Reprise du message précédent :

 
Il y avait eu 2 crises dans le bear market de 2000/2002:
- bulle internet
- 11/9
 
Quelle serait la seconde crise actuellement? Le secteur bancaire? Je n'y crois pas trop. Ama, on passe gentiment en bull market.

On y est déjà sur le Nasdaq

Cqfd

Si ma mémoire est bonne, il ne mettait pas URW dans la catégorie action mais immo  

Mauvais mois de mars....Casino,les petrolieres,les midcaps n'ont pas été à la fete...
 
                MARS 2023            YtD
 
CAC40        +0.74%                +13.12%
 
PEA            -5.09%               -1.70%
 
CTO             -2.83%              +0.84%
 
mes paris annuels MAU CO RUI et RIN  sont dans les choux pour l'instant!
 
Seule CRAP s'en tire ...

 
 
Merci pour le signal de fin de bull market  

 
On est au niveau d'il y a moins d'un mois et ça s'enflamme déjà.

Ça dépend des marchés

C’est plutôt une bonne nouvelle.  
Sauf pour la team liquide

C'est moi ou la semaine a été mouvementée ?
 

Calcul du XIRR à fin mars : +7,6%

 
 
début du bull market on te dit.
 
les earnings qui vont sortir à la fin du mois seront très bon d'ailleurs. dommage il y aura 4% de gain FX par rapport à 2022 cela dit ca va cacher un peu la misére.

Même les modos seront remplacés par des AI
 
https://www.xda-developers.com/xda- [...] on-openal/
 

 
 
J'imagine que tu as regardé ton calendrier ce matin.
 
Après, tu fais peut-être une blague et dans ce cas, pense au niveau de naïveté de certains intervenants du topic

 
La team liquide pourra tjr se moquer de la team BX4.

Tel Aviv +0.8%
Riyadh +0.51%

Ne te prend pas la tête à timer, c'est très aléatoire (les rares fois où je time un peu mon DCA ça me parait foireux sur l'instant, et 6 mois après je me rends compte que ça n'a eu quasiment aucune influence ).
Rappelle toi que statistiquement miser d'un coup c'est gagnant par rapport au DCA, et pense à l'adage "time in the market". Sinon tu resteras sur le quai.
 
J'ai lu les échanges sur ta stratégie, le bon vieux world est très bien en base. Nasdaq si tu veux en plus pour le pari LT malgré la volatilité, je fais ça aussi.
Bref ton allocation finale m'a l'air bien.

Bonjour à tous,
 
Je reviens vers vous partager un des immondes tableaux excel dont j’ai le secret.
 
Vous le trouverez ICI : https://docs.google.com/spreadsheet [...] sp=sharing  
 
Celui-ci a pour objet de synthétiser les données de plus de deux cents actions européennes éligibles au PEA, sur 20 ans, afin de déterminer quelles sont celles qui ont durablement surperformé le S&P 500 (que je tiens pour le “mètre étalon” des indices boursiers), tout en étant moins chères que ce dernier.
 
Pour ce faire, j’ai intégré l’évolution des cours de l’ensemble de ces actions sur une durée de 20 ans (et non 10 comme dans mes précédents tableaux).
 
Ne sont concernées pour l’instant que les informations des actions des sociétés cotées au:
 
CAC 40 (France)
DAX 30 (Allemagne)  
AEX (Pays bas)  
BEL 20 (Belgique)  
FTSE MIB (Italie)  
IBEX 35 (Espagne)
 
A partir de là j’ai calculé :
 
- l’évolution annuelle de la capitalisation de la société, en %, année par année.
- l’évolution de la capitalisation de la société en % sur 1,3, 5, 10, 15 et 20 ans
- la sur ou sous performance de la capitalisation de la société par rapport au S&P 500, année par année.
- le nombre d’années de sur ou sous performance;
- le nombre d’années de croissance positive.
 
J’ai enfin attribué une note à chaque société, à partir de la formule suivante :
 
Note = ((Perf. boursière 5 ans +YTD * 1000) / PER) * coeff réducteur
 
Autrement dit, la note repose sur :
 
- l’évolution de la capitalisation de la société entre le 1er janvier de l’année N-5 et le dernier jour de cotation de l’année en cours, en %, qui est ensuite :
 
- divisée par le PER, pour mesurer la “cherté” de l’action (plus le PER est élevée, plus la note baisse). Le résultat obtenu est multiplié par 1000, afin d’obtenir quelque chose de lisible et non un obscure chiffre à virgule. Le tout est ensuite :
 
- multiplié un coefficient réducteur : celui-ci vient artificiellement baisser la note de la société, afin d’intégrer le fait que la performance boursière future ne va pas forcément être celle des 5 dernières années passées.  
 
- La note du S&P 500, qui sert de base de comparaison n’est quant à elle pas réduite par un coefficient réducteur, car comme il s’agit d’un indice à base large, je suis parti du postulat qu’il profitait à plein d’un phénomène de “destruction créatrice” et qu’il n’y avait donc pas lieu de moduler sa note, la baisse de la capitalisation de certaines sociétés étant compensée par la hausse de la capitalisation d’autres sociétés.  
Le “coefficient réducteur” permet ainsi de se créer une “marge de sécurité” dans la façon d’apprécier les titres par rapport à l’évolution du S&P 500.
 
 
 
Le choix de cette formule et de cette méthode repose sur les postulats suivants (qui sont de simples postulats) :
 
- Pour les valeurs cotées sur les “grands indices”, le niveau d’information de l’ensemble des acteurs du marché est élevé.  
 
- Sur le court terme le marché compte les voix. Sur le long terme il est efficient. En optant pour l’examen de la performance boursière sur des périodes de temps longues, il est donc possible de se faire une idée relativement fidèle de la valeur réelle d’une entreprise, parce que l’évolution de la performance boursière est le reflet de celui du résultat net ou des perspectives d’évolution réelles du résultat net.  
 
- Les performances passées, prises sur un temps long, préfigurent - à minima -  les performances à venir. Il serait plus exact de dire - toujours sur le temps long - que si les bonnes performances passées ne sont pas forcément une garantie de bonnes performances à venir, les mauvaises performances passées sont généralement annonciatrices de mauvaises performances à venir.  
 
- Les lois qui gouvernent les logiques d'investissement et de retour sur investissement sont asservies à celle des rendements décroissants : autrement dit, il ne sera pas possible pour une entreprise de maintenir éternellement un taux de croissance élevé et celui-ci est mécaniquement condamné à décroitre. Cette observation est vraie pour chacune des entreprises analysées, de même que pour chacune de celles qui composent le SP500. Toutefois, cette observation est fausse à l’échelle de l’ensemble de l’indice lui même : en effet, parce qu’il s’agit d’un indice à base très large, couvrant des secteurs très diversifiés, il bénéficie d’un effet de “vases communicants" entre les sociétés qui le composent. Nous pouvons spéculer (et c’est une spéculation) que les plus-values réalisées par les acteurs suite à la vente de leurs actions d’une entreprise donnée du SP500, seront réinvesties dans une autre entreprise du SP500.D’où l’idée  
 
 
Venons en maintenant aux défauts du tableau et de la méthode (ils ne manquent pas) :
 
- Le tableau n’intègre pas le versement des dividendes, ni dans l’appréciation des valeurs étudiées, ni dans l’appréciation du S&P 500. C’est navrant mais c’est ainsi : google sheet ne le permet malheureusement pas… Il favorise donc les entreprises qui réinvestissent leurs bénéfices plutôt que celles qui les distribuent..
 
- La méthode de notation favorise les sociétés qui ont un PER très bas. Et si leur PER est très bas, c’est souvent parce qu’elles n’ont aucun avenir… Ceci étant dit, à l’examen parmi les entreprises “lauréates”, en intégrant justement des données sur le temps long, je ne découvre aucune entreprise qui aurait usurpé sa place : le marché peut bien s’illusionner sur l’avenir d’une valeur, il ne s’illusionnera pas sur 20 ans.
 
- Le tableau pourrait toutefois mettre en avant les sociétés qui ont connu un accroissement fulgurant de leur performance boursière sur un laps de temps très court. Ce facteur est normalement tempéré par le PER élevé de la société, mais il n’en demeure pas moins que cela peut être le signe d’un enthousiasme déraisonnable du marché pour une valeur. D’une façon générale, sans que cela soit une règle d’airain, j’incline à penser qu’un PER au-delà de 25 devrait susciter la prudence de l’investisseur. Pour remédier à cela, il suffit de se référer aux colonnes se rapportant au nombre d’années de croissance positive, afin de détecter les anomalies.
 
- Enfin, je ne crois pas en l'existence d'un système pur et parfait de classification des opportunités d'investissement. Après un premier tri, qui peut toujours être automatisé et reposer sur une "formule" ou grille de discrimination, il faudra toujours effectuer un deuxième tri en se reposant sur "l'intelligence humaine". Là dessus, il faudra se montrer modeste... (je fais avec le matos à disposition et je ne vais pas me mentir : je tire plutôt du côté gauche de la courbe de gauss...).
 
- Pour terminer, il faut souligner que google sheet ne semble pas être conçu pour manipuler autant de données et il est nécessaire de parfois recharger la page plusieurs fois afin d’avoir toutes les informations disponibles. De plus, il semble parfois avoir du mal à rapatrier des données pourtant à sa disposition. Ainsi, il rencontre notamment quelques difficultés avec STM electronique.
 
 
La liste des valeurs “élues” arrive dans un autre post, tout comme quelques explications sur le tableau

Et nous en venons maintenant à l’essentiel : la liste des valeurs “révélées” par le tableau.Il faut pour chacun de ces onglets appliquer un filtre (l’unique filtre accessible dans Données => Vue filtrée => Filtre 1)
 
Je les ai regroupées en trois catégories et autant d’onglets distincts :
 
La catégorie 1 regroupe toutes les actions qui ont superformé le S&P 500 sur 3, 5, 10, 15 et 20 ans.
La catégorie 2 regroupe toutes les actions qui ont superformé le S&P 500 sur 3, 5, 10, et 15 ans, mais pas 20 ans. Cela permet notamment de ne pas passer à côté des sociétés qui n’ont pas 20 ans d’historique en bourse.
La catégorie 3 regroupe toutes les actions qui ont superformé le S&P 500 sur 3, 5 et 10 ans.
 
 
En catégorie 1, les heureuses élues sont :
 
CAPGEMINI EPA:CAP
HERMES INTERNATIONAL EPA:RMS
L'OREAL EPA:OR
LVMH EPA:MC
Merck ETR:MRK
ASM INTERNATIONAL NV AMS:ASM
ASML HOLDING AMS:ASML
BE SEMICONDUCTOR INDUSTRIES AMS:BESI
WOLTERS KLUWER CVA AMS:WKL
D'IETEREN GROUP EBR:DIE
INTERPUMP GROUP BIT:IP
 
 
En catégorie 2, les heureuses élus sont :
 
CAPGEMINI
HERMES INTERNATIONAL
L'OREAL
LVMH
Merck
ASM INTERNATIONAL NV
ASML HOLDING
BE SEMICONDUCTOR INDUSTRIES
WOLTERS KLUWER CVA
D'IETEREN GROUP
ELIA GROUP
INTERPUMP GROUP
Laboratorios Farmaceuticos ROVI SA
Sartorius AG  
 
 
Et en catégorie 3 :
 
CAPGEMINI
HERMES INTERNATIONAL
L'OREAL
LVMH
Merck
ASM INTERNATIONAL NV
ASML HOLDING
BE SEMICONDUCTOR INDUSTRIES
WOLTERS KLUWER CVA
D'IETEREN GROUP
ELIA GROUP
INTERPUMP GROUP
Acciona
Laboratorios Farmaceuticos ROVI SA
Pharma Mar
Solaria Energia y Medio Ambiente
Sartorius AG  
 
 
Plus d'infos dans les tableaux ci-dessous :
 
 
Catégorie 1 :

 
 
Catégorie 2 :

 
 
Catégorie 3 :

 
 
EDIT : grumpf : quand je vous disais que google sheet n'était pas forcément prévu pour gérer autant de données... les données sont incomplètes pour les cat 2 et 3.

Venons en maintenant au plus rageant :
 
Dans l'idéal, ce type d'exercice devrait être fait avec le résultat net, la moyenne flottante du résultat net sur 3 ans ou encore le cash flow d'exploitation.
 
Mais malheureusement, je crois qu'il est impossible de se procurer ces données de manière simple et automatisée.
 
De même, il est compliqué, pour dire le moins, de se procurer des données financières sur plus de 5 ans...

Gros boulot

AMHA Ça dépasse le boulot des cadres en finance.

Je me demande bien ce qu'il va faire avec ces informations  

Bon boulot, un défaut que je relève (pour Air Liquide notamment): la non prise en compte des distributions d'actions gratuites. (sur ces 20 dernières années, toujours pour Air Liquide, 2010-2014-2017-2021-2022).

 
Prendre la main sur la fp, faire un blog, vendre des formations pour qlrr et autres fichers excels et dildos.

C’est qui le responsable de ce topic ?

Celui qui poste le message  
en dessous du mien
      |
      |
      |
      v

Non merci.  
 
Sinon : shorter le cac40 = shorter LVMH et TTE  
 
Vu le gugus ça me gène pas
https://france.attac.org/se-mobilis [...] lt-et-lvmh
 

Je quote pour te retrouver.

Merci du taf  

Il y a toujours le screener de boursophile qui récupère ces données :-)

Il manque les dividendes non ?

Préparez vous pour demain
TTE en route vers les cieux

https://www.bloomberg.com/news/arti [...] utput-cut?

Sauf si c’est le côté négatif de la News qui est retenu

 
 
C'est quoi cette histoire? Les arabes essayent d'emmerder les USA maintenant? Du jamais vu depuis 1945: que se passe-t-il?

Génial pour lutter contre l'inflation ça, merci l'OPEP

Tu préfères les Arabes ou les Allemands ?

C'est pas comme si ensuite les pays membres faisaient à chaque fois l'inverse de ce qu'ils préconisent  

Ça va redonner de l'entrain aux valeurs énergies renouvelables et aux véhicules électriques