Reprise du message précédent :

Je viens de relire le passage du coup  

C'pas faux !      
 
 

De Fuentes, tu as lu son La mort d'Artemio Cruz j'espère ainsi que Christophe et son œuf, sans oublier La plus limpide région, et Les années avec Laura Díaz.        
A+,

Bonjour vous.    
Assure toi de pas être déprimé avant de t'attaquer à Nuit hein. Ca remue un peu.

Oui, oui, oui et oui. Que du bon, effectivement !  

Fuentes fait partie de mes écrivains favoris. En revanche, je me suis aperçu qu'en fait j'étais très loin d'avoir tout lu de lui, contrairement à Cortázar dont il ne me reste plus (hormis certains opus posthumes) que les Autonautes de la cosmoroute à lire.  

Trop de ses œuvres restant à traduire en notre idiome hexagonal, la lecture de Cuerpos y Offrendas est une de mes rares tentatives de lire du castillan ultramarin dans le texte.
A+,

 
J'ai beaucoup de truc a lire avant de repartir dans du Hilsenrath, et je suis toujours d' humeur joyeuse de toute facon  

Ouaip, sans parler du fait que beaucoup de choses sont parues en blanche et toujours pas en folio...    

Oui, c'est assez mauvais, en effet.  
Mais bon, ça ne demande aucun effort et c'est assez absorbant. Idéal pour les TEC, plage, etc.

La Guerre et la Paix c'est le roman ultime et absolu. En tête de mon top 1 personnel.    

Le Comte de Monte Cristo, c'est très au-dessus du reste, ahma. Ne serait-ce qu'au niveau du style d'écriture.
 
D'ailleurs, le "Comte" et les Trois Mousquetaires (parus la même année) ont-ils vraiment le même auteur (on sait les mécanismes de production d'Alexandre Dumas)?

 
Attaque le, Rex.

J'avais vu une comparaison entre le brouillon (peut-être de Maquet) et la version de Dumas pour un passage des Trois Mousquetaires, et y avait pas photo.

 
Y peut pas, y s'est étouffé avec ton bouquin, là.

Je l'avais en deux tomes et je crois pas avoir terminé le un, je garde un souvenir douloureux de toutes ces réunions de salons où je n'étais pas invité. La douleur reste présente, le souvenir vague et l'histoire est restée dans le bide du cabot.

C'est marrant ça, je l'ai lu d'un bout presque à l'autre avec des étoiles dans les yeux

Sauf quand j'ai dû faire une pause pour faire mon deuil d'un des personnages parce que c'était trop dur, je pouvais pas y aller comme ça tout droit, il fallait que je digère un peu ma tristesse.

Sors de mon corps, tu n'arriveras pas, jamais.

Guère épais, dès le titre, on trompe le lecteur...
A+,

Elle est bonne

Elle est pas neuve

Ok je vais éviter les enchaînements graveleux et lourdingues mais la perche est belle quand même

Je suis d’accord avec Tillow, le côté journaliste de Zola m’agace. Trop de théorie et pas assez d’observations personnelles, d’obsessions personnelles pour faire de bons romans. Il écrit bien, quand même, je préfère son style à celui de Balzac, même si je trouve Balzac plus intéressant et plus sympathique.
 
Le meilleur du XIXe pour moi, c’est L’Education sentimentale, Le Rouge et le Noir et Bel-Ami.

Ouais Le rouge et le noir, sacrée claque à l'époque.

 
Je l'ai commencé dimanche, quelle écriture c'est exquis pourtant comme L'Éducation c'est vraiment pas le genre d'histoire qui m'intéresse à la base.
Je suis curieux de voir comment l'histoire va évoluer (et j'espère qu'il saura garder mon intérêt jusqu'au bout )

J'ai terminé le livre nous rêvions juste de liberté, c'était un livre incroyable. J'en remercie le membre qui l'avait préconisé ici. Un bijou.
 
Ça me donne envie de lire ses autres livres (à Loevenbruck).

Ah perso c'était plutôt dans la tronche des personnages que j'avais envie de la mettre, la claque

Est-ce que certains d'entre-vous ont lu la Horde du Contrevent de Damasio ?
 
Est-ce que vous auriez des conseils de lecture dans le même esprit (fantastique, 1 ou plusieurs personnages livrés à eux-même, monde post-apo,....) ?

Mais tu l’as lu à quel âge Tillow ?
Je demande parce qu’il me semble que quand on est jeune, on prend Stendhal beaucoup trop au 1er degré. Il y a une grande distance entre les personnages de Stendhal et le narrateur Stendhal. Beaucoup d’ironie. C’est le premier à mettre des claques à ses personnages.
Bon, d’un autre côté, je suis très cliente de l’ironie en littérature (j’aime pas les types trop sérieux et grandiloquents comme Hugo et Tolstoï) mais je comprends que tout le monde n’apprécie pas ce ton.

 
Wai, c'était genre l'un des meilleurs bouquins jamais
 
La zone du dehors du même auteur.
 
Mais bon je voue un fanatisme aveugle à l'auteur

 
Alors post-apo et perso seul au monde tu as Je suis une légende de Matheson. Tu as moins le souffle épique par contre.  

Avez vous quelques minutes pour parler d'Edgar Hilsenrath ?

Ça reste génial c'est tout ce qui compte.

Vous extrapolez un peu mon cher Blaska, l'amour vous aveugle  

Dans le même esprit que La horde du contrevent ?

Des qu'une médiathèque est de nouveau accessible, je le prend de ce pas très cher

 
Oui, moins épique mais néanmoins excellent !

 
Lecture faite au sortir de l'adolescence. La fameuse scène où il attrape la main de Mme de Rênal...  

Je l'ai lu je devais avoir 16 ou 17 ans mais j'étais déjà grosse lectrice à l'époque, ça m'étonnerait que je sois passée à côté.
D'ailleurs récemment je suis tombée sur le film avec Bouquet et Godrèche, je me suis dit que j'allais regarder pour voir si mon avis avait changé, ça m'a fait exactement le même effet, j'avais envie de donner des coups de pelle à Sorel et Rênal

Tiens, voilà du boudin, des infos déclassifiées de la pub Malabar sur Balzac !

 
W. H. Hodgson (1877 - 1918 )
La maison au bord du monde (1908)

 
Déjà lus. Mais merci quand même    
 

 
Je note. Merci