je doit souffrir de phobie sociale    
 
Est il normal de ne cotoyer absolument personne à 25 ans ?    
Quand je dit personne, tout est relatif, je doit bien croiser une ou deux personne par semaine lorsque je sort acheter des clopes ou du pain, mais cela ne va generalement pas plus loin.
Si on m'invite à une soirée, je decline poliment, pretextant un emploi du temps surchargé ou finit toujours pas trouver une autre excuse (alors que je passe mes journées seule chez moi devant le PC).
 
La moindre banalité du quotidien se transforme en epreuve, commander une pizza par telephone par exemple me donne des palpitations.  
 
Cela doit maintenant faire bientot 5-6 ans que je vis dans cette situation, et je doit bien admettre que cela devient de plus en plus difficile à gerer autant moralement que sur le plan materiel.  
Sans entretien d'embauche par exemple, pas de travail, donc pas d'argent, donc les factures s'accumulent, ainsi que les problemes,  et prendre l'initiative d'aller demander de l'aide dans un centre social m'effraie au plus haut point    
 
Bref 3615 my life toussa, mais je pense ne pas être la seule à vivre ce genre de chose
 
M'enfin...qui vivra verra  

Ben au vu du reste du message, non c'est pas normal
mais je compatis

 
hmmm  

Ah oui, le téléphone, dur dur. Pour ma part, je dirais que c'est une des choses les plus difficile à faire

 
... non tu n'es pas la seule. Et je comprend que ça doit devenir insupportable.  
 
EDIT : Il paraît que la confiance en soi est quelque chose qui s'apprend. Serais-ce ça dont tu as besoin?

Non je ne pense pas qu'on puisse dire que c'est dans la normalité. Après chacun peut trouver son compte, mais au vu de ton message c'est plus un problème pour toi.
 
Courage. Je vois pas autre chose à te dire.

Je suis à peu près dans le même cas que zog79 (du moins en ce qui concerne l'isolement), surement aussi un peu de phobie sociale, je suis assez timide et les entretiens d'embauche sont un calvaire...

Malheureusement je ne vois pas trop comment en sortir, les gens restant avec leur groupe d'amis, sans connaitre personne et bien on reste dans son coin...  

C'est exactement ça, les gens ont des amis depuis l'école, jeune, après ça me semble très difficile de pouvoir intégrer un groupe, ou en former un nouveau, avec qui ? tous sont déjà dans un groupe.

Je me sens pas trop seul
 
A part avec les miss mais ca va
 
Je plaisn vraiment les perssonnes sans groupe , au bahut c'ets géénralement hyper dure a vivre , mais c'ets vrai que les groupes sont fais et qu'il est dure d'en intégré un comme ca mais bon certains ne font pas forcément l'effort aussi

Moi c'est plutot après la fin de mes études que celà s'est dégradé, à la fac ou lycée ca allait, je m'integrais bien au groupe etc... mais par contre celà ne dépassait pas ce stade là, je voyais ces memes personnes très rarement en dehors des études...

En meme temps c'est un peu normal que, à la fin des études, le groupe auquel on appartenait se disloque un peu, les gens bougent, on se voit moins souvent, etc... Mais vous avez déja été voir un psy ou ce genre de chose concernant votre espèce de timidité maladive ?

 
J'en vois un jeudi de mon côté. Et on verra si ça peut m'aider.

Mais pourquoi passer des entretiens est un calvaire ?
 
Que des prétendus potes te soulent, ok, mais une personne que tu ne connais pas et quand c'est pour décrocher un boulot... ?

 
Voilà le truc qui m'énerve: les groupes!
cette sorte d'exclusive de "l'entre soi", c'est fondamentalement con que de rester avec un groupe plutot que de faire ce qui nous fait envie et d'aviser avec les personnes qui font la même chose. --> pour le coup, je n'ai jamais eu de groupe. Au contraire, je recherche même à en rester à l'extérieur pour conserver mon indépandance, et navigue entre les groupes. Ce qui fait que je ne suis jamais exclu, mais jamais totalement inclus. Au final, on ressent les 2: bien car on parle à un eu tout le monde et on est libre, de l'autre on sent bien qu'on est pas indispensable et une sorte de 5ème roue du carosse non-indispensable.
 
M'enfin au final ca colle bien à ma personnalité: je ne suis pas fondamentalement associal, mais j'suis incapable de suivre les "codes sociaux" (nouvelle année, anniversaire, prendre des nouvelles etc).. c'est même une corvée irréalisable tant je m'enfous.
 
Et ca se vit très bien, on ne se sent pas contraints etc; là où ca devient gênant, c'est quand ce sont les autres qui font mine de te faire remarquer que tu sors de "leur norme", et que tu fini par te culpabiliser (ou tout du moins te poser des questions. Exemple:
en cours, c'est la pause --> tout le modne sort de la salle, j'discute avec du monde --> ils descendent tous à la machine à café (certains pour en boire, d'autre pour suivre), moi je me casse prendre l'air/le soleil car j'en ai envie --> si qqn viens faire la même chose + tard on tappera la discut, sinon c'est pas grave, j'suis bien à faire ce que j'avais envie. Jusqu'au sombre connard qui arrive :"bah qu'est ce que tu fous tout seul, tu fais la guelle ? on est tous en bas!". Oué bah moi j'suis en haut parceque j'en ai envie, j'en ai rien à foutre si vous avez d'autres envie, je les respecte et ne vous prend pas pour des tordus pour autant..

Dans un entretien, tu joues un certain rôle (enfin tu essayes tout du moins): celui du parfait candidat au poste; c'est tout aussi chiant que de jouer au mec qui s'intégre à un groupe etc --> c'est de la représentation sociale (après, tu es + ou naturel, mais jamais autant que seul). Certains ont leur seuil d'acceptation de cette mise en scène plus bas que d'autres .
 
Dans ce cas précis, j'pense qu'on poeut aussi ajouter la question de la timidité (idem pour rentrer ds un magasin etc).

Dans un cas comme celui ci c'est avant tout la timidité ou le manque de confiance en soit, la peur du contact en gros, qui entre en ligne de cause.
 
Si je suis tetanisée à un entretien d'embauche c'est parecque je parle avec un être humain tout simplement.  
Oui je sais c'est très con...mais lorsque le contact avec autrui fait peur il devient difficile de realiser la moindre petite chose, aussi insignifiante soit elle (acheter du pain, etc...)  

interressant

C'est à dire ?  

pourquoi cette peur de l'etre humain?
il va pas te tuer, ni te faire de mal
certe tu ne le connai pas, qu' il ait une pars de stress cay normal
mais poor la boulangerie  
faut reprendre confiance en toi

Je sais bien que ma boulangere ne va pas me faire de mal
Mais plus le temps passe et plus la peur d'autrui se generalise, et il devient difficile de faire la part des choses    
 
Les êtres humains m'on beaucoup deçue par le passé, je prend donc mes distances, même si ce n'est pas forcement la meilleure chose à faire je te l'accorde.

à c'est sûr que là
 
l experience est un cruel professeur car il vous fait passer l examen et apres vous donne la lecon.

Phrase à retenir  

Déja consulté ? Ou essayé de lire des choses pour arranger ça ? Enfin, si tu te sens bien comme ça, change rien, mais apparement c'est pas trop le cas, donc ...

 
Tu rentres, et là la vendeuse (ou le boulanger, le prob n'est pas le sexe), va te regarder, sans doute même te parler;
et surtout: veut savoir ce que tu veux, il est dans l'attente que tu t'exprimes "3 "éclairs au chocolat",
et toi tu le sais qu'il va attendre et écouter ce que tu dis, tu le sais avant d'entrer, donc tu veux être prêt à lui passer comande,
alors tu réfléchis à comment tu va faire ton entrée et à formuler tes paroles, --> tu te montes la pression tout seul,
 
et là si tu es dedans, tu t'es tellement stressé, que tu va finir par bafouiller qqc ds la douleur "3 ...chrr... ah" --> "3 parts de pizza, ca sera tout?", tellement dépité tu fera un hochement de tête, et ressortira de là soulagé que le calvaire soit terminé, et de tes pizzas au dessert tu te délecteras.
 
Et la prochaine fois que tu iras ?  tu repensera à cette échec, ce qui remontera encore la pression, tu ne veux surtout pas te loupper 1x de +, tous les autres y arrivent alors pq pas moi ?; etc etc.., si bien que tu finira par ne plus/pas réussir à franchir la porte
 
Finalement, peu importe l'identité ou l'attitude de l'autre, c'est avant tout tout seul que tu te met en difficulté.
 
 
Perso, j'ai réussit à franchir ca une fois que je me suis retrouver seul ds une nouvelle ville à crever de faim, j'pouvais plus contourner/éviter l'obstacle (maman, faut faire les courses), ca devenais une question de survie, à coté de ca, mes études (communication/pub) m'ont amené à devoir représenter/blablater, alors je le fais très bien (même si ca n'est que de l'apparence, car au fond j'en ai rien à battre et ca me soule profondément) --> bref, quand tu te trouves une pression/peur (question de survie, risque de foirer ses études) + importante/grande que la pression qui te bloque au dépat, bah là tu peux surmonter. Mais là, chacun hierarchise ce qui lui fait peur comme il veut/peut.

Ben dis toi que les gens que tu rencontres sont encore plus stréssés de te voir que tu ne l'es. Peut être que ca va t'aider à appréhender autrement le contact avec autrui.

Merci pour vos conseil    
 
J'ai deja consulté un psy par le passé et me suis retrouvée sans même comprendre comment sous anti depresseurs. S'ensuivit alors une periode plutot trouble et morose    
Tentative de suicide toussa    
 
Je tiens d'ailleurs à souligner le fait que beaucoup de jeunes se retrouvent sous anti depresseur de nos jours et que cela meriterait franchement une vigilance bien plus accrue.
Si je n'avais pas eue des amis pour me soutenir durant cette periode, je ne serais probablement pas en train d'ecrire ce message.
J'ai maintenant d'ailleurs une phobie des medicaments en general, impossible de prendre de l'aspirine par exemple    
 
Donc prudence avec tout ça, les medocs c'est le mal    

C'est tellement vrai

Et bizarrement, je préfère aller voir une personne pour lui demander quelque chose que de téléphoner.
 

J'ai eu le coup hier en achetant mon coca, le vendeur qui fait une réflexion sur les femmes au volant, je suis féministe et pas du tout d'accord avec ce qu'il disait, bref j'allais pas lui dire "ta gueule connard", donc j'ai souri bêtement.

Côté blocage de m****   , voilà ma dernière d'hier !!!!  
En me garant, j'ai failli renverser un beau tit brun en vélo qui fait facteur ! J'ai bafouillé un "hooo pardon je vous avais pas vu, suis désolée", j'le calcule pas, continuant ma manoeuvre.. Enfin je coupe le moteur et prête à sortir de ma caisse, je risque de le "bousculer" en ouvrant ma portière, j'avais (encore) pas vu qu'il était là à coté  !!!!  et là.. il me répond avec un charmant sourire "j'aurais préféré que vous me renversiez, ça m'aurait permis de faire la connaissance d'une charmante jeune femme" !!!! J'ai rien trouvé à répondre.. regardant à terre.. toute génée..! Non pas que je sois timide d'habitude, mais parce que depuis quelques temps ça ne va pas et que j'ai envie de parler à personne !
Toute la journée me suis dit que j'étais trop nulle car il avait l'air vraiment charmant, que ça aurait pu être une belle rencontre naturelle, ce qu'on attend tous qui souffront de solitude... J'ai pas pu lui décrocher un mot.    
Il a du me prendre pour une pôv fille !

 
J'ai longtemps été dans le 1er cas, maintenant j'ai appris à eviter ce genre de personnes (du coup j'suis un peu mefiant).
J'pense etre completement dans le 2nd cas, j'ai des potes (camarades de classe), avec qui je passe pas mal de temps, j'fais tjs des efforts pour aller dans les soirées, tout ça, mais j'ai jamais le sentiment d'être apprecié (ni déprecié) :"j'suis là c'est bien, j'aurai pas été là, ça aurait pas dérangé non plus et personne aurait cherché à me joindre".
J'ai eu un appart pendant 2ans ma porte était grande ouverte, et personne n'ai jamais passé me voir, me faire un petit coucou à l'improviste alors que je n'attend que ça. J'ai 2 personnes que je considere comme des "amis", mais bon, ça reste une tres faible amitié.
Les gens à qui j'en ai parlé (psy y compris) me disent tous que j'attend trop des amis, que des relations comme je désire ça n'existe que tres rarement. Mais moi j'me dis que si je dois me contenter de ça, la vie est un peu triste et peu de raisons d'être vécue.

 
 
Looseuse
 
La prochaine fois, pince toi pour te réveiller

 
Vaut toujours mieux ça qu'un vendeur qui te fais sentir qu'il a hâte que tu rendes la monnaie et que tu te barres... C'est un détail mais ça peur suffir à un ps/pe qui se sent tout le temps rejeté de continuer à se faire des films
 

C'est mon cas ça mais j'ai jamais aimé me confier, même ma famille proche me le reproche.
 
Sinon effectivement je traverse aussi une période de solitude. Célibat longue durée (4 ans), groupe de potes un peu éclaté parce qu'on est tous parti aux 4 coins de France voir du monde. Mais bon là j'essaie de ressortir et je pense que je vais refaire un peu de sport en club.  
Par contre j'ai vraiment l'impression que j'ai un blocage niveau nana. Même si dans ma vie j'ai eu 3 copines (bon c'est pas un gros "score" , j'ai 25 ans), j'ai jamais dragué et je pense pas en être capable étant trop timide. J'ai un exemple concret. Dans le metro, je rencontre un ancien camarade de lycée, on discute de ce qu'on est devenu, normalement et tout. Quelques jours après je vois une ancienne camarade de lycée, j'ai même pas oser lui dire bonjour de peur de passer pour un lourd.    
Donc en gros c'est plus que de la timidité, c'est vraiment genre un blocage.
 
edit pour le test, j'ai fait 26 mais il m'a pas l'air très précis.

Mais même s'ils sont dans un groupe, tu peux très bien t'insérer dans le groupe. Ex: t'arrives dans une nouvelle ville pour y bosser. Il suffit d'inviter une fois une partie de tes collègues à diner chez toi pour qu'ils te considèrent ensuite comme partie intégrante de leur groupe. Par contre, c'est sûr que si on attend dans son coin que le "groupe" fasse le premier pas, ça peut prendre beaucoup de temps, voire ne jamais arriver.  

J'ai connu ça plus jeune: 5 à 10 minutes de préparation avant de passer un coup de fil avec des palpitations pendant la discussion, et aussi les courses au supermarché plutôt que chez un petit commerçant pour éviter d'avoir à parler, les itinéraires et les horaires choisis pour rencontrer le moins de personnes possibles (voire se "cacher" pour ne pas croiser quelqu'un que l'on connaît), excuses bidon pour ne pas aller dans des soirées dans lesquelles je ne connaissais pas bien la majorité des gens...C'est passé en vieillissant et en multipliant les situations à "risque" (déménagement dans d'autres villes et donc "réadaptation"; présentations orales au boulot, etc). Pour surmonter ce problème, il faut de l'"entraînement", alors n'hésite pas à affronter les situations que tu n'aimes pas plutôt que de les fuir. Et les jours où tu te sens particulièrement en forme, essaye même de multiplier ces situations. Faut que tu te dises que les gens ne sont pas là pour te juger. La boulangère veut juste vendre son pain alors elle est contente de t'avoir comme cliente. Elle se moque totalement que tu parles clairement ou que tu bafouilles trois fois avant d'arriver à lui faire comprendre ce que tu veux.  
Pour l'entretien d'embauche, ceux qui veulent embaucher quelqu'un, peut-être toi, ont tout autant besoin de toi que tu as besoin d'eux. Dis-toi que dans une conversation, chacun des protagonistes y trouve son compte.
 
EDIT: Par contre, j'ai l'impression que l'on ne se débarrasse jamais totalement de sa timidité, non? Exemple: je parle plus qu'avant, mais dans un groupe je continue à n'intervenir que rarement (mais plus qu'avant!   ).

Oh ça va, moi ça fait 21 ans

Moi ça fait 2,5 ans que je suis célibataire et à chaque fois les gens me disent "Ha t'as bien raison, profite de ta jeunesse, t'as raison de pas t'embêter avec ça, etc....."
 
Je ne supporte plus qu'on me dise ça, car en attendant tous (jeunes, ou moins jeunes) sont avec quelqu'un!
 

 
+ 1000

Pareil, là j'ai eu un petit choc quand je vois que des amis ont acheté leurs maisons à crédit ensemble. Tous mes amis sont en couple maintenant. Franchement le pire c'est le nouvel an où t'es le seul célibataire, limite t'as l'impression de pas être à ta place.

Pour les histoires de groupe, rien ne sert de se forcer je pense.
 
Personnellement étant dans le même cas (en classe, je suis un peu l'image du solitaire, "the rebel", qui ne dit que mot à la récré), je me suis finalement résolu à poser une solution autre que par la négative courante "je suis introverti de nature, c'est normal" (certes je suis aussi introverti, mais en grande partie pour les même raisons suivantes!)
J'ai fini par poser que je n'étais juste pas dans le même état d'esprit que les autres, et que rien n'y ferait pour changer ca.  
Pourquoi cette solitude en fin de compte ? Parce moi j'écoute du métal, eux du rap. Parce que moi j'aime discuter philo, eux de fringues. Parce que je ne vois aucun intérêt à danser sur de la musique pourrie le samedi soire, eux si.
 
Parfois, il faut arrêter de chercher le problème en soi-même (c'est à mon avis d'ailleurs aussi la marque d'un début de confiance en soi), et commencer à analyser notre environnement extérieur.
 
En fait, tout est vraiment une histoire de compatibilité d'attitude, et à mon avis le dicton "qui se ressemble s'assemble" se justifie magnifiquement. Tous les groupes ont cela en commun que tous les membres ont forcément une expérience commune ("on se connait depuis la maternelle", "on a évolué dans le même environnement",...).
Essayer de s'intégrer à ces groupes incompatibles ne peut pas être bénéfique : parce qu'instinctivement - par dénonciation du mensonge de manière inconsciente - les membres ne vont pas nous considérer comme tel (c'est ce désintérêt "inexplicable" vis-à-vis de soi-même). Tout simplement parce que nous ne nous épanouirons pas de la sorte.
 
Dans mon cas (j'habite Marseille), absolument toutes les "bonnes" connaissances que je me suis faites étaient des personnes emmigrées.  
Pourquoi ? Une question de mentalité, sûrement. Une solidarité entre étrangers ? Certainement.
 
La solution en définitive ? Trouver ce "clan" dans lequel on se sentira bien, ou on reconnaitra nous-mêmes nos pairs.
 
Ceci est, je pense, valable pour les individus dits "sains". Pour les autres, la cause du problème est évidemment de type névrotique : dans ce cas-là, un traitement psychologique (psychanalytique par exemple) est forcément nécessaire pour faire évoluer les choses.
 
 

Pareil, là j'ai eu un petit choc quand je vois que des amis ont acheté leurs maisons à crédit ensemble. Tous mes amis sont en couple maintenant. Franchement le pire c'est le nouvel an où t'es le seul célibataire, limite t'as l'impression de pas être à ta place. [/quotemsg]
 
oui, ou quand tu ne peux pas partir en vacances avec tes ami(e)s car ils partent en couple.....  
Rrrr.....
 
J'ai beau essayer de me consacrer au maximum à mes amis, ma famille, mes études, je ne trouve pas mon équilibre avec tous ça!