Reprise du message précédent :

 
Fiverr est coté ? oO
ben honnêtement, j'ai demandé à deux professionnels vivant en inde de me faire un logo, ils m'ont pondu un truc fait sur paint, j'ai eu la haine ... enfin je dis deux, mais ce sont les deux que j'ai accepté la commande, mais j'ai du annuler 6-7 commandes tellement que le travail n'avait rien de pro.
D'ailleurs idem pour les cartes de visite ou autres, c'est assez incroyable que ce genre de business trouvent leur client (moi je suis un pigeon sinon j'aurais accepté aucune livraison!)

Si t'as demandé de l'AT sur paint, lapin te fait ça moins cher qu'un indien et il peut même faire clignoter les couleurs  

Ce sketch.

renfort NIO sur 7.70 pour faire baisser mon enorme PRU  

https://www.fiverr.com/cp/ai-services
 

tu es à combien?

J'ai bien vu mais qui veut payer un mec pour te générer une image par ia, quand l'abonnement au mois te coûte moins chère que la prestation. Prestation où tu devras décrire l'image que tu veux, comme si tu écrivais un prompt.

18.03 maint'nant
36 et des brouettes avant

Je me pose aussi la question, mais ça va également créer de nouveaux besoins je pense.

Les textes générés par les IA doivent être retouchés et/ou vérifiés, les créations graphiques, c'est pareil, pour les briques de codes, il faut les assembler, etc.

Il y a aussi une compétence dans la manière de manipuler une IA. Par exemple, j'obtiens toujours des résultats catastrophiques avec DALL-E alors que d'autres obtiennent des résultats spectaculaires.  

Sans compter tout ceux qui ont en ce moment la trèees originale idée d'intégrer l'API d'une IA dans une app existante...

 
?
 

On va avoir droit à 1 mois et des secousses

Qui sera la suivante ?

LB est ou?

Performance du mois de Avril 2023 :
Perf. de +0.21% sur Avril et de  +6.39% YTD, depuis ouverture 14/07/2019 +7.8%
Par sous-enveloppes :
- PEA à +0.33% sur Avril et +6.76% YTD, depuis ouverture 14/07/2019 +7.39%
- PEA-PME à -2.01% sur Avril et -0.67% YTD, depuis ouverture 14/07/2019 +12.46%
 
Référence 1 CW8 YTD +6.24%
Référence 2 CACGR YTD +16.88%    
 
3000€ d'apport dans le mois. 12 000€ sur l'année. Achat de EWLD.

ca depend du prix moyen par client actuel. Si c'est  une sorte d'automate turc, les clients s'en moque que ça soit une ia ou un esclave à l'autre bout du monde.

c'est comme dans ma boite : le management nous a vendu un process "automatique" dans un domaine difficile à automatiser. On était surpris. Il s'est rapidement avéré que le process automatique, c'était d'envoyer le boulot à des grouillots en Inde...

La source des données est la Federal Deposit Insurance Corporation, regroupant les banques de détail uniquement.

HSBC  

tout vendu Vilmorin à 62.6 sur OPA...
 
270 titres sur CTO
543 titres sur PEA
 
acheté ou renforcé beaucoup de lignes à fort rendement...

Ok dommage d'oublier la plus grosse faillite de tous les temps  

PHJ  

 
Pas de chance d'avoir un renchérissement de l'offre selon toi?
J'hésite à solder des maintenant également et renforcer mes autres lignes.

la probabilité n'est certes pas nulle mais j'y crois peu et le prix est correct...sans plus

Perf 2023 à fin avril :  
+13,0% / +20k
 

 
L'eau commence a bouillir pour mes petites grenouilles  

Pffioou la modélation  

 
Reprise du dividende trimestriel    
 
Sinon Pfizer au-dessus du consensus et augmentation du dividende de 5%

 
+3%PM

Uber pas mal aussi.

Bonjour à tous,
 
TLDR :
 
Je reviens vers vous avec non pas un, mais deux tableaux excel kilométriques et vomitifs dont j’ai le secret.
 
Le premier synthétise les données relatives à l’évolution des cours d’un peu plus de 200 actions européennes éligibles PEA et cotées dans de grands indices, ainsi que de les comparer avec le S&P 500, et sur une durée de 30 ans. C’est d’ailleurs là sa seule différence avec l’autre tableau posté il y a quelque temps et qui ne s’étendait que sur 20 ans.
 
Le deuxième permet de faire exactement la même chose, mais cette fois-ci uniquement avec les 60 valeurs listées au MSCI EMU Quality Index, également éligibles PEA : “The MSCI EMU Quality Index is based on MSCI EMU Index, its parent index, which includes large and mid cap stocks across the 10 Developed Markets countries in the European Economic and Monetary Union (EMU)*. The index aims to capture the performance of quality growth stocks by identifying stocks with high quality scores based on three main fundamental variables: high return on equity (ROE), stable year-over-year earnings growth and low financial leverage”. La méthodologie exacte se trouve ICI : https://www.msci.com/documents/1019 [...] f587ecc775  
 
 
Les voici :
 
Comparatif Valeurs PEA vs SP500 sur 30 ans : https://docs.google.com/spreadsheet [...] sp=sharing
Comparatif Valeurs MSCI EMU Quality Index vs SP500 sur 30 ans : https://docs.google.com/spreadsheet [...] sp=sharing  
 
Avant d’aller plus loin, j’aimerais simplement qu’une bonne âme se dévoue pour me dire s’il est possible pour les personnes intéressées par le tableau - qui n’est accessible qu’en lecture - de trier les valeurs entre elles.
 
 
Plus de détails ci-dessous :
 
Le premier tableau a pour objet de synthétiser les données de plus de deux cents actions européennes éligibles au PEA, sur 30 ans, afin de déterminer quelles sont celles qui ont durablement surperformé le S&P 500 (que je tiens pour le “mètre étalon” des indices boursiers), tout en étant moins chères que ce dernier.
 
Pour ce faire, j’ai intégré l’évolution des cours de l’ensemble de ces actions sur une durée de 30 ans (et non 20 et 10 comme dans mes précédents tableaux).
 
Ne sont concernées pour l’instant que les informations des actions des sociétés cotées au:
 
CAC 40 (France)
DAX 30 (Allemagne)  
AEX (Pays bas)  
BEL 20 (Belgique)  
FTSE MIB (Italie)  
IBEX 35 (Espagne)
 
A partir de là j’ai calculé :
- l’évolution annuelle de la capitalisation de la société, en %, année par année.
- l’évolution de la capitalisation de la société en % sur 1,3, 5, 10, 15, 20, 25 et 30 ans
- la sur ou sous performance de la capitalisation de la société par rapport au S&P 500, année par année.
- le nombre d’années de sur ou sous performance;
- le nombre d’années de croissance positive.
 
J’ai enfin attribué une note à chaque société, à partir de la formule suivante :
 
Note = ((Perf. boursière 5 ans +YTD * 1000) / PER) * coeff réducteur
 
Autrement dit, la note repose sur :
 
- l’évolution de la capitalisation de la société entre le 1er janvier de l’année N-5 et le dernier jour de cotation de l’année en cours, en %, qui est ensuite :
- divisée par le PER, pour mesurer la “cherté” de l’action (plus le PER est élevé, plus la note baisse). Le résultat obtenu est multiplié par 1000, afin d’obtenir quelque chose de lisible et non un obscure chiffre à virgule. Le tout est ensuite :
- multiplié un coefficient réducteur : celui-ci vient artificiellement baisser la note de la société, afin d’intégrer le fait que la performance boursière future ne va pas forcément être celle des 5 dernières années passées. Il y a plusieurs coefficients réducteurs, afin que différentes comparaisons puissent être effectuées.
- La note du S&P 500, qui sert de base de comparaison n’est quant à elle pas réduite par un coefficient réducteur, car comme il s’agit d’un indice à base large, je suis parti du postulat qu’il profitait à plein d’un phénomène de “destruction créatrice” et qu’il n’y avait donc pas lieu de moduler sa note, la baisse de la capitalisation de certaines sociétés étant compensée par la hausse de la capitalisation d’autres sociétés.  
- Le “coefficient réducteur” permet ainsi de se créer une “marge de sécurité” dans la façon d’apprécier les titres par rapport à l’évolution du S&P 500.
 
 
 
Le choix de cette formule et de cette méthode repose sur les postulats suivants (qui sont -il faut le rappeler -  de simples postulats) :
 
- Pour les valeurs cotées sur les “grands indices”, le niveau d’information de l’ensemble des acteurs du marché est élevé.  
 
- L’évolution de la capitalisation d’une société est le reflet de l’addition du niveau d’information et des croyances de l’ensemble des acteurs du marché.
 
- Sur le court terme le marché compte les voix. Sur le long terme il est efficient. En optant pour l’examen de la performance boursière sur des périodes de temps longues, il est donc possible de se faire une idée relativement fidèle de la valeur réelle d’une entreprise, parce que l’évolution de la performance boursière est le reflet de celui du résultat net ou des perspectives d’évolution réelles du résultat net.  
 
- Les performances passées, prises sur un temps long, préfigurent - à minima -  les performances à venir. Il serait plus exact de dire - toujours sur le temps long - que si les bonnes performances passées ne sont pas forcément une garantie de bonnes performances à venir, les mauvaises performances passées sont généralement annonciatrices de mauvaises performances à venir.  
 
- Les lois qui gouvernent les logiques d'investissement et de retour sur investissement sont asservies à celle des rendements décroissants : autrement dit, il ne sera pas possible pour une entreprise de maintenir éternellement un taux de croissance élevé et celui-ci est mécaniquement condamné à décroitre. Cette observation est vraie pour chacune des entreprises analysées, de même que pour chacune de celles qui composent le SP500. Toutefois, cette observation est fausse à l’échelle de l’ensemble de l’indice lui même : en effet, parce qu’il s’agit d’un indice à base très large, couvrant des secteurs très diversifiés, il bénéficie d’un effet de “vases communicants" entre les sociétés qui le composent. Nous pouvons spéculer (et c’est une spéculation) que les plus-values réalisées par les acteurs suite à la vente de leurs actions d’une entreprise donnée du SP500, seront réinvesties dans une autre entreprise du SP500. D’où l’idée d’appliquer dans la notation des entreprises analysées un “coefficient réducteur” à titre de marge de sécurité, mais pas sur le SP500 lui-même.
 
 
Venons en maintenant aux défauts du tableau et de la méthode (ils ne manquent pas) :
 
- Le tableau n’intègre pas le versement des dividendes, ni dans l’appréciation des valeurs étudiées, ni dans l’appréciation du S&P 500. C’est navrant mais c’est ainsi : google sheet ne le permet malheureusement pas… Il favorise donc les entreprises qui réinvestissent leurs bénéfices plutôt que celles qui les distribuent.
 
- La méthode de notation favorise les sociétés qui ont un PER très bas. Et si leur PER est très bas, c’est souvent parce qu’elles n’ont aucun avenir… Ceci étant dit, à l’examen parmi les entreprises “lauréates”, en intégrant justement des données sur le temps long, je ne découvre aucune entreprise qui aurait usurpé sa place : le marché peut bien s’illusionner sur l’avenir d’une valeur, il ne s’illusionnera pas sur 20 ans.
 
- Le tableau pourrait toutefois mettre en avant les sociétés qui ont connu un accroissement fulgurant de leur performance boursière sur un laps de temps très court. Ce facteur est normalement tempéré par le PER élevé de la société, mais il n’en demeure pas moins que cela peut être le signe d’un enthousiasme déraisonnable du marché pour une valeur. D’une façon générale, sans que cela soit une règle d’airain, j’incline à penser qu’un PER au-delà de 25 devrait susciter la prudence de l’investisseur. Pour remédier à cela, il suffit de se référer aux colonnes se rapportant au nombre d’années de croissance positive, afin de détecter les anomalies.
 
- Enfin, je ne crois pas en l'existence d'un système pur et parfait de classification des opportunités d'investissement. Après un premier tri, qui peut toujours être automatisé et reposer sur une "formule" ou grille de discrimination, il faudra toujours effectuer un deuxième tri en se reposant sur "l'intelligence humaine". Là dessus, il faudra se montrer modeste... (Moi, je fais avec le ‘matériel” à disposition et je ne vais pas me mentir : je tire plutôt du côté gauche de la courbe de gauss...).
 
- “Intelligence humaine”, ce n’est rien d’autre dans ce contexte qu’un synonyme pour “égo”. Il convient idéalement de le réduire à pas grand chose.
 
- Il manque pour l’instant les valeurs “nordiques” (Norvège etc…).Cela devra être corrigé, parce qu’il y a visiblement quelques belles sociétés.
 
-Il faut souligner que google sheet ne semble pas être conçu pour manipuler autant de données et il est nécessaire de parfois recharger la page plusieurs fois afin d’avoir toutes les informations disponibles. De plus, il semble parfois avoir du mal à rapatrier des données pourtant à sa disposition.
 
 
Pour terminer, on pourrait objecter qu’il n’est pas possible de prédire les performances futures à partir des performances passées.
 
L’argument selon lequel il n’est pas possible de voir l’avenir en regardant dans un rétroviseur s’entend, mais il est à relativiser :  
 
- d’abord parce qu’il n’existe tout simplement de méthode fiable et éprouvée de prédire l’avenir et que si une semblable méthode existait, ses effets pour l’investisseur seraient voisins du nul, puisque sitôt diffusée et approuvée, son adoption par la masse lui ferait perdre son “avantage compétitif” sur les autres méthodes d’appréciation des sociétés ;  
 
- ensuite parce qu’en plongeant son regard dans le passé - à condition de prendre une durée de référence suffisamment longue - et en observant le comportement de la société et l’évolution de sa valorisation à travers la multiplicité des contextes et des événements qu’elle a dû traverser, on peut se faire une idée assez bien dégrossie de la solidité et de la résilience de son modèle économique et du secteur dans lequel elle évolue face aux événements futurs qui pourraient l’affecter. Le point de vue ici exposé est au demeurant aussi celui de Benjamin Graham, qui justement ne recevait qu’avec circonspection - pour dire le moins - l’adage selon lequel “les performances passées ne préjugent pas des performances futures”.
 
 
Le second tableau fait exactement la même chose, mais uniquement avec les valeurs du MSCI EMU Quality Index.
 
 
Les critiques constructive - ou pas - les apports, mais aussi les insultes et même les affirmations péremptoires sur la vie sexuelle de ma génitrice sont les bienvenues.  

 
Même pas un dessin.

Impossible de trier pour moi. c'est possible en fait  
 
Et une foule de "Lors de l'évaluation de GOOGLEFINANCE, la requête n'a renvoyé aucune donnée."
 
Pourquoi tu n'as pas écrit en dur les valeurs passées ? Ca diminuerait le nombre de requêtes à googlefinance.

Je suis en week-end prolongé en Normandie, je regarderai ce beau boulot à mon retour.
 
 

 
 
Le tableau fonctionne, mais c'est un problème courant sur google sheet : il faut actualiser.
 
Par contre, ça me gonfle que tu ne puisses pas actualiser : ça enlève tout l'intérêt de la chose

Manque le résumé des valeurs qui sont au dessus, comme l'autre fois

 
Il faut que je fasse ça.
 
Mais le truc, c'est que MES critères de classement ne sont pas ceux de tout le monde...

Alors tout d'abord superbe travail  
Ensuite même remarque que Zeroz , sur les deux tableaux j'ai de nombreuses lignes avec une erreur de requête.
Dans le source il manque la section Loisirs d'un célèbre forum informatique d'extrême droite  

et pour le résultat, cela te donne une liste d'action qui ont surperformé l'indice de référence dans le passé et le postulat principal est que cela va continuer dans le futur. Je pense que tu as bien remarqué que c'est ce point qui est critiquable.

ton tableau final avec le nombre d'année de surperformance peut être pertinent pour identifier si cette dernière est récente genre 10 sur les 10 dernières années, si elle est passé genre 15/30ans mais que 2/10 dernières années etc.