- Dans le square les arbres sont couchés. Dans le sens Nord-Ouest Sud-ouest, ce qui est surement dû à la violente tempête de la veille. Cette sacrée tempête, les enfants, a même rendu inopérante la plus belle antenne télé de Paris : La tour Eiffel. On l’a vu onduler sous les violentes bourrasques, puis plusieurs éclairs ont frappé le sommet et elle s’est éteinte d’un seul coup. Il y a même certaines personne qui disent avoir vu du métal couler le long de la tour, à cause des éclairs.

- Mais Papy, coupa le petit André, C’est impossible que la tour Eiffel elle fonde, elle est invincible.

- Tu sais mon petit, si je le dis, c’est que c’est vrai. Laisse-moi continuer. Donc les enfants, il y a des gens qui on vu la tour fondre sur elle-même, et …

- Dis Papy, demanda le petit Fabien, Comment que ça coulait le long de la tour ???

- Euh, et bien, comme quand tu regardes la tartiflette dans le four, avec le reblochon qui fond sur les patates. Et donc le métal qui a coulé le long de la  tour s’est versé au compte goutte sur un gendarme de la garde montée qui chevauchait ce magnifique étalon noir, comme celui que tu as pris en photo ma petite.

- Oooh non, pas le Chelav, j’aime bien les chelavs… répondit la petite Sophie.

- On dit un cheval, des chevaux ! reprit Papy. En ne t’inquiète pas, le cheval n’est pas mort. Le garde non plus d’ailleurs. Il était littéralement collé au cheval, les pompiers ont dû l’emmener chez le vétérinaire pour les dessouder. Ils ont eu tellement de mal qu’ils ont du appeler un métallurgiste. Or ce métallurgiste était un puissant sorcier vaudou contemporain, mégalomaniaque et amateur de mythologie grecque, et trouva que l’homme et le cheval allaient bien ensemble. Il décida donc non pas de les séparer, mais de les fusionner à jamais. Il lança alors l’incantation devant le vétérinaire et les deux pompiers sceptiques :

« Kikoo lol jé tro kifé la tanpet é la tour efel a fondu tro cool lol »

- Euh Papy, coupa Fabien, c’est pas une formule magique ça… Une formule magique ça devrait être un truc plus « Shazaaaam Kalaaaam, Abraocadabrus Cupressus Labitusdurbanis ».

- Oui, l’interrompit Papy, mais comme je disais, ce métallurgiste sorcier vaudou mégalomaniaque était surtout contemporain. Il vivait donc avec son temps et ses formules magiques aussi.

- AAAAaaaah, répondirent les 3 enfants.

- Et donc, à la fin de son incantation, la pièce s’assombrit, et le métal commença à se gondoler, et dans un fracas de bruits et de cris d’horreurs des spectateurs, l’homme, le métal et la bête ne firent plus qu’un. C’est ainsi que le premier centaure naquit. Et c’est ainsi que notre histoire commence.

- Oh purée, on est pas couché, répondit André.

- Ouais, avec Laurent Ruquier, ajouta Fabien, Et comme invité, Yuri Gagarine.

- Bon les enfants, vous vouliez une histoire non ? Alors laissez-moi finir.

- Oui Papy, répondirent les trois enfants.

- Comme c’était un centaure, il ne pouvait plus vivre parmi les humains. Les gens le regardaient de travers, et certains le traitait même de monstre. Alors blessé, le centaure s’en alla vivre dans la forêt.

- Quelle forêt Papy ? Le bois de Boulogne ?

- Non, la grande Forêt magique. On ne sait pas vraiment ou elle est, ni même comment y accéder, mais tout être imprégné de magie le sait, et peut s’y rendre en empruntant un des nombreux passages présents dans le monde. Les passages menant au monde de la forêt.

Les enfants ne dirent plus rien et leurs yeux semblèrent s’éveiller d’intéressement. Papy continua donc son histoire improvisée avec encore plus d’assurance et de charisme :

«  Et donc le centaure emprunta le premier passage qui s’offrait à lui, ne se sentant plus chez lui dans ce monde, malgré l'attachement qu'il y portait. Le passage était caché dans un mur d’immeuble. C’était une grande porte noire brillante, ornée de sculptures et de dorures d’arbres bizarres qu’on ne trouve pas sur terre. La porte était magnifique, mais la forme des arbres lui donnait un air triste et mélancolique. Elle vibrait et appelait notre centaure d’une voix stridente et mystérieuse : ‘’ Kentauroi, Keeeentauroi, Keeeeeentoroi’’. Le centaure s’approcha alors du passage et répondit :

- Pourquoi m’appelles-tu Kentauroi ? Mon nom c’est Gaston Bertrand. Et mon cheval s’appelle Slevin.

- Parce que dans l’auuuutre monde, Kentauroi est ton nooooom, Kentauuuuroi. Traveeeerse donc le passage et tu découvriraaaaas un mooonde fait pouuuur toi.

Intrigué, Gaston rétorqua :
- Est-ce qu’il va m’arriver quelque chose ? Je veux dire, ça va faire mal ?

- Noooon tu ne sentiras pratiquement rien, à paaaaart peut-être un frisson loooors de la traverséeeee du passaaaaage, Kentauroi.

- Et je pourrais revenir ?

- Tu n’en auras certainement pluuus enviiiie quand tu auraaas dééécouvert l’autre cotéééé.

- Bon, comment je passe ?

- Tiiire le crochet de la porte, et laisse toi porter vers l’auuutre monde.

Le  centaure tira alors ledit crochet, et fut enveloppé d’une lumière bleuâtre. Il se sentit aspiré vers la porte qui s’ouvrit alors, et découvrit un grand vide sombre dans lequel il se faisait happé. Il fut pris de panique et un étrange frisson parcourut tout son corps. Il commença à traverser la porte. Pris de panique son pouls s’accéléra et il se mit à hurler ce qu’il pensait.

- Je le savais, j’ai été trompé dès le début, les dés sont pipés. J’ai toujours eu la poisse. AAAAAAAH.

Gaston, ou Slevin, ou Kentauroi, s’évanouit en s’évanouissant dans les ténèbres.

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Gaston ouvra l’œil gauche, puis l’œil droit. Sa vue était encore un peu brouillée, la fatigue sans doute. Il avait fait un bien mauvais rêve, dans lequel la tour Eiffel lui avait fondu dessus, un pseudo sorcier l’avait transformé en mi-homme, mi-cheval en prononçant comme formule magique un SMS bizarroïde, et enfin où il s’était fait happé dans les ténèbres par une porte parlante qui l'appelait par un nom bizarre, nom qu'il n'arrivait plus à se souvenir. Il sortit de son lit, mit ses pantoufles, et se dirigea vers la salle de bain pour prendre une bonne douche bien chaude. Il ne fallait pas qu’il allume la lumière, cela lui aurait brulé les yeux et douillet comme il l’était, il préférait encore marcher dans la pénombre. Sur le chemin, il se cogna les deux genoux, un sur le pas de la porte de sa chambre, et un sur le pas de la porte de la salle de bain. Il regarda par la fenêtre floutée, il faisait encore sombre dehors. Il devait être tôt, mais après un tel cauchemar, Gaston avait besoin d’une douche, quelle que soit l’horaire. Il se déshabilla et regarda ses genoux qui lui faisaient mal. Deux gros hématomes étaient apparus. Il chercha de la pommade dans le placard de la salle de bain, mais n’en trouva pas. D’ailleurs il ne trouva rien dans les placards de sa salle de bain, puisqu’ils étaient vides.

‘’Pourquoi les placards seraient ils vides, je comprends pas’’ se dit Gaston. ‘’J’aurais vidé mes placards hier ??? C’est vrai que je voulais rapporter mes médicaments périmés à la pharmacie, mais bon la pommade, la mousse à raser,  j’allais pas rapporter ça quand même… Bon, on verra ça après ma douche’’

Il alla alors dans sa cabine de douche, prit le pommeau dans ses mains et alluma lentement le robinet, attendant que l’eau devienne chaude. Deux minutes et trente secondes passèrent mais l’eau resta froide. Un étrange frisson lui remonta l’échine.

‘’Ouh, j’ai déjà ressenti ça… c’était dans mon cauchemar’’ pensa Gaston.

Soudain un sentiment de doute s’empara de l’esprit de notre gendarme. Il arrêta la douche et sortit de la cabine. Il ré-ouvra les placards de sa salle de bain. Toujours vides. Le doute s’estompa légèrement. Il retourna dans sa chambre, regarda l’heure sur son réveil… Le réveil était éteint. C’était un réveil digital noir à piles, ceux qui affichent l’heure en rouge qu’on voit très bien dans le noir. Il retourna le réveil et ouvra le compartiment à piles.

Vide.

Il  essaya d’allumer la lumière pour y voir un peu plus clair, mais l’interrupteur ne marchait pas non plus.
Le doute grandit à nouveau. L’homme courra dans son appartement, toujours nu, jusqu’à la cuisine, où il se mit à ouvrir les portes de tous les placards.

Vides aussi.

Même son frigo. Le reste de blanquette, rangé entre la poire et le fromage. Pas de poire, pas de fromage, et pas de blanquette.

Tout était vide.

Même sa commode à vêtements, son armoire à DVD, sa penderie, tout. Il n’y avait que son pyjama à carreau qui trainait dans la salle de bains. Il enfila alors le pyjama et sortit de son appartement.

Gaston était dans la rue. Son appartement du 5e étage donnait directement dans la rue. C’était physiquement impossible, où alors ce n’était pas son appartement. Il se retourna pour vérifier une dernière fois cet appartement qui semblait être le sien mais qui ne l’était pas. Sa main se tendit pour saisir la poignée de la porte, mais se referma sur du vide. Il regarda alors sa main, et vit qu’en fait de porte, il n’y avait qu’un mur, noir. Immédiatement, Gaston pensa au pire :

''Non, pas ça. Je pige plus rien là. C’est impossible, je suis encore en plein cauchemar, faut que je me réveille’’

Ne sachant pas quoi faire, il se mit à courir dans la direction opposée au mur noir. Gaston courait très vite, voire trop vite pour son physique. Il courut plusieurs heures dans un Paris vide et s’arrêta, pantelant, devant un grand bâtiment noir, rectangulaire qui avait une porte blanche lumineuse. Gaston pensa que cette porte était sa porte, celle qui lui permettrait de se réveiller de ce mauvais rêve. Il reprit un peu son souffle, puis s’approcha de la porte, l’ouvrit et pénétra confiant dans le bâtiment.
Ce n’était pas une porte de sortie, mais une Bibliothèque.

Pleine. De livres.

C’était la première chose pleine qu’il voyait depuis son pseudo réveil. Pourquoi c’était une bibliothèque, il ne le savait pas. Sans doute son inconscient qui lui à suggéré cet endroit calme, reposant, où l’on peut trouver toutes les réponses à ses questions. Il s’approcha alors du premier rayon et saisit un livre au hasard.

‘’ Dictionnaire de la langue Française, je dois être dans le rayon des dicos. Voyons un peu ce qu’il y à dedans.’’

Il ouvrit alors le dictionnaire et commença à feuilleter les premières pages.

‘’ Bizarre, il manque les lettres A et B.’’

En effet, les définitions commençaient par la lettre C, et il semblait n’y avoir qu’une seule définition, qui se répétait encore et encore tout le long du dictionnaire :

centaure : (masculin) (du grec ancien Kentauroi) Dans la mythologie grecque, créature moitié homme, moitié cheval. Selon la légende, les centaures vivaient en Thessalie, étaient redoutables et sans lois; le mentor d'Héraclès, Chiron, était une exception.

- AAAAAHHHH !!! s’écria Gaston, Kentauroi, c’est comme ça que m’a appelé la porte.

Pris de panique, il referma aussitôt le dictionnaire et le reposa sur l’étagère. Il changea également de rayon pour se changer les idées. En passant devant le rayon de romans policiers, il vit l’entrée de la vidéothèque.

‘‘Voila qui va me changer les idées, se dit il, Je vais me regarder un bon Audiard et je vais me réveiller…’’

Sur ce, il prit une cassette vidéo du film ‘Le Pacha’ et l’inséra dans le magnétoscope de la vidéothèque. Il commença à se détendre et même s’assoupir. Il s’endormit même sur le passage ou Quinquin propose d’emmener Nathalie en Polynésie Française. Les deux dernières phrases qu’il entendit furent :

- On n'emmène pas de saucisses quand on va à Francfort.
- Tu pourrais dire une rose quand on va sur la Loire, question de termes !

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Gaston se réveilla. Il entrouvrit l’œil droit, puis l’œil gauche. Un rayon de soleil l’empêchait de distinguer correctement son environnement. Il referma les yeux et se leva.

*Clop clop*
*Clop clop*

‘’Clop clop ??? Pourquoi quand je me lève ça fait clop clop ?’’

Gaston rouvrit les yeux et regarda non pas ses pieds, mais ses sabots. Son torse était recouvert d’acier, et sous la ceinture un magnifique pelage noir remplaçait son pyjama. Il était redevenu centaure.

‘’Alors j’étais en train de rêver…’’ dit tout haut Gaston.

Et il se mit à pleurer. Il pleura de toute son âme, au beau milieu de la forêt la plus étrange qui soit. Mais Gaston était trop occupé à pleurer pour se soucier de l’environnement qui l’entourait.
Un oiseau, bleu, au cou jaune, de petite taille vit le centaure pleurer et alla se poser sur son épaule.

*tchip*

Les pleurs stoppèrent. Gaston tourna la tête et vit l’oiseau posé sur son épaule. C’était le plus bel oiseau qu’il avait eu l’occasion de connaitre dans sa vie morne de gendarme.

*tchip*

- Bonjour petit oiseau, comment t’appelles-tu ?
- Tchip.
- Je vais t’appeler Tchip, c’est joli Tchip non ?
- Pas spécialement mais c’est mon nom, alors je fais avec.

Le centaure hurla de panique. L’oiseau parlait, d’une voix plutôt grave.

- Mais mais mais mais… Tu parles ?
- Oui je parle, comme toi, tu parles, alors que t’es un centaure.
- Je ne suis pas un centaure, je suis Gaston Bertrand, et je suis gendarme, je fais partie de la garde montée à Paris.
- Non tu es un centaure, et je trouve que tu fais preuve de beaucoup d’imprudence pour trainer dans ce coin dangereux.
- Quel coin ? Quel danger ? Je suis où ici ?

Tchip s’envola pour faire du sur place devant le visage du pauvre homme-cheval.

- Tu ne sais pas où tu es ? dit l’oiseau d’un ton pressant, Tu es dans le domaine sombre de la forêt, le domaine ou chaque pas que tu peux faire entraine un évènement débouchant à une complication de ta situation déjà désespérée.

De peur, Gaston recula violemment de quelques pas.

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAIE !!!!

Une grande douleur se fit ressentir dans son arrière train.

- Tu vois, dit le volatile, chaque pas.
- Qu’est ce que j’ai ? demanda le blessé en gémissant.
- Une branche d’arbre dans les fesses, il faut regarder derrière toi quand tu fais ça, les troncs d’arbres sont tout proches.
- Enlève-moi ça.
- Avance de quelque pas, tu vas t’en sortir tout seul.
- Je peux pas bouger, ça me fait trop maaaal.
- Bon…

L’oiseau vola gracieusement jusqu'à l’arrière train de cheval, puis sèchement donna un coup de bec dans son fessier musclé. La réaction ne se fit pas attendre : le centaure bondit en avant, laissant la branche à sa place. La douleur fut immense, mais le soulagement encore plus.
Des gouttes de sang sortaient lentement de l’anus du demi-cheval.

- Sa va s’infecter, s’écria Gaston.
- Mais non, ne t’inquiète pas, c’est déjà en train de cicatriser. Tu sais ici les arbres ne sont pas porteur d’agent infection. Et puis tu sais tu n’es pas le premier dans cette situation, les arbres sont plutôt blagueurs dans leur méchanceté. Comme dit l’expression : « les branches sont saines, donc les fondements sont sains. »
- snif, drôle d’expression.
- Et donc qu’est-ce que tu fais ici ?
- Je ne sais pas. Je viens de me réveiller, il y a encore quelques heures, j’étais sur terre.
- Terre ??? Tu étais dans l’autre monde ? Alors tu es Kentauroi.
- Non, Gaston Bert… Kentauroi… C’est comme ça que m’a appelé la porte.
- Alors c’est toi qui à été envoyé pour vaincre l’être maléfique qui vit ici ?
- Euh, non, je n’ai pas été envoyé. Et je ne veux vaincre personne. Je veux juste redevenir normal et retourner dans mon monde.
- La prophétie de Hocard le grand dit que l’envoyé de l’autre monde sera prisonnier ici tant qu’il ne vaincra pas le minotaure.
- Le … quoi ???? le teint de Gaston vira au vert.
- Le minotaure. Tu sais, mi homme mi taureau. Un peu comme toi en quelque sorte, mais dans l’autre sens. On dit qu’il n’est pas de ce monde non plus.
- Peut-être que c’est une autre personne de mon monde qui a été envoyé ici.
- Peut-être. Mais tu sais la prophétie a rendu pas mal de guerriers assez fous pour se prendre pour le messie. On en à même un qui avait le talent, le courage et la force pour être l’envoyé.
- et il lui est arrivé quoi ?
- Il s’est d’abord fait battre à plates coutures par le minotaure, avant de se faire dépecer et manger vivant.
- … Je veux rentrer chez moi.
- Et bien tu dois battre le minotaure.
- Et comment je fais ? J’y connais rien moi en minotaure.
- Viens avec moi, je t’emmène voir Hocard.

Et ainsi Kentauroi, le centaure légendaire et Tchip l’oiseau messager partirent vers la tour d’Hocard, le vieux fou.
La suite au prochain chapitre les enfants. »

- Oh non je veux la suite, dit Fabien
- Moi aussi, moi aussi, dit André
- Moi aussi, j’aime bien le chelav, dit Sophie.
- Non les enfants, il est l’heure d’aller se coucher. Je vous raconterai la suite demain.

Les enfants montèrent dans leur chambre se coucher, s’endormirent et firent des rêves épiques, mystérieux, et pleins d’aventures, avec un centaure et un oiseau bleu.

Je vais pas écrire une suite en remettant tous les mots... chuis pas taré...
 
Mais c'est vrai qu'écrire une suite ça me botterait... Mais avant je voudrais quelques retours sur ce que j'ai déja écrit ^^

seul bémol, histoire de chipoter : oui, relis toi vite au moins une fois. T'as laissé filer pas mal de coquilles assez inhabituelles de ta part, dont deux qui ont fait mal à mes petits yeux de casse-couilles notoire : "ouvrir" et "courrir" sont des verbes du 3ème groupe et c'est pas bien malin de les avoir conjugués comme des verbes du 1er