Reprise du message précédent :
On y est presque....

Merci, Lorelei.    
 

En tout cas, je ne vais pas m'étaler sur ce sujet et notre dialogue de sourd apparement!
 
J'avais juste jeter un oeil au sujet vu les 200 pages dépassés.
 
Je reconnais que c'est une maladie, mais une maladie très répandu alors (peut-être la 1ère dans les pays développés). Une maladie d'ordre psychologique dont on ne sait rien. Bref! Consommez les anti-dépresseurs, ils sont là pour vous les fabriquer et que vous en soyez dépendants!

Un documentaire sur la psychogénéalogie sur France 2 dans quelques minutes.  

 
Dans envoyé spécial ?
Vais voir ça, merci.

Tiens, en faisant des recherches, je tombe sur cet article d'aujourd'hui au hasard de RTLInfo.be :
 
[ Près de 20% des soldats revenant d'Irak et d'Afghanistan, soit 300.000 en tout, souffrent de troubles psychologiques ou de dépression majeure, alors qu'à peine la moitié se font soigner, affirme un rapport de la RAND Corporation jeudi.  
 
Cette étude a été menée auprès de 1.965 soldats venant de 24 régions du pays. Depuis octobre 2001, environ 1,6 million de soldats ont été déployés lors des guerres contre l'Irak et l'Afghanistan. Parmi les 20% d'anciens combattants présentant des syndromes de stress post-traumatique (SSPT) et des dépressions, la moitié expliquent qu'ils ont été le témoin de la mort d'un camarade ou de ses blessures graves.  
 
Quelque 45% racontent qu'ils ont vu des corps de civils tués ou gravement blessés. Enfin 10% disent qu'ils ont été eux mêmes blessés et hospitalisés. Les taux de SSPT et de sérieuse dépression sont plus importants dans le corps des Marines et de l'Armée de terre. Les femmes et les hispaniques y sont aussi davantage sujets mais il apparaît que le facteur commun de l'émergence d'une dépression est toujours l'exposition au combat. ]
 
 
Ici il n'y a la dépression dans l'ADN mais plutôt ailleurs comme vous le lirez!
 
Il leur faut quoi pour qu'ils guérissent ?

Personne n'a jamais dit que la dépression était inscrite dans les gènes, mais qu'on pouvait avoir des prédispositions génétiques.
 
Et AMHA, les soldats d'Irak guériront pas de sitôt.

 
non, juste après  

C'est pas comme si on connaissait pas déjà avec le Vietnam.

 
Pour ma part je ne consomme pas les AD par plaisir. Mon mari était à peu près dans le même état d'esprit que toi avant que l'on me diagnostique, et surtout, avant de subir mes différentes crises. Il a bien fallut se rendre à l'évidence que je ne pouvais pas gérer mes émotions. Le matin hyper euphorique, imbattable, boostée à fond sur tous les domaines. L'après-midi, la pression monte, j'étais à l'affût du moindre mot, geste, de travers pour pouvoir exploser (agression verbale, physique). Le soir, je me disais que je ne m'en sortirais jamais, que ça ne valait pas la peine que je vive plus longtemps si c'était pour faire souffrir les gens de mon entourage. Essaie d'imaginer le calvaire que tu vis, que tu fais vivre aux autres. D'être sans cesse à flipper ne sachant pas quand arrivera la prochaine crise et se qui en découlera. Le fait de consulter un médecin, des psychiatres, d'accepter son diagnostique, un traitement qui sera efficace au bout de quelques semaines, et encore, quand on trouve le bon dosage, accepter le fait de vivre sous AD, au même titre qu'un diabétique doive se faire sa piqûre quotidienne (une maladie qui ne se voit pas non plus!!!), après tout ça, je suis convaincue que je suis malade.....Je me fous de savoir si toi tu en es convaincu, j'éspère seulement que le jour où tu seras confronté à un ou une maniaco-dépressif, tu auras un comportement plus compréhensif, et que tu essaieras au moins de ne pas t'emballer en remarques maladroites.
 
 

arrêtez de nourir le troll

Non, c'est pas un troll, hein. T'en connais pas des dizaines, de gens comme ça, toi? Au moins celui-là essaie-t-il vaguement d'en savoir plus, mais on peut pas dire que ça soit hyper rare, les gens qui pensent que les dépressifs, tout ce dont ils ont besoin, c'est un coup de pied au cul...

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J'crois qu'en fait c'est généralisé pour la(les?) génération(s?) nous précédant, malheureusement. Très peu (les seules personnes concernées, en fait je pense, par la dépression) de gens qui ont la cinquantaine ou presque comprennent cet état.

Après pour les très jeunes, ils répètent bêtement ce que le papa ou la maman disent : qu'il faut un bon coup de pied au cul pour se défaire d'une dépression.

 
Justement, certaines personnes ont du mal à comprendre qu'on ne le fait pas exprès.
 
J'ai connu des personnes qui m'ont sorti "mais profites de la vie, la vie est belle, blablabla...", limite c'était de ma faute si je me sentais mal  

Y'a pas de mystère, hein, si y'a eu une campagne justement sur le thème "c'est une maladie, et ça peut se soigner", c'est pas un hasard.

...

 
Faut pas dire ça, au contraire, si au moins il en apprend d'avantage ça ne sera que bénéfique. Déjà, de lui faire comprendre qu'il s'agit d'une maladie et on aura pas discuté pour rien.  
 
Définition du mot maladie:
 
La maladie est une altération des fonctions ou de la santé d'un organisme vivant, animal ou végétal.
 
On parle aussi bien de la maladie, se référant à l'ensemble des altérations de santé, que d'une maladie, qui désigne alors une entité particulière caractérisée par des causes, des symptômes, une évolution et des possibilités thérapeutiques propres.
 
Un malade est une personne souffrant d'une maladie, qu'elle soit déterminée ou non. La plupart du temps ce terme est utilisé pour désigner un être humain. Lorsqu'il est pris en charge par un médecin ou qu'il reçoit une attention médicale, il devient alors un patient.
 
La santé et la maladie sont parties intégrantes de la vie, du processus biologique et des interactions avec le milieu social et environnemental. Généralement, la maladie se définit comme une entité opposée à la santé, dont l'effet négatif est du à une altération ou à une désharmonisation d'un système à un niveau quelconque (moléculaire, corporel, mental, émotionnel ...) de l'état physiologique ou morphologique considérés comme normal, équilibré ou harmonieux. On peut parler de mise en défaut de l'homéostasie.
 
 
Facteurs intrinsèques et extrinsèques  
Il existe de nombreux facteurs différents pouvant entraîner l'apparition d'une maladie.
 
Ces facteurs peuvent être aussi bien intrinsèques qu'extrinsèques à l'organisme concerné par la maladie.
 
On peut citer en exemples de facteurs intrinsèques les affections génétiques ou les déficiences nutritionnelles. Par contre, une exposition environnementale, telle que le tabagisme passif, est un facteur extérieur.
 
La présence d'un facteur intrinsèque n'exclue pas celle d'un facteur extrinsèque, et inversement. Ainsi de nombreuses maladies résultent d'une combinaison de facteurs intrinsèques et extrinsèques.
 
Liste  
Les facteurs peuvent être répartis dans les catégories suivantes :
 
Facteurs psychologiques  
Facteurs biologiques  
Facteurs chimiques  
Facteurs sociaux  
Facteurs environnementaux  
Les facteurs environnementaux inclus les produits chimiques toxiques (par exemple les acétaldéhydes dans la fumée de cigarette et les dioxines relâchées lors de l'utilisation d'Agent orange) et les agents infectieux (par exemple les virus de la varicelle ou de la polio).
 
Certains facteurs peuvent faire partie de plus d'une catégorie.
 

Bonjour,
 
Je parcours le topic depuis quelques jours et je me pose des questions sur moi-même.
 
Je passe de très mauvaises nuits depuis plusieurs années déjà, ce n'est pas systématique mais je me réveille très souvent en me sentant agressé. Si bien que j'ai des nuits agités et une énorme fatigue en permanence.
 
Cette fatigue m'empêche d'avoir des activités après le travail. Je suis tellement fatigué que je préfère rester sur mon PC ou regarder la TV plutôt que de voir des amis et être plus "actif".
 
Ma vie personnel n'est pas un échec, j'ai un boulot et une femme qui m'aime. Pourtant ces derniers temps, je suis au bout du rouleau et j'ai un sentiment de destruction qui me pousse à vouloir me couper de tout le monde. Je me force énormément pour voir du monde, et quand je suis avec eux je passe un bon moment
 
Je suis contre toute forme de médicament, pour avoir vu certaines personnes en prendre, j'ai l'impression (de mon point de vue toujours) que le remède quand on arrête est encore pire que le mal. La descente est encore plus violente suite a l'arrêt
 
Je ne me laisse pas pour autant submergé, je remonte toujours la pente quand je suis au plus bas. Mais j'ai une sorte de mélancolie constante
 
Quel solution me reste-il pour me sentir "bien" ? Je parle de relaxation ou de remède de grand mère ? qu'avez-vous testé ?

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tu passe de bonne nuit après ca ?
 
Parce que mon état de fatigue joue enormement sur mon moral. Si je suis plus en forme je pense que je pourrai aller beaucoup mieux.

 
 
T'es allé voir un osthéo?
 

 
Non jamais, justement je prend renseignement de ce qu'il est possible de faire.

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Petite parenthèse mais je trouve ça con ce genre de raisonnement/généralité. Parce que quelqu'un pourrait se pointer et dire "pour avoir vu certaines personnes ne pas en prendre j'ai l'impression que ne pas se soigner est toujours pire que les effets secondaires du traitement". Et il aurait tout autant raison que toi...en disant l'exact contraire. Ca mène pas loin.
Enfin bref, les gens qui tirent une ligne de conduite d'un cas particulier je trouve toujours ça un peu effrayant.

Ne prends pas ce post comme une agression ou quoi que ce soit (et je ne prétends pas non plus que tu as besoin de médicaments, tant que tu n'as vu aucun médecin il n'y a effectivement pas lieu d'en prendre), ça m'a fait réagir mais c'était plutôt une remarque d'ordre général.

 
Ca fait longtemps cette mélancolie constante ?
Y a-t-il des activités que tu aimes bien, pour lesquelles tu arrives à te motiver ou bien tu as tout abandonné ?
Dur de se lever le matin ?
 
 
 
Le sport avant de dormir c'est pas une bonne idée, d'accord ça fatigue, mais il ça "réveille" l'organisme en quelque sorte, et c'est pas bon pour le sommeil.

Salut les gens    
Voila je voulais savoir si vous avez remarqué qu'il y avait des effets secondaires après le traitement d'anti-depresseur
Et si oui sur vous qu'elles sont ils ?
 
Perso j'ai pris du Divarius et dZolpiderm pedant plusieures mois et en ce moment j'ai remarqué un changement au niveau de mes poils et dans le lavabo y'a pleins de cheveux après un shampooing

 
Le zolpiderm c'est pas un somnifère ? A moins que je confonde avec un autre.
Perso je prends de l'Effexor comme AD, j'ai pas remarqué d'effets secondaires du genre perte de cheveux. Demande à ton médecin, il saura sûrement, et puis c'est peut-être dû à un truc sans aucun rapport.

 
 
Oui c'est un somnifer le Zolpiderm  
 
Je crois pas que c'est sans rapport
Une prise importante de medoc finisent par "boussiller" le corps

 
Tant que je n'aurai aucune preuve tangible que ces medocs soignent je m'en passerai volontiers.
 
Après c'est un point de vue personnel, mais les personnes que je connais qui ont eu recourt à ce type de traitement on tous eu une mauvaise passe a l'arrêt. Je ne dis pas qu'il s'agit d'une loi immuable mais je me base sur ma propre expérience et je trouve d'ailleurs logique puisque ces médicaments délivrent justement des substances et que l'arrêt est forcement synonymes de manque.
Je ne veux vexé personne ici puisque je sais que nombreux sont ceux qui ont recours à ces médicaments.
 
Je préfére tout d'abord tout essayé pour m'en sortir sans ca
 
@ floootheone :
 
Pour la mélancolie, je dirai que c'est dans ma nature, mais cet état de fait c'est aggravé depuis le début de l'automne(dépression saisonnière ? ).
Toutefois, je ne tombe jamais trop bas (je n'ai jamais fait de TS) et j'arrive a me relever en me convaincant moi même que tout ne va pas si mal.
J'ai rater plusieurs fois le boulot pour ces raisons et j'ai des activités que j'aime que je ne fais pas a cause de cet état de fatigue.
 
Le lever est effectivement très difficile et je mets plusieurs heures a émerger. Les jours de congé, je suis une sorte de zombie errant  

 
Concernant les médocs, c'est normal que l'arrêt soit difficile, mais ils sont nécessaires à certains pour s'en sortir. Ce qui ne veut pas dire que tout le monde doit en prendre, évidemment.
 
Tu devrais peut-être parler à ton médecin de cette fatigue, cette baisse de moral, on ne peut certainement pas dire que c'est une dépression avec si peu d'éléments, mais il y a quand même des insomnies, la fatigue, le manque de motivation, et cela depuis plusieurs mois. Ton médecin saura te conseiller et te renseigner, puis mieux vaut en parler avant que ça s'aggrave éventuellement.

 
Je suis déjà allé voir un médecin sans succès, on m'a préconisé du repos.
 
Ceci étant je suis capable de faire ma propre introspection et j'arrive a gérer ma vie mais seulement que je suis réveillé. La nuit quand je suis inconscient, l'angoisse et le stress se réveillent et je ne sais pas quoi faire....
 
Existe-il des méthodes de relaxation simple que l'on peut faire seul ?
 
Merci en tout cas de vos précieux conseils

Ma psy m'avait passé un CD de relaxation avec des exercices basés sur la respiration, il paraît que ça marche, tu peux toujours tester. Il y a pas mal de méthodes de relaxation comme ça.
Tu peux aussi essayer le yoga et autres exercices du genre.
 
C'est un problème que tes angoisses ressurgissent la nuit, ça prouve qu'elles sont bel et bien là mais que tu n'en es pas vraiment conscient, peut-être devrais-tu essayer des trucs relaxants comme des plantes ou tisanes le soir avant de dormir.
 
Y a-t-il eu un changement cet automne ?

 
Peu de changement et au contraire une sorte de routine, l'impression de ne pas avancer dans la vie, beaucoup de question sur l'avenir etc...
 
Mais rien de "grave"
 
Si tu fais une recherche avec mon pseudo tu verras que ce problème d'insomnie ne date pas d'hier
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
 

Oui effectivement. Ton médecin ne t'a rien proposé d'autre à part du repos ?
Parce que ces problèmes de sommeil ont quand même une répercussion sur ta vie quotidienne, ton état psychologique, ta santé.

 
 
Effectivement, peut-être !
 
Je suis jeune en effet, peut-être notre incompréhension de génération.
 
Le fait de veillir et de voir défiler la vie très vite, n'est-ce pas une symptôme déclencheur de la dépression, concernant votre cas ?

On n'a pas non plus tous 90 ans

 
Je comprends ce que tu veux dire!
 
Mais faut aussi comprendre dans l'autre sens! On est en bonne santé, manque de rien et d'un coup une maladie d'ordre psychologique qui débarque pour te faire vivre un calvaire. Admets que j'ai dû mal à trouver ça comme une maladie condamné à rester une maladie né d'une souffrance inconnu par la personne elle-même !
 
Car j'ai jamais vu ça! La dépression est vraiment une maladie très, voire trop bizarre!

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