Ma mère déménage bientôt du coup je fais du tri dans mes vieux bouquins, si y'a des parisiens qui sont intéressés par certains trucs dites-moi je vous les file
http://i.imgur.com/UG9PbGi.jpg
y'a le seigneur des anneaux, les premiers got et d'autre fantasy, un peu de sf, des policiers et d'autres machins

Ma mère déménage bientôt du coup je fais du tri dans mes vieux bouquins, si y'a des parisiens qui sont intéressés par certains trucs dites-moi je vous les file
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y'a le seigneur des anneaux, les premiers got et d'autre fantasy, un peu de sf, des policiers et d'autres machins

Terminé Les naufragés des Auckland. L'auteur raconte son naufrage et les vingt mois qui ont suivi sur les îles Auckland, autour de 1860. Pour les amateurs du genre c'est passionnant.
C'est assez différent de Robinson Crusoé sur deux points : 1. ils sont cinq et 2. à côté des Auckland l'île de Cruosé est un paradis.
Comme d'hab je déconseille la lecture de la préface (même si c'est Simon Leys, quel intérêt franchement ) ; la fin du bouquin ajoute quelques anecdotes intéressantes

Je recommande, bien sûr.

Ma mère déménage bientôt du coup je fais du tri dans mes vieux bouquins, si y'a des parisiens qui sont intéressés par certains trucs dites-moi je vous les file
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y'a le seigneur des anneaux, les premiers got et d'autre fantasy, un peu de sf, des policiers et d'autres machins

C'est Robert van Gulik à l'avant-dernière ligne non ? Je ne me rappelle plus ce roman en particulier mais j'ai un très bon souvenir des enquêtes du juge Ti en règle générale.

Edit : Butor, herk

Edit bis : Ivanhoe dans cette édition jeunesse là, c'est un texte intégral ?

 
Edit : Butor, herk  ?

Le seul qui mérite d'être sauvé  

 
Ptain j'hésitais à dire à Deouss de me le filer pour que je le brûle moi-même mais c'est trop de boulot
 
Je serais potentiellement intéressée par un package Scott + Hayder + Van Gulik + Brussolo mais j'ai pas envie de faire chier Deouss (si on est 12 à lui prendre 2 bouquins ça va le rendre fou ).

Lu Une journée d'Ivan Denissovitch.
C'est assez horrible de penser après lecture de Primo Levy que le goulag c'est limite tranquille en fait   (j'ai bien dit limite )

La Horde du Contrevent.
... La douche très très glacée. Façon septième forme du vent.  
Déjà je commence par ce qui m'a plu. J'ai tout plein d'affection pour les mecs qui se créent leur univers de A à Z et qui restent fidèles à leur idée vaille que vaille jusqu'au bout, quitte à baser toute leur œuvre sur une une gimmick - ici le vent qui est à l'origine de tout.
Cela étant dit. J'ai pas aimé tout le reste.
Le livre suit un groupe de contreurs, sorte d'explorateurs formés à la dure dont le but est de savoir ce qui se trame tout là bas à l'extrême amont, là d'où vient le vent qui souffle en permanence sur le Monde.
La narration se fait sous forme d'un carnet de route, carnet que rempliront un peu chacun des personnages au fur et à mesure de l'histoire. Enfin, chacun, non. L'histoire commence à vingt et un ou vingt trois contreurs et majoritairement un groupe de trois voire quatre personnages phagocytent la narration. C'est dommage que trois de ces personnages soient les plus chiants et irritants de l'histoire. Le prénommé Sov remplit facilement 70% du carnet (bon, c'est son boulot, certes) et j'ai pas supporté son ton enfantin, sa naïveté, ses pleurnicheries permanentes, sa nigauderie d'ado de douze ans. Oroshi, Caracole, Golgoth pour le reste des persos insupportables. Sans compter les personnages féminins qui ne servent à rien - à part niquer et être objets de convoitise, évidemment.
 
La narration mise de côté beaucoup de personnages qui auraient pu ajouter à l'histoire, l'accent aurait pu être mis sur les relations entre les personnages, sur le background, mais c'est assez superficiel en fin de compte, c'est vraiment dommage. Facilement dix sept des persos sont laissés de côté, on ne sait jamais ce qu'ils pensent, ils sont résumés à une caricature, à une seule caractéristique qui guide toute leur personnalité et leur psyché si j'puis dire. Ç'aurait pu être sympa, des gens qui voyagent ensemble depuis des dizaines d'années, de voir comment les choses évoluent et tout. Là tout ce qui est dit c'est que x a niqué avec y et avec z et... c'est tout.
 
Tout au long du livre l'écriture alterne le médiocre décevant et le franchement n'importe quoi voire foutage de gueule. Entre les persos qui retiennent des informations primordiales et qui les balancent à la toute fin, des choses absolument ahurissantes qui ne font s'élever aucune question d'absolument personne, les trous dans l'scénar gros comme cul...
L'auteur se repose sur son univers mais n'approfondit pas vraiment ses personnages. Certains persos - qui replissent littéralement le fameux rôle du magical nigger - viennent et s'en vont en un battement de cils. J'avoue avoir été choqué quand au moment où une grosse révélation doit être faite sur un personnage on a en fait droit à... une ellipse. Sans explication d'une quelconque nature jusqu'à c'que ce soit expédié à la toute fin.
 
Pour être de bonne foi, j'me rends compte que j'ai laissé de côté une autre caractéristique qui m'a plu dans le livre, c'est qu'il y a des moments de tensions assez sympathiques, le jeu des flambeaux, le premier furvent, la rencontre avec le Corroyeur, c'est pas mal. C'est tout, mais ce sont des moments sympas. Ah non, y a un autre truc rigolo, enfin au début, c'était de mémoriser les symboles représentant les personnages dans le carnet, en début de chaque paragraphe. C'est rigolo, ça, héhé. Bon, c'est rigolo deux secondes parce que c'est toujours les mêmes symboles qui reviennent, en fait.
 
Voilà, voilà. Un énorme gâchis. C'est con j'étais parti en étant persuadé de passer un bon moment. Je cherche encore le pourquoi du comment de 95% de l'histoire mais en vrai je vais arrêter. D'ordinaire quand je finis une œuvre au lore étoffé je me précipite pour approfondir et essayer de savoir ce que les gens en pensent mais là je veux juste oublier.  

Et pour le plaisir des yeux, car je sais qu'il y a des esthètes des couvertures parmi nous :

http://reho.st/www.gallimard-jeune [...] _244x0.jpg http://reho.st/www.gallimard-jeune [...] _244x0.jpg

Le premier est vraiment bien et intéressant, le second nettement moins et le dernier que je viens de lire ce week-end hautement dispensable, ça part dans tous les sens, aucune tenue de l'intrigue et un final n'importe nawak..

1200 pages en une seule journée???!!!
 

Je l'ai lu en liseuse, je lis plus vite en liseuse et c'est assez prenant. En plus c'était ça ou faire un truc nu avec ma copine.

résumé parfait. Je n'ai pas réussi a le finir, je n'arrive pas a comprendre la hype autour de ce bouquin.

Y aune hype, mais il y a autant de gens qui adorent que de gens qui détestent (vu sur le topic SF).

Y aune hype, mais il y a autant de gens qui adorent que de gens qui détestent (vu sur le topic SF).
Donc, on peut dire que les goûts, les couleurs, toussa...
 
(perso, j'ai beaucoup apprécié les différents moments très différents (mais je l'ai lu il y a bien longtemps maintenant (10 ans ?)) notamment celui de la joute verbale que j'ai trouvé magnifique.

L'univers, le travail sur le vent, le voyage de la troupe, certains moments. Après il y a des problèmes de narration mais dans l'ensemble s'pas mal  

Qu'est ce que je déteste cette expression... T'as compté ? Moi je le trouve très bien mais j’adore pas par exemple.

La Horde du Contrevent.
... La douche très très glacée. Façon septième forme du vent.  
Déjà je commence par ce qui m'a plu. J'ai tout plein d'affection pour les mecs qui se créent leur univers de A à Z et qui restent fidèles à leur idée vaille que vaille jusqu'au bout, quitte à baser toute leur œuvre sur une une gimmick - ici le vent qui est à l'origine de tout.
Cela étant dit. J'ai pas aimé tout le reste.
Le livre suit un groupe de contreurs, sorte d'explorateurs formés à la dure dont le but est de savoir ce qui se trame tout là bas à l'extrême amont, là d'où vient le vent qui souffle en permanence sur le Monde.
La narration se fait sous forme d'un carnet de route, carnet que rempliront un peu chacun des personnages au fur et à mesure de l'histoire. Enfin, chacun, non. L'histoire commence à vingt et un ou vingt trois contreurs et majoritairement un groupe de trois voire quatre personnages phagocytent la narration. C'est dommage que trois de ces personnages soient les plus chiants et irritants de l'histoire. Le prénommé Sov remplit facilement 70% du carnet (bon, c'est son boulot, certes) et j'ai pas supporté son ton enfantin, sa naïveté, ses pleurnicheries permanentes, sa nigauderie d'ado de douze ans. Oroshi, Caracole, Golgoth pour le reste des persos insupportables. Sans compter les personnages féminins qui ne servent à rien - à part niquer et être objets de convoitise, évidemment.
 
La narration mise de côté beaucoup de personnages qui auraient pu ajouter à l'histoire, l'accent aurait pu être mis sur les relations entre les personnages, sur le background, mais c'est assez superficiel en fin de compte, c'est vraiment dommage. Facilement dix sept des persos sont laissés de côté, on ne sait jamais ce qu'ils pensent, ils sont résumés à une caricature, à une seule caractéristique qui guide toute leur personnalité et leur psyché si j'puis dire. Ç'aurait pu être sympa, des gens qui voyagent ensemble depuis des dizaines d'années, de voir comment les choses évoluent et tout. Là tout ce qui est dit c'est que x a niqué avec y et avec z et... c'est tout.
 
Tout au long du livre l'écriture alterne le médiocre décevant et le franchement n'importe quoi voire foutage de gueule. Entre les persos qui retiennent des informations primordiales et qui les balancent à la toute fin, des choses absolument ahurissantes qui ne font s'élever aucune question d'absolument personne, les trous dans l'scénar gros comme cul...
L'auteur se repose sur son univers mais n'approfondit pas vraiment ses personnages. Certains persos - qui replissent littéralement le fameux rôle du magical nigger - viennent et s'en vont en un battement de cils. J'avoue avoir été choqué quand au moment où une grosse révélation doit être faite sur un personnage on a en fait droit à... une ellipse. Sans explication d'une quelconque nature jusqu'à c'que ce soit expédié à la toute fin.
 
Pour être de bonne foi, j'me rends compte que j'ai laissé de côté une autre caractéristique qui m'a plu dans le livre, c'est qu'il y a des moments de tensions assez sympathiques, le jeu des flambeaux, le premier furvent, la rencontre avec le Corroyeur, c'est pas mal. C'est tout, mais ce sont des moments sympas. Ah non, y a un autre truc rigolo, enfin au début, c'était de mémoriser les symboles représentant les personnages dans le carnet, en début de chaque paragraphe. C'est rigolo, ça, héhé. Bon, c'est rigolo deux secondes parce que c'est toujours les mêmes symboles qui reviennent, en fait.
 
Voilà, voilà. Un énorme gâchis. C'est con j'étais parti en étant persuadé de passer un bon moment. Je cherche encore le pourquoi du comment de 95% de l'histoire mais en vrai je vais arrêter. D'ordinaire quand je finis une œuvre au lore étoffé je me précipite pour approfondir et essayer de savoir ce que les gens en pensent mais là je veux juste oublier.  

tu as raison d'hésiter.
Ce bouquin est survendu.