Reprise du message précédent :
 

"Wall-E" est toujours aussi bon.

 
Je l'ai découvert tout récemment  

on sait ce qu'est devenu l'auteur de cette bd?
 

croustillou? Il fait des films maintenant

oh?

je connaissais pas l’origine du smiley        

Sympa de déterrer un post d'il y a un an et demi

 
Je me tape le topic

Never forget STARDOUDOU
https://www.youtube.com/watch?v=PkF021ntTkY
 
J'trouve plus le nom de son vrai film. Ca fait un moment déjà qu'il est sorti.
Autant son nouveau est sur netflix et on le sait pas. 'Kulé va.
 
EDIT: Oups my bad j'me croyais sur le topik BD paint.

Tape toi un meuble plutôt

 
Fait
 

Covert Operation  

AKA The Borderland  

https://www.youtube.com/watch?v=v1i_d9iH-iE

 
Il a tourné avec Steven    
 

 
 

Et si c'est en lettres ou en science.

j'ai fait IUT + fac en chimie, jamais eu ce genre de situation... quoi qu'il en soit, avoir la lucidité de lâcher des études que l'on sait ne pas être capable de tenir ne me semble pas être un comportement irresponsable...

chimi/bio c'etait le truc sans debouché à mon epoque ^^

 
j'ai lu
 

Employé Libre Service  

Hello à tous. En vous lisant, un vieux souvenir du collège me revient.
 
Pour resituer le contexte, imaginez un établissement en souk total, qui passera en ZEP l'année suivante. Et moi, jeune prépubère bloqué face aux filles, genre le proto-geek à l'époque ou le geek c'était pas chic.    
 
Comme tout les midi, grosse bousculade pour accéder à la cantine, quelque chose comme 300 jeunes sauvages affamés accourent comme si leur vie en dépendait.   Moi, bloqué au milieu, à la limite de l'étouffement.    
 
Soudainement, je vois une main se glisser furtivement entre mon voisin de cohue et moi. Ébahi, je contemple la main se dirigeant tel un serpent vers... Le fessier d'une jeune donzelle en pantalon bien moulant. Je reste éberlué par tant d'audace.   La main continue son chemin, caresse langoureusement le postérieure de la représentante du sexe féminin qui se fige immédiatement, l'échine roide en signe d'indignation. Je suis des yeux la main se retirerant doucement et contemple une jeune racaille bien contente de son coup.   Il me regarde, puis retente le coup. Je suis tout le mouvement au ralenti et reste bloqué sur le fessier concerné (au demeurant fort bien mis en valeur par la cambrure outrée).    
 
C'est là que se joue l'un de mes pires souvenirs. La propriétaire dudit fessier tourne la tête (on ne pouvait guère faire plus dans la cohue), me trouve derrière elle et me dévisage en mode furax.   Moi, je n'ai rien trouvé de mieux que de faire frénétiquement non de la tête, mes yeux effectuant convulsivement l'aller-retour de son regard de tueuse à son postérieur situé à moins de 10cm de mon entrejambe... Pour contempler la belle tente érigée par mon futal.    
 
Face à mon gel de toute fonction neuronale et entrainée par le mouvement de foule, la demoiselle se contenta de ce regard noir, puis chuchota quelque chose à ses voisines, qui se retournèrent pour me regarder.    
Je n'ai eu d'autre réaction qu'une grande frayeur instinctive avec un visage bloqué en mode benêt  et j'ai été immédiatement catalogué.

Belle honte dans l'absolu, mais tu es dans une file d'attente où vous êtes assez serrés apparemment, et toi tu as une gaule monumentale   (mais toute petite quand même si on en croit tes détails )

 
Le passé simple, c'est fameux.

T'as eu du bol, en 2018 on t'aurait coupé les couilles en place publique pour ça.
#meToo

Coupable à chaque fois  

Il changera de temps un jour, et ça sera beaucoup plus difficile de le démasquer

Merci ça m'évite de la faire

sale male cis oppresseur et complice au service du patriarcat  

c'était pareil dans mon collège, la queue du self délimitée par un cheminement de barrière en métal peintes en vert portail comme tout ce qui était métallique dans le lycée collège, les éleves pressés les uns contre les autres comme du bétail.
j'ai jamais compris comment il y avait jamais eu de morts vu les bourrins qui poussaient.

ça me fait penser à une honte gentillette  
 
Contexte :
En prépa (en lycée technique avec 85% de garçon) vu qu’on sortait de cours à la bourre et qu’on reprenait à 13h certains jours, on avait pris l’habitude d’arriver à 40 en même temps et bourrer    les petits lycéens pour passer au travers de la file.  
Un jour le drame arriva, une fille s’est retrouvée compressée contre une des barrières et s’est fêlée une côte…  
 
Quelques année plus tard, en école d’ingé, on covoiture pour rentrer ramener nos affaires sales chez nos parents le weekend
On est trois dans la voitures, issus de cette prépa, le chauffeur, Kev, à côté de lui Cindy, et moi derrière.
On reparle de la prépa, bla bla bla, et là Kev qui commence à se targuer d’avoir bourré dans la file de la cantine tous les mercredis à l’époque, et éclate de rire « il parait qu’on a même pété une côté à une nana Hahaha»
Cindy « oui euuuh c’était moi »

Après m'être intensément poilé, pendant des jours en lisant ce topic, je me décide à poser la une petite honte Khâkhâ.
 

 
Ca s'est passé il y a plus de 20 ans, quand j'avais 12 ans, en classe de 5eme lors d'une sortie scolaire organisée par mon collège de Banlieue du 9-4. Nous étions allé voir une pièce de théâtre en plein Paris. Bien que cette journée me paraissant incroyablement chiante, j'étais loin de me douter de l'enfer brun dans lequel j'allais bientôt me retrouver malgré moi.
 
A la sortie du théâtre, vers 16h, nous nous dirigeons vers les cars devant nous ramener à notre collège. Il y a plusieurs classes et donc plusieurs cars mais..... Tous, sauf le notre. Après plusieurs échanges entre les profs et les chauffeurs, ceux-ci nous indiquent qu'un bus va venir nous chercher.... dans 1 heure.... . Nous voilà donc deux classes regroupées sur le trottoir à poireauter dans le froid . Et moi, qui avait déjà envie de pisser, je commençais en plus à sentir Teal'c s'approcher de ma porte des étoiles. Mais qu'à cela ne tienne, j'ai l'habitude. Je déteste faire dans les chiottes publiques et dans les chiottes sordides du collège. Je suis paré à me retenir le temps qu'il faudra .
 
1h00, 1h15, 1h20.... toujours pas de bus.... Vu l'heure, les embouteillages l'on surement retardé. Et c'est à ce moment là, qu'une putin de douleur me plie en deux. Le supplice dure 20 secondes à tout casser, mais me parait une éternité, et me fait sortir quelques gouttes de transpi . Evidemment, je sais très bien ce qui m'a causé ça, et je comprend très bien que le dernier roi d'Ecosse s'agite en moi et farfouille follement mes entrailles. Bien décidé à me faire plier, cette douleur insoutenable de 20 secondes revient périodiquement et me plie en deux à chaque fois devant mes camarades. Ma prof de Français, qui dans mes souvenir ressemble fortement à une présentatrice actuelle d'émission de pâtisserie , remarquant cela me demande si ça va.
- Oui oui madam' ca va.  
 
Près de deux heures plus tard, alors que la nuit tombe, cet enfoiré de bus arrive enfin. Ouf!!  je vais pouvoir poser mon séant sur un siège confortable, ça va me soulager un peu, et ça va couler tout seul.... Je ne croyais pas si bien dire.... Le bus démarre. J'étais pressé de rentrer retrouver mes chiottes et ma partie de Zelda sur Game Boy que je m'imaginais déjà poursuivre sur mon trône.
 
Sauf que loin de se calmer, les douleurs vont en empirant et ce putin de bus est englué dans les bouchons. Ca avance pas bordel!!! . Le pic de douleur suivant me plie à nouveau et là, c'est le drame. Une douce chaleur humide m'enrobe le double airbag. . Merde je suis foutu, ca va lâcher!!! . A première vue, les dégâts semblent localisés, mais le prochain coup sera fatal, et ça sera fini pour moi et ma dignité. Maintenant je dois agir vite. C'est à ce moment là que je prend conscience qu'on est dans un car, et qu'il y tjrs de chiottes dans les cars. Je me lève, je check et bingo, oui, des chiottes au niveau de la porte centrale. Je remonte à l'avant du bus pour chercher le sosie de Mercotte...
- Heuu, madam' heuuu , c'est possible d'aller aux WC?
Elle m'accompagne vers la terre promise, et évidemment tout le monde me regarde et.... la porte est fermée. Putinputinputin c'est pas possible . Elle me dit d'attendre là et va demander la clé au chauffeur. Pendant que j'attendais, une secousse me fait basculer et me fait tomber en bas de l'escalier. Une nouvelle douleur s'empare de mon bide et je me retrouve plié en 4 entre la porte du car et la première marche de l'escalier. Heureusement, une fois de plus, le barrage anal tiens bon, et le torrent de boue et à nouveau contenu. La prof revient avec la clé alors que je me relève transpirant.  
- Vous allez bien Globulou??
- Vivi (ouvre la porte vieille chouette)
A peine déverrouillée, je m'empare de la porte, fonce dans cette micro cabine et claque la porte sans rien dire à la prof....  
 
Je me défroque en me dandinant, je me pose et je balance toute la purée dans une odeur nauséabonde. Le soulagement est immense mais j'ai toutes les eaux usées d'un bidonville à évacuer et ça prend un peu de temps. La prof demande à travers la porte si ça va. Je ne répond pas. Grave erreur. Je l'entend triturer la poignée. hein?! elle va pas faire ça?? Mais si elle le fait, elle entrebâille la porte en me redemandant si ça va.
- OUIOUIOUIOUI CAVACAVA!!!! Elle referme brusquement la porte.
Mon affaire finie, je déroule un quart du PQ pour m'essuyer. Et alors que je me relève pour remontrer mon futal et jeter un oeil au cataclysme, je m'aperçois en fait que ces chiottes sont chelou. La cuvette est cubique et pas ovale et blanche comme à la maison. Et y'a pas de tirette pour la chasse d'eau comme à la maison. Bordel mais comment ça marche ce truc???.... Bon.... On devrait plus tarder à arriver alors bon.....
Je ressors à l'air libre, entraînant dans mon sillage l’innommable effluve. Je m’empresse de retourner à ma place pendant que la prof referme la porte, non sans donner l'impression que quelque chose la dérange   Alors que nous arrivons enfin au collège, et que nous commençons à sortir du bus, je vois de loin une autre prof emmener une fille dans les toilettes du car. Ayant une mauvaise vue, je ne vois pas qui c'est de loin....
 
Alors que je retrouve mes parents, qui me demandent si ça va, je leur répond que ouioui ça va impec mais que maintenant il faut partir mais eux veulent demander à ma prof si tout s'est bien passé. Bien entendu, je ne suis pas d'accord mais pas du tout!! Fort heureusement, la nuit était tombée tous les parents étaient venu récupérer leurs gosse et c'était un beau bordel sur le trottoir devant le bahut. Ils décident donc d'abandonner leur idée et de partir.
 
Le lendemain, je me demande si je vais me faire invectiver par une fille de la classe pour avoir eu le privilège d'avoir découvert mon oeuvre. Mais à ma grande surprise rien. Ca devait surement être une fille de l'autre classe.

Hmmm le début était sympa, il en manque un bout (si j'ose dire)

la fin la fin !

C'est quoi cette suppression de honte khakha ?

Pardon j'ai merdé.
J'ai mis la suite

       
J'ai éclaté de rire