une fessé à une môme de 2 ans 1/2 qui comprend pas ce qu'elle dit ca me paraît excessif ^^

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Le contexte : Cet été, le lendemain d'une grosse soirée pleine d'excès, je décuve en calbute derrière mon PC en étant complètement foutu, j'ai vraiment mal au crâne comme rarement et je suis tout patraque (bref une grosse gueule de bois quoi).
 
Tout à coup, je sens que ça bouge du côté de mes intestins, aucune certitude si ce n'est que quelque chose va jaillir. Je sais pas si vous êtes habitués à avoir la diarrhée, mais moi oui hein. Et malgré mon expérience, quand je suis dans cet état, je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  
Bref, j'hésite à me lever, je suis complètement foutu et un autre point qu'on a pas encore abordé chez moi : je suis joueur. En cumulant mon optimisme naturel, ma flemme due à mon état et mes addictions au gambling, mes doutes laissent vite place à une intuition : c'est un pet. Pas besoin de se lever, et puis au pire je suis chez moi.
 
J'envoie tout.
 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. Cette fois-ci je suis obligé de me lever. Je vais donc dans la salle de bain et enlève mon calbute gris clair parfum chocolat. Je me sens vraiment pas bien, j'ai vraiment envie de dormir tout en ne pouvant pas car je suis trop foutu, et c'est le plic ploc de la sauce maronnatre contre le lino qui me ramène à la réalité.
J'enlève donc mon calbute que je jette dans la baignoire et nettoie le sol avec mon pied (j'ai mes chaussettes, j'ai souvent froid aux pieds). Sur le moment, je me souviens que j'étais étonné et même souriant de me dire que j'avais même pas honte, alors que concrètement j'étais nu, malade, la merde au cul, en train de corrompre la blancheur de ma chaussette pour rattraper les dégats liés à l'incident.
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. .

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Le contexte : Cet été, le lendemain d'une grosse soirée pleine d'excès, je décuve en calbute derrière mon PC en étant complètement foutu, j'ai vraiment mal au crâne comme rarement et je suis tout patraque (bref une grosse gueule de bois quoi).
 
Tout à coup, je sens que ça bouge du côté de mes intestins, aucune certitude si ce n'est que quelque chose va jaillir. Je sais pas si vous êtes habitués à avoir la diarrhée, mais moi oui hein. Et malgré mon expérience, quand je suis dans cet état, je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  
Bref, j'hésite à me lever, je suis complètement foutu et un autre point qu'on a pas encore abordé chez moi : je suis joueur. En cumulant mon optimisme naturel, ma flemme due à mon état et mes addictions au gambling, mes doutes laissent vite place à une intuition : c'est un pet. Pas besoin de se lever, et puis au pire je suis chez moi.
 
J'envoie tout.
 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. Cette fois-ci je suis obligé de me lever. Je vais donc dans la salle de bain et enlève mon calbute gris clair parfum chocolat. Je me sens vraiment pas bien, j'ai vraiment envie de dormir tout en ne pouvant pas car je suis trop foutu, et c'est le plic ploc de la sauce maronnatre contre le lino qui me ramène à la réalité.
J'enlève donc mon calbute que je jette dans la baignoire et nettoie le sol avec mon pied (j'ai mes chaussettes, j'ai souvent froid aux pieds). Sur le moment, je me souviens que j'étais étonné et même souriant de me dire que j'avais même pas honte, alors que concrètement j'étais nu, malade, la merde au cul, en train de corrompre la blancheur de ma chaussette pour rattraper les dégats liés à l'incident.
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".

Je plussoie pour la tarte dans la gueule, sale môme

Bon, une ptite honte, pas pour moi mais pour une nana chez le toubib.
 
Et on a enfin pu pleurer de rire tranquille  
 

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Le contexte : Cet été, le lendemain d'une grosse soirée pleine d'excès, je décuve en calbute derrière mon PC en étant complètement foutu, j'ai vraiment mal au crâne comme rarement et je suis tout patraque (bref une grosse gueule de bois quoi).
 
Tout à coup, je sens que ça bouge du côté de mes intestins, aucune certitude si ce n'est que quelque chose va jaillir. Je sais pas si vous êtes habitués à avoir la diarrhée, mais moi oui hein. Et malgré mon expérience, quand je suis dans cet état, je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  
Bref, j'hésite à me lever, je suis complètement foutu et un autre point qu'on a pas encore abordé chez moi : je suis joueur. En cumulant mon optimisme naturel, ma flemme due à mon état et mes addictions au gambling, mes doutes laissent vite place à une intuition : c'est un pet. Pas besoin de se lever, et puis au pire je suis chez moi.
 
J'envoie tout.
 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. Cette fois-ci je suis obligé de me lever. Je vais donc dans la salle de bain et enlève mon calbute gris clair parfum chocolat. Je me sens vraiment pas bien, j'ai vraiment envie de dormir tout en ne pouvant pas car je suis trop foutu, et c'est le plic ploc de la sauce maronnatre contre le lino qui me ramène à la réalité.
J'enlève donc mon calbute que je jette dans la baignoire et nettoie le sol avec mon pied (j'ai mes chaussettes, j'ai souvent froid aux pieds). Sur le moment, je me souviens que j'étais étonné et même souriant de me dire que j'avais même pas honte, alors que concrètement j'étais nu, malade, la merde au cul, en train de corrompre la blancheur de ma chaussette pour rattraper les dégats liés à l'incident.
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Le contexte : Cet été, le lendemain d'une grosse soirée pleine d'excès, je décuve en calbute derrière mon PC en étant complètement foutu, j'ai vraiment mal au crâne comme rarement et je suis tout patraque (bref une grosse gueule de bois quoi).
 
Tout à coup, je sens que ça bouge du côté de mes intestins, aucune certitude si ce n'est que quelque chose va jaillir. Je sais pas si vous êtes habitués à avoir la diarrhée, mais moi oui hein. Et malgré mon expérience, quand je suis dans cet état, je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  
Bref, j'hésite à me lever, je suis complètement foutu et un autre point qu'on a pas encore abordé chez moi : je suis joueur. En cumulant mon optimisme naturel, ma flemme due à mon état et mes addictions au gambling, mes doutes laissent vite place à une intuition : c'est un pet. Pas besoin de se lever, et puis au pire je suis chez moi.
 
J'envoie tout.
 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. Cette fois-ci je suis obligé de me lever. Je vais donc dans la salle de bain et enlève mon calbute gris clair parfum chocolat. Je me sens vraiment pas bien, j'ai vraiment envie de dormir tout en ne pouvant pas car je suis trop foutu, et c'est le plic ploc de la sauce maronnatre contre le lino qui me ramène à la réalité.
J'enlève donc mon calbute que je jette dans la baignoire et nettoie le sol avec mon pied (j'ai mes chaussettes, j'ai souvent froid aux pieds). Sur le moment, je me souviens que j'étais étonné et même souriant de me dire que j'avais même pas honte, alors que concrètement j'étais nu, malade, la merde au cul, en train de corrompre la blancheur de ma chaussette pour rattraper les dégats liés à l'incident.
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

genial je vien de lire le topic , alors que je mange mon éclaire au chocolat , suis dégouter , direction la poubelle , ca ma couper l'apetit

genial je vien de lire le topic , alors que je mange mon éclaire au chocolat , suis dégouter , direction la poubelle , ca ma couper l'apetit

Génial je viens de lire le topic, alors que je mangeais mon Bescherelle, je suis dégoûté, direction la poubelle, ça m'a coupé l'appétit.

genial je vien de lire le topic , alors que je mange mon éclaire au chocolat , suis dégouter , direction la poubelle , ca ma couper l'apetit

 je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Le contexte : Cet été, le lendemain d'une grosse soirée pleine d'excès, je décuve en calbute derrière mon PC en étant complètement foutu, j'ai vraiment mal au crâne comme rarement et je suis tout patraque (bref une grosse gueule de bois quoi).
 
Tout à coup, je sens que ça bouge du côté de mes intestins, aucune certitude si ce n'est que quelque chose va jaillir. Je sais pas si vous êtes habitués à avoir la diarrhée, mais moi oui hein. Et malgré mon expérience, quand je suis dans cet état, je trouve que c'est vraiment difficile de savoir ce qui va sortir entre un petit pet ou un tsunami chocolaté.  
Bref, j'hésite à me lever, je suis complètement foutu et un autre point qu'on a pas encore abordé chez moi : je suis joueur. En cumulant mon optimisme naturel, ma flemme due à mon état et mes addictions au gambling, mes doutes laissent vite place à une intuition : c'est un pet. Pas besoin de se lever, et puis au pire je suis chez moi.
 
J'envoie tout.
 
Mauvaise nouvelle : je viens de me chier dessus. Cette fois-ci je suis obligé de me lever. Je vais donc dans la salle de bain et enlève mon calbute gris clair parfum chocolat. Je me sens vraiment pas bien, j'ai vraiment envie de dormir tout en ne pouvant pas car je suis trop foutu, et c'est le plic ploc de la sauce maronnatre contre le lino qui me ramène à la réalité.
J'enlève donc mon calbute que je jette dans la baignoire et nettoie le sol avec mon pied (j'ai mes chaussettes, j'ai souvent froid aux pieds). Sur le moment, je me souviens que j'étais étonné et même souriant de me dire que j'avais même pas honte, alors que concrètement j'étais nu, malade, la merde au cul, en train de corrompre la blancheur de ma chaussette pour rattraper les dégats liés à l'incident.
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

genial je vien de lire le topic , alors que je mange mon éclaire au chocolat , suis dégouter , direction la poubelle , ca ma couper l'apetit

 
Maintenant y a plus qu'à attendre Mourisse pour son habituel " Fake pas possible ça, tu t'inventes une vie sur les forums, c'est pitoyable gnagnagna"
 

Non mais il n'y a même pas de honte dans son histoire : personne l'a surpris, il vient juste faire le rigolo avec son histoire à chier.
Bientôt, il y en a un qui va venir raconter qu'il a fait une grosse commission et ne s'est pas essuyé avant de remettre son caleçon et tout le monde va faire bravo avec les fesses parce qu'il aura narré le tout avec deux expressions rigolotes.

Non mais il n'y a même pas de honte dans son histoire : personne l'a surpris, il vient juste faire le rigolo avec son histoire à chier.
Bientôt, il y en a un qui va venir raconter qu'il a fait une grosse commission et ne s'est pas essuyé avant de remettre son caleçon et tout le monde va faire bravo avec les fesses parce qu'il aura narré le tout avec deux expressions rigolotes.

Non mais il n'y a même pas de honte dans son histoire : personne l'a surpris, il vient juste faire le rigolo avec son histoire à chier.
Bientôt, il y en a un qui va venir raconter qu'il a fait une grosse commission et ne s'est pas essuyé avant de remettre son caleçon et tout le monde va faire bravo avec les fesses parce qu'il aura narré le tout avec deux expressions rigolotes.

Génial je viens de lire le topic, alors que je mangeais mon Bescherelle, je suis dégoûté, direction la poubelle, ça m'a coupé l'appétit.

 
"Je viens de me chier dessus"
"le plic ploc de la sauce maronnatre"
 
excellent
 
Maintenant y a plus qu'à attendre Mourisse pour son habituel " Fake pas possible ça, tu t'inventes une vie sur les forums, c'est pitoyable gnagnagna"
 

 
 
Mes...mes
...mes yeux  

Non mais il n'y a même pas de honte dans son histoire : personne l'a surpris, il vient juste faire le rigolo avec son histoire à chier.
Bientôt, il y en a un qui va venir raconter qu'il a fait une grosse commission et ne s'est pas essuyé avant de remettre son caleçon et tout le monde va faire bravo avec les fesses parce qu'il aura narré le tout avec deux expressions rigolotes.

Non c'est pas le même.
 
Bon, je retourne lurker.

Non mais il n'y a même pas de honte dans son histoire : personne l'a surpris, il vient juste faire le rigolo avec son histoire à chier.

Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

Je plussoie pour la tarte dans la gueule, sale môme

C'est pas la honte de ma vie et c'est pas vraiment honteux vu que j'étais tout seul, mais j'ai pas trouvé le topic "j'ai aucun amour propre".
 
Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.

 
ma femme prefere tirer fortement sur les petits cheveux, ceux qui se trouvent sur les tempes. Ca fait bien mal et ca calme bien et ça laisse pas de traces. Voila pour les trucs et astuces

 
La force de la fessée est différente qui si tu la donnes à un adulte hein?  

genial je vien de lire le topic , alors que je mange mon éclaire au chocolat , suis dégouter , direction la poubelle , ca ma couper l'apetit

Ceci étant dit ça reste un bon souvenir, à chaque fois que je me remémore cet état de déchéance je souris.