Reprise du message précédent :

 
 
Je ne peux rien te suggérer de miraculeux, ni de nouveau, mais si tu arrives à te consacrer sur une journée à la fois en oubliant un possible avenir merdique, ton état ira en s'améliorant. S'enfoncer dans des scénarios catastrophes est totalement inutile dans ton état actuel. D'ailleurs se faire ce genre de scénarios c'est malsain pour tout le monde, même ceux qui ne vivent que dans une anxiété relative.  

Bonsoir Cedounet, si elle est dans le déni tu pourras rien faire. Relis un peu le topic en diagonale, tu verras un peu les informations que tu peux lui donner, quel comportement adopter.

 
Tu peux aussi aller en parler à un pro, t'es typiquement en codépendance, et ça ne te fera que du bien et tu auras des pistes. Essaye toujours, ça ne te coûtera rien, dans un CSAPA par exemple, ou autre...
 
 
 

Bon bah hospitalisation de demain reportée, test covid positif  
Repoussée pour la deuxième fois  

2...c'est le nombre de canette de leffe 9° qu'il me reste sur 12, alors que je m'étais juré d'abandonner cette merde car malade à chaque fois maintenant... J'ai du être alcoolisé 10x depuis le début de l'année. Quelque part y a une partie de moi qui tient bon.  
 
Je n'ai même plus envie de boire vraiment, c'est plus désagréable qu'autre chose car je ne m'endors plus. Je vis chaque seconde de décuvage et c'est TRES long...
 
Bref, je suis sur la bonne voie pour être abstinent un long moment !

 
C'est un peu là ou j'en suis en ce moment.. Sauf que mes alcoolisations durent quelques jours.  
 
Je n'ai pas non plus vraiment envie de boire, juste de lâcher la pression. Sauf que comme tu le dis bien, c'est à chaque fois un peu plus désagréable. Les nuits sont horribles.
 
Je reprends aussi la bonne voie, un peu raz le bol .
 
Courage !

@geosadak et @express_ion
 
vous avez passé l etape du déni la plus difficile à franchir félicitation !  
 
@cedounet
 
tu est dans un situation bien inconfortable ! j ai mis il y as une epoque pas si lointaine pas mal de mes proche (ceux qui reste) dans l embarras !
je n ai pas de recette miracle ,si tu veux couper court c est ton choix !
mais fait attention de ne pas entretenir le processus qui alterne de haut et de bas !
le mieux dans ce cas la ,enfin ce qui as été le plus positif pour moi c est ceux qui on reusis à rester sans s effacer complétement, s éloigner un peut serais peut etre suffisant si tu veux encore pouvoir participer à sa guérison
 
je sait combien c est dificile,je regrette tellement de choses que raté à cause de ce poison qu est l alcool
j ai fais beaucoup de mal au autres et à ceux que j aimais mais avec le recul c est à moi méme que j ai fais le plus de mal
 
mais je m egare ! courage !
si tu est la sur ce forum c est que tu cherche des reponces !
si tu veut l aider il te faudras etre fin psychologue !  
mais rappel toi nous somme des ecorché vif tout les petit accro de la vie qui pourrais paraitre insinifiant au commun des mortel prenne chez nous des proportion démesuré méme si les aparences peuvent te faire croire l inverse il n en est rien !

 
Pour toi?
 
Pas besoin d'hospitalisation.
 
Va chez ton medecin, raconte ton probleme, demande du seresta et fais ton sevrage tout seul chez toi. A un moment si tu decides d'arreter, tu peux y arriver.
 
Tu prends 4 *30mg pendant 3 jours pendant le pic. Puis tu prends 4*20, et tu baisses comme ca pendant 2 ou 3 semaines jusqu'à 5mg, ensuite tu sens rien du tout à l'arret total de l'oxazepam.
 
En 3 semaines t'es plus dépendant à rien.

 
Oh ça en fait des années que je ne suis plus dans le déni et que j'essaye de m'en sortir. Avec des réussites et quelques échecs, mais ça fait son chemin

 
A rien, t'es sur ?

A aucuns des deux dans mon cas.
 

Le médecin est au courant et m'a justement orienté vers le service de l'hôpital.
 
Avantage de l'hôpital le dosage est adapté + surveillance de l'état général.
Ce qui était prévu justement c'était seresta, avec perf pour l'hydratation et un autre médoc pour protéger le cerveau des effets du sevrage.
 
Du coup on est passé d'une hospitalisation prévue à une hospitalisation qui peut être du jour au lendemain.
 
Plus qu'à attendre ...

Pour info, j'ai tout fait en ambulatoire, CSAPA + infirmières à domicile

 
Tu bois combien de U/jour? Et quoi comme type d'alcool?

En unité je ne saurais dire, mais c'est uniquement de la bière (à part vacances où y'a rosé ou ricard).
Quantité : un pack de 20 fait la journée voire parfois plus.
 
Reste que comme l'a expliqué le doc, que ce soit de la bière ou du whisky la quantité d'alcool est identique (pour ma conso), la seule différence c'est la vitesse d'absorption.
 
L'hospitalisation aura des gros points positifs (en plus de l'adaptation du traitement) : groupes de discussion, psy.
 
L'arrêt seul je me connais je n'y arriverais pas

Ouais donc tu tournes à 20-25 U par jour. Disons 5 litres de biere à 6%
 
Depuis longtemps? 1 mois? 3 mois?
 
Oui la quantité d'alcool est identique, mais l'empoisonnement est plus mauvais si tu tournes à la strong dégueulasse (8,6) qu'à une vraie biere.
 
Perso de toute maniere je peux pas depasser plus d'1 mois d'empoisonnement, mon corps me dit stop: Vertiges, malaises, gonflement max du visage.
 

Pas de prescription hâtive, le « va chez ton médecin » est largement suffisant    
Pour ma part, mon foie est steatosé, moins important que la dernière fois, donc je le prends bien « mieux »… Le scanner a dévoilé des petites choses qui m’ont obligé à prendre des rdv à partir de la semaine prochaine..
A côté de ça j’ai ma meilleure pote qui a une six-roses diagnostiquée, et qui continue à boire … et se faire ponctionner pour l’ascite… et je ne sais quoi lui dire… Elle est clairement en train de se suicider indirectement

Le problème, c'est que tant qu'elle ne décidera pas de se faire soigner....
 
Et oui, faut aller chez le toubib pour avoir une prescription médicale adaptée. Parce que même si tu parles de séresta, j'ai pris du diazépam, et j'ai jamais été dosée à 30 mg, mais à 5mg. Et c'était même trop fort, j'ai du couper les comprimés en 2 pour prendre du 2.5mg

Quand t'as un gros DT qui pointe son nez et que t'es déjà sous prazépam depuis des années ça n'a rien a voir...
 
Les anxios à demie vie courte sont adaptés si tu n'en prends pas déjà, lors du sevrage.
 
Courage !

 
J'aimerai bien trouver un truc "trop fort"    

Good news everyone !  
 
Coup de fil ce matin, mardi c'est rentrée des enfants à 9h suivi de mon entrée pour une semaine    
 
10 minutes avant le coup de fil attendu, je rappelais à mon chef que je pouvais être contacté du jour au lendemain, 5 minutes avant il apprenait qu'un collègue s'était planté en vélo  

Coucou    
Un petit message pour passer un bonjour à tout le monde, déterrer ce topic et donner quelques nouvelles.
 
Je m’en étais arrêté au scanner sur un de mes derniers posts ; au final, et après avis médical, on m’a trouvé un autre problème. J’ai fait ce scann uniquement pour vérifier l’états de certains organes mais j’avais un soucis sous-jacent au niveau des jambes. Tout a empiré en quelques jours alors qu’il n’y avait déjà plus de consos depuis plusieurs semaines. En gros je perds l’usage de mes jambes, Polyneuropathie axonale (polynevrite).  
 
Des fourmis dans les pieds, des crampes au niveau des mollets, des fourmis et des sensations de brûlures au niveau des cuisses ; je ne parle pas de ce qu’il y a un peu plus haut. Et une perte de cheveux (psoriasis, stress). Il n’y a pas d’accalmie, c’est constant. Un état de fatigue général, et je suis dans l’impossibilité de marcher plus de 10 minutes ou de faire un gros effort. Je ne peux plus conduire, je ne sens plus les pedales…
 
Je viens de passer ces dernière semaines à faire tous les examens possible (entrecoupée des quelques jours de vacances bien folklo). Il m’en reste un à faire qui va confirmer ce que pensent les médecins en octobre. J’ai refait un bilan sanguin complet cette semaine, les résultats sont catastrophiques alors qu’ils étaient plutôt pas mal la dernière fois (en tout cas, pas de mst).
 
Donc tout ça à cause de mes excès passés, je ne le souhaite à personne.
 
Du coup je vois mon psy à un rythme plus soutenu.
 
Dans le meilleur des cas je reste comme ça, c’est irréversible, dans le pire je me retrouve en fauteuil (entre autre). J’ai toujours le boulot, ça m’aide à tenir.

Courage

Courage aussi Pouicky et t'as plus le droit du tout à l'alcool. Il parait que c'est à la cessation de l'alcool que les symptomes apparaissent, tellement le corps a été habitué à fonctionner sous alcool.

Bon ben moi j'ai 4 bières dans mon frigo (frigo réservé aux boissons, et à la picole), pour un ami, quand il vient.
 
Très très très envie d'y toucher, surtout que cet ami joue avec mes sentiments depuis 2 grosses semaines, surtout vers 20h....
 
Pour faire un résumé: depuis 15 jours, je travaille à temps partiel en temps que distributrice de journaux, j'ai commencé une formation en compte (DCG).
Je commence à être épuisée, physiquement, et moralement. Plus envie d'aller voir mon psy, je sens que je commence à être à bout

Bon ben les gars, je confirme, je suis à 2 doigts de recommencer à boire. 3 despé à la maison, assez pour être bourrrée

Balance les dans l'évier.  

 
 
Tu trouveras les meilleurs conseils en retournant une centaine de pages en arrière. Plusieurs intervenants comme toi ont trouvé des réponses et des pistes de solution, à ton problème qui est celui d'une grande majorité de ceux qui voulaient sincèrement mettre fin à une descente dans les profondeurs noires de l'alcoolisme.

LeKeiser (qui a quitté totalement guérit suite à une opération, mais qui s'était sevré avec succès plusieurs mois avant), sauf qu'il n'a plus posté depuis quelques années.
 
Simon, toujours de bon conseil un ex gros consommateur: brown paper bag
 
 
 
Mais politiquement trop borné à gauche. Excusez l'édit tardif, c'est que...  

Bonjour
 
La revue Science et pseudo science n° 342 de l'Association fançaise pour l'Information Scientifique fait un dossier sur l'alcool
https://www.afis.org/342-octobre-2022
 
Alcool: entre santé publique, culture et intérêts économiques
Peut il être bénéfique à faible dose? (spoiler non, mais c'est intéressant de savoir comment on le sait)
Une des premières causes de mortalité
 
Sommaire  

J'ai pris récemment rendez-vous avec le CSAPA le plus proche de chez moi. Également avec mon médecin traitant. Et je posterai probablement assez souvent ici pour obtenir du soutien (je suis devenu alcoolo-dépendant)
Les témoignages des gens sur ce topic qui arrivent à s'en sortir m'ont convaincu de contacter le CSAPA    
 
Edit du matin pour corriger ce qui devait l'être dans mon post d'hier soir    

7 ans plus tard on est toujours bon    
Et j'ai refait ma vie dans un pays d'alcoolique

Felicitations bracie.  
Ce soir j'ai 5 bieres dans le gosier. Mais lundi taf donc dimanche rien. Et je tiens le cap de rien dans la semaine, je dois rester regence au boulot.  

vazy trouve moi un taf en IT en remote et mini 7000zl net et je t'offre 2 piwo bezalkoholowe miłosław (je l'aime bien celle la)

ça picole le 11 novembre ?
 
au zabka il parait qu'ils vendent pas d'alcool ce jour la

 
J'ai acheté 5 bieres  dans 3 zabka de 15 à 20h en promenant mon pere au centre ville.  

alors c'était p'tet après 20heure
ou l'alcool à genre 5%

 
La Miloslaw sans alcool est bonne d'ailleurs, je la connais. Mais on sent qd meme le 1 ou 2 % d'alcool. A moins que ca soit le houblon qui donne un petit effet.
.

Ici ça fait 1 an. C'est la deuxième fois en 8 ans que j'arrête 1 an, mais cette fois-ci ce n'est pas juste par prise de conscience du passé, ça ça s'oublie.
Non, c'est par souci de preserver un.peu plus le futur.
Avec cette perspective a priori pas trop de souci pour dire non à un verre, ou que ce soit, à quelque moment que ce soit.
Et comme j'en sors grandi à chaque fois, a priori ce cercle vertueux ne devrait pas s'arrêter de rouler.
Courage les gens

http://piwazazywa.blogspot.com/201 [...] e-ipa.html
<0.5%
y'a un vrai goût de binouze sans la montée
et je suis sensible, si y'a de l'alcool je le sens bien, genre dans les gateaux mais <0.5% no soucy pour moi

GG

Alors ce sevrage? T y es encore?