Benzoni, c'est du roman à l'eau de rose en costumes plus ou moins d'époque. Un mashup Guillaume Musso/Stéphane Bern. 86 livres en un peu plus de 50 ans. J'ai rien contre, chacun son truc, mais pour te vendre ça comme du super roman historique il faut vraiment ne pas te connaître du tout.

Au taf, on sait que j'aime lire. Du coup un collègue m'a filé un livre qu'il a adoré. Je le lis parce que je trouve que c'est gentil de sa part et je me vois mal lui rendre sans le lire. En plus, je n'aime pas mentir.  
Putain, je souffre  
C'est "La formule de dieu" de José Rodrigues dos Santos.  
Un "Da Vinci Code" bis mais en moins bien (je l'ai lu à 15 ans Je n'ai pas un mauvais souvenir du truc même si maintenant lire du Dan Brown ne me tente plus du tout).  
 
Alors je m'en fous, je spoile peut-être.  
Le personnage est con. Dans le sens complètement idiot. Il est docteur en histoire, cryptologue et tout. Je ne sais pas, je me suis figurée que le mec pouvait être assez intelligent. Ah ah  
C'est le genre de gars qui va faire "aaah mais monsieur l'agent de la CIA, si je me fais choper par les iraniens dans leur ministère à voler un manuscrit pour vous, il y aura pire que la prison pour moi ? "  
"Monsieur le médecin, pourquoi mon papa a un cancer du poumon ? Oui, il fume. Pourquoi, ça joue sur l'apparition du cancer ?"  
 
C'est aussi un crève la dalle pas très subtil avec les femmes. 'fin quand je dis femme c'est avec une femme parce qu'à part la mère du personnage principal, il n'y a qu'une seule femme. Une physicienne trop belle, trop sexy, trop intelligente (ça, à côté du personnage principal, c'est facile ).  
Il y a beaucoup de dialogues avec des explications sur la physique, la métaphysique. Le niveau n'est pas ouf (je n'ai pas appris grand chose) et puis même pour ceux qui ont des difficultés, tout est répété de toute façon. Parfois il y a des analogies et des exemples pour que le lecteur et le personnage principal idiot comprennent bien mais bon, l'auteur ne s'emmerde pas trop et il se contente de prendre toujours les mêmes exemples : quand il faut parler d'une oeuvre littéraire (juste pour parler d'une oeuvre, le contenu n'est même pas évoqué), l'auteur parle forcément de "Guerre et Paix". Faut dire, on manque énormément d’œuvres littéraires dans le monde  
A un moment l'idiot et sa meuf (oui, forcément le personnage féminin sexy couche avec le héros ) vont voir un moine tibétain. Ce dernier ponctue (ou débute) chaque phrase par une citation zen. Il y a des dizaines de pages de dialogue avec ce mec. Je n'en pouvais plus  
 
 
Il me reste 150 pages. Je vais le finir quand même.  
Mais je ne vous conseille pas ce livre.

Au taf, on sait que j'aime lire. Du coup un collègue m'a filé un livre qu'il a adoré. Je le lis parce que je trouve que c'est gentil de sa part et je me vois mal lui rendre sans le lire. En plus, je n'aime pas mentir.  
Putain, je souffre  
C'est "La formule de dieu" de José Rodrigues dos Santos.  
Un "Da Vinci Code" bis mais en moins bien (je l'ai lu à 15 ans Je n'ai pas un mauvais souvenir du truc même si maintenant lire du Dan Brown ne me tente plus du tout).  
 
Alors je m'en fous, je spoile peut-être.  
Le personnage est con. Dans le sens complètement idiot. Il est docteur en histoire, cryptologue et tout. Je ne sais pas, je me suis figurée que le mec pouvait être assez intelligent. Ah ah  
C'est le genre de gars qui va faire "aaah mais monsieur l'agent de la CIA, si je me fais choper par les iraniens dans leur ministère à voler un manuscrit pour vous, il y aura pire que la prison pour moi ? "  
"Monsieur le médecin, pourquoi mon papa a un cancer du poumon ? Oui, il fume. Pourquoi, ça joue sur l'apparition du cancer ?"  
 
C'est aussi un crève la dalle pas très subtil avec les femmes. 'fin quand je dis femme c'est avec une femme parce qu'à part la mère du personnage principal, il n'y a qu'une seule femme. Une physicienne trop belle, trop sexy, trop intelligente (ça, à côté du personnage principal, c'est facile ).  
Il y a beaucoup de dialogues avec des explications sur la physique, la métaphysique. Le niveau n'est pas ouf (je n'ai pas appris grand chose) et puis même pour ceux qui ont des difficultés, tout est répété de toute façon. Parfois il y a des analogies et des exemples pour que le lecteur et le personnage principal idiot comprennent bien mais bon, l'auteur ne s'emmerde pas trop et il se contente de prendre toujours les mêmes exemples : quand il faut parler d'une oeuvre littéraire (juste pour parler d'une oeuvre, le contenu n'est même pas évoqué), l'auteur parle forcément de "Guerre et Paix". Faut dire, on manque énormément d’œuvres littéraires dans le monde  
A un moment l'idiot et sa meuf (oui, forcément le personnage féminin sexy couche avec le héros ) vont voir un moine tibétain. Ce dernier ponctue (ou débute) chaque phrase par une citation zen. Il y a des dizaines de pages de dialogue avec ce mec. Je n'en pouvais plus  
 
 
Il me reste 150 pages. Je vais le finir quand même.  
Mais je ne vous conseille pas ce livre.

Salut.  
Et enfin Ex-appeal de Zoë Barnes.
Alors là, alors, là, la cerise, le pinacle, le climax du mauvais.
Dans mon panthéon des livres les plus nuls que j'ai lus dans ma vie. Bon, y en a pas tant que ça, c'est vrai, mais panthéon malgré tout. Au même niveau qu'un jeune homme superflu.
Bon, ça m'apprendra à lire de la chick lit', mais quand même, c'pas une raison pour ne même pas essayer de faire un peu bien. Je l'ai vu au hasard à un demi franc à Gibert, j'me suis dit pourquoi pas. On m'y reprendra pas.  
Pour la défense du livre j'ai lu une traduction, peut-être que la magie de la version originale s'est perdue en route, mais ça n'explique pas le rythme, la longueur, l'histoire ahurissante.
À chaque dialogue on a vraiment l'impression de lire un échange de private jokes sur le topic nigauds. Et j'exagère même pas. Cette purge du diable vauvert. C'est presque criminel d'écrire des saucisses pareilles, ça l'est d'autant plus de les publier.  
J'étais outré de A à Z, putain.  
Ah oui, j'oubliais, l'histoire c'est une bobo anarchiste qui retrouve l'amour de ses quatorze, quinze ans plus tard. Bien sûr il est marié à la toute nouvelle comptable de l'héroïne ( ) et il a trois enfants... à qui elle donnait justement des cours de cuisine ( ) depuis une semaine à tout péter.
Et l'héroïne a une sidekick, qui est présentée surtout comme ayant des seins énormes. Et la tévéri je mens pas en disant que toute les quarante pages, il est fait mention de ses bewbs. Pour certains c'est le sépulcre, pour d'autres c'est les gros seins, chacun ses marottes. Tout tourne autour, dès qu'un homme apparaît il est absorbé par eux comme dans un boulard de base.
D'ailleurs tous les hommes sont soit des enculés soit des débiles soit les deux.
On dirait que l'auteur a jamais rencontré d'êtres humains de sa vie et qu'elle écrit n'importe comment un enchaînement de scènes tout droit sorties de son cul, c'est nul, putain, c'est nul.  
Voilà, fallait que ça sorte.
Autodafé / 20.

Y'a aussi le Codex 632 avec Christophe Colomb. Il est encore pire !

Il y a des tirades d explications parfois sur plus de 10 pages... J'ai quand meme reussi a lire tout les dos santos sauf Furie Divine car pas encore trouvé...

Perso, je suis dans Cheasapeake, une fresque (saga) de la colonisation américaine à travers 4 siècles (enfin, perso j'en suis à 2 siècles) écrite par Michener, qui a donné aussi Colorado, un  feuilleton que j'avais vu (par hasard) quand j'étais jeune   et que j'avais adoré et qui était fait sur le même moule : en gros on suit 3 familles principales au fur et à mesure des évènements historiques réels qui se sont passés. C'est bien écrit puisqu'on ne s'y ennuie pas, que c'est assez fouillé (c'est pas non plus un livre d'histoire !), que les héros ne sont pas toujours héroïques, loin s'en faut. bref, une bonne lecture (mais 1200 pages quand même^^).

Au taf, on sait que j'aime lire. Du coup un collègue m'a filé un livre qu'il a adoré. Je le lis parce que je trouve que c'est gentil de sa part et je me vois mal lui rendre sans le lire. En plus, je n'aime pas mentir.  
Putain, je souffre  
C'est "La formule de dieu" de José Rodrigues dos Santos.  
Un "Da Vinci Code" bis mais en moins bien (je l'ai lu à 15 ans Je n'ai pas un mauvais souvenir du truc même si maintenant lire du Dan Brown ne me tente plus du tout).  
 
Alors je m'en fous, je spoile peut-être.  
Le personnage est con. Dans le sens complètement idiot. Il est docteur en histoire, cryptologue et tout. Je ne sais pas, je me suis figurée que le mec pouvait être assez intelligent. Ah ah  
C'est le genre de gars qui va faire "aaah mais monsieur l'agent de la CIA, si je me fais choper par les iraniens dans leur ministère à voler un manuscrit pour vous, il y aura pire que la prison pour moi ? "  
"Monsieur le médecin, pourquoi mon papa a un cancer du poumon ? Oui, il fume. Pourquoi, ça joue sur l'apparition du cancer ?"  
 
C'est aussi un crève la dalle pas très subtil avec les femmes. 'fin quand je dis femme c'est avec une femme parce qu'à part la mère du personnage principal, il n'y a qu'une seule femme. Une physicienne trop belle, trop sexy, trop intelligente (ça, à côté du personnage principal, c'est facile ).  
Il y a beaucoup de dialogues avec des explications sur la physique, la métaphysique. Le niveau n'est pas ouf (je n'ai pas appris grand chose) et puis même pour ceux qui ont des difficultés, tout est répété de toute façon. Parfois il y a des analogies et des exemples pour que le lecteur et le personnage principal idiot comprennent bien mais bon, l'auteur ne s'emmerde pas trop et il se contente de prendre toujours les mêmes exemples : quand il faut parler d'une oeuvre littéraire (juste pour parler d'une oeuvre, le contenu n'est même pas évoqué), l'auteur parle forcément de "Guerre et Paix". Faut dire, on manque énormément d’œuvres littéraires dans le monde  
A un moment l'idiot et sa meuf (oui, forcément le personnage féminin sexy couche avec le héros ) vont voir un moine tibétain. Ce dernier ponctue (ou débute) chaque phrase par une citation zen. Il y a des dizaines de pages de dialogue avec ce mec. Je n'en pouvais plus  
 
 
Il me reste 150 pages. Je vais le finir quand même.  
Mais je ne vous conseille pas ce livre.

Etant un grand fan de Stephen King, je lis actuellement Sleeping Beauties... comment dire... je ne retrouve plus vraiment l'âme de King.
 
Il est vrai que c'est écrit avec son fils mais voilà... je ne sais pas si je vais continuer...

Au taf, on sait que j'aime lire. Du coup un collègue m'a filé un livre qu'il a adoré. Je le lis parce que je trouve que c'est gentil de sa part et je me vois mal lui rendre sans le lire. En plus, je n'aime pas mentir.  
Putain, je souffre  
C'est "La formule de dieu" de José Rodrigues dos Santos.  
Un "Da Vinci Code" bis mais en moins bien (je l'ai lu à 15 ans Je n'ai pas un mauvais souvenir du truc même si maintenant lire du Dan Brown ne me tente plus du tout).  
 
Alors je m'en fous, je spoile peut-être.  
Le personnage est con. Dans le sens complètement idiot. Il est docteur en histoire, cryptologue et tout. Je ne sais pas, je me suis figurée que le mec pouvait être assez intelligent. Ah ah  
C'est le genre de gars qui va faire "aaah mais monsieur l'agent de la CIA, si je me fais choper par les iraniens dans leur ministère à voler un manuscrit pour vous, il y aura pire que la prison pour moi ? "  
"Monsieur le médecin, pourquoi mon papa a un cancer du poumon ? Oui, il fume. Pourquoi, ça joue sur l'apparition du cancer ?"  
 
C'est aussi un crève la dalle pas très subtil avec les femmes. 'fin quand je dis femme c'est avec une femme parce qu'à part la mère du personnage principal, il n'y a qu'une seule femme. Une physicienne trop belle, trop sexy, trop intelligente (ça, à côté du personnage principal, c'est facile ).  
Il y a beaucoup de dialogues avec des explications sur la physique, la métaphysique. Le niveau n'est pas ouf (je n'ai pas appris grand chose) et puis même pour ceux qui ont des difficultés, tout est répété de toute façon. Parfois il y a des analogies et des exemples pour que le lecteur et le personnage principal idiot comprennent bien mais bon, l'auteur ne s'emmerde pas trop et il se contente de prendre toujours les mêmes exemples : quand il faut parler d'une oeuvre littéraire (juste pour parler d'une oeuvre, le contenu n'est même pas évoqué), l'auteur parle forcément de "Guerre et Paix". Faut dire, on manque énormément d’œuvres littéraires dans le monde  
A un moment l'idiot et sa meuf (oui, forcément le personnage féminin sexy couche avec le héros ) vont voir un moine tibétain. Ce dernier ponctue (ou débute) chaque phrase par une citation zen. Il y a des dizaines de pages de dialogue avec ce mec. Je n'en pouvais plus  
 
 
Il me reste 150 pages. Je vais le finir quand même.  
Mais je ne vous conseille pas ce livre.

 
Il me reste encore tout les Stephen King a lire (j ai du en lire 2 ou 3 alors imagine ^^).  
 
Tu as du courage si tu arrive a arrêter de lire un livre. Personnellement, je n arrive pas a me faire a l’idée de ne pas savoir comment fini un livre.  
 
Du coup j'ai encore les fourmis de Bernard Werber a finir...

 
C'est le livre que tu vas présenter  

Je pense que je le présenterai pour une séance spéciale "Pire livre lu"

 
Il faudrait qu'on fasse ça, mais j'ai plusieurs concurrents possibles qui me viennent à l'esprit en même temps et que je ne saurais pas départager

Il faut que tu les relises alors, pour faire un classement précis.  

 
Pitié  
 
Il y en a un, je m'en souviens, j'ai traîné traîné traîné, je ne voulais pas abandonner, et j'ai fini par lâcher 30 pages avant la fin du pavé parce que je n'en pouvais plus

Il me reste encore tout les Stephen King a lire (j ai du en lire 2 ou 3 alors imagine ^^).

Tu as du courage si tu arrive a arrêter de lire un livre. Personnellement, je n arrive pas a me faire a l’idée de ne pas savoir comment fini un livre.

Du coup j'ai encore les fourmis de Bernard Werber a finir...

Franchement, tu peux t'abstenir, le bouquin est déjà mauvais en soi mais la fin est une grande fumisterie. Je n'ai jamais compris le succès de cet auteur, peut-être parce que je l'ai découvert sur le tard mais franchement ça faisait des années que je n'avais jamais rien lu d'aussi mauvais. Même un Musso (ou Lévy, je ne fais pas la différence) m'avait semblé moins imbitable car moins prétentieux.
Et il y a tellement de bons livres à lire !

Au passage, le dernier qui m'a beaucoup plu : le Pavillon des cancéreux de Soljenitsyne. En revanche, faut s'accrocher un moment, pour comprendre que prénom / Dr Machin / fils ou fille de / diminutif (en alternant les appellations sinon c'est trop easy ) est une seule et même personne

Je pense que je le présenterai pour une séance spéciale "Pire livre lu"

En one shoot comme ça, ça tomberait surement sur Dreamcatcher pour moi. Et si on me posait la question pour le cinéma. Bah Dreamcatcher également

Sinon, je lis actuellement "Nathan le Sage" de Lessing.
Ça fait du bien de lire une œuvre de qualité  

pas nombreux à en parler la dernière fois, dommage.

Du coup, est-ce que je dois lire tous les bouquins de Grisham par ordre de parution ?
 
Ou seulement les best-sellers ?

 
Comme pour tous les auteurs de romans, l'ordre de lecture ne me semble pas avoir d'importance à moins bien sûr que les romans ne soient dépendants les uns des autres d'une manière ou d'une autre. Exemples : la trilogie "Millenium" de Stieg Larsson, où tu ne comprendras pas grand chose (si je me souviens bien) au tome 3 sans avoir lu le début de l'histoire dans les tomes 1 et 2. Parfois ce n'est pas aussi clair, par exemple pour les Rougon-Macquart qui sont me semble-t-il parus dans l'ordre chronologique des événements relatés, mais qui peuvent largement se lire dans le désordre.
 
Quant à ne lire que les "best-sellers" d'un auteur, à toi de voir    Parfois les œuvres les mieux vendues sont aussi celles que je préfère, parfois j'aime tellement ce qu'écrit l'auteur que je lis tout ce qu'il écrit, parfois le public sot et ignare achète en masse un roman tandis que boulgakov sait que tel autre œuvre délaissée du même auteur est bien supérieure    

Lis les livres dont le spitch te tente...

 
Comme pour tous les auteurs de romans, l'ordre de lecture ne me semble pas avoir d'importance à moins bien sûr que les romans ne soient dépendants les uns des autres d'une manière ou d'une autre. Exemples : la trilogie "Millenium" de Stieg Larsson, où tu ne comprendras pas grand chose (si je me souviens bien) au tome 3 sans avoir lu le début de l'histoire dans les tomes 1 et 2. Parfois ce n'est pas aussi clair, par exemple pour les Rougon-Macquart qui sont me semble-t-il parus dans l'ordre chronologique des événements relatés, mais qui peuvent largement se lire dans le désordre.
 
Quant à ne lire que les "best-sellers" d'un auteur, à toi de voir    Parfois les œuvres les mieux vendues sont aussi celles que je préfère, parfois j'aime tellement ce qu'écrit l'auteur que je lis tout ce qu'il écrit, parfois le public sot et ignare achète en masse un roman tandis que boulgakov sait que tel autre œuvre délaissée du même auteur est bien supérieure    

C'est vrai pour les Rougon-Macquart, mais à mon avis il faut quand même lire La Fortune des Rougon en premier.

 
Alors... je pense que beaucoup de gens lisent leur premier Rougon-Macquart au collège. C'est difficile d'avoir le réflexe salutaire de vite lire La Fortune des Rougon avant de t'attaquer au Germinal que le prof de français de 4ème vient de t'envoyer dans les dents. Et du coup, c'est râpé pour toute ta vie, tu n'auras pas lu le bon en premier