Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
789 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  16  17  18  19  20  21
Auteur Sujet :

champ de conscience inscrit dans le temps

n°6063039
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 10-07-2005 à 13:08:13  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

xantox a écrit :

Ignore les facteurs antérieurs, sinon on peut aussi dire que mon chien est le résultat du big-bang et qu'il est une illusion.


 
Vive la mauvaise foi  :sarcastic:  
On parle de la sensation de libre arbitre, pas d'un objet physique :sarcastic:  
 

Citation :

Au moment t, c'est bien ta structure à toi qui détermine ce que tu fera face à un événément, ou non?


 
Tu peux toujours me soutenir que c'est seulement ta structure qui va determiner ton comportement selon si une voiture te fonce dessus ou non ? Tout n'est que facteur extérieur lié au vécu.


Message édité par Friday Monday le 10-07-2005 à 13:16:04

---------------
Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
mood
Publicité
Posté le 10-07-2005 à 13:08:13  profilanswer
 

n°6063090
xantox
Posté le 10-07-2005 à 13:17:21  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

Tu peux toujours me soutenir que c'est seulement ta structure qui va determiner ton comportement selon si une voiture te fonce dessus ou non ? Facteur extérieur.


 
Il faut un autre exemple, ce n'est pas en supprimant quelqu'un en l'écrasant avec une voiture que tu pourra connaître son comportement. Disons qu'il y a un mec avec un chapeau rouge énorme qui arrive devant toi et te dit "qu'en dites vous!". A l'instant t+1 tu réagis, par exemple tu lui réponds un truc, ou tu fais je sais pas quoi. Alors dis-moi si à cet instant c'est ta structure, ou pas, qui détermine ta réaction.


Message édité par xantox le 10-07-2005 à 20:27:23

---------------
-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6063111
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 10-07-2005 à 13:21:58  profilanswer
 

xantox a écrit :

Alors dis-moi si à cet instant c'est ta structure, ou pas, qui détermine ta réaction.


 
Oui c'est ma structure (physique et mentale) qui va determiner ma reaction mais je suis pas bête au point d'oublier que cette structure (physique et mental) est entièrement déterminé par mon vécu et mon adn, donc des facteurs extérieurs au "moi". Et le pire c'est que cette reaction se fait de manière inconsciente, on n'est persuadé de prendre une décision "objective" or l'objectivité n'existe pas.


Message édité par Friday Monday le 10-07-2005 à 13:22:54

---------------
Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6063123
KuNkS
_________
Posté le 10-07-2005 à 13:23:52  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

Oui c'est ma structure (physique et mentale) qui va determiner ma reaction mais je suis pas bête au point d'oublier que cette structure (physique et mental) est entièrement déterminé par mon vécu et mon adn, donc des facteurs extérieurs au "moi". Et le pire c'est que cette reaction se fait de manière inconsciente, on n'est persuadé de prendre une décision "objective" or l'objectivité n'existe pas.


d'où mon genetique (adn) et environnemental (comportements)
bon je me casse a la plage :D
 
:hello:

n°6063143
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 10-07-2005 à 13:28:16  profilanswer
 

KuNkS a écrit :

d'où mon genetique (adn) et environnemental (comportements)
bon je me casse a la plage :D


 
Pinaize, y a un temps pourri ici (25° brrrr), je peux pas y aller (qui a dit facteur environnementaux ? :D)


---------------
Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6063182
xantox
Posté le 10-07-2005 à 13:35:32  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

Oui c'est ma structure (physique et mentale) qui va determiner ma reaction


Où est le problème donc à la qualifier de "ta" réaction? Par ailleurs, il est impossible de la prévoir avec précision absolue.
 

Friday Monday a écrit :

mais je suis pas bête au point d'oublier que cette structure (physique et mental) est entièrement déterminé par mon vécu et mon adn, donc des facteurs extérieurs au "moi".


Oui mais ton vécu précédent était lié aussi à ton "moi" précédent, etc. Le "moi" participe à l'interaction et ne peut pas être ignoré dans l'équation (à moins de tomber en coma).
 

Friday Monday a écrit :

Et le pire c'est que cette reaction se fait de manière inconsciente, on n'est persuadé de prendre une décision "objective" or l'objectivité n'existe pas.


Oui, il y a toujours une partie de conscient et une partie d'inconscient, cela fait partie de la complexité du "moi".


---------------
-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6063246
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 10-07-2005 à 13:50:08  profilanswer
 

xantox a écrit :

Où est le problème donc à la qualifier de "ta" réaction? Par ailleurs, il est impossible de la prévoir avec précision absolue.


 
La question n'est pas la prédiction, de toute façon, le déterminisme c'est mort depuis longtemps.  
 
La question c'est de se dire que malgré le fait que ça soit "ma" reaction, elle n'est en fait dictée que par des elements incontrolés voire même inconnus (puisque faisant partie de l'inconscient).  
 
Donc : qu'est-ce qui peut dire si c'est vraiment "ma" reaction et non "la" reaction issue d'un enseignement ou d'un conditionnement grégaire ? => Rien. D'où l'absence de libre arbritre, ou, à la rigueur, l'absence de certitude qu'on a agit selon son libre arbitre. D'où l'illusion metionné plus haut.
 
Ceci dit, ça n'a rien de génant, l'illusion du libre arbitre, quand la realité du libre arbitre n'existe pas, cette illusion se substitue à cette realité. Mais il ne faut juste pas l'oublier.


---------------
Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6063265
Profil sup​primé
Posté le 10-07-2005 à 13:54:43  answer
 

drapal lirais plutard

n°6063797
clementdou​sset
Posté le 10-07-2005 à 15:45:31  profilanswer
 

                          Salut à tous,  
 
Bon, je vous l’avoue, ça pense un peu vite pour moi. Je ne participe pas à ce forum pour faire quelque course de rapidité ou d’endurance intellectuelle mais pour essayer de pousser la réflexion sur un sujet qui me tient à cœur. Pour cela j’essaie de comprendre le point de vue de l’autre –quand il en émet un- sur le sujet que j’ai lancé et d’y répondre de façon élaborée et synthétique avec le minimum de respect que l’on doit à autrui. On ne gagne rien à traiter cavalièrement tel ou tel d’ignorant et, parfois, à faire étalage dans la même intervention de mépris et d’inculture. On ne gagne rien non plus à émietter les messages en multiples bribes de citations, montrant ainsi qu’on n’a pas cherché à les « comprendre », terme qui, étymologiquement, je le rappelle, signifie prendre avec, prendre ensemble, donc trouver la structure et la cohérence d’un propos.
 
Je ne reprendrai que l’expression de Xantox qui considère comme « ridicule » l’idée de « cristal sensible » en arguant du fait que le cristal est une structure trop simple pour accomplir la transmutation que j’évoque. S’il m’avait mieux lu, il aurait compris que j’employais l’expression « cristal sensible » comme une simple dénomination d’une réalité qui n’a rien à voir avec ce que nous nommons couramment cristal. Je n’ai pas en tête la définition précise que les physiciens donnent au terme cristal, mais il y a pour moi l’idée que, dans un cristal, toutes les relations entre les atomes sont régies par un ordre paramétré et que les molécules qui les constituent sont soudées par des liaisons électroniques, ce qui n’est pas le cas dans un organe ou un organite (à l’intérieur d’une cellule) mais est le cas dans un polymère comme l’ADN,ADN dont on conviendra qu’il n’a pas une structure ridiculement simple. Le « cristal sensible » me paraîtrait être un intermédiaire, une espèce de sas entre l’espace extra-atomique qui commence l’espace macroscopique (chimio-bio-organique) et l’espace infra-atomique encore pour partie mystérieux. La conscience sensible –je ne parle pas du tout de la conscience intellectuelle- se jouerait pour moi à l’origine dans cet espace-là et ferait intervenir des propriétés de la matière fondamentale, les interrelations des particules, des ondes et des champs de force…
 
Cordialement,
 
Clément

n°6063935
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 10-07-2005 à 16:13:27  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Salut à tous,  
[...]
Le « cristal sensible » me paraîtrait être un intermédiaire, une espèce de sas entre l’espace extra-atomique qui commence l’espace macroscopique (chimio-bio-organique) et l’espace infra-atomique encore pour partie mystérieux. La conscience sensible –je ne parle pas du tout de la conscience intellectuelle- se jouerait pour moi à l’origine dans cet espace-là et ferait intervenir des propriétés de la matière fondamentale, les interrelations des particules, des ondes et des champs de force…


 
Un bien beau charabia.  
Sinon ça t'arrive d'utiliser les mots dans le sens du dictionnaire ?
 
Edit :  
ah oui autre chose : t'as des problemes de vue ou tu fais exprès d'ignorer mes messages ?


Message édité par Friday Monday le 10-07-2005 à 16:14:14

---------------
Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
mood
Publicité
Posté le 10-07-2005 à 16:13:27  profilanswer
 

n°6064143
_Styx_
Posté le 10-07-2005 à 17:05:58  profilanswer
 

J'vais me permettre une remarque...
... J'ai l'impression de lire du Desemeaux :/ (pour ceux qui ont suivi le topic sur l'astrologie)
 
edit: ainsi que sur un topic sur un sujet de physique


Message édité par _Styx_ le 10-07-2005 à 17:13:28
n°6064870
clementdou​sset
Posté le 10-07-2005 à 19:22:17  profilanswer
 

Je pars pour trois jours, chers amis. Je pars me plonger dans l’océan de jade, espérant n’en pas sortir sous la douche des bourrasques d’ouest. Mais le soleil est clément et le vent est doucet : n’est-ce pas de bon augure ?
 
Je suis plutôt réjoui de l’allure et de l’allant que prend ce fil. Bien sûr certaines interventions se situent aux confins du champ de conscience, qui est quand même le sujet ; mais aucune n’en sort carrément.
 
Pour ceux qui s’intéressent plus spécifiquement à ma thèse et qui n’aiment rien tant que de se torturer les méninges, je propose un petit problème dont je vais tacher de rédiger brièvement le corrigé. Il est écrit dans le testament dit nouveau que « le christ siégera aux cieux à la droite du père ».- Ca y est ! J’entends déjà un vacarme indigné. Non, non ! je ne suis pas un agent du Vatican infiltré dans ce forum pour fourguer ses bondieuseries ! Je le jure….par mes grands dieux ! Mais, bon, il est donc écrit à peu près que le bon Jésus prendra une chaise au ciel à la droite de son papa dieu. Eh bien, en quoi le fait qu’il soit précisé aux cieux à droite, plutôt qu’au milieu de l’horizon ou à la gauche de l’abîme constitue-t-il ….allons, pas une preuve quand même, même pas une preuvinette mais, disons, un commencement d’argument en faveur de ma thèse ?
 
A bientôt de lire vos copies, et le reste bien sûr !
 
Amitiés à tous,
 
Clément

n°6064921
Lak
disciplus simplex
Posté le 10-07-2005 à 19:32:09  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Eh bien, en quoi le fait qu’il soit précisé aux cieux à droite, plutôt qu’au milieu de l’horizon ou à la gauche de l’abîme constitue-t-il ….allons, pas une preuve quand même, même pas une preuvinette mais, disons, un commencement d’argument en faveur de ma thèse ?


 
ah oui, ça je suis curieux de le savoir... :lol:  
en conséquence, je drapalise.

n°6065169
xantox
Posté le 10-07-2005 à 20:24:31  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

[..]j’employais l’expression « cristal sensible » comme une simple dénomination d’une réalité qui n’a rien à voir avec ce que nous nommons couramment cristal. Je n’ai pas en tête la définition précise que les physiciens donnent au terme cristal


 
Oui c'est bien le problème, tu utilises des termes scientifiques dans un sens figuré, ce qui transforme tes phrases en énoncés métaphysiques. C'est comme si je disais que la vitesse du feu est égale à l'ombre de l'énergie, et répondais aux objections en disant que vous savez, ici le mot 'vitesse' a un sens tout à fait particulier, tout comme 'ombre et 'énergie' que l'on ne saurait définir.
 
Par ailleurs je ne t'ai pas traité d'ignorant : j'ai relevé au contraire le défi de te comprendre, en te proposant d'approfondir le sens de certaines formulations, en te posant pas mal de questions auxquelles tu n'a pas toujours répondu. Je comprends que mon approche peut être veçue comme une agression, mais ce n'est pas l'objectif, le fait est que si tu as une exigence de vérité et que tu veux te placer dans un cadre scientifique, tu dois considérer les critiques comme une chance, en cela qu'elles te permettent de tester tes hypothèses et d'améliorer tes formulations - sinon tu fais de la littérature ou de la métaphysique, ou au pire de la pseudoscience.


---------------
-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6065206
xantox
Posté le 10-07-2005 à 20:34:46  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

La question n'est pas la prédiction, de toute façon, le déterminisme c'est mort depuis longtemps.


J'entendais que même si on était dans le stricte déterminisme ce serait impossible de prévoir ta décision.
 

Friday Monday a écrit :

La question c'est de se dire que malgré le fait que ça soit "ma" reaction, elle n'est en fait dictée que par des elements incontrolés voire même inconnus (puisque faisant partie de l'inconscient).  
 
Donc : qu'est-ce qui peut dire si c'est vraiment "ma" reaction et non "la" reaction issue d'un enseignement ou d'un conditionnement grégaire ? => Rien. D'où l'absence de libre arbritre, ou, à la rigueur, l'absence de certitude qu'on a agit selon son libre arbitre. D'où l'illusion metionné plus haut.
 
Ceci dit, ça n'a rien de génant, l'illusion du libre arbitre, quand la realité du libre arbitre n'existe pas, cette illusion se substitue à cette realité. Mais il ne faut juste pas l'oublier.


 
Je te propose de considérer le problème dans le sens inverse. Tout d'abord, es-tu d'accord sur ceci : dans un processus de décision (où une personne intéragit avec l'environnement) le "moi" (ou le "moi" conscient si l'on veut) intervient dans la détermination de l'issue pour moins de 100%? (dans le sens que si c'était 100%, rien d'autre que le "moi" ne serait pertinent pour déterminer l'issue).


Message édité par xantox le 11-07-2005 à 01:42:33

---------------
-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6065243
clementdou​sset
Posté le 10-07-2005 à 20:42:45  profilanswer
 

     Cher Xantox,
  Evidemment comme vous étiez le seul que je nommais dans mon message, vous avez pris tout pour vous un mouvement d'humeur dont vous n'étiez pas à l'origine. J'ai très bien compris la façon dont vous me considériez et vous en remercie d'ailleurs.
 
  Pour les termes scientifiques, ma "théorie", si vous me permettez d'employer ce mot, suppose certaines notions originales qu'il me faut bien dénommer. C'est ainsi que je parle au moins de "cristal sensible" ou "d'onde de synthèse", pour le reste, mais c'est à vérifier, il me semble que j'emploie les termes scientifiques -quand ils existent- à peu près correctement

n°6065388
clementdou​sset
Posté le 10-07-2005 à 21:16:28  profilanswer
 

   Cher Xantox,
 Un tout petit mot pour revenir à votre message. Vous écrivez: "sinon tu fais de la métaphysiqye". Je dois dire que , même sur un forum scientifique, je ne rougirais pas de faire de la métaphysique. Sérieusement, d'ailleurs, je crois que j'en fais à mon niveau. Le problème est qu'il y a beaucoup de neurobiologistes par exemple qui se sont appropriés la conscience avec le cerveau  qui en font sans le dire. Et qui vont faire passer pour une vérité souveraine ce qui est une interprétation possible mais discutable de faits d'expérience.

n°6066032
Welkin
Ég er hvalur, ekki brauðsúpa
Posté le 10-07-2005 à 22:53:07  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Cher Xantox,
 Un tout petit mot pour revenir à votre message. Vous écrivez: "sinon tu fais de la métaphysiqye". Je dois dire que , même sur un forum scientifique, je ne rougirais pas de faire de la métaphysique. Sérieusement, d'ailleurs, je crois que j'en fais à mon niveau. Le problème est qu'il y a beaucoup de neurobiologistes par exemple qui se sont appropriés la conscience avec le cerveau  qui en font sans le dire. Et qui vont faire passer pour une vérité souveraine ce qui est une interprétation possible mais discutable de faits d'expérience.


 
 
Ne me méprend-je ? Serait-ce là une critique de l'establishment qui confisque la connaissance ?  :o

n°6066977
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 00:55:03  profilanswer
 

Salut à toutes et à tous
 
Je trouve ce fil de discussion très pationnant. Mais je suis cependant d'accord qu'il faudrait un peut cibler plus précisement le fond de la question et de mieu définire les therme utilisée.  
 
Neurogenèse du Système Nerveux (Résumé) :
 
Dans un premier temps clarifion l'aspect génétique et déterminisme de la question, car la conscience est en fait un tout imbriqué en fonctionnalité, ou une sorte de mécanique constructale de la matière nerveuse.
 
En Voici donc un bref résumé :
 
Il y a plusieurs étapes dans le développement embryonnaire, mais ce qui nous interresses ici ce sont les caractéristiques génétique qui favorise le développement, la différenciation et la structuration des tissus cérébrale.
 
Dans un premier temps et après la fécondation de l'ovule (ovocyte), nous avons un premier stade de développement cellulaire qui est appeler morula. Il s'agit d'une étape de transision d'une durée de quelque jours, l'ovule initiale se multiplie en une vingtaine de cellules très compacte et sans effectuer de véritable différenciation cellulaire pendant sont transite dans le conduit ovariens de la trompe de faloppe à l'utérus. Ensuite nous avons le stade blastula qui dure de 6 à 7 jours et qui correspond en gros à l'implentation de l'oeuf aux parois de l'utérus. À l'étape de la gastrulation qui va suivre et qui va correspond aux véritables stade initiaux de l'organogenèse, et donc du début véritable de la différenciation cellulaire. L'embryon se développe et commence alors par former les trois feuillet de cellules (endoderme, mésoderme et ectoderme) qui participerons par la suite à constituer tout les organes et tissus de l'organisme par toutes sortes de différenciation cellulaire et qui seront sous le controle des gènes bien spécifique. Entre le 20 iem et le 29 iem jours de la gestation, nous retrouvons le stade principale de neurulation, ce stade correspond au début du développement du système nerveux centrale et périférique qui se poursuivera alors jusqu'à la naissence.  
 
Durant tout ses différents stades de développement cellulaire et embryonnaire, cetaines catégorie et de regrouppement de gènes seront activités à des moment bien spécifique et participeront ainsi à la différenciation des différentes structures cellulaire et nerveuse de l'organisme. Cette ensemble de structure gènétique porte le non de gène homéobox de seigmentation et de différenciation cellulaire. Ces gènes favorise la communication intra et intercellulaire pour un groupe de cellules déterminées et par toutes sortes de protéines et d'hormones de croissences qui vont activées et favoriser l'activation de certaines séquences génétique afin de permettre la différenciation des nouvelle cellules en tissus quelconque. Les gènes de développement cellulaire controle ainsi le nombres de cellules nécessaire pour chaque organes du corps, et exerce toutes sortes de controle et de filback rétroactif pour le maintient de l'équilibre de l'organisme et des tissus vivant, mais ils sont également assistés par d'autre type de gènes dans leurs travail.
 
Les prémisses du développement des tissus nerveux sont donc sous le controle des gènes. Un cout les trois feuillet embryonaire sont bien mis en place, il se produit une sorte d'invagination de la menbrane extérieur de l'oeuf et l'infiltration de cellules mésoblasmique à l'intérieur de celle-ci va favoriser la création du tube neurale. Le développement du cerveau commence donc ainsi en gros, en premier il s'agit de l'élaboration du cerveau reptiliens qui est composée du tron cérébrale, de la protubérence, du cervelet et du diencéphale. Les partie les plus prémitive du cerveaux apparesse donc en premier et par la suite va suivre le cerveau mammaliens ou le cortex du système limbique qui est relier aux émotion et pour finir nous avons téléhencéphale ou le néocortex (cortex) cérébrale qui est le siège de la mémoire associative à long therme et de la perception consciente du monde sensible. En fait le développement de l'embrion et du feotus retrace en quelque sorte les différentes étape de l'évolution du règne animale.
 
La communication entre les cellules nerveuses est dirigé et controler par des gènes qui favorise la production de ligands ou de récepteur membranaire, des canneaux ioniques et de neuromédiateur servant d'intermédiaire entre celle-ci. En fait les gènes ne controle pas dirrectement les différents schémas associatif des réseaux nerveux, mais les orientes de par leur affinité communicationnelle et de transmission de l'influt nerveux. Des facteurs environnementaux peuvent également venir interféré au bon développement du tissus nerveux. Au début et jusqu'à la naissence des cellules nerveuses se multiplies et établit différentes jonctions et contactes entres elles par l'intermédiaire de leurs axones et dendrites. Elles ne sont pas nombreuses au début entre les cellules et cette association définit en quelque sorte les différents schémas comportementaux et réactionnelle innée et instinctif sur l'environnement. Chez l'homme ce processus est très lent et se poursuit pendent toute l'enfance et même durant la puberté. Parcontre à la naissence la division des cellules nerveuses subissents une chutte drastique et quasi totale, et la matière blanche (axones et dendrites) commance à ce myéliniser en s'enveloppent d'une gaine isolante et protectrice. La pousse et les jonction entre axones, dendrites et corps cellulaire des cellules nerveuses, ce qui favorise l'établissement ou le renforcement de différents schéma mentaux et donc de caractéristique associative. Va être favoriser par la secrésion de certains facteur de croissences. Ce mécanisme de secréssion sert en quelque sorte de conduit pour la pousse des axones et dendrites qui s'oriente alors vers leurs cellules cible. Ainsi les gènes controle parfaitement la structuration et l'organisation générale des différentes partie fondemantale du cerveaux, mais n'intervienne que très peut dans l'établissement de différents schéma nerveux spécialisés que par leur axes de croissance qui est favoriser par leur secrétion de facteur de croissence et autres. Ainsi l'apprentissage survient par la répétition qui favorise le nombres des jonctions et des contactes entre cellules nerveuses. Cela veut dire également qu'un clone n'est pas le double d'un individut mais simplement la copie phénotypale de celui-ci. Je termine ici et si vous trouver des erreurs faite moi le savoir SVP.
 
Giles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 19:33:12

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6067011
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 00:59:59  profilanswer
 

Maintenent ciblont plus précisément les paramètres de notre discours
 
Perception Neuro-Fonctionnelle des Couleurs :
 
Prenons l'exemple de la vision pour illustrer ce phénomène de la perception et de la conscientisation. La lumière émit par les objets qui nous entourent, vont éventuellement entrer à l'intérieur de l'oeil par la pupille. Elles vont êtres ensuites déviées et réfractées de leurs trajectoires initiales par le cristallin, servant en quelque sorte de lentille convergente. La lumière sera ainsi concentrée et dirigée vers le fond de l'oeil, à un endroit se trouvant au centre de celui-ci, dénommé la fovéa. C'est dans cette région de l'oeil, qu'on retrouve les cellules sensibles et réceptrices de la lumière. Nous y retrouvons les cellules en formes de connes, pour la perception des couleurs et les cellules en formes de bâtonnets, pour la perception des nuances de gris, utilisé surtout pour la vision de nuit. Ces cellules sensorielles possèdent en leurs surfaces des récepteurs chimiques leurs permettant de réagire à différentes longueurs d'onde de la lumière.
 
La couleur est donc un concept purement abstrait et subjectif, qui n'existe pas réellement dans la nature, étant tout simplement attribuée aux différents concepts associatifs qui découlent directement des différents processus de la perception consciente. Qui permet au cerveau de se faire une certaine représentation ou schéma mental, associé aux différents objets du monde extérieur qui l'entour et qu'il perçoit. La vision des couleurs est une caractéristique évolutive, acquise par les espèces du règne animal les plus évoluer seulement. Pour la nature, la lumière n'est qu'une manifestation d'énergie électromagnétique attribuer par ses différentes caractéristiques physiques, comme la longueur d'onde, la fréquence et l'amplitude. Ses différentes caractéristiques physiques de la lumière, peuvent très bien influencer le comportement et la stabilité de la matière, se manifestant alors sous différentes formes et selon le niveau d'énergie impliquée.  
 
La réaction envers la lumière et les différents récepteurs chimiques des cellules en formes de connes et de bâtonnets, provoque une forme de variation du potentiel électrique envers l'équilibre biochimique normal de ses cellules. Ce phénomène est la première phase de la perception humaine et elle à pour objectif de déclencher les influx nerveux qui se propageront par la suite à travers le nerf optique, pour rejoindre les régions du cerveau les plus profondes et associé aux différents stimulis visuelles. L'influx nerveux, sera par la suite dirigé vers les régions du chiasma optique. Cette partie de l'anatomie du cerveau, est une forme de carrefour qui contrôle la circulation des influx nerveux qui voyage à travers le nerf optique, et par lequel une grande partie en provenance de chaque oeil, seront croisés et rediriger par la suite vers les hémisphères opposés du cerveau. Ainsi l'hémisphère droit  
du cerveau, voit ce que l'oeil gauche regarde et l'hémisphère gauche du cerveau voit le champ visuel capter par l'oeil droit. De là, ils seront ensuite dirigés vers les tubercules quadrijumeaux associés aux réflexes oculaires de l'iris et vers les corps genouillés latéraux, qui ce trouvent de chaque coté du thalamus, avant d'êtres redistribués en parallèle dans les différentes parties du cerveau pour y êtres associés et analysés plus en profondeurs. Comme l'hypothalamus, le système limbique et dans certaines parties du lobe occipitales du cortex cérébral, qui se trouve dans la partie
postérieure du cerveau et servant principalement aux différents traitement de l'information visuelle.  
 
L'information visuelle ainsi recueillie, sera traiter de différente manière dans différentes parties du cerveau, avant de pouvoir établir toutes formes de réactions et d'actions possibles sur l'environnement. Nous voici donc rendu à la deuxième étape de la perception conscience. Le cerveau ne perçoit pas le monde comme nous le concevons, il doit dans un premier temps faire le traitement de toute l'information qui lui est fournit, afin d'établir les différents concepts qui sont associés à la conscience. C'est-à-dire à la notion des couleurs et des formes par exemple, ou encore des concepts plus évolués associés à l'aspect plus subjectif, plus rationnel et plus abstraits de la pensée humaine, comme pour le langage. La deuxième étape de la perception consciente consiste en réalité, à établir les différentes relations entre les stimulis sensoriels perçus du monde extérieur et de faire les associations appropriées envers les différents schémas mentaux, déjà existant et mémorisées à l'intérieur des différentes aires associatives du cerveau, et ceci afin de faire la meilleure représentation possible de la situation dans lequel le cerveau se trouve.  
 
Les aires associatives secondaires du cerveau, qui recouvrent la majeure partie du néo-cortex cérébral, sont tout particulièrement sollicitées pour cette tache. Tous ses différents processus de la perception consciente, ont pour objectifs de prendre une décision raisonnable et finale. Afin d'adopter une action et un comportement volontaire (cortex extrapyramidal), qui sera alors ajusté de manière adéquate sur le plan émotionnel, en fonction des différents stimulis et du contexte perçu du monde extérieur. Cette tache finale revient plus particulièrement au cortex préfrontal, étant relié directement aux autres aires primaires du cerveau, à l'hypothalamus, au système limbique, etc...  
 
Comportement dont les différentes représentations, symbolisation et schématisation mentales, sont regroupées dans un ensemble nerveux beaucoup plus vaste, et mémorisée à l'intérieur des cortex cérébraux associatifs, sous la forme d'image et de souvenir de mise en situation et ceci en fonction de leurs différentes caractéristiques sur le plan émotionnelles et comportementales. Il s'agit sur le plan neural, de l'association très étroite de petit groupe de neurone, formant en quelque sorte des micros circuits regroupés et interconnectés entre eux en différant réseaux nerveux rapprochés et distants. Formant ainsi différentes structures nerveuses très complexes, pouvant être répartie sur l'ensemble du cerveau. Voici donc en gros, la représentation d'un schéma mental avec laquelle la pensée et la conscience travail. Certaines de ses structures nerveuses, mémorisées dans différentes parties du cerveau, peuvent êtres innés, comme pour les réflexes de régularisations corporelles entretenues par le système autonome ou acquis par l'apprentissage. Elles représentent en fait, les différents types de schémas comportementaux, à travers lesquels le cerveau peut choisir et adapter un type de comportement, pour ainsi pouvoir manifester sa présence au monde extérieur.  
 
Tous les différents mécanismes neurologiques et physiologiques, effectués pour permette la réalisation d'une action et d'un comportement, après leur analyse par les aires associatives. Font parties en réalité de la troisième et dernière phase de la perception consciente, qui est représentée par l'action comportementale elle-même. Elle consiste à coordonner les mouvements et les émotions, qui sont alors effectués par d'autre partie du cerveau. Comme pour le cortex moteur primaire et le cervelet, servant entre autre à déterminer et activer les parties du corps qui sont impliquées dans les mouvements, à contrôler le tonus des muscles. Des noyaux lenticulaires assistés par le système limbique et de l'amygale, pour favoriser et finaliser l'expression émotionnelle du corps en fonction du type de comportement à adopter et de sa posture dans l<espace. Du tronc cérébral pour le maintient de l'équilibre et de l'attention. De l'hypothalamus et de l'hypophyse, pour la préparation et la régulation du métabolisme générale du corps, augmentation du rythme cardiaque et la dilatation des vaisseaux sanguins, pour ainsi favoriser l'action à entreprendre, etc. L'hypothalamus et l'amygale font souvant partient de comportement instinctif associé à la colère et à l'agressivité, qui sont en réalité des arcs réflexe plus anciens et donc plus rapide. Le tout est synchronisé d'une manière parfaite, dans le but de nous permettre d'agir d'une manière cohérente, envers le monde qui nous entours (40 hz). Ils forment en quelques sortes des souvenirs comportementaux, qui sont alors reliés étroitement à certains schéma neural mémorisé dans les différents cortex moteurs et de coordination de la motricité du cerveau.  
 
Poursuivons maintenant notre analyse sur les différents trajets de l'influx nerveux visuelle, et assaillons d'illustrer plus en détaille les différents processus concernant la deuxième étape de la perception consciente. Chaque partie de l'information nerveuse recueillie, sera alors traitée selon leur origine et selon leur importance, dans plusieurs parties différentes du cerveau, comme nous l'avons déjà mentionné précédemment. L'information visuelle sera ainsi traité en parallèle tout en étant en étroite relation et en coordination parfaite avec les autres processus d'analyse et de traitement effectué ailleurs dans le cerveau. L'analyse des couleurs et des formes entre autres, suivent des trajets, ou des circuits nerveux bien spécifique. La représentation et l'identification des objets perçue sont effectuer par l'aire visuelle secondaire, comme par exemple de la représentation verbale d'un l'objet regardé, des formes ou des couleurs. Certains groupes de neurones sont tout spécialement bien adapter à ce genre de traitement. Toutes les parties de l'image visuelle, seront ainsi traités et mis en relation par différents réseaux neuraux. Les couches IV et VI des cellules nerveuses du cortex cérébrale participe grandement à la  
communication entre les différentes régions du cerveau et vers la thalamus qui est le carrefours des nerfs sensitifs et moteur (voie extrapyramidale). Lesquelles établiront par la suite des relations très étroites entre eux, par une forme de câblage effectué par des faisceaux d'axones, afin établir une certaine forme de corrélations associatives entre les différentes parties du cerveau. Prenant ainsi la forme de structure neurologique très complexes pouvant relier des réseaux de neurones distants, par différentes connections et d'interconnections de réseaux neuraux. Ses différents processus seront effectués simultanément dans plusieurs régions bien différentes du cerveau, et ils convergeront par la suite vers d'autres structures cérébrales.
 
Ainsi certains liens avec le système limbique, et plus particulièrement avec l'hippocampe, seront alors effectuer pour retrouver la signification immédiate des objets observés et pour déterminer également les contextes dans lequel on se trouve. Et cela sera effectué en fonction des parcours initiaux établis et suivies par chacune des différentes connections et inter-connections des réseaux neuraux distants. Dans un deuxième temps, elles ont pour taches d'établir d'autres liens avec d'autres réseaux inter neural situés ailleurs dans le cerveau. Pour ainsi établir des contacts avec d'autres parties associatives du cerveau, comme avec l'air de Wernicke pour retrouver le schéma mental qui est associé à la signification verbale d'un objet regardé, par exemple. D'autre processus de traitement neural, sont également effectués en parallèle et de manière indépendante, n'ayant aucun rapport immédiat avec les stimulis visuels, apportant ainsi leur propre contribution à la schématisation globale et mentale du corps et de l'environnement. Ainsi l'état du schéma corporel interne, est maintenu de façon permanence par le système somato-sensitif ou sensorielle situé dans le lobe pariétal du cerveau (en y incluant les noyaux lanticulaires (putamen/pallidiu) si mes souvenir son bon), ils seront par la suite croisés avec les différents traitements associatifs visuels. De cette façon la coordination du corps est toujours effectuée en parfaite harmonie, et ceci en fonction des différentes réactions imposées par de nouveaux stimulis, et toujours basé sur le schéma de l'état corporel précédent du corps, évitant ainsi des mouvements désordonnés et incohérents de toutes sortes.  
 
Le cortex frontal et préfrontale, étant le sièges des fonctions mentales et psychiques les plus évolués du cerveau et de la conscience humaine. Son rôle consiste à recevoir et regrouper toute l'information résultant des différents circuits et réseaux neurologiques précédents, ainsi que les autres processus de traitement neuraux ne découlant pas directement du stimuli visuels, pour en faire l'analyse et la synthèse finale, effectués par différents processus de raisonnements, il s'agit de la prise de décision. Il nous manque cependant un circuit neural intermédiaire qui est très important, afin de compléter la deuxième phase de la perception conscience et de pouvoir enfin passer à l'étape suivante qui est l'action comportementale, comme nous l'avons vue précédemment. Cette étape est en fait, l'un dès plus grand mystère de la science actuel, il s'agit de la prise de conscience elle-même, du moi et qui est représenté par l'esprit de l'homme.  
 
Que se passe t-il aujuste entre la deuxième et la troisiéme étape, décrite ici pour illustrer le fonctionnement du cerveaus. La conscience résute t-elle que d'un simple processus biochimique ou se trouve t-elle associer à d'autre mécanisme de la nature qui sont encors cacher et que sont-elles.  
 
Gilles


Message édité par glevesque le 12-07-2005 à 06:43:14

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6067175
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 01:23:50  profilanswer
 

Salut
 
Je suis entièrement d'accord (sauf quelque petite réserve que nous allons clarifier par la suite) avec l'idée directrice de clementdousset.
 
Et voici comment moi j'aborde le sujet :
 
Liens possible de la Mécanique Quantique et la Conscience :
 
Qu'elle est le liens possible entre Mécanique Quantique (matière-énergie) et conscience.
 
En Mécanique Quantique, Tout est représentée par des champs d’énergies qui sont soient de forme stationnaire et bien localisé dans l'espace pour les particules, ou bien comme étant des ondes qui transporte et véhicule les interactions (information causale) à distances (lumière, onde radio). Il s'agit du principe de base de la Mécanique Quantique, c'est-à-dire de la dualité onde-corpuscule, mais en fait il ne s'agit ni de corpuscule et ni d'onde, mais bien de champs d'énergie pris sous différentes forme (quanton). Jusque ici tout va très bien, car le fluide cosmique Universel (espace-temps ou espace-énergie) est bien composé d'énergie et forme par la suite la matière par différents processus de tourbillon d'énergie en équilibre plus ou moins dynamique et donc de champs d'énergie.
 
Il existe un autre paradoxe en mécanique quantique, il s'agit cette fois-ci de la coexistance simultané de différents états quantique (vecteur d'état) d'une particule ou d'une onde par exemple (expérience des fentes de Young), elle peut-être dans un état exciter et non exciter en même temps (principe du chat de Strodinger). Il s'agit de la cohérence quantique qui n'existe pas dans le monde macroscopique, c'est-à-dire qui est situé à notre échelle, et ceci accause des différents processus statistique de décohérence qui brouille le tout quantique aux plus grandes échelles. Il y a aussi le phénomène de la non localité quantique, introduite par l'indétermination ou l'incertitude d'Heizenberg. Ce dernier prostulat de la mécanique quantique, nous indiques clairement qu'il est impossible d'optenire la position et la vitesse d'une particule et ceci de manière simultané et en même temps, mais soit l'une ou soit l'autre. La vitesse d'ordre relativiste des particules lors des interactions et les différents procédées et délais intermédiaires de mesure en sont la cause principale (en accore avec les principes de la relativité restreinte et la cohérence quantique). Mais qu'est-ce que cela veut bien dire en définitive ? Et bien que nous savons striquement rien des véritables cause de ses phénomènes.
 
Lors d’une exitation d'une particule par exemple, une particule de matière va réagire en émétant une certaine onde d’énergie tout autour d’elle, pour retomber par la suite dans un état de stabilité plus ou moins stable ou fondamentale. Cette ondes peut-êtres une onde électromagnétique comme la lumière, ou d'un autre type (mésons, gluons, graviton) et va transporter au loins l’énergie et l’information causale de l’interaction. Mais voilà, cette onde n’est pas de nature matériel et on ne peut pas savoir ou décrire à l’avence ses différents comportements (que j'ai cité plus haut). On interprète et schématise donc les ondes de manière statistique et probabilistique (formalisme quantique), et sous la forme d’une onde sphérique qui emglobe la particule émétrice (interaction), et celle-ci va croite dans l’espace à la vitesse de la lumière. L’amplitude représente alors la plus forte concentration du frond d’onde de probabilité du champs d'onde d’énergie, qui crois et qui s’éloigne de la particule initiale à la vitesse de la lumière. Un jours ou l’autre, cette onde va intéragire à nouveau avec une autre particule de matière, et cette réaction va déterminer a elle seule la réduction instantanée de l’ensemble statistique des amplitude de probabilités, qui était associé à la propagation de l’onde initiale dans l’espace. Cette réduction instantaner du paquet d’onde va nous fournir enfin, la trajectoire incidante et la quantité réelle d’énergie qui était contenut dans le système avant l’interaction. Il est a noter que le photon est la matérialisation et l’aspect particulaire ou corpusculaire d’une ondes électromagnétique lors de son interaction. Ainsi en science, nous pouvons déterminé et interpréter le comment de la manifestation d’une interaction, mais nous ne savons rien de plus concernant l’éssence même des particules ou des ondes que nous étudions et ni du pourquoi il interagissent entre aux. L’Univers nous caches donc encore ses plus grands secrets.
 
La science ne dit strictement rien, sur l’éssence même qui compose véritablement la substance des choses de matière-énergie dans la nature. Cette éssence est la caractéristique première qui définit le pourqu’oi de l’existance et de l’origine véritable des choses dans l’Univers. Et du pourqu’oi celles-ci interagissent-elles ainsi et pas autrement à travers les lois de la nature. La nature et l’éssence même de l’énergie qui compose toute matière dans l’Univers, nous est totalement inconnu. Alors dite moi pourquoi que cette réduction indéterministe et instantané (qui semble s'effectuer à vitesse supraluminique) du paquet d'onde, ne serait pas justement la conséquence directe de l'action de la volonté d'un esprit ou d'une conscience sur la matière. Cela expliquerait très bien le comportement indéterministe que nous observons a cette échelle de la nature. En plus cela expliquerait aussi pourquoi nous pouvons observé plus avant pour l'instant, car étant confronté à un phénomène relié à l'éssence même de la matière à travers ses différentes formes. Enfin je vous laisse conclure par vous même.
 
Gilles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 19:39:03

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6067330
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 01:52:08  profilanswer
 

Salut Clementdousset
 
Dans un premier temps l'affective est pour moi un concèpte qui est d’une manière plus générale associé au monde sensible (plaisante ou douloureuse) et non à la matère (irritabilité par exemple). Car il s'agit d'un processus de perception de l'état conscient et donc de subjectivité et non d'un automatisme comportementale de la matière (mais peut-être voulais-tu exprimer autre chose par là !)
 

Citation :

Pour les neuro-biologistes, disons-le tout net, il n’y en a pas. Les phénomènes qui induisent la constitution de tout état de conscience sont essentiellement des phénomènes électrochimiques. Les potentiels d’action d’une part, ces courants de dépolarisation qui parcourent l’axone en sens unique. L’activité chimique des neurotransmetteurs d’autre part. Comme les neurotransmetteurs ne font que transmettre d’un neurone aux neurones voisins une excitation qui se concrétisera par l’émission de nouveaux potentiels d’action, on peut réduire aux seuls potentiels d’action les phénomènes inducteurs de conscience tels qu’on les repère actuellement. Or, pas plus que le courant électrique ne peut être la matière de l’image faite par nature de lumière, les potentiels d’action, phénomènes simplement et purement physiques, ne peuvent être considérés comme la matière de la conscience car cela aboutirait à nier sa réalité même.

Parcontre ici, j’aurais des petits doutes, car pour moi les processus électro-chimique du cerveau participe tous à la perception de l’état de conscience.
 

Citation :

On peut dire aussi que cette image n’a aucun substrat localisable, qu’elle est le pur produit de l’activité cybernétique de notre cerveau, qu’elle est un concept fait de l’intégration d’informations

Tout à fait, une sorte d'émergence de l'activité globale.
 

Citation :

Mon idée est qu’il y a bien dans le cerveau l’équivalent d’un luminophore et qu’il n’y en a qu’un. Ce serait ce qu’on pourrait appeler un « cristal sensible ». J’entends par là une structure ordonnée et fixe qui pourrait avoir la taille d’une macromolécule et qui, au niveau infra-atomique présenterait un espace sensible à certaines influences spécifiques. Cette sensibilité se manifesterait par une réaction psycho-affective spontanée. Et elle dépendrait de certaines propriétés de la matière fondamentale.

Vois-tu moi j’associe cela aux résonnances quantique ou électromagnétique très locale mais à tendance dissépétive (!)
 

Citation :

Les neurones ont deux voies pour transmettre les informations : pourquoi n’en auraient-ils pas trois ? Et la troisième voie ce serait…la voie ondulatoire. Voilà les neurones transformés par mon imagination en micro-émetteurs d’ondes !

Complètement d’accord
et voir même parrallèle en fonctionnalité !
 

Citation :

le temps minimum est le temps de Planck, soit 10 –41 seconde

10 exp –44 sec
 

Citation :

Cet ordinateur induit bien de façon réglée les phénomènes de conscience

L'exemple n'est pas vraiment bon, car le cerveaux fonctionne de manière parrallèle et les neuronne possède des milier, voir même des dixène de millier de contacte jonctionnelle dendritiques.
 
J'ai une question, as-tu déjà entendu parler des Astrocytes dans la modulation possible de l'activité nerveuses ?
 

Citation :

Or, avec l’hypothèse du cristal sensible à une onde, cette durée se concrétiserait sur une étendue de conscience forcément ondulée

Oui, et peut-être même sous forme de schéma de synchronisation.
 

Citation :

la particularité de la sensation qui distingue, en l’occurrence, l’écrasement du pied d’un pincement au bras. La façon dont je scindais plus haut la phrase : « j’ai mal au pied » séparant le groupe verbal : « j’ai mal » du complément d’objet : « au pied » pourrait laisser entendre que je considère comme deux constituants de la conscience et l’instantanéité pure de l’intensité brute et la reconnaissance de sa modulation dans la durée.

Schéma de réseau de réseaux de cellules nerveuses, dont découle la perception sensible. Donc une fonctionnalité matériel (schéma d'association de regrouppement des neurones), schémas de couplage fonctionnelle électrochimique et électromagnétique et pour finire un schéma d'émergence de raisonnance quantique (électromagnétique et qui synchonise l'ensemble)
 

Citation :

Non, en fait. Pour moi, la conscience instantanée, ça n’existe pas

Tout à fait ! (onde nerologique gamma de 250 hz par exemple)
 
Alors pour moi ton crystale est mon équivalent de noeud de résonnance quantique ! (ou onde radio(micro-onde) comme toi) et qui décrit la cybernétique des connections.
 
Gilles


Message édité par glevesque le 12-07-2005 à 06:51:55

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6067674
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 11-07-2005 à 03:00:29  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Quelle compassion, quel secours pourrais-je attendre de quelqu’un pour qui ma souffrance –fait de conscience parmi d’autres- ne serait que purement formelle ?


 
Il dit qu'il ne voit pas le rapport...

n°6067688
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 11-07-2005 à 03:04:37  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Là où la différence est non plus formelle mais essentielle, absolue, c’est au niveau des  relations qui sont établies au sein de cette matière, différence à laquelle mon premier message et le système qu’il tente de préciser se réfère. L’apparition de la conscience dans l’univers change absolument, là où elle se situe, les niveaux de réalité des relations qui pouvaient exister auparavant dans l’univers.


 
Tu étais déjà pédant, maintenant tu es prétentieux. Aprés, on me reproche de me prendre pour Dieu :(

n°6067903
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 03:43:11  profilanswer
 

glevesque, par pitié, synthétise... la t'essaie pas de vendre un de tes bouquins a un péquenot moyen ignorant, tu parles a des gens qui ont déja un minimum de connaissance sur les sujets de base (astrophysique, biologie, etc...) alors ca sert a rien d'expliquer la vie, newton et pourquoi j'aime la choucroute dans chacun de tes posts.. :/
 
Ca donne aps envie de les lire, et les questions intéressantes passent a la trappe car on les survole avec le reste...


---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
n°6067931
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 03:48:40  profilanswer
 

et pour ceux qui pensent que les schémas neuronaux qu'on connait actuellement ne suffisent pas a expliquer les sensations, la conscience, etc..., je leur répondrait juste de se renseigner un peu sur les IA modernes a base de réseaux de neurones, ils pourraient avoir de belles surprises au niveau de la soi disant "simplicité" et "uniformité" ce ce qui se passe entre ce qui rentre et ce qui sort d'un réseau.... (a savoir qu'avec un réseau tout simple de 3 couches de 10 neurones, ce qui n'est rien a l'échelle du cerveau, je n'apprend rien a personne, on obtient déja des résultats impressionnants. Montrez a un tel réseau comment guider un petit robot dans un labyrinthe pendant 2 minutes, ils se débrouillera tout seul ensuite avec très peu d'erreur.  
Sachant qu'un neurone, c'est un tout petit bout de code qui à partir de 2 entrèes numériques, produit 1 sortie numerique. L'opération qu'il effectue en interne n'est pas connue, il la décide pendant les 2 minutes d'apprentissage.


Message édité par Tentac le 11-07-2005 à 03:49:32

---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
n°6068010
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 04:07:57  profilanswer
 

Salut Tentac
 

Citation :

glevesque, par pitié, synthétise... la t'essaie pas de vendre un de tes bouquins a un péquenot moyen ignorant

Non car il est en téléchargement gratuit !
 

Citation :

glevesque, par pitié, synthétise

Je voulais juste cibler et clarifier un peut plus précisément l'endroit précis de notre discussion. Et ceci contrairement a ce que tu dis ici :

Citation :

et pour ceux qui pensent que les schémas neuronaux qu'on connait actuellement ne suffisent pas a expliquer les sensations, la conscience, etc..., je leur répondrait juste de se renseigner un peu sur les IA modernes a base de réseaux de neurones, ils pourraient avoir de belles surprises au niveau de la soi disant "simplicité" et "uniformité" ce ce qui se passe entre ce qui rentre et ce qui sort d'un réseau.... (a savoir qu'avec un réseau tout simple de 3 couches de 10 neurones, ce qui n'est rien a l'échelle du cerveau, je n'apprend rien a personne, on obtient déja des résultats impressionnants. Montrez a un tel réseau comment guider un petit robot dans un labyrinthe pendant 2 minutes, ils se débrouillera tout seul ensuite avec très peu d'erreur.

Tu oublit de spécifier qu'ici il ne s'agit pas de perception sensible, mais juste de propriété neurocellulaire conditionné de manière instinctive et totalement neuro-mécanique

Citation :

Sachant qu'un neurone, c'est un tout petit bout de code qui à partir de 2 entrèes numériques, produit 1 sortie numerique. L'opération qu'il effectue en interne n'est pas connue, il la décide pendant les 2 minutes d'apprentissage.

Ce que tu dis ici est tout simplement faut. Tu semble oublier que le système nerveux est remplit de mécanisme d'amplification, d'inibition et de renforcement de toute sorte. Sans parler de ses différents capacité dynamique et plastique, qui emplifit les différents propriété de renforcement comportementale d'apprentissage. Le tout intégré dans un mécanisme d'ensemble et très complexte pour aboutire à la conscience. Contrairement a l'IA construite autoure de quelque dizaines à quelque centaines de cellules seulement (moins que le cerveau d'une Méduse) !
 
La perception consciente et tout les phénomènes sensible qui sens suivre (anticipation, entendement, projection, conscience phénoménale de soi) sont beaucoups plus compliquer de ce que tu sembles bien vouloir faire croire !
 
J'ai une question, as-tu pris le temps de lire quelque peut cette discussion ?  
 
Gilles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 04:28:30

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068025
clementdou​sset
Posté le 11-07-2005 à 04:11:52  profilanswer
 

                                   Cher Glevesque,
 
Je vous remercie de vos messages. Je le ai lus et suis impressionné par la somme de connaissances qu’ils impliquent. Impressionné et rassuré de voir que notre discussion collective sera sous le contrôle d’un regard si savant.
 
Non, je n’ai pas entendu parler des astrocytes.
 
Que signifie le terme « dissépétif » ?
 
Je suis très sensible aux rapprochements que vous voulez bien faire entre votre conception des choses et la mienne. Nous sommes certainement d’accord pour dire tous les deux qu’il y a une liaison décisive pour l’apparition de la conscience entre le monde physiologique et le monde infra-atomique. Je pense cependant que nous divergeons effectivement sur plusieurs points et que nous aurons le loisir de le repréciser.
 
Cordialement,
 
Clément

n°6068069
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 04:22:32  profilanswer
 

Salut Clément
 

Citation :

Je pense cependant que nous divergeons effectivement sur plusieurs points

Sur pas beacoup je t'assure !!!!!
 

Citation :

dissépétif

Qui influence de manière divergente, mais de manière très localisé dans notre contexte !!!!
 
Gilles  


---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068082
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 04:26:12  profilanswer
 

Salut Clément
 

Citation :

Nous sommes certainement d’accord pour dire tous les deux qu’il y a une liaison décisive pour l’apparition de la conscience entre le monde physiologique et le monde infra-atomique

En effet, c'est notre sujet de discussion principale, mes postes était pour le cibler plus précisément auprès des autres intervenent !
 
Heureux de te retrouver !!!!
 
Gilles


---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068208
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 05:02:18  profilanswer
 

glevesque a écrit :

Salut Tentac
 

Citation :

glevesque, par pitié, synthétise... la t'essaie pas de vendre un de tes bouquins a un péquenot moyen ignorant

Non car il est gratuit !


mea culpa :jap:
 

Citation :


Je voulais juste cibler et clarifier un peut plus précisément l'endroit précis de notre discussion.  


ben non, désolé, moi je parle de tes messages de 3km expliquand le fonctionnement de base du cerveau humain, et ca ca clarifie rien. Pour ca, j'ai une encyclopédie ou wikipedia. Et tu ne peut pas nier que des messages de cette taille la sont a la fois inutiles pour les gens qui savent de quoi on parle, et rebutants pour le commun des forumeurs :/
 

Citation :

Tu oublit de spécifier qu'ici il ne s'agit pas de perception sensible, mais juste de propriété neurocellulaire conditionné de manière instinctive et totalement neuro-mécanique


ca c'est le genre de phrase que j'aime pas : ca veut rien dire. Quelle est ta définition de "perception sensible" ? Pour moi, c'est un influx d'une provenance quelconque, qui sera traité par un ensemble de neurones. Et c'est exactement ce que je décrit en informatique. Je donne des données a mon groupe de neurone, il en fait ce qu'il veut, et a partir ce ce qui en sort, fait quelque chose.
 

Citation :

Ce que tu dis ici est tout simplement faut. Tu semble oublier que le système nerveux est remplit de mécanisme d'amplification, d'inibition et de renforcement de toute sorte. Sans parler de ses différents capacité dynamique et plastique, qui emplifit les différents propriété de renforcement comportementale d'apprentissage.


 
Pour ce qui est des valeurs numérique, je parle du modèle neuronal informatique que je décrit. Il est fait conne ca, point barre. Maintenant, je sais bien qu'un neurone de cerveau humain n'est pas comme ca, mais basé sur le meme principe, plusieurs entrées, une sortie. Ce qu'on y fait rentrer et ce qui en sort, en informatique on met ce qu'on veut, le principe de base reste le meme. J'aurai peut etre du préciser que je parlais toujours de mon neurone IA.
 
Le reste de ta phrase, désolé de te le dire, c'est beaucoup de mots qui ne disent pas grand chose non plus. "amplification" ? "inibition"? "renforcement"? De quoi tu parles ? ca peut vouloir dire trente trucs, de l'amplification d'un bête signal electrique aux systèmes d'apprentissage par renforcement.
Capacités dynamiques ? Comportemental ? avant de démonter mes arguments, renseigne toi sur le sujet que j'aborde. L'IA par réseaux de neurones est par essence dynamique, c'est la base meme du truc. Je vais pas te le décrire, il y a google pour ca, et de toute facon le fonctionnement est joliment similaire aux systèmes de neurones organiques.
 

Citation :


 Le tout intégré dans un mécanisme d'ensemble et très complexte pour aboutire à la conscience. Contrairement a l'IA construite autoure de quelque dizaines à quelque centaines de cellules seulement (moins que le cerveau d'une Méduse) !


 
ben oui, mais ouvre un peu les yeux, il n'y a pas un coupure nette entre les assemblage neuronaux "autoconscients" et les assemblages "non autoconscients". La notion de conscience elle meme apparait avec la complexité du cerveau. J'ai en effet bien du mal a imginer une méduse ayant conscience d'elle meme (encore que, dans ce domaine on a encore rien prouvé), mais ou placer la frontière entre un animal autoconscient et un animal non autoconscient, donc selon tes critères, "mécanique"?  
Un chimpanzé fait preuve de nombreux comportement qui auraient tendance a appuyer une certaine conscience de soi. il a un cerveau très évolué, proche du notre, mais toute la gamme existe entre la méduse et lui. Ou tu places la barrière ?
 

Citation :


La perception consciente et tout les phénomènes sensible qui sens suivre (anticipation, entendement, projection, conscience phénoménale de soi) sont beaucoups plus compliquer de ce que tu sembles bien vouloir faire croire !


Encore une fois, n'essaie pas de me faire passer pour un idiot. Je montrait le fonctionnement de base d'un très simple assemblage de neurones, et qu'on pouvait déja en tirer beaucoup de choses. Je sais très bien qu'au niveau de complexité d'un cerveau humain, on atteint d'autres niveaux de fonctionnement tout simplements du au nombre phénoménal de neurones impliqué.  
 
Et alors ?  
Qui te dis qu'en augmentant de plus en plus le nombre de neurones d'un réseau neuronal informatique, on ferait apparaitre des comportements de plus en plus complexes, et que si on arrivait a en interconnecter plusieurs milliards (malheureusement impossible dans l'etat actuel du hardware), on  aboutirait pas a une forme de conscience?  
Evidement, ce n'est qu'une théorie, par pitié evitez le refrain "ah ouais, c'est la matrice, trop lol", et de me traiter de fana de science fiction déjanté.  
Je dis juste que dans l'état actuel des choses, un nombre important de neurones, i.e. comme dans un cerveau humain, suffit a faire apparaitre les comportements de réaction qui vous semblent inexpliquables autrement que par une matière "sensible" ou un truc du genre.
 

Citation :


J'ai une question, as-tu pris le temps de lire quelque peut cette discussion ?  
 
Gilles


 
Si ca ne te parait pas evident que j'ai l'air d'avoir une vague idée du sujet, je me demande bien ce que je fais ici...

n°6068253
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 05:25:33  profilanswer
 

Salut Tental
 
Je dirait que oui, la conscience est relative à la complexification du système nerveux.
 
OK, juste pour toi je précise un peut mon idée :
 
Synchronisation et Temporalité de la Conscience :
 
En gros ont percois le monde extérieur avec les nerfs qui compose notre système nerveux périférique et cela jusqu'à la moelle épigniaire. Ici nous parlons de quelques relais synaptique pour la transmision de l'influx nerveux. Disont que cette première étape est asser rapide et qu'elle dépands du sens qui est impliqué dans la perception. Par exemple le nerf optique va être beaucoups plus rapide à la transmition nerveuses que les nerfs plus périfériques qui sont reliés à la transmision du sens du touché par exemple. Disont en moyenne de quelque dizaine de milli-seconde pour parcourire le trajet, et du double pour le retoure de l'information dans le cas d'une boucle réflexe, comme dans le cas du tendon sous le genou. Donc 10 msec pour l'arrivée à la moelle de l'information nerveuse et dans le cas du nerfs optique se délait pourrait corresponde à l'arriver de l'information nerveuse aux niveaux des corps génuculé latérale qui se trouve de chaque coté du Thalamus. Le thalamus est une sorte de carrefour pour la entrée des nerfs sensitives du touché et de la douleure entre autres, qui se trouve dans la partie dorseaux et dorsaux-latérale de la moelle osseuse.  
 
Un autre délait de 5 msec pour monter le long de la moelle jusqu'au Thalamus ou du lobe occipitale pour les mécanisme neurologique impliqués dans la vision. Nous sommes maintenent rendu a aproxivement à 15 msec, c'est déjà un bon délai.
 
Après tout va dépendre du type d'information, mais pour que l'information se rende jusqu'à la conscience, il va falloire qu'elle soit traitées par les différentes parties du néocortex de manière simultané, et cela est un autre bon 20 msec (environ) car a se niveau il y a plusieurs type d'échange informelle de l'influx nerveux qui parcoure présentement différents réseaux de réseaux de cellules nerveuses. Et tout sont impliquer dans différents processus d'analyse et d'association de l'information percut et traiter et retaiter dans tout les sens, par les différente aires secondaire qui forme la mémoire associative à long therme du cerveuu, ou l'espace de travail. Une partie de celle-ci, et de plusieur régions cérébrale du cortex simultanément va se dirige vers le lobe frontale et préfontale (là ou siège les perceptions cognitives les plus haute, volontée, concentration, abstraction, prise de discision etc...). Ici nous sommes rendut vers la phase finale des différents processus de la perception consciente. Tout sa, disont encors environ 20 msec, pour un totale de 35 msec.
 
En même temps différentes formes de réponces vont être élaborer en même temps et de manière simultanées et parallèles aux autres types de traitement initiale de l'information nerveuse. Aux fures et a mesure qu'avance le traitement de l'information, les réponces fournis par les différentes forme de traitement vont-êtres tranquillement descriminer par certains et voir méme différents processus qui syncronises le tout, et par différents processus d'analyse et d'association croisées des différents réseaux et réseaux de réseaux de neuronnes et de par rapport à leurs différents type et liens d'embranchement respectif. Cette étape est la plus mystérieuse de toute et corespond à une certaine prise de conscience et de la préparation de l'action à fournire ou a entreprendre aux stimulis recus. Bon ici nous discutons du processus neurophysioloique de la prise de conscience et non de l'éssance même de la conscience, qui reste encore le plus grand mystère parmit les mystère.
 
La réponce aux stimulis est maintenent en route pour sa manifestation extérieurs, l'info nerveuse est désormais associée a l'aspect émotif par son relait qu'elle à déjà effectué dans le système Lymbique et plus précisément dans l'Amygale (associé à l'aspect des comportements émotif du corps), elle est passer également par les noyaux Lenticulaire pour y être associé aux différents types de mouvement à entreprendre et de coordonner les différents tissus musculaire dans la perception spatiale du corps. Maintenent l'info se dirige vers le cervelet pour coordonnées et tonusifier tous les muscles impliqués dans le comportement adopter et sélectionné. Ici nous avons un autre 15 msec, dont au grand totale qui est de 50 msec.
 
Bon tout cela est très approximatif, et entre 50 et 500 msec (1/2 sec de l'onde cérébrale gamma), il y a tout de même une très grande différence. Mais en fait tout cela était pour expliquer et démontrer qu'il y a bien un décalage entre le phénomène percus et la perception et l'adoption d'un comportement conscient. La perception consciente s'effectut donc par rapport au passé événementiel et le cerveau coordonnes nos différents schémas comportementaux par différents processus de synchronisation et d'enticipation qui sont progetés quelque peut dans un avenir de quelque milli seconde. Le présent nous est donc défasé quelque peut !!!!
 
Gilles


Message édité par glevesque le 12-07-2005 à 07:08:09

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068256
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 05:32:57  profilanswer
 

Salut Tental et à tous
 
Ici je tente de mieu définir l'aspect réductionnisme purement mécanisme de l'aspect plus sensible de perception consciente.
 
Évolution et Origine du Système Nerveux : (Une Hypothèse de Travail)
 
je vous propose maintenent un petit schéma évolutif porté sur la matière nerveuse, il s'agit d'une partie d'un livre que je voulait écrire mais que j'ai abandonnés en court de route.
 
Les prémices comportementales et évolutives de la matière nerveuse, ont été établis progressivement par les différents réflexes biologiques et physiologiques qui ont été conditionnés de manière automatique par les organismes vivants les plus simples et les plus primitifs de la terre, comme les bactéries, les éponges, les méduses, les vers, et les plantes etc... Tous ses différents mécanismes d’adaptations génétiques et biologiques, ont été élaborés en étroites relations par rapport aux différentes lois d’harmonie et d’équilibre environnemental de la nature. Les lois de la nature qui dirigent et orientent les différentes réactions chimiques et biochimiques de la matière, sont en fait les principales responsables et la cause première, de tous ces différents mécanismes comportementaux exprimés par les organismes vivants.  
 
Ces différents types de réflexes biologiques, sont tout simplement le résultat de certaines réactions moléculaires et biochimiques, qui ont été acquis lors de l’évolution des différentes molécules organiques. (ADN, ARN, protéines, enzymes, etc&#8230 Leurs différents niveaux d’organisations et de fonctionnalités ont tout simplement été orientées et structurées par l’évolution et l’adaptation des organismes vivants unicellulaires, de type bactérien et ceci par rapport à leur environnement. Les premiers types de comportement cellulaires des bactéries, ont donc été axés sur la survie des individus et de l’espèce, et le tout étaient coordonnés par toutes sortes de signaux chimiques intérieurs et extérieurs. Par la suite les organismes vivants unicellulaires, ce sont regroupés en différentes colonies de bactéries. Les bactéries pouvaient ainsi entrer en relation et en communication, par certains signaux chimiques libérés dans leur environnement immédiat et pouvant provoquer des réactions biochimiques de toutes sortes. Cet aspect de l’évolution organique et moléculaire dirigée vers la communication extracellulaire, est à l’origine de l’évolution des différentes cellules sensorielles, qui ce son développer par différents processus d’adaptation génétique et environnementale et qui par la suite se sont tout simplement spécialisés à l’intérieur des organismes pluricellulaire de plus en plus complexe. Certaines protéines et molécules organiques situer à la surface de la membrane cellulaire, sont tout particulièrement spécialiser pour la réception et le traitement de ces différents signaux chimiques. Il s’agit en fait, d’une forme de processus biologique et biochimique effectués de manière totalement automatique, que possède tous les organismes vivants, envers une certaine forme de perception sensorielle et interactive de leur environnement immédiat.  
 
Les organismes vivant les plus simples de la nature, comme les bactéries et les algues microscopiques. Interagissent donc avec leur milieu, selon une forme d’affinité chimique et biochimique. Puisant ainsi directement dans leur environnement immédiat, les différents éléments nutritifs essentiel à leur survie et adoptant également à l’occasion, certains comportements reliés à leur reproduction, pour la préservation de leur espèce. Ces différents comportements bactériens reliés à la survie, sont donc rendus possibles et réalisés grâces à différents processus biochimiques, qui regroupent en fait toutes les différentes réactions chimiques de la matière vivante. Elles impliquent des phénomènes et des réactions d’oxydoréductions de la matière, effectués par l’échange d’électron ou par l’échange d’atomes d’hydrogènes. Le but de ces différents processus chimiques de la matière organique, est de favoriser l’échange de certains groupements d’atomes, servant entre autre à l’édification et la régénération cellulaire et pour également l’édification des différents mécanismes réactionnels utilisés par les molécules de la vie, les enzymes entre autre.  
 
Ses différents processus biochimiques, sont donc établis selon une certaine forme de complémentarité et d’affinité électrochimique, entre certaines protéines, enzyme et autres molécules organiques, qui sont elle-même en étroites relations et contrôlés par la structure génétique interne des cellules bactériennes. La sélection naturelle, allait donc favoriser la survie et l’évolution des organismes vivants, présentant alors les meilleures capacités d’interactions et d’adaptations comportementales face à leur environnement, et pouvant êtres également transmis de génération en génération. Ainsi, si la girafe possède actuellement un long cou, ce n’est pas parce qu’elle se nourrie à la cime des arbres. Mais belle et bien par ce que la nature en a voulut ainsi sur le plan génétique, et la girafe s’est tout simplement adapter à ses nouvelles conditions de vie physiologique, en se nourrissent justement à la cime des arbres. (concept du néodarwinisme)
 
L’évolution a donc favorisé sur le plan génétique et physiologique, l’expression de certain caractère bien spécifique des êtres vivants, qui allaient se développer par la suite à travers d’organismes pluricellulaire de plus en plus complexes. Cette forme de direction évolutive envers les organismes pluricellulaires et envers les prémices d’une certaine ébauche du système nerveux. Représentée au tout début de l’évolution par certaines cellules bactériennes possédant une forme de sur spécialisation sur le plan génétique, et étant axées sur les différentes formes de communications inter et extracellulaires. Ceci a permit aux organismes vivant pluricellulaires de maintenir une certaine forme de contrôle sur l’intégrité de leurs cellules, et ceci afin de coordonné l’ensemble de leurs activités physiologiques et biochimiques de leur organisme. L’équilibre ainsi maintenu par l’échange continuel d’information moléculaire, axées sur la surveillance et le maintient de leur fonctionnalité individuelle et collective. A permit aux organismes vivant de surmonter les différents obstacles de leur survie et de contrôler ainsi d’une manière beaucoup plus efficace, leurs différents métabolismes en fonction des exigences et des modifications de leur environnement immédiat. L’évolution de la vie et du système nerveux n’a donc jamais été le fruit du hasard seul, elle faisait tout simplement partie d’un ensemble de possibilités adaptives beaucoup plus vastes qui présentaient des fonctionnalités auto programmables, et le tout contenu tout simplement à l’intérieur de nos gènes.
 
Seulement environ 10% de tout l’ADN contenu à l’intérieur de nos cellules actuelle, soit environ de 30 000 gènes ont une activité génétique axées sur la production de protéines et d’enzymes. Activité qui est essentielle pour le bon fonctionnement et à la survie de nos cellules, ce sont les exons. Les introns représente plus de 90% de l’ADN non codant, qui n’est pas utilisé par nos cellules actuelles. Il s’agit peut être en réalité, des résidus de cette longue course évolutive, envers les différentes stratégies d’adaptation utilisée par les cellules face à leur environnement, et qui ont été tout simplement conservés par la nature à l’intérieur de nos cellules actuelles. Les introns pouvaient donc êtres réutilisés à l’occasion par les cellules, et ceci à différentes époques de leurs évolutions et selon les besoins. Les introns pouvaient ainsi servires en quelque sorte, de banque de donnée supplémentaire sur le plan génétique, et pouvaient éventuellement servir à augmenter les possibilités envers les différentes capacités d’adaptations cellulaires, qui étaient alors effectué de manière beaucoup plus efficaces et de manière beaucoup plus économique.  
 
Ces différentes capacités d’adaptations génétiques, contenue à l’intérieur des gènes, pouvaient êtres sélectionnés à tout moment et selon les différentes pressions évolutives exercées sur les bactéries et envers l’équilibre environnemental du milieu dans lequel elle se retrouvait. Ceci était rendu possible grâces aux différentes propriétés organisationnelles et structurelles des gènes et de leur très grande souplesse envers les différents processus biochimiques d’adaptations environnementaux. Cet aspect de l’évolution génétique sur le plan environnemental, allait évoluer par la suite, vers les véritables gènes homéotiques (homéobox) de développement et de segmentation des organismes vivants, pour ainsi donner naissance aux différents mécanismes de coordination et de différenciation cellulaire. Favorisant ainsi le développement, l’adaptation et l’évolution des premiers véritables organismes pluricellulaires beaucoup plus évolués et beaucoup plus diversifiés et complexes, que leurs ancêtres unicellulaires.  
 
Les bactéries ont ainsi évolués en favorisant des contactes très étroits avec la nature et avec leur environnement immédiat, et ceci en fonction de certains états d’équilibre, d’harmonie et de complémentarité sur le plan des échanges et des réactions biochimiques et génétiques. Les différents comportements exprimés par les bactéries envers leur environnement, ce sont donc établis en fonction de leur survie individuelle et de la survie de leur espèce. Survie qui découle elle-même, de la recherche d’une certaine forme d’état d’équilibre chimique et biochimique toujours croissant, par rapport aux différentes possibilités et capacités d’adaptations face à l’environnement. La compétition naturelle établit entre les différents organismes vivants unicellulaires et entre les différentes espèces de bactérie de cette époque. S’effectuait donc d’elle-même et de manière totalement automatique, envers la sélection naturelle des espèces et envers également les différentes mutations et les différentes capacités portés sur la réorganisation génétique des bactéries. Les forcant ainsi à évoluer d’avantage par l’acquisition de nouvelle forme de capacité complémentaire et adaptative de plus en plus complexes envers leur environnement.  
 
Ses différentes affinités physico-chimiques et biochimiques avec leur environnement et envers les autres organismes vivants de leur entourage. Ont permis aux bactéries de se nourrir, de se reproduire, de se regrouper en différentes associations ou colonies, de coopérer en fonction des différents contactes de proximité établis entre-elles (ancêtres du fonctionnement nerveux) et de fuire en fonction des dangers. Ces différents types de comportements cellulaires ainsi que quelques autres, étaient à cette époque les seules qui pouvaient êtres exprimer envers l’environnement et effectués de manière totalement automatique, étant tout simplement de purs réflexes sur le plan physico-chimique et biochimique. Les futurs comportements reliés plus étroitement à la dominance, dont les prémisses évolutives sont axées sur la survie des individus et de l’espèce, ainsi que tous les autres types de comportements à caractères plus instinctifs. Ont donc des origines et des bases moléculaires et cellulaires très anciennes, faisant tout simplement partie des différentes réactions élémentaires de la nature, envers l’évolution de la matière organique et génétique. Dont la nature à tout simplement voulut garder les différentes traces, à travers l’évolution de tous les organismes vivants, dont le tout découle tout simplement d’une origine commune.
 
Les premières colonies de bactéries :
 
Aux files des années et des siècles, certaines bactéries se sont regrouper pour former des colonies, afin de facilité leur survie et leur adaptation face à l’environnement. Comme les stromatolithes qui sont les premiers vestiges calcaires de colonie de cyanobactérie, qui ont peuplé la terre à cette époque. Les cellules se trouvaient donc regroupés à des endroits bien différents à l’intérieur de ses colonies. Elles avaient donc accès aux différents éléments nutritifs du milieu de manières très différentes, selon les positions respectives qu’elles occupaient à l’intérieur de celle-ci. Pour assurer ainsi leur survie, certaines de ses bactéries se sont donc mises à coopérer de plus en plus étroitement avec leurs entourages, en échangeant ou en transférant de temps à autres, certains de leurs éléments nutritifs. Processus qui a été grandement facilité par la suite par l’intervention de certaines formes de mutations génétiques, qui ont été effectués de manière tout à fait aléatoire, sur le plan de l’adaptation et de l’évolution.  
 
Plusieurs facteurs environnementaux peuvent interagire avec l’ADN et causés toutes sortes de mutations, comme les rayons ultraviolets, certaines substances chimiques, la foudre et des erreurs de transcriptions, etc... Les bactéries ont ainsi évoluées, en favorisant et en établissant différentes formes de contactes très étroits entre elles et leur environnement et par différente forme de communication intra et extracellulaires, effectués de manières quasi permanentes entre elles. Les différentes formes de communications entrent les bactéries, étaient alors rendu possible grâces à différents processus biochimiques et génétiques axés sur certaines molécules organiques, ce trouvant alors situées à la surface de la membrane cellulaire des bactéries. Ainsi certaines d’entres-elles vont se spécialiser de plus en plus et se concentrée d’avantage sur la production et la sécrétion de différentes molécules, qui seront par la suite évacuée à l’extérieur d’elles pour informer les autres bactéries de ses besoins essentielles. Nous avons ici l’ancêtre du mécanisme cellulaire qui est reliés à la sécrétion et à la communication à distance, et effectuées par les hormones.
 
De file en aiguille, avec les différentes formes de mutations génétiques, qui seront à l’avenir orientées sur les différents aspects de la communication intra et extracellulaire. Vont avoir une certaine forme de répercussion moléculaire et biochimique, acquises par les modifications effectuées sur la structure génétique interne de ses bactéries, et devenir par la suite une acquisition qui sera de plus en plus diversifier et complexes. La cellule possède différentes stratégies moléculaires et biochimiques pouvant lui permettre de s’adapter à son environnement, et d’acquérir ainsi une certaine forme d’équilibre. Elles possèdent également des mécanismes d’ingénieries moléculaires, servant à la réparation de leurs brins d’ADN, qui à ses époques très reculées de l’évolution de la vie, n’était tout simplement pas aussi performante qu’actuellement. Plusieurs formes de mutations sont alors rendues possibles, par des erreurs effectuer pendant la transcription et la copie de l’ADN, lors de la division cellulaire des bactéries. Les cellules bactériennes possèdent également différents mécanismes leurs permettant d’échangés entres-elles, certaines morceaux d’ADN. La conjugaison bactérienne comme reproduction.
 
D’autres phénomènes génétiques sont également mis en jeu, comme la découverte en 1940 des séquences mobiles d’ADN pouvant se déplacer à l’intérieur de la structure génétique d’une cellule. Élément transposable permettant une diversité génétique, encore plus grande face à l’évolution des espèces. Elle consiste pour la cellule à couper une certaine partie de son ADN, dans le but de la recoller à un autre endroit, situé à l’intérieur de sa structure génétique. Le morceau d’ADN, se trouvant ainsi déplacer de sa position initiale et recoller ailleurs dans la structure génétique de la cellule. Favorise ainsi différentes formes d’adaptations possibles et accidentelles envers l’expression de nouvelles caractéristiques moléculaires, biochimiques et génétiques des cellules face à leur environnement, tout en augmentant du même coût ses différentes possibilités de survie. Dont certaines de ses caractéristiques, étant les plus favorables à l’évolution et à l’adaptation des cellules envers leur milieu, seront désormais transmises et conservées sous forme héréditaire, favorisant ainsi la survie de l’espèce sur le plan de la sélection naturel. Tandis que les autres cellules et bactéries n’ayant pas réussit, en des temps raisonnables à s’adapter adéquatement à leur nouveau milieu et à leur environnement. Seront tout simplement remplacer par les nouvelles générations, dont ceux n’ayant pas les mêmes caractéristiques génétiques, seront tout simplement appeler à disparaître.  
 
C’est le processus standard qui est attribué à l’évolution de la vie et à la sélection naturelle des espèces, ou le plus fort envers ses différentes capacités d’adaptations sur le plan génétique et physiologique, l’emporte tout simplement sur les autres et assure ainsi à sa descendance les meilleurs attributs génétiques possibles. Certaines de ses mutations accidentelles effectuées sur le plan génétique, ont ainsi favorisé différentes interventions possibles sur l’environnement, qui par le développement et l’adaptation de leur différente fonctionnalité, dont certaines d’entre elles se sont tout simplement révélés très utiles. Ont tout simplement été sélectionné afin de favoriser une meilleure adaptation possible face à l’évolution. Adaptation qui résulte en fait d’un processus purement biochimique, visant tout simplement des meilleurs affinités électrochimiques sur l’état vibrationnelle et réactionnelle des molécules impliquées dans ses différentes réactions chimiques. Ainsi selon la position occupée par une bactérie à l’intérieur d’une colonie quelconque. Différents processus biochimiques, faisant partie d’un ensemble de possibilité génétique beaucoup plus vaste et pouvant être exprimé en fonction des différentes situations d’équilibre et de complémentarité environnementale, biologique et biochimique. Seront tout simplement sélectionnés et mis en contribution pour répondre aux différents besoins de survie des bactéries. Peut importait désormais la position occupée par une bactérie à l’intérieur de la colonie.  
 
Ces différentes contributions sur le plan génétique et biochimique, qui ont été acquit à travers toute l’évolution, seront désormais sélectionnées et activées en fonction de certains facteurs environnementaux, qui seront alors capter et traduit par les cellules, afin de mettre en activité certaines région génétique axée sur la production de certaines protéines et enzymes. Dont l’activité et l’action première, sera d’effectuées une certaine forme de complémentarité biochimique, visant un meilleur équilibre fonctionnel de la cellule envers son environnement. C’est un mécanisme qui est basé sur la communication et la spécialisation cellulaire, afin d’adapter la survit de la bactérie en fonction de la position exacte, qu’elle pourrait occuper désormais à l’intérieur d’une colonie. De cette manière, les bactéries d’une colonie pourront êtres désormais situés a n’importe qu’elles endroit de celle-ci, et même changer de place. Ce phénomène pourrait être à l’origine des différents gènes homéotiques, axés sur le développement et la segmentation des cellules, phénomène qui est d’ailleurs essentielle à la différenciation et la spécialisation des cellules, composant les différents organismes pluricellulaires.  
 
Les organismes pluricellulaires :
 
Ceci termine l’évolution de la vie unicellulaire, qui a été le processus de l’évolution de la vie la plus longue sur terre, s’échelonnant sur une période de temps de plus de deux milliards d’années environ. Nous allons maintenant nous diriger vers la vie pluricellulaire, qui est responsables de tout la biodiversité des organismes supérieurs, vivant actuellement sur notre planète. Elle représente d’ailleurs, les formes de vie les plus complexes du règne animal et végétal, face à l’évolution. L’étape suivant envers l’évolution de la vie, allait être et devenir très déterminant, sur le plan structurel des organismes vivants. Il s’agit de plusieurs types de mutations génétiques successives, qui ont favorisé une certaine forme de contrôle hiérarchisé sur le plan génétique, et visant une certaine catégorie de gène bien spécifique, qui pouvaient désormais contrôler et régulariser l’expression de plusieurs autres gènes. Ceux-ci possédaient des caractéristiques fonctionnelles bien définis, acquis à des époques bien différentes à travers l’évolution et qui allaient favoriser un meilleur équilibre envers les millieu extérieurs et environnemental.  
 
Ici il s’agit des véritables gènes homéotiques de segmentation et de développement cellulaire, qui ont été acquit seulement par les cellules de type eucaryote les plus évoluées. Désormais et pour la première fois dans toute l’histoire de l’évolution de la vie sur terre, une seule cellule sera nécessaire pour développer un organisme vivant complet et très complexe. Constituer de plusieurs organes physiologiques très différents et bien définis, et qui seront étroitement reliés entre eux par différent processus de communication et de différenciation cellulaire, le tout étant sous contrôle génétique. Cette époque remonte à plus de 700 millions d’années environ, à l’époque géologique correspondant au préCambien et est caractérisée par une sorte d’explosion des organismes vivants pluricellulaires à corps mous, comme les méduses et les éponges.
 
Origine des différents capteurs sensoriels :
 
Certaines caractéristiques cellulaires déjà acquises et bien définis envers l’évolution des organismes unicellulaires et pluricellulaires, vont désormais servires d’ébauches pour le développement de cellule et d’organe, pouvant servir de récepteur sensoriel envers les différents stimulent en provenance de leur environnement. Voici donc une petite description, qui est d’ailleurs très hypothétique, sur l’origine et l’évolution de ces différentes caractéristiques, sur le plan cellulaire et génétique, dont la vie allait encore une foi vouloir garder la trace tout au long de son évolution. Ces différentes formes de caractéristiques moléculaires et biochimiques, sur le plan génétique et cellulaire, allaient devenir très déterminantes par la suite, envers l’évolution des organismes vivants pluricellulaires. Ainsi les différentes formes de contactent et de jonctions extracellulaires, et les différentes formes de communication inter et extracellulaires, établis entres les bactéries d’une même colonie, allaient servire de base pour la création de nouveaux type cellulaire, véritable ancêtre des cellules nerveuses et sensorielles.  
 
Les différents processus biochimiques et génétiques, qui interviennent dans les communications cellulaires et pour l’établissement de jonction de contacte entre les bactéries. Vont tout simplement évolués et devenir petit à petit très spécialisé dans la détection de différents paramètres physico-chimiques, électrochimiques et photo-chimiques de l’environnement. Les bactéries thermophiles, qui sont les plus vieux organismes procaryotique vivant à faire leur apparition sur terre, vont tout simplement transmettes certaines de leurs caractéristiques biochimiques acquises sur le plan génétiques, aux futures générations de bactéries. Afin de permette entre autre la détection des différentes variations thermiques de leur environnement immédiat. Donnant ainsi naissance beaucoup plus tard, à de véritables cellules sensorielles de type nerveuses sensible à la détection de la chaleur, et faisant partie de nos cinq sens actuelles. Ici il s’agit d’une bifurcation évolutive et structurelle des organismes vivants qui allait permetres un niveaux réactionnelles et interationnelle plus grand face aux différents milieu de vie en évolution.
 
La pression exercer par le flux et le relut des marées, pouvait être un indicateur éventuel pour les bactéries de la venue de leur source de nourriture ou d’un danger potentiel. Les marées de cette époque, était 30 fois plus fortes que celles d’aujourd’hui, elles pouvaient donc avoir de réelle impacte sur le partour des mers et des océans, pouvant même menacer la survie des bactéries et de leur colonie également. La lune était 3 fois plus proche de la terre, qu’elle ne l’est de nos jours et elle en faisait le tour en 5 jours seulement, ce qui a eu comme conséquence directe d’accélérer la rotation terrestre, qui s’effectuait alors en une dizaine d’heures seulement. Aujourd’hui la lune s’éloigne toujours de nous de quelques (3) centimètres par années, ralentissant ainsi la rotation terrestre de quelques secondes par millénaires.  
 
Les différentes pressions exercées sur la membrane cellulaire des bactéries, subissant alors des compressions et des entassements réguliers d’ordre physico-chimiques et pouvant être causées par le vent, les marées et les tempêtes etc… Vont donner naissance petit à petit à d’autres types cellulaires très spécialisées, possédant des caractéristiques d’ordres sensorielles, et ceci après plusieurs types de mutation effectués de manière purement aléatoires. Favorisant ainsi la survie des bactéries par l’intermédiaire de nouvelle capacité, qui leur permettraient désormais de détecter certain phénomène d’ordre environnemental (la teneur en sel solube par exemple). Leur permettant également d’orienter et d’ajuster certaines de leurs activités biochimiques, afin de réagir rapidement et de manière adéquate à cette nouvelle situation pouvant menacer leur survie.  
 
Ces différents processus d’adaptations sur le plan génétique, pourraient bien êtres à l’origine des premières cellules sensorielles spécialisées dans le toucher et la détection des variations de pressions, aux différentes cellules spécialisés dans la détection de certains composées chimiques, comme pour le goût avec nos papilles gustatives et finalement aux cellules spécialisées dans l’audition et pour le maintient de l’équilibre, comme pour les cellules nerveuses de la cochléaire et de l’appareille vestibulaire de notre oreille interne. Les bactéries photosynthétiques, vont plutôt favoriser une évolution et une transmission des différentes caractéristiques moléculaires, reliées aux phénomènes photo-chimiques de nos cellules sensorielles impliqués dans la vision, comme les cellules en formes de cônes et de bâtonnets de la rétine de l’œil. Toutes ses différentes caractéristiques biologiques et physiologiques, acquises sur le plan de l’évolution cellulaire et génétique, ont étés transmis en gardées à l’intérieur des séquences d’ADN des cellules, et ont tout simplement étés activés au moment voulut et selon les différentes pressions environnementales visant des états d’équilibre et d’harmonie structurelle toujous grandissant. Représentant alors une forme d’intron génétique, ou de structure génétique non utilisés avant leur activation.  
 
Les prochaines poussées évolutives des organismes vivants d’ordre supérieurs, vont ainsi favoriser le développement anatomique et physiologique de l’œil et de la vision, ainsi que plusieurs autres types d’organes biologiques. Cela est rendu possible grâce à différents mécanismes génétiques, axés sur la différenciation et la spécialisation cellulaire, comme les gènes homéotiques. Mécanisme qui est d’ailleurs contrôlé entièrement par les différents processus de la communication cellulaire, et effectué par l’intermédiaire de différents signaux chimiques qui sont alors libérés à l’extérieur des cellules et ayant comme objectif de coordonner l’ensemble du développement d’un organisme vivant pluricellulaire. Ces différentes molécules ont pour objectifs, d’activé certains séquences génétiques des cellules, afin de faire ressortir certains traits bien caractéristiques, reliés à certaines fonctionnalités biochimiques des cellules et servant entre autre à maintenir une certaine forme d’équilibre structurelle, entre les différents tissus et organes d’un organisme vivant face a son milieu de vie.  
 
Les prochaines poussées évolutives des organismes vivants d’ordre supérieurs, vont ainsi favoriser le développement anatomique et physiologique de l’œil et de la vision, ainsi que plusieurs autres types d’organes biologiques. Cela est rendu possible grâce à différents mécanismes génétiques, axés sur la différenciation et la spécialisation cellulaire, comme les gènes homéotiques. Mécanisme qui est d’ailleurs contrôlé entièrement par les différents processus de la communication cellulaire, et effectué par l’intermédiaire de différents signaux chimiques qui sont alors libérés à l’extérieur des cellules et ayant comme objectif de coordonner l’ensemble du développement d’un organisme vivant pluricellulaire. Ces différentes molécules ont pour objectifs, d’activé certains séquences génétiques des cellules, afin de faire ressortir certains traits bien caractéristiques, reliés à certaines fonctionnalités biochimiques des cellules et servant entre autre à maintenir une certaine forme d’équilibre structurelle, entre les différents tissus et organes d’un organisme vivant face a son milieu de vie.  
 
Par la suite, la vie poursuivra son évolution à la surface de la terre, en prenant alors différentes formes de vie végétales et animales. Elle avancera incontestablement aux files des époques et des aires géologiques, pour finalement aboutire à notre époque avec une si grande diversité biologique. La période géologique du Cambrien et les suivantes, qui remonte à plus de 600 millions d’années sont bien caractérisés par l’évolution et par la progression très rapide des organismes vivants pluricellulaires, comme les plante et les animaux aquatiques. Tous ses différents processus envers l’origine et l’évolution de la vie, ne sont donc pas attribuable au hasard seul. Mais font réellement partis d’un ensemble de possibilité et de probabilité beaucoup plus vaste, porté sur l’évolution chimique et biochimique de la matière, qui est alors orientée vers des structures de la matière de plus en plus complexe, et faisant partie de la manifestation des différentes lois de la nature.  
 
Pour résumer notre histoire sur l’origine et l’évolution de la vie sur terre, nous pouvons dire que la gravitation réunis et concentre vers un ou plusieurs points bien spécifiques de l’espace. Les différentes concentrations en élément, constituées entre autre de molécule et de poussière de toutes sortes et qui se trouvent alors piégées dans un milieu interstellaire en pleine transformation. La matière subira par la suite différente réactions physico-chimiques, électromagnétique et électrochimiques, envers les différentes propriétés physiques, chimiques et électromagnétiques de la matière se trouvant alors dans le milieu en question, pour finalement subire une certaine forme de convergence structurelle et évolutive de plus en plus complexe du système. Ces différents processus et mécanismes naturels de l’évolution structurelle de la matière, peuvent très bien expliquer et conduire à l’évolution et au développement de la vie, et pourquoi pas vers la conscience si les conditions du milieu lui son alors favorable et le permette, comme cela c’est déjà produit envers l’évolution notre propre espèce sur terre. Après l’origine et l’évolution de la vie il nous reste qu’à entrevoir l’évolution de l’espèce humaine.
 
Première étape de l’évolution du cerveau :
 
Petit à petit avec la complexification des organismes pluricellulaires et envers surtout l’émergence de nouveaux gènes de types homéotiques, qui vont favoriser la segmentation, de différenciation et le développement de différents tissus cellulaires d’un organisme vivants. Qui avec le temps sont devenus de plus en plus complexes, permettant ainsi aux différents organismes pluricellulaires, d’avoir en leur possession et en leur contrôle, plusieurs types de cellules regroupées en différents organes ayant des activités et des fonctionnalisées physiologique bien différent les unes par rapports aux autres. Certaines de ses cellules pouvaient coordonner l’ensemble des tissus et des organes constituant un organisme, et ceci de manière à maintenir une forme d’équilibre parfaites de leurs différentes activités biochimiques et moléculaires, axée entre autre sur la production et la secrétions de certaines molécules extracellulaires, le tout coordonné et contrôlé pour faire face aux différents besoins imposés par l’environnement. Ici il s’agit d’une sorte de contrôle hormonale sur l’homéostasie cellulaire, axé sur le maintient de l’équilibre interne d’un organisme vivant.  
 
La nature va donc petit à petit assisté à la naissance et à la spécialisation des premières cellules de type nerveux. Ne servant à l’époque qu’à établir différents réseaux de communications de plus en plus complexes entre les différents tissus cellulaires d’un organisme vivant et pouvant également régulariser l’ensemble de ses fonctionnalités physiologiques. D’autres types de cellules qui étaient alors en étroites relations avec les différentes conditions d’équilibres environnementales, vont ainsi faire leur apparition et établires des jonctions de toutes sortes avec les cellules de types nerveuses. Il pouvait s’agir également d’une certaine forme de différenciation cellulaire effectuée par les cellules de types nerveuses, ayant acquis alors cette nouvelle spécialisation moléculaire et biochimique. Fonctionnalités qui ont été acquises de façon purement aléatoire sur le plan de l’évolution génétique et transmise de génération en génération, ce trouvant tout simplement favorable à l’adaptation et à l’évolution de l’espèce, et ceci après avoir effectué plusieurs autres tentatives qui ont échoué. Ce sont les premières formes de cellules sensorielles reliées aux cellules de types nerveuses, elles peuvent déterminer à elles seul, le comportement global d’un organisme vivant pluricellulaire.  
 
Le stade des colonies de bactéries et d’algues, dont les individus vivaient de manières indépendantes et presque immobiles, et des organismes pluricellulaires fixes et ancrés au sol, est maintenant réellement franchit. Car ici, il s’agit d’un nouveau type de comportement relié au mouvement et au déplacement que peuvent désormais entreprendre les organismes pluricellulaires, sous le contrôle et la surveillance de leurs cellules nerveuses. Ainsi à partire des colonies de bactéries et des protozoaires unicellulaires (famille des protistes), en passant par les éponges qui représente les premier véritable organismes pluricellulaires. Nous voilà maintenant rendu à la première forme d’évolution du système nerveux, et qui est étroitement associés aux différents organismes pluricellulaires dotés de mouvement. Il s’agit des cœlentérés, qui regroupe les organismes vivants a intestin creux, comme l’hydre et la paramécie et qui possèdent quelques neurones éparpiller dans leur corps, sans aucune autre structure plus élaborée, que par de simple connexion inter neuronales. Il y avait également les vers plats primitifs et les tribolites arthropodes à huit pattes, qui possédaient des structures nerveuses encore plus complexes que les cœlentérés. Ses organismes vivants ont marqué la période géologique transitoire situé entre le précambrien et le cambrien.
 
Tous ces différents phénomènes axés sur l’évolution de la vie et de ses différents mécanismes d’adaptations, nous ramènes en réalité à certains principes Universels axés sur l’équilibre et l’harmonie. Principe qui nous démontre en fait, comment la nature communique et s’exprime envers elle-même, et qui sur le plan de la conscience humaine sont tout simplement associés aux différents concepts spirituels envers la morale et la sagesse. Ainsi nous pouvons dire que l’évolution de la conscience humaine et du cerveaux, s’est effectués en réalité à travers et en étroite relation avec les prémisses spirituelles de la nature. Celles-ci découlant tout simplement des mêmes lois fondamentales de l’Univers, qui dirige l’évolution et le comportement de l’ensemble des différents niveaux d’organisation de la matière.
 
Tental, vien pas me dire que ce texte est long, car à quelque par c'est toi qui a demander que je préciser mon point de vue. Et pour que ce dernier soit claire, et bien il faut qu'il soit long tout simplement.
 
Gilles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 19:49:43

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068264
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 06:05:12  profilanswer
 

Et ?  
Désolé mais encore une fois je ne vois pas ce que tu cherches a prouver. La tu nous a fait une très bel exposé sur le fonctionnement du système nerveux, assez synthétique, bravo. Mais au final, c'etait quoi le but du post ?
 
Bon, ce que j'ai compris : (pas de ton exposé, de toute facon j'ai fait bien assez de bio pour savoir déja tout ca, je parle de ce que tu essaies vraiment de soulever)
 
En gros tu essaie d'expliquer que la conscience n'est pas une reflexe ? Pour moi, c'est enfoncer une porte ouverte. Quand je me brule un doigt, le stimuli va rentrer dans mon cerveau mais il va "activer" une sorte de boucle préprogrammée qui va me faire reculer la main. La conscience n'a rien a voir dans tout ca. C'est un certain ensemble neuronal utilisé d'une certaine facon qui a été "cablé" au fur et a mesure de notre apprentissage de la vie pour s'ecarter automatiquement de la source de brulure.  
Et ca fait bien evidement partie du groupe des actions réflexes, donc avec un temps de traitement très court, car le traitement en question est "simple" (au regard d'autres traitements extensifs, plus relatifs au cognitif).
 
Mais le stimuli va egalement lancer un nouveau process dans le pool de notre conscience, ou encore modifier Le process géant de notre conscience (selon l'approche qu'on a du fonctionnement), avec la donnée "je me suis brulé", mais pas au sens du réflexe. Au sens ou quand on a mais la main sur la gasinière, on se rend vraiment compte qu'on s'est brulé.
Et la on va avoir un temps de réponse très variable en fonction de ce qu'on va décider de faire (se sucer le doigt, aller le passer sous l'eau, etc) qui sera bien evidement sans commune mesure avec le temps de réponse de l'action réflexe "s'écarter du feu".
Personnelement je dirait que le temps mini quelle que soit l'action "avancée" qu'on va décider est d'au moins une demi-seconde, le meme genre que celui qui nous fait piler net en voiture, quoi. Le temps maxi, yen a pas. Le process de raisonnement peut etre long, par exemple le temps de se rappeler que c'est une brulure au caramel ou a l'huile, qu'il ne faut surtout pas la frotter, aller la passer sous l'eau froide, aller chercher la biafine, etc... plusieurs dizaines de secondes, une minute, etc...
En fait ce que j'ai voulu dire, c'est que meme si le cablage utilisé n'est pas le meme, le fonctionnement a l'échelle neuronale est strictement le meme.  
La partie du cerveau utilisée pour l'action réflexe exclut nécessairement les traitements extensifs, car le cerveau a appris dans sa prime jeunesse que il faut agir très très vite, meme si on sait pas vraiment si c'etait exactement la bonne chose a faire.
Après, le process conscient fonctionne sur les memes bases, c'est juste qu'on utilise pour cela une bien plus grande partie du cerveau, et avec beaucoup moins de contraintes sur les schémas utilisés. Pour donner une image, le process de raisonnement va probablement faire 2000 fois "le tour du cerveau" (meme si l'image est très grossière) alors que le réflexe ne sera passé qu'une seule fois par un groupe de disons 1000 neurones (chiffre totalement fictif). C'est juste que les besoins décisionneles sont totalement différent. Et cela explique pourquoi mon chat retirera aussi la patte après s'etre brulé, mais qu'il viendra pas me voir pour que je lui mette de la biafine dessus. (a moins que ca ne lui soit arrivé très très souvent, auquel cas il est possible que la logique "brulure -> aller voir tonton tentac ->a plus bobo" n'aie fini par se cabler dans les cheminements "facilités" de son cerveau .
Ce ne serait pas un réflexe au sens réaction quasi instantannée, mais ce n'est pas pour autant une vraie action autoconsciente. C'est juste un raisonnement précablé au meme sens que "caca dans la litière". Une habitude qui fait qu'on a pas trop besoin d'y réfléchir, quoi.
 
Mais au final, le fonctionnement de base est toujours le meme, a priori.  
Pour la partie "réaction réfléchie", l'influx a un point d'entrée, passe par un relais spécialisé dans son genre d'influx (sensation, influx sonore, visuel, etc), est traité par la partie du cortex qui est associé a cette catégorie (visuel, etc...) a priori préencodé a ce niveau sous forme de concept très primaire, et ensuite feedé dans ce qui forme le flux de conscience permanent du cerveau. Mais la aussi ca se traduit par un groupe de neurone qui fournit une séquence d'impulsions bien particulière a un autre groupe de neurones, (immense celui la). Et ce groupe en question, après avoir fait subit a l'information de base moult et moult passages et transformation dans des structures de neurones qui se seront formés au fur et a mesure de notre vie pour former notre intellect, finira par atteindre la forme voulue, ou du moins suffisante pour avoir atteint l'état ou elle génére une action. Et là, chemin inverse, on va passer par les centres qui affinent le concept de l'action jusqu'a arriver au niveau ou c'est juste un influx nerveux dirigé vers certains muscles.  
Par exemple pour nous faire marcher jusqu'a l'evier.
 
 
Pour conclure ce post horrifique car bien trop long, pour moi le traitement conscient ne s'explique pas par une "matière sensible" ou je ne sait quoi, mais justement par un traitement très long dans une masse de neurone conséquente. 10 secondes de reflexion, quand on connait le temps de passage d'un influx dans un neurone, qui doit etre de mémoire de l'ordre le la microseconde, c'est gigantesque.  
 
D'ailleurs, dans ton post tu apportes de l'eau a mon moulin dans ce sens.
Donc ca ne m'étonne pas qu'avec un simple fonctionnement de base du neurone "infos qui entrent, info qui sort, traitement très basique entre les deux", on arrive au processus de conscience si on met assez de neurones.
 
Et d'ou ma comparaison pas stupide avec les neurones informatiques, qui fonctionnent de la meme facon, et qui déja au niveau de la centaine de neurones, arrivent a donner des comportements IA très intéressants, comparables a ceux d'un animal de meme "puissance", par exemple la méduse.


---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
n°6068268
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 06:16:01  profilanswer
 

Ho putain, ton dernier post :sweat: et moi qui trouvait que le mien etait long....
 
Dans ton intérèt et dans celui de tout le monde, arrète de poster des trucs pareils.  
 
1/ Ici c'est un forum, qui plus est assez généraliste a la base.
2/ Pratiquement personne ne lira un truc pareil.
3/ La tu déraille un peu complètement du sujet. Je sais bien que pour etre exaustif sur une sujet aussi complexe que la conscience on est obligé d'aborder un champ très large, mais faut savoir se fixer des limites sinon on sait plus de quoi on parle.
4/ Tu affirmes dans ton dernier post bien trop de chose. Certaines choses devraient rester dans le scope de la supposition. Genre la ou tu abordes le darwinisme/non darwinisme, je te conseille sérieusement de ne rien affirmer d'absolu sur le sujet, sinon tu vas enflammer le débat et faire déraper complètement le sujet.
5/ En référence a ton dernier paragraphe, je suis désolé, mais c'est du grand n'importe quoi, en relation au sujet originel.
Equilibre, harmonie, ca reste de l'extra théorique, selon le point de vue, on peut affirmer axactement le contraire.
La "morale" et la "sagesse", mais rofl, par pitié ne parle pas de concepts de ce genre dans un article encyclopédique sur les microorganisme !! Le lien n'est pas forcément impossible, mais vraiment pas logique ni évident, et pratiquement impossible a prouver!
Ou alors, poste ca dans le topic scientologie, que je risque pas de tomber dessus.
 
Et pour finir, mon pseudo c'est Tentac, pas Tantal, hein. Je suis pas une marque de fromage...


---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
n°6068270
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 06:17:23  profilanswer
 

Salut Tental
 

Citation :

Désolé mais encore une fois je ne vois pas ce que tu cherches a prouver. La tu nous a fait une très bel exposé sur le fonctionnement du système nerveux, assez synthétique, bravo. Mais au final, c'etait quoi le but du post ?  
 
Bon, ce que j'ai compris : (pas de ton exposé, de toute facon j'ai fait bien assez de bio pour savoir déja tout ca, je parle de ce que tu essaies vraiment de soulever)

Mon premier but était de maitre carte sur table des différentes connaissences actuelle en neuroscience, maintenent c'est fait. La suite va surement concerner les différents aspect de la mécanique quantique et la biophysique des neuronne. Clément parle d'un type de macro-molécule (crystale) qui serait à l'intérieur des neurones et qui aurait entre autre, la capacité d'influencer sur de courte échelle la synchronisation (ou certaine forme de celle-ci) du tissus cérébrale ou l'activition/innibition de petit réseaux de cellule nerveuse. Tout mon baratin technique était de préparer le terrain (afin de mieu comprendre les pourqu'oi que nous voulons discuter de la Mécanique Quantique ou d'onde électromagnétique d'origine des processus senssible et de biomécanique simplement), car oui il y a bien Mécanique Quantique ou champs d'énergie dans tout ca.
 
Clément va surement commenter ce poste, afin de savoir si j'ai bein traduit le synbolisme de sa pensée !
 
Gilles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 06:21:34

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068277
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 06:30:22  profilanswer
 

glevesque a écrit :

Mon premier but était de maitre carte sur table des différentes connaissences actuelle en neuroscience, maintenent c'est fait.


j'espère que la dedans tu n'intègres pas ton dernier post, car des hypothèse que tu avances sont a des kilomètres de faire partie des connaissances actuelles en neuroscience. "les prémisses spirituelels de la nature", mon cul (pour etre grossier, malheureusement). Ce n'est rien d'autre qu'une théorie farfelue parmi plein d'autres, n'essaie pas de faire passer ca pour un fait acquis.
 
 
Et:

Citation :

Tental, vien pas me dire que ce texte est long, car à quelque par c'est toi qui a demander que je préciser mon point de vue. Et pour que ce dernier soit claire, et bien il faut qu'il soit long tout simplement.


 
Désolé, mais si, ton post et bien trop long et qui plus est absolument inutiles. Je te pose une question sur un sujet bien précit, tu me noies sous un article scientifique sans aucun rapport direct et bourré de suppositions cachées dans des faits relativement connus.
 
Je vais etre méchant, mais la j'y suis franchement acculé :/
Je n'aime pas trop le genre de personnes qui, quand elles ne savent pas répondre a un problème bien particulier soulevé par quelqu'un, répondent complètement a coté de la plaque en mélangeant allègrement plein de choses. Et je déteste encore plus les gens qui cachent dans un article scientifique solide des suppositions et théories de leur fait pour les faire passer comme aussi tangibles que le reste.
 
Ca me rappelle les méthodes d'un certain JPP :/


---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
n°6068278
glevesque
Reste Calme !
Posté le 11-07-2005 à 06:31:54  profilanswer
 

Salut Tental
 

Citation :

En gros tu essaie d'expliquer que la conscience n'est pas une reflexe ? Pour moi, c'est enfoncer une porte ouverte. Quand je me brule un doigt, le stimuli va rentrer dans mon cerveau mais il va "activer" une sorte de boucle préprogrammée qui va me faire reculer la main. La conscience n'a rien a voir dans tout ca. C'est un certain ensemble neuronal utilisé d'une certaine facon qui a été "cablé" au fur et a mesure de notre apprentissage de la vie pour s'ecarter automatiquement de la source de brulure.  
Et ca fait bien evidement partie du groupe des actions réflexes, donc avec un temps de traitement très court, car le traitement en question est "simple" (au regard d'autres traitements extensifs, plus relatifs au cognitif).

Ce que tu décrit est purement et simplement qu'un phénomène de perception neuro-mécanique et non d'un phénomène de conscience à proprement dit ou de conscience phénoménale (conscience d'avoir conscience de quelque chose). Maintenent tu as les réflex et l'instinct, oui certe mais pourquoi ressentut de la douleure, tu les percois parceque ton système nerveux là véhiculer jusqu'à ton cerveau (la ou siège la conscience) mais ce n'est pas tes neuronne qui te fait apprécier l'aspect sensible de la perception consciente de la douleur ou de l'appréciation d'une couleurs. Dans la nature il ni a pas de couleurs mais juste ces représentation d'ordre physique (amplitude, longueur d'onde et fréquence) ou vois-tu le bleu dans tout sa. ET bien s'est ca la conscience phénoménale et l'aspect sensible de la cnscience
 
Pour ton dernier poste je passe !
 
Gilles


Message édité par glevesque le 11-07-2005 à 06:35:02

---------------
Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
n°6068280
meriadeck
arme de distractions massives
Posté le 11-07-2005 à 06:34:09  profilanswer
 

glevesque, t'as décidé de faire de la pseudo science dans tous tes topics? entre ça et "Einstein avait tort" tu nous gâtes :o


---------------
Acceuil /Que se passe-t-il quand un gouvernement décide que le travail est un devoir ?
n°6068288
clementdou​sset
Posté le 11-07-2005 à 06:43:57  profilanswer
 

                              Salut Tentac,
 
Allez-y, interconnectez vos milliards de neurones informatiques, je vous mets au défi de faire apparaître le moindre soupçon de conscience.
 
On vous marche sur le pied : ça fait mal. On vous l’écrase un peu plus fort : ça fait un peu plus mal ! C’est con la douleur ! Y a rien de plus con. Pour trouver une connerie pareille, il faut aller au coeur de la matière, là où l’on ne trouve que le simple jeu des forces brutes. C’est ce que je fais avec mon « cristal sensible » aussi simple dans son principe (certes pour moi encore mystérieux) que ce luminophore de rien du tout dont l’absence empêcherait la meilleure émission du monde d’apparaître sur l’écran de mon téléviseur.
 
Sans la douleur, le plaisir, l’effort et peut-être aussi quelque autre force psychique aussi rédhibitoirement simple tous les circuits cybernétiques du cerveau tourneraient à vide de conscience comme vos circuits artificiels.
 
Douleur, plaisir, que ressentent certainement, même avant la méduse, les premiers animaux où les neurones sont apparus et qui, évidemment, pour faire naître à la conscience les réalités du monde doivent devenir matière de constructions complexes  (onde de synthèse dont l’élaboration est forcément liée à la cybernétique du cerveau… mais vous m’avez peut-être lu)
 
Cordialement,
 
Clément

n°6068290
Tentac
¤¤ In tartiflette we trust ¤¤
Posté le 11-07-2005 à 06:48:33  profilanswer
 

glevesque a écrit :

Salut Tental
 

Citation :

En gros tu essaie d'expliquer que la conscience n'est pas une reflexe ? Pour moi, c'est enfoncer une porte ouverte. Quand je me brule un doigt, le stimuli va rentrer dans mon cerveau mais il va "activer" une sorte de boucle préprogrammée qui va me faire reculer la main. La conscience n'a rien a voir dans tout ca. C'est un certain ensemble neuronal utilisé d'une certaine facon qui a été "cablé" au fur et a mesure de notre apprentissage de la vie pour s'ecarter automatiquement de la source de brulure.  
Et ca fait bien evidement partie du groupe des actions réflexes, donc avec un temps de traitement très court, car le traitement en question est "simple" (au regard d'autres traitements extensifs, plus relatifs au cognitif).

 
Ce que tu décrit est purement et simplement qu'un phénomène de perception neuro-mécanique et non d'un phénomène de conscience à proprement dit ou de conscience phénoménale (conscience d'avoir conscience de quelque chose). Maintenent tu as les réflex et l'instinct, oui certe mais pourquoi ressentut de la douleure, tu les percois parceque ton système nerveux là véhiculer jusqu'à ton cerveau (la ou siège la conscience) mais ce n'est pas tes neuronne qui te fait apprécier l'aspect sensible de la perception consciente de la douleur ou de l'appréciation d'une couleurs. Dans la nature il ni a pas de couleurs mais juste ces représentation d'ordre physique (amplitude, longueur d'onde et fréquence) ou vois-tu le bleu dans tout sa. ET bien s'est ca la conscience phénoménale et l'aspect sensible de la cnscience
 
Pour ton dernier poste je passe !
 
Gilles


 
 
J'ai essayé d'expliquer mon point de vue, mais tu bloques sans vraiment commenter, tant pis :/
et encore une fois, tu affirmes, tu affirmes, c'est de l'intolérance, pas de la discussion, ca.
J'aurais aimé pour une fois discuter du sujet avec quelqu'un d'intéressant et qui sait argumenter, visiblement c'est raté.
 
pour le bleu :
 
Dans l'etat actuel des connaissances, puisque tu aimes tant cette expression, TOUT le fonctionnement du cerveau est basé sur des "phénomène neuro-mécaniques". Et bizarement plein de scientifiques et autres gens semblent très bien arriver a l'imaginer... [:jofission]
Franchement qu'est ce qui te dérange dans l'idée que la conscience peut naitre dans un tas de neurones au comportement unitaire très simple ? parce que la tu n'as rien argument, t'as dit "c'est faux" mais tu shuntes toute la partie intéressante du raisonnement qui tendrait a le prouver.
 
pour le rouge :
début de preuve ? d'explication? de justification ? c'est bien beau d'affirmer, mais maintenant j'aimeais que pour une fois tu m'explique pourquoi des structures hypercomplexes de milliards de neurones n'arriveraient pas a manipuler des concepts comme la douleur, les couleurs, les assocations de formes, j'en passe et des meilleures. Parce que moi je l'imagine très bien, j'ai déja vu comment ca fonctionne a petite échelle, j'ai pas de mal a transposer. Et bizarement tout plein de gens aussi.
 
Et ne me répond pas avec des histoires de crystal, de girafes ou d'évolution. On parle de fonctionnement cognitif, la.


---------------
"Ramon Balthazard ! Lachez cette arme !"
mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  16  17  18  19  20  21

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
Aller plus loin que le big-bang : conditions initiales et conscience!Les films avec des voyages dans le temps
~~ BlindTest ~~ (BT-208 : On demande des blindeurs pour le live !)combien de temps pour une repose de culasse?
Pourquoi les femmes ont tout le temps besoin de se confier ?et en meme temps si sa interesse kelkun je peu lui faire sa bande
Pour ceux qui passent beaucoup de temps devant l'écran PC !La chaine de TV Sur laquelle vous passez le plus de temps!?
combien de temps pour un recommandé.??????help!!! 
Plus de sujets relatifs à : champ de conscience inscrit dans le temps


Copyright © 1997-2022 Hardware.fr SARL (Signaler un contenu illicite / Données personnelles) / Groupe LDLC / Shop HFR