Reprise du message précédent :

Swap LS1 + 500€ pour une prépa qui double la puissance©

Sans rien d'autre j'imagine bien la voiture se plier au premier pied au plancher  

 
Oui et non.
 
LE problème principal de la Montréal est l'injection mécanique SPICA.
Quand ça déconne, c'est une merde infâme à régler/résoudre...
 
Il suffit de rouler régulièrement ("plus tu roules, plus c'est fiable" : cet adage est tellement vrai).
 
C'était surtout les Montréal "sortie de grange" ou "musée" qui avaient des pb.
 
Après t'as une solution radicale et qui marche très bien : remplacer toute la partie injection par une injection électronique de Ferrari 328 GTB/GTS.
J'ai eu l'occasion de voir ce taf et le résultat très satisfaisant.
Bon évidemment, t'es plus en matchingnumbersmescouilles    
 
Le V8 lui même est rock-fiable  

Faut monter des carbus  

 
Déjà fait comme montage    
(je dois avoir une photo qui traine... des carbus issus de V8 Maserati).

Je l'ai à chaque fois que je vois la voiture

Vendredi    
Anniversaire Citroën    
 

 
Bonus    
 

Bon vendredi alors    
 

 

 
Même le chien préfère détourner les yeux  

Ca pique    
Continuons le massacre

je suis époustouflé par la qualitance de la 2°
 
Du Strossek ?
Du Mansory ?

Han ! la deuxième !!  

Pareil, je suis impressionné par la qualité du taf.

On dirait une Tatra version moderne.  
Je reconnais les poignées de porte et les rétros de GSA  

ou un parebrise de Saab

 
T'es sûr ?
On dirait bien le pare-brise d'origine non ? (en comparant avec les autres photos).

Oui.

oui oui
 
je déconnais sur la verticalité des parebrises
SAAB
DS aussi
 
 
Ceci dit, il eut mieux fallu valu massacrer une SAAB pour ça !

valu.

 
https://petrolicious.com/articles/t [...] -lake-como

Une sortie de grange ?

On dirait le décor de la dernière scène du Pacha.

J'étais il y a deux heures en pélerinage sur lac d'à côté, à Gardone
https://photos.app.goo.gl/rDeaSReiZji17KwA7
 
pélerinage car c'est ici que se passa les records du comte Rossi de Montelera avec les U16 Maserati.

 
C'est le requiem pour un con... pompompom...

Une "petite" Cadillac coupé V16 de 1937  

Impossible de se garer sur une place normale, obligé d'aller dans le champ

Yesss !!!
 
je kiffe ces carrosseries fin années 30    
 
la ligne de ce coupé    

Yes very beautiful    
Tellement de jolis monstres dans les années 30 et la GM n'était pas en reste niveau design surtout Cadillac.

Dire qu'une Smart a la même fonctionnalité... pour 4m de moins

Parlons du coffre et des dimensions de l'habitacle, maintenant.

Je ne vois aucun porte gobelet, et ça c’est vraiment inacceptable    
 

Je vois aussi un tapis de sol Toyota qui bloque déjà la pédale d'accélérateur. Nous ne sommes définitivement pas au niveau de la référence Golf.

Et la consommation?  

le moteur ne tourne que pour monter sur les podiums des Concours d'Élégance
 

Reprog e85 frerow

 
Les plastiques sont-ils moussés ?  

Aujourd'hui je vous présente Monica    
 

 
J'ai l'impression que personne n'a remarqué ça    
Pourtant, c'est indissociable du film.
 
Concernant la Monica, purée, la première tof, j'ai cru à une CD Panhard à 4 portes  

en l'honneur de l'épouse du constructeur, la monica 560 !

 
Oui, il a bien fait de revoir sa copie    
 
Les voitures Monica ont été développées sous l'impulsion de Jean Tastevin, ingénieur diplômé de l’École centrale de Paris et PDG de la CFPM (Compagnie française de produits métallurgiques), une société spécialisée dans la fabrication et la location de wagons citernes.
 
Passionné d’automobile et soucieux de diversifier l’activité de son entreprise, Jean Tastevin décide en 1967 de créer une voiture de sport luxueuse, la Monica, ainsi baptisée en hommage à son épouse Monique. Elle sera produite dans son usine de construction de matériel ferroviaire à Balbigny, dans la Loire.  
 
Pour mener à bien son projet, Tastevin s’entoure d’une équipe de techniciens de divers pays. La réalisation du prototype est confiée à l’ancien pilote de course Chris Lawrence. Une première version sort des ateliers Williams et Pritchard en avril 1968 : un coupé sport de quatre places avec carrosserie en aluminium, suspensions cantilever et essieu arrière articulé.
 
Insatisfait du résultat, Tastevin demande au styliste Tony Rascanu de retravailler le design de la voiture, dont les premiers exemplaires sont produits par la société britannique Airflow Streamlines, et présentés au public en avant-première du Salon de l'Auto 1972.
 
Inspirée des voitures de sport de l’époque (Maserati, Jaguar, Ferrari et Aston Martin), la Monica est la première du genre à offrir quatre vraies places et un coffre capable de loger une demi-douzaine de valises. Le système d’ouverture et de fermeture des portières, entièrement électrique, montre le souci du détail du fabricant. L’habitacle est aussi soigné avec un tableau de bord en loupe d’orme et cuir, un volant en bois verni, des compteurs Jaeger, des sièges en cuir, une moquette en laine de Shetland, des vitres électriques, l’air conditionné et un autoradio stéréo avec lecteur de cartouches 8 pistes.
 
La Monica est alors équipée d’un moteur V8 de 3,5 litres conçu en Angleterre qui délivre une puissance de 240 chevaux à 6000 tours par minute. Mais pour des raisons de fiabilité, Tastevin décide d’y renoncer et fait appel à Chrysler qui lui fournit un moteur V8 de 5,6 litres. Une fois modifié et adapté dans les ateliers de Balbigny, il offre une puissance de 285 chevaux à 5400 tr/min. La Monica 560, qui pèse 1,8 tonne, peut atteindre une vitesse de pointe de 240 km/h.
 
Années de production  1973 - 1974
Production  20 exemplaire(s)
Classe  Grand tourisme
 
Moteur et transmission
Énergie  Essence
Moteur(s)  8 cylindres en V
Position du moteur  Avant
Cylindrée  5 560 cm3
Puissance maximale  285 ch
Transmission  Propulsion
Boîte de vitesses  BV5 ou BVA
 
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s)  Berline