Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
2078 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  924  925  926  ..  1701  1702  1703  1704  1705  1706
Auteur Sujet :

[Sujet]Vos ruptures, subies et infligées (Aie ! Ca pique !)

n°53485420
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 13:54:16  answer
 

Reprise du message précédent :
Je ne vois pas en quoi un conseil peut être nocif. Même si il n’enclenche pas un changement immédiat, c’est une sorte d’investissement pour plus tard.
L’écoute, c’est vital car ça permet à l’autre d’évacuer. Mais un conseil avisé et personnalisé, je ne vois pas le souci.

mood
Publicité
Posté le 06-06-2018 à 13:54:16  profilanswer
 

n°53485480
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 13:57:40  profilanswer
 

On passe son temps à conseiller ses proches, on le fait tous s'en sans rendre compte. Mais est-ce que ça resoud vraiment le schmilblick ?
 
Ce que je veux dire c'est qui aide t'on en donnant conseil ?
 
L'autre ou soi-même.
 
Car c'est rassurant et meme valorisant de se dire qu'on a su repondre à la detresse d'autrui

n°53485484
Astravia
1, 2, 3, nous irons au bois...
Posté le 06-06-2018 à 13:57:58  profilanswer
 

Si ce sont des conseils non sollicités, c'est contreproductif. Quelques fois, on a juste envie d'être écouté et accompagné, pas conseillé.


---------------
I sting like a bee.
n°53485510
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 13:59:23  profilanswer
 

D'autant plus que les conseils peuvent engendrer chez l'autre un sentiment de culpabilité ou d'incurabilité s'il est incapable de les mettre en œuvre
 
Par ailleurs, il semblerait que c'est un trait de caractère masculin de chercher des solutions aux des problèmes, ils sont dans l'action en quelque sorte (et donc en donnant conseil, on agit) là ou les femmes seraient plus dans l'échange, l'écoute et donc permettre à l'autre de déverser ses émotions.
C'est d'ailleurs un peu le sujet du fameux bouquin les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus si je ne dis pas de betises.
Attention, je n'ai pas dit que ce bouquin était une reference mais son postulat est intéressant


Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 14:04:47
n°53485520
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 13:59:47  answer
 

Phase 2 a écrit :

On passe son temps à conseiller ses proches, on le fait tous s'en sans rendre compte. Mais est-ce que ça resoud vraiment le schmilblick ?
 
Ce que je veux dire c'est qui aide t'on en donnant conseil ?
 
L'autre ou soi-même.
 
Car c'est rassurant et meme valorisant de se dire qu'on a su repondre à la detresse d'autrui


Pour toi, un conseil c’est forcément égoïste « in fine » ?

n°53485640
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 14:06:42  profilanswer
 

Non car cela part souvent d'une bonne intention.
 
Mais rien n'est gratuit, même les bonnes actions ont des motivations sous-jacentes la plupart du temps inconscientes comme se rassurer, se sentir utile, évacuer un malaise etc...
 
Dans le cadre privé, il m'est parfois arrivé de ne pas vouloir répondre à une demande de conseil d'un proche, c'est parfois mal vecu mais je ne me voyais pas lui dire de faire telle ou telle chose au pretexte que c'est ce que j'aurais fait moi. Par contre dans ce cas, je m'efforce de l'écouter, de reformuler ses propos pour l'aider à y voir plus clair
 
Par contre, si on vient me voir pour me demander c'est quoi le mieux entre Free, Bouygues Telecom ou Orange ? la question ne se pose pas. Meme si mon conseil est mauvais, ça ne prete pas à consequence

Message cité 2 fois
Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 14:12:19
n°53485718
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 14:10:42  answer
 

Phase 2 a écrit :

Non car cela part souvent d'une bonne intention.
 
Mais rien n'est gratuit, même les bonnes actions ont des motivations sous-jacentes la plupart du temps inconscientes comme se rassurer, se sentir utile, évacuer un malaise etc...


Pour ma part, c’est par empathie. Une personne dans le mal à cause d’un chagrin, je me dis que je peux lui être utile en lui donnant quelques conseils.
 
Je crois à l’acte gratuit.

n°53485889
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 14:20:34  profilanswer
 

Je comprends ce que tu veux dire mais ce n'est pas de l'empathie.
Mes formations à l'ecole Rogerienne sont loin et ça fait des années que je n'ai plus pratiqué l'approche centrée sur la personne mais pour résumer il s'agit de la capacité à comprendre le monde intérieur de l'autre sans que celui-ci nous submerge.
 
En gros
 
Et en matière de psychologie/philosophie, on continue à débattre sur le fait que justement rien n'est jamais gratuit. Nos actes seraient toujours dirigés par des motivations sous-jacentes la plupart du temps inconscientes
 
PS: je trouve cette discussion intéressante mais on est peut etre parti loin dans le HS


Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 14:22:05
n°53486084
Hermes le ​Messager
Breton Quiétiste
Posté le 06-06-2018 à 14:30:11  profilanswer
 

Phase 2 a écrit :


Dans le cadre privé, il m'est parfois arrivé de ne pas vouloir répondre à une demande de conseil d'un proche, c'est parfois mal vecu mais je ne me voyais pas lui dire de faire telle ou telle chose au pretexte que c'est ce que j'aurais fait moi. Par contre dans ce cas, je m'efforce de l'écouter, de reformuler ses propos pour l'aider à y voir plus clair


 
En fait, tu fais sur les autres (moi en particulier) exactement ce que tu dis ne pas vouloir faire avec tes proches. Tu penses que forcément si on donne un conseil, c'est que dans la même situation on aurait fait ce que le conseil en question décrit.  
Le problème dans ton raisonnement, c'est qu'il est ...  faux dès le départ. Je donne rarement des conseils que j'appliquerais moi-même dans la même situation, tout simplement parce que comme tu l'as très bien dit, tout le monde (et c'est le moins que l'on puisse dire) n'est pas comme moi.
De plus, je distingue aussi bien souvent ce que je pense être de bons conseils de très court terme (aller pleurer dans les jupes de sa mère en est un) et les bons conseils de long terme (réaliser qu'on est adulte, que c'est immature et égoïste d'inquiéter ses parents qui peuvent et sont souvent vieux, fatigués, voire malades, essayer de se prendre en main, tenter des approches différentes comme la méditation, les arts martiaux, le sport, les clubs autour d'une activité comme le modélisme ou n'importe quoi d'autre). Ce sont des exemples en vrac qui montre qu'il existe autant de possibilités de conseils que de personnes. Je ne vais certainement pas conseiller la même chose à tous mes amis et la plupart des conseils que je peux prodiguer sont rarement ceux que j'aurais suivi.
L'âge aussi joue un très grand rôle. Tu conseilles pas les mêmes choses à des jeunes de 20 ans qui ont la vie devant eux, pas d'enfant, pas de maison etc... qu'à des pères de famille qui tremblent de ne plus pouvoir voir leurs enfants.
Dans tous les cas, personnes ici ne dit qu'il faut "forcer" ses amis à recevoir des conseils quand ils vont mal. Il faut sentir une vraie demande, et c'est bien évidemment ce que je fais.


---------------
Expert en expertises
n°53486116
Hermes le ​Messager
Breton Quiétiste
Posté le 06-06-2018 à 14:32:13  profilanswer
 

Ah et j'oubliais :
 
Peut-être que tu es psy, je n'en sais rien, mais :
 
1) Si c'est pas le cas, tu fais une lourde erreur de chercher à les imiter
2) Si c'est le cas, tu fais une lourde erreur à vouloir à ce que l'on cherche à t'imiter (car nous ne sommes pas psy justement)


Message édité par Hermes le Messager le 06-06-2018 à 14:32:46

---------------
Expert en expertises
mood
Publicité
Posté le 06-06-2018 à 14:32:13  profilanswer
 

n°53486259
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 14:39:59  profilanswer
 

Je travaille dans le milieu depuis une vingtaine d'année et bien que je n'ai pas la prétention d'avoir été thérapeute, ça a été mon boulot pendant longtemps d'aider les autres.
 
Mais j'ai arreté lorsque je me suis rendu compte que cela m'usait psychologiquement, que la plupart des gens ne cherchent pas réellement à aller mieux (mais plutôt à se plaindre, ce qui est une certaine façon d'exister aux yeux des autres) et que dans ce milieu, on est entouré de professionnels qui cherchent plus eux-aussi à exister en arguant de leur autorité/savoir voire tout simplement à gagner leur croute que j'ai preferé faire autre chose
 
Mais dans le lot, j'ai rencontré des gens bien :o
 
PS: je ne cherche pas à ce que l'on m'imite, je dis que c'est une erreur de croire que conseiller c'est aider. Meme si j'admet que ton argumentation et la façon dont tu prodigues les conseils cela peut porter ses fruits. Par contre je doute que la majorité des gens ont autant de recul que tu sembles en avoir. En tout cas moi je suis bien souvent incapable de savoir ce qui est bon pour autrui, d'autant plus s'il est proche, l'affect prenant le dessus et brouillant les cartes


Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 14:46:53
n°53487458
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 06-06-2018 à 15:44:13  profilanswer
 


 
Et pourtant.
 
Si dans le fond ca vous intéresse, je vous conseille la lecture de l'Entretien motivationnel :
 
https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/412qutOYJ7L._SX321_BO1,204,203,200_.jpg
 
Ca remet pas mal de choses en perspectives  :jap:

n°53487700
Belgianman
Posté le 06-06-2018 à 15:56:21  profilanswer
 

Perso quand on me donne un conseil, je ne le prends pas pour acquis et je décide si oui ou non je veux le suivre … [:payzan]


Message édité par Belgianman le 06-06-2018 à 15:56:30
n°53487854
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 16:05:50  profilanswer
 

@Etoile: Merci pour ton intervention.
 
Voici d'ailleurs un exemple du postulat de l'entretien motivationnel, domaine que je ne connais que de loin car j'ai cotoyais des thérapeutes qui le pratiquait (je n'ai plus d'activité de soignant depuis longtemps mais je collabore parfois avec eux au gré de mes missions):
 
"L’ambivalence est naturelle devant toute perspective de changement, y compris dans les situations dont la persistance présente un danger pour la santé ou la situation de la personne. De leur côté, les professionnels de l’aide, poussés par le désir d’aider l’autre et influencés par leurs propres représentations, peuvent avoir tendance à formuler à la place de la personne des arguments en faveur du changement. On nomme cela le réflexe correcteur. Ce faisant, ils privent la personne d’une forme d’autonomie, et celle-ci a alors tendance à contre-argumenter en faveur d’un non-changement pour préserver son autonomie. Ce type d’intervention est contre-productif. Dans l’entretien motivationnel, l’intervenant cherchera notamment à éviter ce réflexe correcteur et à soutenir l’autonomie du client"
 
Cette pratique était souvent utilisée en préambule de ce que l'on appelle l'éducation thérapeutique du patient et pour lequel on utilisait des outils comme celui là et d'autres pour permettre aux personnes en souffrance de définir eux-même leurs besoins et qu'ils soient acteur de leur travail sur soi et non plus simples consommateurs de soin, sujets "passifs" du thérapeute qui sait ce qui est bon pour eux
 
"Nous nous élevons contre l’opinion selon laquelle le seul jugement clinique suffit à conduire une bonne évaluation des difficultés et des besoins des patients"
 
"De plus, considérant l’optique d’une psychiatrie centrée sur ses usagers et leurs besoins, il s’est agi pour nous avec cet outil de faire participer les patients au processus d’évaluation, afin de les maintenir dans une position d’implication active et pas seulement de consommation de soins"


Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 16:09:54
n°53488222
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 16:29:09  answer
 

Comment conserver l’autonomie d’un patient qui va mal, (parlons d’un chagrin d’amour) qui ne voit le réel que par le prisme de la souffrance ?


Message édité par Profil supprimé le 06-06-2018 à 16:29:24
n°53488601
Phase 2
Posté le 06-06-2018 à 16:48:47  profilanswer
 

Vaste question qui est encore loin d'etre tranchée
 
C'est le courant de pensée en vogue actuellement en France et qui est porté par le ministere de la santé. On a fait le constat que pendant trop longtemps on a considéré le patient (ou la personne en souffrance) comme quelqu'un qu'il faut guider vers la guérison (ou tout au moins le mieux-être)  
 
Il est influencé en cela par les associations de malades et les aidants familiaux qui en avaient assez d'etre sous la tutelle des "détenteurs du savoir" (je resume et grossis un peu le trait) et militent pour que ceux qui souffrent soit acteurs de leur processus de soins et non plus spectateurs et simples consommateurs
 
Mais c'est complexe. Rien que ça, ça fait debat au sein des institutions, certains voyant d'un mauvais œil des patients ou des aidants s'ériger en "expert" de leur souffrance et venant remettre en cause leur savoir
D'autres trouvant au contraire que cela remet enfin la place de celui qui souffre au centre des considérations de soins
 
Mais ça reste encore marginal et comme tout courant de pensée c'est amené à évoluer
 
PS: par autonomie, on sous-entends libre arbitre ou capacité à decider soi meme quitte à ce que ces décisions soient délétères.
Par exemple un malade souffrant d'alcoolisme qui continue à s'enfoncer dans son addiction malgré toutes les thérapies entreprises
Bien que ça paraisse fou, une personne en souffrance peut preferer (inconsciemment) continuer à souffrir plutôt que de prendre le risque de changer et va mettre en échec (encore une fois de manière inconsciente) toute tentative de faire bouger les choses (tout en affichant sa volonté de changer)  
 
D'où l'idée d'arreter de croire que nous savons ce qui est bon pour l'autre mais plutôt de l'amener à trouver ses propres solutions

Message cité 1 fois
Message édité par Phase 2 le 06-06-2018 à 16:57:31
n°53489773
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 17:43:38  answer
 

Phase 2 a écrit :

Vaste question qui est encore loin d'etre tranchée
 
C'est le courant de pensée en vogue actuellement en France et qui est porté par le ministere de la santé. On a fait le constat que pendant trop longtemps on a considéré le patient (ou la personne en souffrance) comme quelqu'un qu'il faut guider vers la guérison (ou tout au moins le mieux-être)  
 
Il est influencé en cela par les associations de malades et les aidants familiaux qui en avaient assez d'etre sous la tutelle des "détenteurs du savoir" (je resume et grossis un peu le trait) et militent pour que ceux qui souffrent soit acteurs de leur processus de soins et non plus spectateurs et simples consommateurs
 
Mais c'est complexe. Rien que ça, ça fait debat au sein des institutions, certains voyant d'un mauvais œil des patients ou des aidants s'ériger en "expert" de leur souffrance et venant remettre en cause leur savoir
D'autres trouvant au contraire que cela remet enfin la place de celui qui souffre au centre des considérations de soins
 
Mais ça reste encore marginal et comme tout courant de pensée c'est amené à évoluer
 
PS: par autonomie, on sous-entends libre arbitre ou capacité à decider soi meme quitte à ce que ces décisions soient délétères.
Par exemple un malade souffrant d'alcoolisme qui continue à s'enfoncer dans son addiction malgré toutes les thérapies entreprises
Bien que ça paraisse fou, une personne en souffrance peut preferer (inconsciemment) continuer à souffrir plutôt que de prendre le risque de changer et va mettre en échec (encore une fois de manière inconsciente) toute tentative de faire bouger les choses (tout en affichant sa volonté de changer)  
 
D'où l'idée d'arreter de croire que nous savons ce qui est bon pour l'autre mais plutôt de l'amener à trouver ses propres solutions


 
Ca me fait penser à la psychanalyse (grossièrement hein, du calme :o ) ou même l'hypnose: amener le patient par un cheminement intérieur, à un changement. Lacan appelait ses patients des analysants.

n°53490281
Paul le Po​ulpe
In POI I trust.
Posté le 06-06-2018 à 18:20:04  profilanswer
 


Problème : tu crois peut-être que tes conseils sont avisés (je ne te vise pas toi en particulier, hein) mais 99% des conseils qu'on me donne, soit je le sais déjà, soit ce n'est pas pertinent, soit c'est carrément contreproductif et pas ce que j'ai besoin ou envie d'entendre. Donc oui, un conseil peut-être nocif si c'est un mauvais conseil (mauvais dans le sens pas adapté à ton interlocuteur, peu importe qu'il te paraisse avisé à toi) ou s'il est contreproductif ou si la personne n'a rien demandé. D'expérience, aider quelqu'un qui n'a pas envie d'être aidé, c'est généralement perdant pour tout le monde.

n°53490385
Profil sup​primé
Posté le 06-06-2018 à 18:28:27  answer
 

Paul le Poulpe a écrit :


Problème : tu crois peut-être que tes conseils sont avisés (je ne te vise pas toi en particulier, hein) mais 99% des conseils qu'on me donne, soit je le sais déjà, soit ce n'est pas pertinent, soit c'est carrément contreproductif et pas ce que j'ai besoin ou envie d'entendre. Donc oui, un conseil peut-être nocif si c'est un mauvais conseil (mauvais dans le sens pas adapté à ton interlocuteur, peu importe qu'il te paraisse avisé à toi) ou s'il est contreproductif ou si la personne n'a rien demandé. D'expérience, aider quelqu'un qui n'a pas envie d'être aidé, c'est généralement perdant pour tout le monde.

 

Si l'autre ne veut pas être aidé, effectivement n'importe quel conseil sonnera creux. Mais oui, on donne souvent des conseils liés à notre propre expérience et dans le domaine des relations, c'est tellement subjectif et complexe qu'il est difficile qu'un conseil fasse mouche.

 

Pour autant, quand l'autre en face est dans la détresse, la mélancolie, la souffrance. On tente de lui montrer qu'une fenêtre positive existe, même si elle est cachée :o


Message édité par Profil supprimé le 06-06-2018 à 18:30:15
n°53500431
avitasse
ID PSN : avitasse
Posté le 07-06-2018 à 16:32:34  profilanswer
 


Merci  :jap:  
En effet ça pique  :sweat:  
 
 

Phase 2 a écrit :

Les conseils que tu leur prodigue sont bons pour toi car ils correspondent à ta personnalité, à ton vecu et à ta façon de percevoir le monde.
Or chacun perçoit le monde à sa manière, chacun se construit différemment et se forge une personnalité unique et pour moi, les conseils ne peuvent s'appliquer stricto sensu.


C'est toujours pas bon  [:o_doc]  
Un conseil ne correspond pas uniquement à la personnalité de celui qui le prodigue ; quelqu'un qui "est de bons conseils" est justement quelqu'un qui a la capacité d'écouter son interlocuteur, et à le conseiller lui, en fonction de sa personnalité et du contexte (de ce qu'il en sait)..
Et puis ça ne reste qu'un conseil, rien n'oblige de l'appliquer tel quel  [:spamafote]


Message édité par avitasse le 07-06-2018 à 16:34:19

---------------
Un Wrangler sur mon petit cul
n°53505540
poutrella
Contributeur net
Posté le 08-06-2018 à 04:31:43  profilanswer
 


c'est la def de la psychothérapie que tu poses
y'a un bon paquet de soignants ou aidants  à problème dans ce genre de métiers également

  

n°53520708
the gaston​ lagaffe
Posté le 09-06-2018 à 19:35:13  profilanswer
 

 

On est prêt à tout pour les enfants...


---------------
Le topic du département de la Creuse -Viendez !
n°53522572
Profil sup​primé
Posté le 09-06-2018 à 22:21:58  answer
 

the gaston lagaffe a écrit :


 
On est prêt à tout pour les enfants...


Ou alors c’est un prétexte pour rester.

n°53523185
rastafia
sélavi
Posté le 09-06-2018 à 23:22:27  profilanswer
 

poutrella a écrit :


c'est la def de la psychothérapie que tu poses
y'a un bon paquet de soignants ou aidants  à problème dans ce genre de métiers également


Comme dans tous. Et ça n'empêche pas forcément de faire son métier correctement.


---------------
Cantor est devenu fou
n°53523489
poutrella
Contributeur net
Posté le 10-06-2018 à 00:43:17  profilanswer
 

c'est pas des professions comme les autres
 c'est typiquement des jobs où un travail perso et une grosse connaissance de soi est nécessaire
or pour tu peux faire des psychothérapies en tant que psychiatre ou psychologue en sortant de tes études, sans supervision ni rien


Message édité par poutrella le 10-06-2018 à 00:43:35
n°53535559
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 12:39:18  answer
 

En France la formation des psychologues et psychanalystes laisse à désirer. Aucune obligation d'avoir effectué un travail sur soi pour exercer. Je me souviens notamment d'une meuf complètement tarée devenue psy, savoir qu'elle exerce fait froid dans le dos.

n°53535734
flopshot
Never up, never in
Posté le 11-06-2018 à 13:02:36  profilanswer
 

Et ta propre compétence pour la juger de tarée ?
 [:mycrub]

n°53535976
bombeiro78
Posté le 11-06-2018 à 13:26:21  profilanswer
 


Bah psychanalyste si.

n°53539214
mejoralo
Posté le 11-06-2018 à 17:04:36  profilanswer
 

Les gens qui sont restés proches de leur ex, vous vous voyez régulièrement ? Et vous vous parlez tout aussi régulièrement ?
 
C'est pour un ami  :o

n°53539300
flopshot
Never up, never in
Posté le 11-06-2018 à 17:12:20  profilanswer
 

Ca dépend, ça dépasse.
 
Tout dépend de la relation qui vous unissait. Longue et dure, ou courte et heureuse ....
Blague à part, y'a pas de réponse universelle à des cas trop variés.

n°53539348
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 17:16:51  answer
 

mejoralo a écrit :

Les gens qui sont restés proches de leur ex, vous vous voyez régulièrement ? Et vous vous parlez tout aussi régulièrement ?
 
C'est pour un ami  :o


Je parle très régulièrement à mon ex. Mais on a mis beaucoup d'années (7)pour digérer une relation très destructrice.
On ne se voit pas à cause de l éloignement géographique. On a parlé de partir en vacances ensemble mais sa femme refuse et mon mec tique un peu donc c'est non pour l'instant.

n°53539619
mejoralo
Posté le 11-06-2018 à 17:38:23  profilanswer
 


 
Ah oui 7 ans quand même ! C'est cool de pouvoir bien s'entendre au point d'envisager de partir ensemble :)
 

n°53539652
Belgianman
Posté le 11-06-2018 à 17:40:56  profilanswer
 

Perso ça va faire 5 mois qu'on est séparé et ça commence à bien aller pour moi. :)
Je dirais qu'on a des contacts par sms ~1fois/mois, on s'est revu 3 fois depuis début mars.
Je cherche pas à la contacter et même chose pour elle je pense mais on est pas du tout en mauvais termes.

Message cité 1 fois
Message édité par Belgianman le 11-06-2018 à 17:41:23
n°53540243
mejoralo
Posté le 11-06-2018 à 18:29:59  profilanswer
 

Belgianman a écrit :

Perso ça va faire 5 mois qu'on est séparé et ça commence à bien aller pour moi. :)
Je dirais qu'on a des contacts par sms ~1fois/mois, on s'est revu 3 fois depuis début mars.
Je cherche pas à la contacter et même chose pour elle je pense mais on est pas du tout en mauvais termes.


 
Tu l'as revu parce que tu avais des affaires à récupérer ou c'était une volonté de vous revoir des deux côtés ? Ça se passe comment quand vous vous voyez et vous aviez fait quoi ?

Message cité 1 fois
Message édité par mejoralo le 11-06-2018 à 18:30:27
n°53540251
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 18:30:59  answer
 

mejoralo a écrit :


 
Ah oui 7 ans quand même ! C'est cool de pouvoir bien s'entendre au point d'envisager de partir ensemble :)
 


 
Honnêtement je n'aurais jamais cru ça possible. C'était allé super loin. Mais bon, en espérant rien, on obtient parfois de jolies relations.

n°53540285
mejoralo
Posté le 11-06-2018 à 18:35:23  profilanswer
 


 
Genre loin comment ?  

n°53540299
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 18:37:20  answer
 

On s'est vraiment déchiré. Et haï.

n°53540346
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 18:42:10  answer
 

[:eneytihi:3]

n°53540821
Belgianman
Posté le 11-06-2018 à 19:44:20  profilanswer
 

mejoralo a écrit :

 

Tu l'as revu parce que tu avais des affaires à récupérer ou c'était une volonté de vous revoir des deux côtés ? Ça se passe comment quand vous vous voyez et vous aviez fait quoi ?


Alors, la première fois c'est à sa demande.
Environ 15 jours après qu'on ait fini de déménager tous les deux, elle voulait venir chez moi pour qu'on aille se promener avec le toutou qu'on avait eu ensemble.
Elle s'est tapé 320 bornes A/R dans la même journée mais j'ai pas trop cherché à savoir pourquoi elle faisait ça, à ce moment j'étais encore émotionnellement très attaché à elle et je croyais naïvement que ça pourrait nous donner l'occasion de nous retrouver. :ange:
La seconde fois, on avait une activité prévue de longue date et elle m'avait demandé si elle pouvait venir quand même malgré la séparation.
J'avais dit oui mais à refaire, je pense que je dirais non, surtout quand t'apprends qu'elle pieute chez son plan cul pas très loin de chez toi, c'était encore trop tôt pour moi à accepter.
La dernière fois à ma demande car je voulais pouvoir rediscuter de certaines choses avec elle, après 5 ans 1/2 de relation j'avais besoin de parler un peu de ce qui s'était passé, chose qu'elle avait toujours refusé sous prétexte qu'elle « n'aimait pas » parler de ça.
J'ai du un peu insister et m'énerver pour obtenir cette discussion qui m'a permis au final de voir que la rupture était une bonne chose et que la nana que j'avais connu n'était plus celle que j'avais en face de moi.
Donc maintenant on n'a plus aucune raison de se revoir pour le moment, je me concentre sur mes nouvelles rencontres et elle fait de même.
Je ne cherche pas trop à savoir ce que la relation donnera dans le temps, elle est à 160km de moi donc on va naturellement s'éloigner je pense.
Pour moi quand on se voyait, c'était bizarre, on avait rien à se dire et je sentais qu'elle se forçait un peu pour soi-disant ne pas me blesser mais au final je ne sais pas ce qu'elle a en tête et désormais, je m'en tape.
On est donc en bon terme, il y a du respect entre elle et moi et c'est déjà pas mal.
Pour la suite, on verra.

Message cité 1 fois
Message édité par Belgianman le 11-06-2018 à 19:44:51
n°53541135
Profil sup​primé
Posté le 11-06-2018 à 20:23:36  answer
 

Belgianman a écrit :


 
La dernière fois à ma demande car je voulais pouvoir rediscuter de certaines choses avec elle, après 5 ans 1/2 de relation j'avais besoin de parler un peu de ce qui s'était passé, chose qu'elle avait toujours refusé sous prétexte qu'elle « n'aimait pas » parler de ça.
J'ai du un peu insister et m'énerver pour obtenir cette discussion qui m'a permis au final de voir que la rupture était une bonne chose et que la nana que j'avais connu n'était plus celle que j'avais en face de moi.


 
This [:fredmoul:1]
C'est souvent le cas dans les relations longues (au-delà de 2 ou 3 ans) et c'est une chose à mon sens parfaitement normale, même si ça reste parfois dur à accepter.
Les gens changent, parfois ils évoluent en harmonie et parfois, non. Dès lors, le couple ne fonctionne plus et ce n'est la "faute" de personne.

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 11-06-2018 à 20:24:01
n°53541198
Belgianman
Posté le 11-06-2018 à 20:29:51  profilanswer
 


Voilà, pas de fautif dans notre rupture.  
Des causes multiples qui ont effiloché le lien qui a fini par rompre.
On a pris des chemins différents mais je lui souhaite franchement d’être heureuse et d’atteindre ses nouveaux objectifs et c’est réciproque pour elle. :)

mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  924  925  926  ..  1701  1702  1703  1704  1705  1706

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
[topic unique] Prostitution[Topic unique] - Tom Lehrer
[Numismatique] Venez discuter des monnaies ![Topik Unique] Voitures anciennes
[topic de Qualitay !] M.I.A.M: D.A c'est Ici le topic !!!!!!! (syndrome BlueLou)[Topouic Unique] SQFP - Le meilleur du Pouic.
Rockville CA, une websérie rock inédite sort en France le 3/12 ![Topic unique]Se trainer (ou être trainé) pour sortir le weekend. :o
[Topic Unique] Les armes de guerre 
Plus de sujets relatifs à : [Sujet]Vos ruptures, subies et infligées (Aie ! Ca pique !)


Copyright © 1997-2025 Groupe LDLC (Signaler un contenu illicite / Données personnelles)