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 PULLMOCHE    
 

 PULLMOCHE    
 

 PULLMOCHE    
 

 
Fake!!!
C'est pas ta bécane : y'a pas de top-case

 PULLMOCHE    
 

Je dois deviner le lien ?    
 
edit : sur un ftp free les gens hein, pas sur hfr-rehost, qui lui ausi est bloqué au taf

Bizarre de voir la moto sans autocollants, pour full black c'est du full black !

 
 
 
Fake!!!
C'est pas ta bécane : y'a pas de top-case

 
 
J'espère au moins que le chien pisse régulièrement sur la moto
A moins qu'il ait du goût et qu'il pisse pas sur la première merde en plastique venue
 
 
Ben il doirt servir de support pour l'appareil photo

en ce moment je constate les infractions liées à la présence de mobil homes sur les terrains privés, z'ont pas le droit d'être là, donc soit ils virent, soit ils passent à la caisse et c'est le tribunal qui décide si ils peuvent rester ou pas
 
j'y prends même pas plaisir, je suis pas assez méchant  
 
bon anniversaire nounouille

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

 
nan il le fait que sur les épave genre bandit donc ça va
 

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

tu as une div aussi ?

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

Vous savez quoi ?
J'aime ma moto.
Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

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[...]
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

, pendant un instant mon bixenon s'allumais mais après , pouf , plus de bixenon ,

dites moi , pour la 1ere foi depuis que j'ai la moto , elle a passée un lonnng momment immobilisée dans un garage. A quoi je doit faire attention pour m'en servir à nouveau ? déja jai reussi a la demarer en poussant , pendant un instant mon bixenon s'allumais mais après , pouf , plus de bixenon , juste les veilleuses qui s'allument , le tableau de bord s'eclaire tout bien aussi , les feux arriere Ok ainsi que les cligno sauf l'arriere droit :s.
Mon bixenom est-il mouru ou il reviendra quand j'aurais roulé quelques km ???  
 
Quand je coupe le contact et essais de demarrer normalement ça fait " clac clac clac clac ..." je suppose que de toute façon va falloire qu'elle se recharge un peu en roulant pour pouvoir redemarrer normalement mais j'espere que ma batterie n'est pas morte , je ne connais pas les symptômes d'une batterie morte voila

Ou comment se persuader que 10kms de rocade c'est génial

c'bien trop long à lire !  

Demain, on te file le budget de passer à la street, j'aimerais bien te voir redire tout ça.

Tu as essayé de la vendre pourtant  
Sinon tout pareil

Oui, je le redirai Je veux pas quitter ma kawette

Vous savez quoi ?
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Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
J'enfile mon casque, respire son premier souffle. Ces odeurs que j’ai respirées des heures durant, font apparaitre à nouveau à la surface les vestiges de milliers de kilomètres parcourus à son bord avec le plus grand bonheur.
Mes gants sont ajustés, je la chevauche.
Immédiatement mon corps se sent comme complété. Elle et moi avons finalement passé plusieurs centaines d’heures unis, chaque centimètre est un repère, chaque degré d’inclinaison des jambes, des bras, de la tête est automatisé. Nous nous connaissons comme un vieux couple désormais.
J’inspire une dernière fois et pars en trombe, comme chaque matin. Je ne la brusque pas, pas encore, car elle est farouche et n’acceptera pas de galoper sans avoir été concilliemment emmenée à un rythme effréné.
Les premiers bouchons se passent, elle me rappelle comme elle sait se faufiler telle une couleuvre, partout, agile comme une gazelle sur les terres-pleins, les trottoirs. Rien ne nous arrêtera, nous sommes unis, et coupés du monde, de ses contraintes.
Son bâillement terminé, je lui demande de me faire plaisir, et sollicite son agilité immédiatement. Ses fers en souffriront, mais ce n’est pas grave, j’en trouverai d’autres rapidement. Nous partons elle et moi dans un galop endiablé, faisant fi du marasme commun qui nous entoure, de cette léthargie matinale, de cet encroutement populaire.
Je l’emmène en douceur, mais fermement, elle me parle. Chaque mouvement de son train avant et arrière me parle, je comprends son langage, connais chacune de ses nuances, et savoure notre discussion.
Ses entrailles rugissent, hurlent, elle se cabre, crisse et stoppe net. Nous attendons, elle et moi, au feu. Mon cœur bat, le sien résonne sous mes jambes, nous attendons.
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

Fake
Tu luis as déjà dit aurevoir en vérité, t'as juste pas l'argent/le cran de changer
(perso, j'ai vendu le CB quand j'étais arrivé à cet état d'esprit, car le contre coup, c'est que t'as fait le tour de la machine...)

Re
Ça fait longtemps, pas trop trop le temps de suivre les conversations, donc je passe juste faire la bise à mocouille et lui souhaiter bon courage (je viens d'apprendre pour sa chute).
Salut les gayz

Combien de temps immobilisé ?
et le bi xénon c'est "normal ", il faut des watts au moment de l'allumage, ta batterie étant raide, elle ne peut combler ce besoin. Essaye de rouler correctement 20 à 30 km pour voir ensuite si ça se rallume, mais le mieux c'est de foutre ta batterie sur un chargeur batterie dédié moto, tu évitera d'abimer ton circuit de charge de la batterie.

 
On dirait un des pavé de charly mais en moins bien  

Vous savez quoi ?
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Les jours passent, se ressemblent, les kilomètres défilent, la nouveauté s'étiole, mais pas elle.
Chaque matin, son premier grondement soulève le coin de mes lèvres. L'entendre grogner lors de son réveil, dans un bruit sourd et rauque me fait du bien.
 
blabla
 
Chaque seconde est un repis, je regarde au loin, dans le vide, guettant du coin de l’œil que notre vie reparte.
Notre moment se termine lorsque le lieu redevient réalité, travail, quotidien. Je la range, la désarçonne, la regarde, souris. Grace à elle, je marche seul le long de ce parking, seul, pour travailler, heureux, chaque matin.
Transformer le pire moment de la journée en un bonheur indescriptible quotidien, c’est ce qu’elle m’offre tous les jours depuis un an et demi.
Je l’aime.
 

 
Il claque toute sa thune en essence, forcement il a plus rien pour changer de bécane

C'est faux, il lui reste de quoi faire frotter ses gants sur le bitume à candie pour les changer tous les 2 mois.

Fake
Tu luis as déjà dit aurevoir en vérité, t'as juste pas l'argent/le cran de changer
(perso, j'ai vendu le CB quand j'étais arrivé à cet état d'esprit, car le contre coup, c'est que t'as fait le tour de la machine...)

immobilisée depuis octobre dernier à peu près  

batterie morte à 90% des cas.
Tu l'aurais démonter de la moto et laisser au chaud, elle aurait beaucoup mieux survécu je pense