Reprise du message précédent :

 
j'ai pas dit que ca avait un intérêt
 
mais ca me saoule de voir ce chiffre tout en bas de mon App de suivi de PF toujours en rouge *    
du coup je viens voir si c'est pareil chez les autres    
 
* forcément, à couper ses PV et garder inutilements pendant des années des lignes en grosse MV , ca donne ce "bilan" toujours red  

Comme certains a 200, 300, 400, 500, 600…
 

Vends toutes les lignes en MV et voilà c’est fini.
C’est quand même simple.
 
   

Ah ouais c’est pas gagné.  
 

 
ayé, naouri va s'incliner face aux chevaliers blancs

Hum compliqué dans ton cas.
Si tu ne rentres pas, la hausse n'est pas finie.
Si tu rentres, la hausse est finie.

C'est un dilemme compliqué, je te comprends.

Suffit d'être liquide pour éviter ce souci  

Ouais je porte la poisse. C’est dangereux pour vous !

Compte tenu de l'euphorie ambiante + la volonté émanant de DT de prendre du LQQ, je prédis un violent krach très prochainement

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

https://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t61527827

je ressors d'une plongée sous marine dans les limbes du topic, avec l'itinéraire de frer riders (qui pompe joliment margin call) sous les yeux..
je boursicote depuis 2017 et j'ai commencé avec edf/nokia.. depuis j'ai fait des all in sur tesla, lvmh et hermès, et j'aime pas les ETF.. c'est grave docteur?

ps, si je capte bien : c'est bien notre feu 6pions, métamorphosé en Camisard1 si mon service de renseignements voit juste?

edit: quote rectifié, le pseud'original ayant été supprimé, la citation par correspondance directe au message de l'auteur.. ne marche pas.. cqfd lien.

Dans le PV AG de viel :
 
En 2022, la valeur la plus traitée par nos clients est
TOTALENERGIES, avec 5,4% du montant des capitaux traités
sur l’année. L’ETF Lyxor CAC arrive en 2ième position avec
4,6% et Airbus en 3ième position avec 3,9% des capitaux
traités, suivi de Orpea représentant 3,2%.
 
En nombre d’ordres, TOTALENERGIES reste la valeur la plus
traitée avec 2,1% du volume d’ordres, suivi de Orpea 2%.
 
   
 
La biscotte bien placée  

 
cela va forcer Kretinsky, Auchan voire Carrefour ...à dévoiler leurs jeux...
 
je pense qu'Intermarché a été malin avec son accord rapide pour éviter toute surenchére sur les sites qui l'interessaient...
 
la bataille ne fait que commencer...les vautours sont attirés par l'odeur du sang...
 
ne pas oublier qu'il y aurait environ 10% du capital en short soit prés de 30% du flottant...les rachats de VAD risquent d"etre compliqués pour certains...
 
   

Bordel j'avais pas vu le test de pleutrerie sur le google sheet  

 
Est-ce que c'est pire que de ne pas entrer tout en voyant la hausse se poursuivre ?

En même temps c'est écrit sous son pseudo   (ok seulement sur PC)

Plusieurs raisons pratiques :
 
1) Mon portefeuille n'est pas ridicule mais j'ai 1200 lignes donc l'écrasante majorité des lignes sont petites.
2) Mes plus grosses lignes sont sur des valeurs que je veux absolument garder (Berkshire Hathaway, Microsoft, Amazon, LVMH etc.) donc je ne suis pas fan de l'idée de vendre des calls sur ces valeurs.
3) Ma situation fiscale est suffisamment compliquée (non-résident fiscal US vivant aux USA, je dois payer des impôts sur mes revenus de source US), je n'ai pas envie de compliquer encore mes déclarations fiscales par des opérations sur calls, j'aime une stratégie passive.
4) En raison de mon job je n'ai vraiment pas de temps (notamment de temps de cerveau disponible) pour une autre stratégie.
5) Pas envie de devoir faire gaffe au pricing et à la liquidité des options, je préfère cibler des actifs liquides.
6) Intuitivement, l'investissement indiciel (ou quasi indiciel) en actions est un jeu à sommes positives. Le trading actif en actions est un jeu à sommes négatives (biais psy, frais de transaction, insiders etc.). L'investissement en options est aussi un jeu à sommes négatives (liquidité, frais de transaction). J'aime jouer à des jeux à sommes positives (à part les échecs, jeu à sommes nulles).

Ben surtout que dans les pays en question l'expérience tourne à la catastrophe (je bosse avec le Salvador).

1) Pour apprécier le caractère plus ou moins restrictif (ou au contraire accommodant) de la politique monétaire d'une banque centrale, il faut comparer son taux directeur avec le taux neutre de l'économie = le taux d'intérêt d'équilibre qui permet la croissance de l'économie au plein emploi et avec une inflation stable. Le taux neutre ne peut être qu'estimé (pas observé) et évolue (lentement) au fil du temps :

- aux USA, le taux Fed Funds est à 5-5,25% contre un taux neutre généralement estimé à 2,5% (cf. par exemple la distribution des prévisions à moyen terme des membres du FOMC dans le dot chart) -> soit environ 250-275 bps de resserrement monétaire

- en zone euro, le taux directeur (MRO) de la BCE est à 3,75% contre un taux neutre estimé à 1% (bon, c'est plutôt la fourchette basse des estimations, pour une dove comme moi) -> soit environ 275 bps de resserrement monétaire (en fait, c'est sans doute plutôt 225-250 bps, car en situation d'excédent de liquidité comme actuelle le taux de la facilité de dépôt de la BCE, 3,25% actuellement, est sans doute plus pertinent)

- au Royaume-Uni, le Bank Rate est à 4,5% contre un taux neutre estimé à 1,5% -> soit environ 300 bps de resserrement monétaire

Donc on peut dire que les politiques monétaires de la Fed, BCE et BoE sont (en gros) aussi restrictives. En tout cas la BoE ne semble pas en retard sur la Fed ou la BCE.

2) Bien qu'ayant toutes 3 une cible d'inflation symétrique de 2% ("symétrique" signifie que la banque centrale va réagir avec la même vigueur, les mêmes temps de réaction à une déviation positive ou négative de la cible), la Fed, la BCE et la BoE ont des approches différentes du ciblage d'inflation :

- La Fed applique un suivi de l'inflation en moyenne (averaging), sur le long terme : en d'autres termes, s'il y a eu une période de déviation négative de la cible d'inflation (= pressions déflationnistes), la Fed va tolérer une déviation positive équivalente (en fonction intégrale = temps x déviation) de la cible, pour que la moyenne de long-terme soit le plus proche possible de la cible de 2%.

- La BCE, sans doute la banque centrale la plus indépendante du monde avec une forte culture héritée de la Bundesbank, n'applique pas ce calcul de moyenne pour guider ses décisions de politique monétaire. Elle cible une inflation stable à 2% à moyen-terme (c'est-à-dire qu'elle regarde surtout devant, pas dans le rétroviseur). Elle a davantage de flexibilité que la Fed et (a fortiori) la BoE dans sa politique monétaire car (a) elle doit tenir compte des différentiels parfois importants des niveaux d'inflation dans les pays de la zone euro et (b) elle peut se le permettre, grâce à l'héritage de la Bundesbank.

- La BoE applique une version bcp plus rigide du ciblage d'inflation : le Gouverneur doit envoyer une lettre ouverte au Chancelier de l'Echiquier dès que l'inflation dévie de plus d'un point de sa cible.

Evidemment, de mon point de vue, le système britannique, dans sa simplicité, est un peu médiéval et aussi peu respectueux de l'indépendance de la banque centrale. Je préfère l'approche plus flexible de la BCE, et aussi celle de la Fed, qui se justifie par l'observation empirique que les anticipations d'inflation de long-terme des agents économiques sont fortement influencées par l'inflation qu'ils ont connue sur le long-terme, voire sur tout leur cycle de vie.

[Par exemple, un effet positif du choc inflationniste transitoire de 2021-22 est qu'il devrait aider à combattre les risques de déflation en zone euro dans les prochaines décennies, grâce au traumatisme vécu par une génération - la nôtre - qui n'avait  jusqu'ici pas connu une inflation forte. Donc au lieu de râler, ceux qui se plaignent ici de l'inflation devraient plutôt se réjouir des fruits futurs de leur souffrance pour la stabilité économique de la zone euro. ]

3) Je ne suis pas un spécialiste de l'inflation (ni de l'économie britannique), mais a priori il me semble peu probable que l'inflation au Royaume-Uni soit plus durable qu'aux USA ou en zone euro, compte tenu du caractère restrictif de la politique monétaire de la BoE + la pression politique subie par la BoE tant que l'inflation n'est pas revenue à sa cible. Je crois au mantra monétariste : l'inflation est un phénomène monétaire = la BoE a les outils pour ramener l'inflation à sa cible.

4) Cela dit, il y a peut-être des facteurs spécifiques au Royaume-Uni qui y rendent l'inflation actuellement sticky :

- l'immobilier ?
- le faible niveau du chômage (3,8%)
- les limitations sur l'immigration depuis le Brexit, alors que l'économie britannique, avec sa spécialisation sur des secteurs de pointe comme la finance, a sans doute besoin d'un flux constant d'immigrés bien formés, sans lequel les postes qualifiés ne peuvent plus être tous pourvus, d'où des hausses de salaires

5) Au niveau budgétaire, la panique créée à l'automne 2022 sur les marchés par les promesses irresponsables de baisses d'impôts par Liz Truss et son chancelier Kwarteng s'est bien dissipée, notamment grâce à la BoE (intervention ciblée sur le marché obligataire pour éviter la chute des fonds de pension), et aussi bien sûr au fait que Truss/Kwarteng aient dégagé. Comme d'hab, ce sont les Etats qui créent la pagaille, et les banquiers centraux qui sauvent le monde...

Le CDS souverain 5 ans est revenu à un niveau "normal" de 25 bps, équivalent à la France et le double de l'Allemagne - contre un pic à 50 bps lors de la panique.

Mais de mon point de vue, cet épisode est révélateur de la fragilisation durable de l'économie britannique et de son image sur les marchés : le prix du Brexit.

Le risque pour le Royaume-Uni comme pour la France sur le long-terme, c'est l'italianisation, c'est-à-dire une vulnérabilité bien plus grande aux humeurs du marché, une lente perte de souveraineté au profit de nos créanciers. Par 2 voies différentes : la tentation de l'enfermement autarcique et du retrécissement identitaire pour les Britanniques (absurde pour une économie qui a toujours prospéré du commerce avec le monde), l'irresponsabilité budgétaire et la mélenchonisation/lepénisation des esprits chez nous.

"Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles." (Péguy)  

 
j'ai rectifié mon message (la citation en direct sur un pseudal supprimé n'a pas l'air fonctionnelle (la citation n'apparait pas du tout) donc j'ai du la détacher du message original, par bon sens je rajoute l'url de celui ci directement sous la citation
mais je m'amuse pas à analyser les signatures et autres de chacun systématiquement

 
PV +37,5%

Bonjour à tous, est-ce que vous positionnez des stop sur votre PEA pour vous protéger d’une éventuelle baisse des marchés ?

 
Non

La seule fois c'était pour des actions que je comptais vendre dans tous les cas. Si l'action continuait de monter je remontais le stop jusqu'à ce qu'il finisse par être exercé lors d'une baisse. Sur bourso y'a l'ordre suiveur je crois qui fait ça tout seul maintenant.
 
Pas convaincu du tout que ça vaille le coup de s'emmerder comme ça surtout si on sait déjà dans quoi on veut remettre l'argent.

Yep...

Je continue de conserver. Encore besoin de plusieurs journées de ce type  

 
Option cliquet activée auprès du service client.
Bien plus efficace.
 

Est-ce que tu as les PV/MV par an ?
Ceci pour voir l'effet boule de neige

Le problème des STOP LOSS, c’est qu’il y a toujours la possibilité que ça touche pendant 1h et que ça remonte direct ensuite. Donc que t’ai vendu pour rien..

Non aussi

Shell qui fait un gros doigt à la planète et retourne à fond dans l'exploration production en plus d'augmenter son dividende de 15%.

Ce genre de DAB que tu veux.

Oui, quand je débutais dans le game.

Oui, depuis 2010, avant je n'ai que le %.
Entre parenthèses en rouge, ce sont des MV.
 

Je viens de prendre une louche de 10K€ de LQQ, vous pouvez désormais vendre  

lapin approved  

   
J'ai 20k dessus Frer. Bien venu dans le train  

CL2 à 4000€
LQQ 700€ (légèrement redescendu).

Plus qu'à attendre que ça baisse

La même.
Dont 4000 de PV latente.

Les USA ça continue de monter c'est indécent, l'ATH n'est pas loin  
 
Fallait pas vendre  

Je continue à dégager des titres vifs pour passer en ETF : vente de META, AT&T, ETSY.
Concentration en world : 70% , aux portes du club 250
 
Edit : Aussi VEOLIA. Belle perf sur cette ligne d'ailleurs, pas un bagger mais presque.

Et aucun signe d'earnings Q2 qui decevraient a priori, tous les "whispers" que j'ai de la part des IR de grands groupes sont positifs pour le moment.
 
La seule inconnue demeure au sujet de la durée de la pause à 5.25% de la FED : quelques mois ou quelques trimestres ou plus d'un an ? C'est ce qui donnera le spectre de comportement de la Tech US ces prochains mois selon moi. Une communication très decevante de la FED à la rentrée et on pourrait facilement casser. Mais mon scénario central est une année à +15% sur le S&P500 dividendes compris. et 12 en Europe.

 
On ne peut pas être concentré en world
Tu es concentré à 30% sur des titres vifs, voila

Donc tu tournais encore avec un PF de 100k~ jusqu'en 2021 ?