Reprise du message précédent :
Banale, je n'irais pas jusque-là, j'ai rarement vu des coquilles de ce niveau.

Salut topic,
 
J'aimerais tourner la phrase suivante autrement, notamment à cause du "de qui est en" que je trouve peu jolie.
 

 
Qu'en pensez-vous ?

Peut-être :
 

Effectivement c'est bien mieux dans ce sens, merci

Ca reste archi-lourd et même ambigu. Plutôt qu'exposer tes interrogations, pose directement la question :
 

 
Si tu veux sous-entendre que tu y as toi-même réfléchi en vain, tu peux ajouter "selon vous" après "qui".

Demande sous-entendue, pas clair.
Plus clair : qui serait en mesure de le remplacer

 
Tu n'as pas le contexte de la phrase. Je parlais de la demande de la phrase précédente

Il est évident que koskoz et les personnes auxquelles il s'adresse savent de quelle demande il s'agit. Par contre, il ne s'agit pas de trouver un remplaçant à un poste, juste de répondre à une demande ponctuelle. Donc non.

"Jérôme vient de partir, qui pourrait me répondre ?"

Ou "... , je me demande qui est en mesure ...".

« Il faut que quelqu'un s'y colle en l'absence de Jérôme. Qui prend ? »

Jérôme CKC kissikol ?

Et plutôt que de dire "je me demande" ou "je me pose la question", pourquoi ne pas poser réellement la question ?    
 
Par exemple : "(...), pourriez-vous me dire (...) ?"
 
Sauf si, dans le contexte, le ou les interlocuteurs ne sont pas ceux qui sauraient répondre, évidemment. (Mais à ce moment-là, quel est l'intérêt de faire savoir aux autres qu'on se pose intérieurement des questions ?   )

Ta dernière phrase me fait penser à ce sketch de Coluche.  
https://youtu.be/-KFxmGbiUaE?t=187
 
 

Comme ce que j'ai suggéré dès le début de la discussion ? Oui, c'est une bonne idée.

 
Doute : "soient" ou "sont" ?

 
On trouve tjrs l'exemple pour "jusqu'à ce que" , mais "jusqu'à" tout seul entraine-t'il aussi un subjonctif ?
Je penche pour mais le doute est là…

Hors contexte c'est pas facile, la chose s'est-elle produite ou est-ce une hypothèse ?

 
Pas tout à fait, parce que là tu as « jusqu'à » + infinitif. Pour moi, la suite de la phrase est indépendante de cela et le mode dépendra, comme dit panchopa, du contexte.  
 
On pourrait imaginer que les accrochages entre chimpanzés puissent conduire à une réorganisation des groupes, jusqu'à former deux bandes principales qui s'affronteraient pour le territoire. (hypothèse -> conditionnel)
 
Les difficultés rencontrées par l'entreprise l'ont fait évoluer jusqu'à engendrer une division en deux entités qui ont toutes les deux déposé le bilan. (c'est arrivé -> indicatif)
 
On doit pouvoir faire à peu près toutes les variantes qu'on veut.

   
entraine-t-il  

entraîne-t-il  

 
Ok, donc comme ma phrase explique un fait, ça sera "sont"
 

Plus depuis 1990 ;
https://fr.wiktionary.org/wiki/entrainer
 

 
 

La nouvelle orthographe ne remplace pas l'ancienne, les deux sont autorisées.
Chez certains éditeurs, la nouvelle orthographe est même refusée.

Comme ?

la plupart des presses universitaires par exemple

Les journaux (le Monde par exemple) n'imprime aucun mot en orthographe modifiée ("nénufar" serait jugé bizarre ; d'ailleurs ici même le correcteur HFR le souligne comme fautif ; de même que "aigüe", il faut aiguë).  

Je pense que c'est plus par peur d'être accusé d'avoir fait ou d'avoir laissé des fautes, par des lecteurs qui ne connaissent pas les tolérances qu'apporte la réforme de 1990.
En conservant l'orthographe traditionnelle, ils évitent ce problème à peu de frais.

Bien sûr ; et je fais de même quand j'écris un rapport.

Sans doute, oui, parce que c'était une réforme timide et franchement mineure, surtout par rapport à celles qui se sont succédé sans cesse depuis des siècles.

Oui, par contre l'écriture inclusive est de moins en moins rare.  

Ou tout simplement par le fait qu'ils ne se sentent pas obligés de participer au nivellement par le bas…
 

Tant qu'à écrire de péteuses âneries, autant le faire bien. "Ou tout simplement parce qu'ils..."

 
Je le sais bien   , et comme dit Sire de Botcor : rien d'obligatoire.
Cependant, je fais mon tri : les bonnes choses qu'apporte la réforme de 90, je les prends (juste un exemple : le tréma ajouté à gageüre, qui est une très bonne correction) ; mais quand ce n'est que de la simplification pour la simplification, je ne prends pas.

Voire "Ou tout simplement parce qu'ils ou elles..."
A+,

 
+ 1
par exemple  "jazzmans"    euh , non ...
 
 
 

ognon ?

On parlait des journaux, donc "ils"    
Critiquer pour critiquer…    

En quoi c'est une très bonne correction ?

Parce qu'on commençait à entendre des [gajœure] au lieu de [gajure]...

Ah bon, j'ai toujours prononcé "gajœure", comme "peur"...

Pareil, et je n'ai entendu que [gajœure] toute ma vie, ce qui est la prononciation correcte en l'absence de tréma.