Merci à Floyder et à Ihsahn pour avoir rédigé les descriptions des albums.
Pink Floyd: groupe fondé en 1967 par Syd Barrett (guitare et voix), Roger Waters (basse), Rick Wright (claviers) et Nick Mason (batterie). Le nom du groupe fut trouvé par Syd Barett. Il est formé à partir des noms de deux bluesmen américains: Pink Anderson et Floyd Concil. Contrairement à la légende, "Pink Floyd" ne veut absolument pas dire "flamant rose".
NEWS:
12/06/2005
Le groupe se reforme le temps d'un concert caritatif au Hyde Park de Londres le 2 juillet 2005. Voir ce post.
DISCOGRAPHIE:
Piper at the Gates of Dawn (1967)
Premier 33T de Pink Floyd après quelques "singles". Album marqué du sceau de Syd Barrett qui fournit la majorité des compositions. On y aperçoit les deux visages du floyd de l'époque qui n'en forment qu'un, à l'image de la pochette de "Divison Bell": compo "pop psyché" et poétique de Barrett et impro totalement psyché (Interstellar Overdrive) reflettant les concerts de l'époque. Un album finalement unique qui n'aura de suite que sur les albums solo de Barrett.
A Saucerful of Secrets (1968)
David Gilmour, ami d'enfance de Barrett, vient le remplacer à la guitare. Syd Barrett vit en effet très mal le succès naissant des floyd, se droguant sans retenue. Sur scène il n'est plus que l'ombre de lui même, jouant quand il le veut, désaccordé, ne chantant pratiquement plus. Gilmour arrive tout d'abord pour l'épauler sur scène, afin de chanter et de jouer les parties de Syd, mais un jour le groupe "oublie" d'aller chercher Syd avant un concert et c'est la fin de l'aventure Pink Floyd pour lui (les membres du groupe, notament Gilmour, continueront toutefois à le soutenir en participant à ses albums solo). "A Saucerful of Secret" (asos) est donc un album charnière dans la carrière du floyd qui doit prouver qu'il mérite d'exister même sans son leader charismatique. On retrouve sur ce disque une seule compo de Barrett (jugband blues, accompagné d'une fanfare qui a pour consigne de jouer ce qu'elle veut...), plusieurs compo de Waters dont Set The Control For The Heart Of The Sun qui sera énormément jouée sur scène et un titre collectif: A Saucerful Of Secrets composé à partir de formes de dessins et qui bénéficie d'un final splendide. Au final ce disque ressemble un peu à un patchwork, mais est justement assez plaisant de par sa diversité.
Tonite Let's all make Love in London (1968)
BO d'un documentaire. Contient un inédit: Nick's Boogie
More - Original SoundTrack (1969)
Très bonne bande son, composée très rapidement et qui contient quelques titre phares du groupe à l'époque : Cymbaline et Green Is The Colour. Ce disque est donc une bonne surprise ou Waters commence à affirmer ses facilités de composition.
Ummagumma (1969)
Le groupe se cherche un peu et décide de faire un double album : un 33T live (le premier du groupe), composé de 4 titres représentatifs de leur concert et un 33T découpé en 4, avec 15 minutes accordées par membre. Le disque live est fait à partir de plusieurs sessions live, avec quelques ajouts studio (surtout pour les voix je pense... ). Le disque studio donne des résultats assez moyens. La partie de Rick est évidemment pleine de clavier (c'est sans doute lui qui s'en sort le mieux sur la totalité de sa partie), la partie de Nick est évidemment pleine de percu (ya même pratiquement que ça...), la partie de Gilmour, pleine de guitare (sans blague !) contient un très bon titre : The Narrow Way Part III qui sera joué en live (Gilmour joue de tous les instruments sur ce titre et écrit des paroles pour la première fois) et la partie de waters est pleine de .... heu... de collages et de mots. (Grantchester Meadow sera quand même joué sur scène, à deux guitares acoustiques). L'écoute complète de ce disque peut être parfois éprouvante .
Atom Heart Mother (1970)
Gros morceau pour les Floyd, ce disque est vraiment le signe d'une montée en puissance du groupe. La première face du 33T est occupée par le titre éponyme. On remarque sur les crédits de l'album la présence de Ron Geesin sur ce titre (avec qui Waters a travaillé sur la BO d'un documentaire : "The Body" ), qui est chargé d'en faire l'orchestration. Il n'y a pas de paroles sur ce titre, juste des choeurs chantant dans une langue abstraite. Comme tout morceau de prog qui se respecte, on passe par plusieurs phases et plusieurs tempos. Le thème principal est énergique et annonce un solo de slide de Gilmour de toute beauté. S'en suit une partie composée de choeurs montant lentement en puissance, puis une phase plus "funk" (si on peut dire...) avant le retour du thème de départ. Ce titre a été joué en live avant la sortie de l'album sans orchestre, dans sa forme originelle, Gilmour et Wright se chargeant de faire les choeurs à grand renfort d'echo (ils ont eu par la suite beaucoup de mal avec les orchestres sur leur tournée accompagnant la sortie d'"Atom Heart Mother" ). Les autres titres de l'album sont tout aussi intéressants. On y retrouve un titre composé par Gilmour, un par Waters et un par Wright, mais cette fois, contrairement à Ummagumma, les énergies sont mises en commun. If (Waters) est un titre calme, joué à l'acoustique par Waters. Fat Old Sun contient un très bon solo de Gilmour. Cette chanson sera jouée dans une version longue en live : plus de 15 minutes! Summer 68, le titre de Wright, utilise des cuivres et contient quelques cassures de rythme dans le plus pur style wrightien. Le dernier titre est une compo collective, très psyché, composé autour des bruits d'un petit déjeuner. Pourtant assez casse-gueule, Alan's Psychedelic Breakfast fut joué quelques rares fois en live (moins d'une dizaine). Le seul regret de ce disque est la production qui n'est pas toujours à la hauteur. Ils ont eu beaucoup de mal à enregistrer avec l'orchestre et parfois ça se sent et le son sur If est un peu sourd. Détails qui n'enlèvent absolument rien à la qualité de l'album.
Meddle (1971)
Un autre album indispensable. Suite logique d'Atom, mais dans un domaine plus "aérien", par opposition aux cuivres d'Atom qui rendent ce titre plutôt "terrestre" ( ). Echoes est le titre phare de l'album, s'étendant tout comme Atom heart Mother sur une face entière de 33T. Tout le groupe est ici mis à contribution: le principe de composition de ce titre est que chacun devait passer en studio et enregistrer quelque chose. Au final ils eurent plusieurs petits morceaux intitulés Nothing #1 à 36 (36 selon la police ou 24 selon les organisateurs, les chiffres divergent sur ce point...). D'ailleurs Echoes a été introduit quelques fois en live sous le titre Return Of The Sons Of Nothing. Bref, c'est un travail au final très collégial qui donne une place énorme à chaque membre du groupe. Echoes est vraiment un titre magistral, avec une ligne mélodique très travaillée, chantée à deux voix par Gilmour et Wright. On retrouve évidement les changements de rythme, les solos de Gilmour, la basse toujours plus ronde de Waters. Echoes a évolué dans le bon sens en live. D'abord il faut absolument écouter la version de Pompéi qui est l'une des meilleures (bien qu'elle soit coupée en deux). L'intro y est vraiment fabuleuse, tous les instruments se détachant parfaitement pour créer une ambiance. La version DVD de Pompéi permet aussi de voir quelques séances d'enregistrement des voix de Gilmour et Wright. Les paroles de ce titre ayant évolués tout au long de sa création, il n'est pas rare d'entendre sur des bootlegs Gilmour se tromper dans les paroles. Echoes a été joué en live pour la dernière au début de la tournée "Delicate Sound Of Thunder" dans une version beaucoup plus "carré". Gilmour ayant toujours beaucoup de mal avec les paroles, ce titre fut retiré de la set-list.
Echoes étant sur la face 2 de l'album, la face 1 s'ouvre sur One Of These Days. Titre très énergique, on peut y entendre une des meilleures prestations de Gilmour à la slide guitare. Gilmour joue d'ailleurs aussi une des basses que l'on entend sur l'album (la première, Waters jouant la deuxième qui entre un peu plus tard). Les trois autres chansons de la face 1 sont plus acoustiques. Waters a d'ailleurs regretté de ne pas avoir eu assez de temps pour mieux peaufiner cette première face, mais le disque est sorti en l'état sous les pressions de la maison de disques.
Relics (1971)
Compilation de divers titres et singles du floyd. Un des seuls intérêts de ce disque, outre la pochette, est la présence du titre Biding My Time, signé Waters. Ce morceau était joué en live depuis un bon moment (au moins 69) avec Wright au trombone. Il faisait parti d'une suite jouée en live nommée "The man" qui comprenait aussi Cymbaline et Grandchester Meadows.
Obscured by Clouds Original SoundTrack (1972)
BO du film "La Vallée". Album enregistré assez rapidement et composé de titres un peu "faciles". Le floyd n'y force pas vraiment son talent (avis personnel qui n'engage que moi). Il sort avant Dark Side Of The Moon, alors qu'il a été composé après la pré-version de Dark Side qui tournait déjà en live depuis janvier 72.
The Dark Side Of the Moon (1973)
L'album qui les inscrira dans la posterité, album de tous les records. C'est en effet le 3e album le plus vendu de l'histoire de la musique sur galette! Leur dernier album joué intégralement en live avant son enregistrement. Par la suite, cette methode sera délaissée a cause de l'arrivée des enregistremens pirates. Pink Floyd exprime ici sa premiere vue de la société, a la façon simpliste d'un adolescent plein d'espérences. C'est aussi l'arrivée du séquenceur en studio, qui permet le fameux rythme de "on the run". Mixé sur une table 24 pistes, c'est autant une prouesse technique pour l'époque qu'une prouesse artistique, exploitant plus de parties enchevetrées que jamais. Le tube eternel qu'est Money est le seul tube a exploiter une mesure de 7/4, rythmique singuliere pour hit planétaire! Du fabuleux The Great Gig in the Sky au magistral Us and Them, cet album est sûrement le plus accessible, sans pour autant être moins riche et recherché.
A voir:
- Le DVD de rétrospection de Dark Side of the Moon, où l'on redécouvre l'album.
- Le director's cut du Live at Pompeï, contenant plusieurs films de session studio de l'enregistrement de Dark Side of the Moon.
Wish You Were Here (1975)
Le fameux album protégé par un cellophane noir, que certains fans ont précieusement conservé. Un album dédié a Syd Barrett, génie de la génèse du groupe. L'ouverture et la fermeture sont des plus somptueuses compositions qui soient, englobant 3 chansons très differentes, de l'electronique Welcome to the Machine, a l'entraînant Have a Cigar, et enfin le somptueux Wish you Were Here, joyaux du rock pour tout mélomane qui se respecte.
Note: l'album étant dédié à Syd Barett, la coïncidence voudrait que ce dernier ait fait une brève apparition dans le studio a ce moment. Il aurait écouté les bandes et jugé la musique "vieillotte".
Animals (1977)
Pink Floyd change radicalement de couleur, passant au sombre et à l'inquiétant, et Waters exprime ici toute la folie de sa voix. Personellement, je dirais que c'est l'un de leur plus bel effort. Les raisons de ce changement? Probablement des preuves à faire. La vague punk naissante crache sans gène sur les vieux titans du rock (surtout le progressif, comme Genesis), et Sid Vicious, le futur légendaire leader des Sex Pistols, semble avoir une dent contre les ex-compagnons de Syd Barrett.
Cet album traite sombrement la société, classant en 3 catégories les gens... Les chiens capitalistes, bossant sans relâche dans l'esprit liberaliste du "chacun pour sa poire, que tous crèvent tant que je reste" (la sublissime chanson Dogs, jouée en live depuis 1974). Puis viennent les porcs des medias, des haut postes, ceux qui ont le pouvoir sur les autres (Pigs). Enfin, les moutons, le peuple naïf, fonçant vers l'abbatoir (Sheep, elle aussi jouée en live depuis 1974 sous le nom de Raving and Drooling).
Pink Floyd exprime dans cet album toute la décadence de l'industrialisation et du capitalisme des sociétés occidentales, avec une force et une rage épatante pour une musique très calme, et toujours planante.
Note: en session live apparaît en seconde guitare Snowy White. Il existe aussi une version complète de Pings on the Wing, ou les deux parties sont jointes par un solo de guitare, apparement de S. White , rare a trouver mais réellement interessante!
The Wall (1979)
LE double album, parfois décrié, souvent glorifié... L'album noir, contrairement a la couleur de la pochette... Concept de Roger Waters, devenu leader contestable, mais pourtant réel du groupe. La tournée d'Animals ne se passe pas aussi bien que prévu... les concerts en stade deviennent un veritable cauchemard pour le groupe qui se sent alors séparé du public bruyant, semblant meme ininteressé. Le trop-plein est attein lorsque Roger Waters crache sur un fan hysterique (et surement un peu défonçé) du premier rang.
The Wall pousse encore plus loin la noirçeur d'Animals, montrant tous les murs, les obstacles qui déshumanisent un individu au cours de son existence... Le héros fictif de notre histoire (assez inspirée de la vie du bassiste) passe donc par une jeunesse sans père (car mort a la guerre), une scolarité sous le joug autoritaire d'un prof cynique, une mère trop protectrice qui lui empeche "d'apprendre a voler" par ses propres ailes, un mariage raté... Il devient rockstar, jonglant entre drogues, groopies, acces de folie, adultère... Si bien qu'il se coupe mentalement et psychologiquement du monde (Le mur dans toute sa splendeur), avant de commencer un long processus de mort mentale, une overdose presque fatale... Et pour finir, la dégénérescence psychologique qui fera de lui une sorte de neonazi virulent. Le tout s'acheve par son procès.
Une musique plus "pop", plus "rock", plus simple, mais toujours athmospherique et planante, désesperement sombre et pessimiste, soutenue par l'orchestration de Michael Kamen (qui a travaillé par exemple avec Metallica, ou sur certaines BO) et le talent de compositeur du bassiste.
Notes:
- Alan Parker a dirigé l'adaptation cinématographique sortie en 1983, alors que le groupe était sur le point d'éclater.
- Aux claviers, Richard Wright quitte le groupe, harcelé par Waters, alors même qu'il divorce de sa femme (il serait d'ailleur devenu cocaïnomane pendant une courte periode par ce concours de circonstances). Il a assuré les sessions live en tant que simple salarié, privé deson micro d'ailleurs.
- Si The Wall ne s'était pas imposé comme concept (et sans la pression de la maison de disques, le compte de Pink Floyd étant alors dans le rouge), The Pros And Cons Of Hitchicking aurais probablement vu le jour a sa place (Roger Waters en fera un effort solo peu après avoir quitté le groupe, en 1983).
The Final Cut (1983)
Dernier album d'un Floyd, a vrai dire premier album solo de Waters. Quoi qu'on en dise, le Floyd est déja mort sur cet album... Poussant a l'extrème la noirçeur, devenant presque glauque et betonneux, Waters voit dans cet album l'achevement final du groupe.
A Requiem to the Postwar Dream, un sous-titre pourtant puissant ne laisssant pas douter sur le genie de parolier qui composa totalement l'album. Nick Mason est encore moins influent qu'a l'accoutumée (même s'il n'avait plus beacoup contribué a la composition depuis pas mal de temps), David Gilmour, meme s'il signe quelques solos, n'est pas très présent dessus artistiquement parlant.
Cela dit, Possible Pasts, Hero's Return, Fletcher Memorial Home et surtout Two suns in the Sunset sont des chansons tout a fait agreables a écouter. L'album en lui meme n'est pas absolument mauvais (et infiniment meilleur au 3/4 de ce que l'on peut trouver sur les ondes en ce moment même), mais on n'y retrouve plus du tout la marque "Pink Floyd", on ne ne voyage plus, on reste là, dans la noirçeur de textes inquietants et engagés (ce qui est rarissime pour ce groupe).
En somme, les fans de Waters l'adorent, ou l'aiment; tandis que les drogués du Floyd le trouvent sans grand interet. Il mérite tout de meme largement d'être écouté.
Guests:
- Andy Brown - hammond
- Ray Cooper - percussions
- Michael Kamen - piano, harmonium
- Andy Newmark - Batterie
A Momentary Lapse Of Reason (1987)
Pink Floyd n'est plus que deux membres officiels sur cet album de la renaissance. En effet, Seul Gilmour et Mason font partie du groupe, bien que Wright soit de retour au claviers et au chant. Si les compositions sont interessantes et agreables, il ne faut désormais plus compter sur le son seventies du groupe. Waters en moins, le groupe perd en textes et en forme, mais gagne en couleurs et en variété.
Mais l'experience est imparfaite, un son trop "pop" des '80, une manque cruel d'authenticité... Pour beacoup il s'agit d'un album solo de Gilmour, au meme titre que Final Cut l'était pour Waters. On accuse aussi cet album de n'être qu'un pied de nez a l'ex-bassiste, ou encore que tous les invités sur l'album nuisaient à la qualité du groupe. Les chefs de "descente" de l'album ne manquent pas, mais après tout, les solos lyriques et captivants d'un David Gilmour dominant toujours plus sa guitarre, la batterie si simple et efficace de Mason, les claviers si efficaces et souvent teintés de jazz ou de blues de Wright... tout les ingrdients sont la pour prendre plaisir a écouter cet album.
Guests:
- Jim Keltner - Batterie
- Carmine Appice - Batterie
- Steve Forman - percussions
- John Carin - claviers
- Bob Ezrin - claviers
- Pat Leonara - sythetiseurs
- Michael Landau - guitarre
- Tony Levin - Basse
- Bill Payne - hammond
- Tom Scott - Saxophone
- John Halliwell - Saxophone
- Scott Page - Saxophone
Delicate Sound Of Thunder (1988)
The Division Bell (1994)
Le dernier album, une consécration, un dernier souffle, l'achèvement...
Le retour officiel et actif de Rick Wright, qui signera Wearing the Inside Out. L'album propose une musique simple, très basée sur la dualité et la communication, blindé de messages plus ou moins secrets... David Gilmour prouve ici qu'il peut être très bon parolier, et produire avec ses accolytes un très bon album, malgré l'absence de Waters.
On note aussi le retour de sons plus "psychédéliques" des débuts, avec un murmure d'experimental (sur Poles Apart notemment). L'album se clos par une chanson parmis celles qui font frissonner et entrer en trance, High Hopes. Les paysages très spacieux évoqués par cet album en font un magnifique album d'évasion.
Pink Floyd n'est pas Mort avec cet album, il a avancé un pion de plus sur l'échiquier de l'immortalité.
Guests:
- Jon Carin - claviers
- Bob Ezrin - claviers
- Dick Parry - saxophones
- Guy Pratt - basse
- Tim Renwick - guitarre
- Gary Wallis - percussions
Pulse (1995)
Pink Floyd's
Ultimate
Light and
Sound
Experience
Enregistrements de la tournée 1995 de Pink Floyd, avec le retour surprennant notemment d'astronomy domine. Très bon live, tant au niveau son que niveau images (il porte bien son nom). Le show est dispo en casette video, et pour bientot (et depuis des années ) en DVD.
Is There Anybody Out There - The Wall Live (2000)
Un show magistral, reprise integrale de l'album The Wall, lors de sa tournée de 1980/1981.
Echoes: The Best of Pink Floyd (2001)
N'a d'interêt que pour une première approche du groupe, ou pour emmener avec soi en voiture, encore que...
QUELQUES LIENS:
Site officiel: http://www.pinkfloyd.com
Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pink_Floyd
Pink Floyd Hyperbase: http://pinkfloydhyperbase.dk
Pink Floyd & Co.: http://www.pinkfloyd-co.com
The Pink Floyd Fandom: http://www.pinkfloyd.net
Brain Damage: http://www.brain-damage.co.uk
Pink Floyd Online: http://www.pinkfloydonline.com
Pink Floyd Archives: http://ourworld.compuserve.com/homepages/PFArchives
All Pink Floyd Fan Network: http://www.pinkfloydfan.net
Etc, etc...
---------------
last.fm