Reprise du message précédent :

 
Excellent choix  

 
1400 pages en 2 jours?    

 
Au bonheur des ogres est un chef d'oeuvre  

Pour ma part je sors de la chatte de Colette
 

 
Pour passer un temps dans un vol de nuit.
 

 
 
Le tout entre deux Harry Potter (le 3 et le 4 en l'occurrence).
 

Je lis très vite en général, et la, je pouvais pas lâcher le bouquin.
A+,

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Simplement parce que quand "il n'y a plus de raison de manifester", il y en a encore :
 

je fais dans le lourd et classique: "mémoire d'outre tombe", episode ouane.

 
Malheureusement je vais pas pouvoir t'en dire grand-chose, j'ai lâché l'affaire au bout de 20 pages, principalement à cause du style.. en feuilletant vers la fin j'ai vu que c'était pareil donc j'ai abandonné    
Pas que ce soit mal fait, mais je n'aime pas ce genre d'écriture.

 
Ah ok.
Je suis curieux de ce que ça donne, une exilée qui ait abandonné sa langue pour écrire en allemand.
 
Il ya une Tchèque qui avait écrit en allemand des romans vraiment bien.
C'est Libuse Monikova.
Notemment "Pavane pour une infante defunte".
Ca raconte l'histoire d'une exilée en Allemagne, qui est enseihgnante en fac. Se sentant transparente, souffrat de l'absence de regard des autres, elle fait semblant d'être handicapée.  
 
C'est pas mal du tout, mais je ne sais pas si on peut le trouver ailleurs que dans les bibliothèques municipales.  

Bon j'ai fini Mémed le faucon, la suite de Mémed le Mince, ben j'le conseillerais pas à ceux qui ont aimé le 1er
 
Là je vais commencer "le maître et la marguerite" (ou ptetre relire l'écume des jours, on verra ça demain matin )

Du très lourd, d'ailleurs je vais bientôt me prendre le tome 2  

 
     
 
Mais si c'est Le Maître et Marguerite dont il est question, alors ^724

Je sais pas encore très bien lire on dirait Mais c'est celui-là que j'ai commencé du coup  

OK, ben ^724 alors. Ce roman est dans mon top 1

¨Pour un correcteur d'orthographe, c'est embêtant  

 
+1
Attention, chef d'oeuvre !!

 
Qu'est-ce que j'ai détesté...  

C'est mon préféré ! En même temps j'ai commencé par celui-là (je ne savais pas que c'était une série), c'est peut-être un peu pour ça ? Il y a eu en tout cas un effet de surprise assez énorme, qui naturellement était un peu atténué pour Au bonheur des ogres et La fée carabine...

 
Obligée de plussoyer, il est de ceux qui m'ont vraiment marquée aussi.

De la lecture d'un bouquin.
 
Voici une préface que j'adore.
 
Tout livre est le produit d’une collaboration entre l’écrivain et ses lecteurs. Se fiant à cette collaboration, l’écrivain suppose l’existence, dans l’esprit de ses lecteurs, d’une certaine somme de connaissances, d’une familiarité avec certains livres, de certaines habitudes de pensée, de sentiment et de langage. Sans les connaissances nécessaires, le lecteur se trouvera inapte à comprendre le sujet du livre (c’est le cas ordinaire chez les enfants). Sans les habitudes appropriées de langage et de pensée, sans la familiarité nécessaire avec une littérature classique, le lecteur ne percevra pas ce que j’appellerai les harmoniques de l’écriture. Car, ainsi qu’un son musical évoque tout un nuage d’harmoniques, de même la phrase littéraire s’avance au milieu de ses associations. Mais tandis que les harmoniques d’un son musical se produisent automatiquement et peuvent être entendus de tous, le halo d’assciations autour d’une phrase littéraire se forme selon la volonté de l’auteur et ne se laisse percevoir que par les lecteurs qui ont une culture appropriée.
 
Dans une traduction les tons seulement sont entendus, et non leurs harmoniques – non pas, en tout cas, les harmoniques de l’original ; car il va sans dire qu’un bon traducteur essaiera toujours de rendre cet original en des mots qui ont, pour le nouveau lecteur, des harmoniques équivalents.
 
Il y a pourtant certaines choses qu’aucun traducteur ne peut rendre, pour la bonne raison qu’il n’existe, entre lui et l’auteur de l’original d’un côté et les nouveaux lecteurs de l’autre, aucune base de collaboration. Certains passages de ce volume appartiennent à la catégorie des choses intraduisibles. Ils ne sont pleinement significatifs qu’à des lecteurs anglais ayant une longue familiarité avec les pièces de Shakespeare et qui sentent toute la force du contraste entre le langage de la poésie shakespearienne et celui de la prose anglaise moderne. Partout où ces passages se trouvent j’ai ajouté le texte de Shakespeare dans une note au bas de la page. Des notes dans un roman – pédantisme insupportable! Mais je ne vois pas d’autre manière d’appeler l’attention du lecteur français sur ce qui était, en anglais, un moyen littéraire puissant pour souligner le contraste entre les habitudes traditionnelles de penser et de sentir et celles de ce « monde possible » que j’ai voulu décrire.
 
Préface à l’édition française, Le meilleur des mondes, Aldous Huxley

 
C'est  très intéressant.
Effectivement, pas mal d'allusions à Shakespeare peuvent ne pas être comprises par un lecteur français. C'est d'ailleurs le cas dans pas mal de bouquins écrits en anglais, même si un lecteur cultivé peut identifier certaines choses (ou dans d'autres livres, les allusions à la Divine comédie, etc...)
 
Mais ca amène à s'interroger sur l'avenir des livres qui font exclusivement référence à leur époque, et qui utilisent le name dropping.
Que comprendra un lecteur français, dans 100 ans de La carte et le territoire  de Houellebecq ?
Ou un Americain d'American Psycho ?

En ce moment :
 

 
Ca apporte quoi de lire un truc pareil ?  

 
Je boucle Dracula de Bram Stoker  
 

 
Hyper prenant, persos charismatiques et attachants : une découverte, un bijou
 
Un avis sur la "suite" dont parle la couv?

Je termine ça  
 

 
 
Pas mal, certaines anecdotes font franchement rire ...
 
Je cherche un livre sur un road trip en Amérique ? Ou alors dans le monde, quelque chose a conseiller ?

C'est très marrant Bryson. Tu as lu Motel Blues ? C'est le journal d'un... road trip en Amérique. Il en a aussi fait un sur l'Australie, très sympa (mais un peu moins) : Nos voisins du dessous.

Oui c'est excellent Bryson, j'ai lu ses 3 bouquins en Payot. Je te conseille aussi Motel Blues.

 
Que les gens lisent ce qu'ils veulent, le plus important étant qu'ils lisent.  

je suis dans ma periode Hemingway en ce moment "paris est une fete", puis "en avoir ou pas"

 
tjs aussi plaisant, vite le T.3  

J'ai commencé
 
Lumière noire (Minette Walters)

 
Comme d'hab, Minette a le don de me plonger dans son univers avec une incroyable description de la psychologie de ses personnages.
 
Je l'ai découverte quand on m'a offert "La muselière"

 
J'ai eu un peu de mal au début car il y a beaucoup de personnages, secrets de familles, mais une fois les noms en tête, leur situations, c'est que du bonheur, impossible de décrocher

commencé "en avoir ou pas" d'Hemingway, très sympa, très bonne ambiance

Il a l'air bien oui, je pense que ce sera une de mes prochaines lectures, j'ai l'intégrale d'Hemingway en Pleiades

J'aime pas lire en collection pléiades, le papier est trop fin  

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

est-ce qu'il picole ?
Je trouve on dirait que.

vais pas tarder a commencer "en ligne", recueil de 40 ans d'article de journal d'Hemingway. Après j'enchaine sur "tropiques du cancer" de Miller.

 
Fini ce récit d'un journaliste italien assez célèbre car ultra-couillu, particulièrement poignant et révoltant...Du coup, bien envie de lire ses autres oeuvres
 

 
passionnant aussi, mais plus convenu