Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
931 connectés 

 


 Mot :   Pseudo :  
  Aller à la page :
 
 Page :   1  2  3  4  5  ..  214  215  216  ..  280  281  282  283  284  285
Auteur Sujet :

Reconversion : marre de l'informatique.....

n°5019094
Profil sup​primé
Posté le 13-11-2017 à 10:42:40  answer
 

Reprise du message précédent :

biezdomny a écrit :


La situation où on torche son boulot en quelques heures parce que les exigences sont ridiculement basses et on a du temps, ça me rendait dingue.  


 :jap:  
Pour je suis d'accord aussi sur le fait de pouvoir vivre avec le moins possible tout en ayant une vie correcte.

mood
Publicité
Posté le 13-11-2017 à 10:42:40  profilanswer
 

n°5019096
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 13-11-2017 à 10:44:16  profilanswer
 

Même pas le moins possible… mais ça m'agaçait beaucoup quand j'ai démissionné et que des gens payés deux fois plus que moi me disaient alala t'as de la chance de pouvoir le faire [:sunnycat]


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°5019115
tamino
master proxy 2 gates
Posté le 13-11-2017 à 12:04:33  profilanswer
 

TheCreator a écrit :

[mylife]
bref je pose mon pavé mais j'approche de la trentaine et je me rends de plus en plus compte que regarder ma montre de 8h à 18h, 5j par semaine, c'est pas vraiment une perspective qui m'enchante, et qu'en attendant que ça ne soit pas pire on se retrouve à 40 ans à n'avoir rien foutu
/grossurlapatate


 
Ah ben moi j'en suis là... Bon j'ai pas de solution, pour l'instant j'ai choisi la fuite en avant et je suis passé indépendant, en me disant que quitte à me faire chier, autant que ça paye encore plus. Fuite en avant par ce qu'en plus je suis pas fan de l'insécurité du statut, et que je me sentais déjà pas vraiment à ma place avant, mais là faut que je fasse encore plus "semblant", encore plus d'entretiens/changement de mission. Sachant que j'en ai ras le bol de l'info et de devoir apprendre des nouvelles technos pour faire toujours la même chose.
 
Perso j'en suis à me dire (et c'est bien triste) , que je me donne 10 ans max encore au delà desquels je suis pas sur d'avoir encore du boulot vu la tendance actuelle et les spécificités du job. Typiquement récemment j'ai fait une mission angular en front, j'étais payé pas loin de deux fois plus qu'un petit jeune qui maîtrisait le truc 10 fois mieux que moi :D . Donc là l'objectif c'est d'économiser au max, voilà le sens de ma vie :o, et d'avoir un crédit sur le dos et un chien ça ne change pas grand chose à la vacuité des 40h de boulot par semaine. Bien sur le souci c'est qu'à 50 balais j'aurais encore plus de mal à me reconvertir dans quoi que ce soit.
 
Aprés comme dit quelqu'un plus haut, dans mon cas le problème est sans doute autant l'info que personnel. Au fond je vois pas du tout de job dans lequel je serai mieux. J'aime pas les contraintes, j'aime pas les objectifs sous contrainte de temps etc... Et la plupart des gens avec qui je cause, ils aimeraient largement aussi rester chez eux.
 
Le seul truc qui me parait intéressant et motivant, ce serait d'avoir un vrai projet perso, une idée, que ça marche un peu et de pouvoir en vivre. Mais bon, je suis un flemmard et comme j'en ai marre de l'info, j'ai énormément de mal à bosser ensuite chez moi. Puis bon, va trouver une bonne idée, puis la développer...
 
Bref, amis de l'espoir... :o

n°5019117
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 12:12:38  profilanswer
 

Vous fantasmez sur des trucs (= une "bonne idée", une "entreprise qui a du sens", "un vrai projet" ) parce que c'est plus facile de fantasmer que de commencer à appliquer ce à quoi vous aspirez (= une vie qui a plus de sens) dans la vie de tous les jours, sans plus attendre. Au boulot, à la maison, dans les loisirs...
 
Vous avez une image mentale de celui que vous aimeriez être dans un quotidien idéal : étudiez tout ce que vous pouvez faire dès maintenant pour vous rapprocher de cette image là.
 
Créer sa boîte n'est qu'un outil, ça ne peut pas être la finalité qui changera votre perspective sur votre quotidien si vous ne vous interrogez pas vous-même avant d'interroger vos projets.
 
#minutepsy de rien !


Message édité par Foncky le 13-11-2017 à 12:17:14
n°5019119
tamino
master proxy 2 gates
Posté le 13-11-2017 à 12:21:29  profilanswer
 

C'est un peu creux comme commentaire je trouve, de l'ordre de l'incantation pour l'amélioration personnelle, bouquins de pseudos gourous etc :o
 
Aprés je ne nie pas qu'il y a sans doute un manque de courage et une forme de léthargie/inaction qui nécessairement ne peut mener qu'à rien, en tout cas chez moi. Mais je me demande aussi à quel point on est pas face à un problème lié à notre temps.

Message cité 1 fois
Message édité par tamino le 13-11-2017 à 12:21:43
n°5019120
Slyde
Lizard of the Coast
Posté le 13-11-2017 à 12:24:34  profilanswer
 

dante2002 a écrit :

 

Justement slide, ça fait longtemps que je te lis ici.

 

Sans offense aucune, tu te plains de ton taf indépendant depuis que tu as commencé.

 

Alors que prof s'éclate la dedans par exemple.

 

Ne penses tu pas être fait pour le salariat au final ?

 

Sans même parler de moi, je travaille donc depuis plus de 14 ans avec des dizaines d'indépendants, consultants, chefs d'entreprises de tous secteurs. Et absolument aucun ne fait moins d'heures à son compte que s'il était salarié. Ne serais-ce qu'a cause des taches commerciales et administratives annexes du quotidien. Tout particulièrement dans les toutes petites boites ou le dirigeant est l'homme à tout faire.

 

Je préfère m'exploiter moi-même que me faire exploiter, au moins l'argent par dans ma poche plutot que payer le SQ7 de merde du patron qui te presse à fond.

 

Jeune, on se met à son compte par vocation ou attrait du gain, pas pour en faire moins ou alors on arrête avant 3 ans devant le merdier à gérer tous les jours. Les exceptions c'est typiquement le changement de statut pour bosser "a la mission" ou "à l'acte" avec les mêmes clients qu'avant, par exemple. Je vois ça chez des experts senior dans un domaine, avec un bon réseau, qui n'ont plus franchement besoin d'argent, mais de temps pour en profiter, et ça arrange les "employeurs" de ne payer que le temps passé et pas un ETP. Et avec l'uberisation ça va s'accentuer chez cette petite population (les autres n'ayant pas franchement envie d'une situation précaire, si ?)


Message édité par Slyde le 13-11-2017 à 12:28:24

---------------
Le topic du QLRR et FIRE - Knowledge is power. Power corrupts. Study hard, become evil.
n°5019121
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 12:26:01  profilanswer
 

Tu peux trouver ça creux, mais je l'ai expérimenté et c'est ma conclusion.
 
J'ai quitté un job qui avait objectivement peu de défauts en pensant régler beaucoup de choses, alors que le problème venait bien de moi.
 
Je me suis planté lamentablement, même si ce genre d'échec n'est pas inutile dans la vie.
 
Edit : tu dis que tu aimerais avoir "un vrai projet perso", c'est ce qui m'a fait réagir je crois.
Ce vrai projet perso ne va pas arriver par hasard. Il est lié à ce que tu es, à ce qui compte pour toi dans la vie. En donnant plus d'importance à ce qui compte au quotidien, sans même changer de boulot dans un premier temps, tu auras beaucoup plus de facilité à définir un nouveau cap.

Message cité 2 fois
Message édité par Foncky le 13-11-2017 à 12:32:04
n°5019122
Bébé Yoda
Posté le 13-11-2017 à 12:39:54  profilanswer
 

biezdomny a écrit :


 
Ça marche pas toujours ça, un travail où on est « peinard » vu de l'extérieur ça peut aussi engendrer plein de problèmes (il suffit de regarder le topic souffrance au travail). Perso, c'est quand le mien est devenu plus « tranquille » qu'il est aussi devenu le plus pourri, parce que finalement j'avais bossé auparavant dans des conditions invraisemblables mais j'avais eu les moyens de faire quelque chose, d'agir, et parfois des problèmes intellectuellement stimulants. La situation où on torche son boulot en quelques heures parce que les exigences sont ridiculement basses et on a du temps, ça me rendait dingue.  
 
Tu te reconvertis dans quoi toi ? J'ai filtré sur ton pseudo mais j'ai pas trouvé.


 
En fait, je parlais pas d'un boulot peinard, mais d'essayer de caser sa semaine le plus vite possible. J'ai l'impression souvent qu'on a moyen d'expédier le travail plus vite que prévu. Par exemple les semaines tranquilles on a tendance à prendre son temps, sachant que ça presse pas, et au final on étale le travail sur 5 jours quoi qu'il arrive.  
L'idée c'était de dire qu'on reste concentré sur le boulot pour le faire le plus vite possible et soulager la fin de semaine (dans la mesure du possible bien sur).
 
Sinon moi j'essaye de reconvertir en data analyst, data scientist idéalement. Mais c'est plus compliqué que prévu, je ne sais pas trop où je vais attérir là :/

n°5019123
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 13-11-2017 à 12:40:22  profilanswer
 

tamino a écrit :

C'est un peu creux comme commentaire je trouve, de l'ordre de l'incantation pour l'amélioration personnelle, bouquins de pseudos gourous etc :o

 

Aprés je ne nie pas qu'il y a sans doute un manque de courage et une forme de léthargie/inaction qui nécessairement ne peut mener qu'à rien, en tout cas chez moi. Mais je me demande aussi à quel point on est pas face à un problème lié à notre temps.


Ben le problème, c'est que le symptôme est générationnel, mais la solution est personnelle.
On est des gosses des années 80, de la ouine au travail, on nous a éduqués dans ce monde-là avec la promesse de réussir et de bien gagner notre vie dans un taf satisfaisant.
Comme ça n'est pas le cas, beaucoup sont frustrés d'avoir un job vide de sens, trop peu de temps pour leurs loisirs, mais en même temps, on ne gagne pas trop mal notre vie et c'est dur d'y renoncer.
Au final, il faut trouver autre chose et pour ça, pour les bons petits soldats que nous sommes, c'est compliqué parce qu'il n'y a pas de mode d'emploi.
Alors qu'on nous martèle qu'il faut être adaptables depuis le début de nos carrière, là il faut s'écouter et dire non, c'est compliqué pour nous. À force de prendre la forme de tous les moules de COGIP dans lesquelles on a bossé, on n'a plus de forme propre et c'est un vrai travail pour la retrouver.
Alors la solution c'est quoi ?
Élever des chèvres dans le Larzac, faire du bénévolat, s'occuper de ses gamins, bosser dans du social, devenir prof, etc.
Les solutions sont individuelles mais tant qu'on n'a pas réellement fait la démarche de se poser les vraies questions de ce qu'on est et ce qu'on veut faire, ça ne peut pas changer réellement.

Message cité 1 fois
Message édité par Tillow le 13-11-2017 à 12:50:35

---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°5019125
Profil sup​primé
Posté le 13-11-2017 à 12:47:05  answer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

mood
Publicité
Posté le 13-11-2017 à 12:47:05  profilanswer
 

n°5019127
Profil sup​primé
Posté le 13-11-2017 à 13:24:22  answer
 

Tillow a écrit :


Ben le problème, c'est que le symptôme est générationnel, mais la solution est personnelle.
On est des gosses des années 80, de la ouine au travail, on nous a éduqués dans ce monde-là avec la promesse de réussir et de bien gagner notre vie dans un taf satisfaisant.
Comme ça n'est pas le cas, beaucoup sont frustrés d'avoir un job vide de sens, trop peu de temps pour leurs loisirs, mais en même temps, on ne gagne pas trop mal notre vie et c'est dur d'y renoncer.
Au final, il faut trouver autre chose et pour ça, pour les bons petits soldats que nous sommes, c'est compliqué parce qu'il n'y a pas de mode d'emploi.
Alors qu'on nous martèle qu'il faut être adaptables depuis le début de nos carrière, là il faut s'écouter et dire non, c'est compliqué pour nous. À force de prendre la forme de tous les moules de COGIP dans lesquelles on a bossé, on n'a plus de forme propre et c'est un vrai travail pour la retrouver.
Alors la solution c'est quoi ?
Élever des chèvres dans le Larzac, faire du bénévolat, s'occuper de ses gamins, bosser dans du social, devenir prof, etc.  
Les solutions sont individuelles mais tant qu'on n'a pas réellement fait la démarche de se poser les vraies questions de ce qu'on est et ce qu'on veut faire, ça ne peut pas changer réellement.


 :)  

n°5019141
roof82
Posté le 13-11-2017 à 14:15:07  profilanswer
 

est-ce que c'est pas l'informatique le probleme finalement ? (ou job de développeur).  Un job où on est la plupart du temps seul derriere son PC... à pouvoir cogiter et se retourner le cerveau dans tous les sens à foison... Alors qu'une personne ayant un job avec plus de relationnel, aura moins le temps de se prendre la tete et s'épanouira plus dans son job via ces relations/interactions toute la journée...
Je pose la question.

n°5019144
Gnarfou
Gnarf pour les intimes
Posté le 13-11-2017 à 14:18:39  profilanswer
 

roof82 a écrit :

est-ce que c'est pas l'informatique le probleme finalement ? (ou job de développeur).  Un job où on est la plupart du temps seul derriere son PC... à pouvoir cogiter et se retourner le cerveau dans tous les sens à foison... Alors qu'une personne ayant un job avec plus de relationnel, aura moins le temps de se prendre la tete et s'épanouira plus dans son job via ces relations/interactions toute la journée...
Je pose la question.


Vendeur chez D.arty ou la F.nac ou équipier M.acdo te tendent les bras :o
 
L'interaction oui mais faut aussi y trouver son compte. Ceci dit, deux années de job d'été à vendre des glaces sur la plage m'ont laissées de très très bons souvenirs. Je ne voyais pas le temps passer, taper la causette, vanter les parfums, vendre, sourire, re taper la causette et en fin de journée prélever 20% de la recette, c'était vraiment très chouette.


---------------
C'est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases.
n°5019148
tamino
master proxy 2 gates
Posté le 13-11-2017 à 14:33:31  profilanswer
 

roof82 a écrit :

est-ce que c'est pas l'informatique le probleme finalement ? (ou job de développeur).  Un job où on est la plupart du temps seul derriere son PC... à pouvoir cogiter et se retourner le cerveau dans tous les sens à foison... Alors qu'une personne ayant un job avec plus de relationnel, aura moins le temps de se prendre la tete et s'épanouira plus dans son job via ces relations/interactions toute la journée...
Je pose la question.


 
Je pense pas que ce soit si simple. Si je devais être plus précis je dirais d'ailleurs pas que c'est l'informatique dont j'ai ras le bol, mais l'informatique que je fais (info de gestion) et l'organisation du travail en général. J'ai déjà eu des moments où j'étais vraiment impliqué dans ce que je faisais, en particulier des jeux vidéos mais dans un contexte spécial : petite équipe grosse autonomie, peu de contraintes de temps. Par contre faire des logiciels pour des assurances/banques, des trucs de finance, ah oui ça te laisse du temps pour cogiter et te dire que tu perds ton temps dans des trucs chiants :D

n°5019168
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 13-11-2017 à 15:37:24  profilanswer
 

Foncky a écrit :

Tu peux trouver ça creux, mais je l'ai expérimenté et c'est ma conclusion.
 
J'ai quitté un job qui avait objectivement peu de défauts en pensant régler beaucoup de choses, alors que le problème venait bien de moi.
 
Je me suis planté lamentablement, même si ce genre d'échec n'est pas inutile dans la vie.
 
Edit : tu dis que tu aimerais avoir "un vrai projet perso", c'est ce qui m'a fait réagir je crois.
Ce vrai projet perso ne va pas arriver par hasard. Il est lié à ce que tu es, à ce qui compte pour toi dans la vie. En donnant plus d'importance à ce qui compte au quotidien, sans même changer de boulot dans un premier temps, tu auras beaucoup plus de facilité à définir un nouveau cap.


 
Au sujet de ton Edit : je rejoins ce que dit Tillow, la solution est personnelle, mais on n'a pas les clés pour la trouver tout de suite là comme ça. En particulier si on bosse toute la semaine et qu'on s'abrutit le week-end, comme on nous a toujours dit de le faire. Un travail prenant (pas forcément par la charge de travail d'ailleurs) empêche de prendre le temps de penser sa vie.  
 
C'est pour ça que je pense que le temps partiel est une vraie bonne étape si on le garde pour ça : ce jour magique qu'on fabrique en travaillant moins, le consacrer au temps lent, à la réflexion, à la culture personnelle, à la recherche de soi-même, je trouve ça très productif. Quand j'ai pris mon 4/5, je me suis astreinte à me lever et à sortir pour aller lire des livres à la bibliothèque ou voir des expos. Ça a littéralement changé ma vie. Par contre, faut faire gaffe, la pente est glissante :D


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°5019180
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 16:05:55  profilanswer
 

biezdomny a écrit :


 
Au sujet de ton Edit : je rejoins ce que dit Tillow, la solution est personnelle, mais on n'a pas les clés pour la trouver tout de suite là comme ça. En particulier si on bosse toute la semaine et qu'on s'abrutit le week-end, comme on nous a toujours dit de le faire. Un travail prenant (pas forcément par la charge de travail d'ailleurs) empêche de prendre le temps de penser sa vie.


Il ne s'agit pas de la trouver tout de suite, dans ce que j'ai dit. Au contraire, c'est lui donner des chances d'apparaître petit à petit, sans rien précipiter.
 
Ca passe par des petites choses qui ne sont pas incompatibles avec un travail même très prenant. Par exemple, si tu as une vague envie "d'être utile", ou "d'aider les gens, des inconnus" dans ton futur métier (un classique), tu peux faire un travail de prise de recul sur les contacts que tu as tous les jours : avec tes collègues, ton boulanger, ton voisin, tes proches... Est-ce que tu ressens vraiment de l'intérêt pour tout ce qu'ils te racontent, tout le temps ? Est-ce que tu as un sourire de façade quand le boulanger te raconte la hausse du prix de la farine et les difficultés que lui font son comptable, ou bien de l'intérêt sincère avec le réflexe de chercher une solution pour lui ?  
 
Est-ce que cette empathie que tu aimerais mettre à contribution dans ton quotidien futur t'appartient vraiment, ou est-ce quelque chose que tu projettes mais qui, au fond, ne te correspond pas ?  
 
Ce genre de choses.
 
Si tu vas élever des chèvres dans le Larzac avec ton bagage chargé de frustration, le même que celui qui te pèse dans la cogip, ça ne se passera pas bien non plus.
 
D'ailleurs je crois que je dis un peu la même chose que Tillow. Se poser les vraies questions avant de tout chambouler.

n°5019182
david42fr
Posté le 13-11-2017 à 16:10:13  profilanswer
 

Salut,
 
Simple question à tous les chercheurs de sens : Etes vous ou avez vous été bénévole dans une association (sport/culture/humanitaire...)?


---------------
A life spent making mistakes is not only more honorable, but more useful than a life spent doing nothing. -- Shaw -- mon topic de vente photo
n°5019183
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 13-11-2017 à 16:10:59  profilanswer
 

Nope. Perso je fais de la musique.


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°5019187
oh_damned
Posté le 13-11-2017 à 16:15:19  profilanswer
 

Foncky a écrit :

Tu peux trouver ça creux, mais je l'ai expérimenté et c'est ma conclusion.
 
J'ai quitté un job qui avait objectivement peu de défauts en pensant régler beaucoup de choses, alors que le problème venait bien de moi.
 
Je me suis planté lamentablement, même si ce genre d'échec n'est pas inutile dans la vie.
 
Edit : tu dis que tu aimerais avoir "un vrai projet perso", c'est ce qui m'a fait réagir je crois.
Ce vrai projet perso ne va pas arriver par hasard. Il est lié à ce que tu es, à ce qui compte pour toi dans la vie. En donnant plus d'importance à ce qui compte au quotidien, sans même changer de boulot dans un premier temps, tu auras beaucoup plus de facilité à définir un nouveau cap.


 
:jap:
Tout à fait, il ne faut pas confondre la fin et le moyen.
Entreprendre peut-être un moyen de réaliser un projet de vie plus large, mais c'est loin d'être le seul moyen.
 
Ceci dit, le salariat peut être vu comme une forme particulièrement subtile de servitude (qu'on peut certes juger utile dans une société complexe comme la notre, mais ça n'est pas le sujet).
De fait, aspirer à échapper au salariat peut être quelque chose de parfaitement sain, voire peut être un signe de bonne santé mentale ;)


Message édité par oh_damned le 13-11-2017 à 16:16:21
n°5019188
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 16:17:34  profilanswer
 

La servitude actuelle dépasse largement la question du statut d'après moi. Pour avoir été salarié et maintenant indépendant, je peux presque dire que je me sens (beaucoup) plus servile aujourd'hui, même si j'ai gagné en liberté sur l'organisation de mon temps. Je peux choisir comment caser mes 60 heures par semaine :pt1cable:

Message cité 1 fois
Message édité par Foncky le 13-11-2017 à 16:18:18
n°5019191
oh_damned
Posté le 13-11-2017 à 16:34:16  profilanswer
 

Foncky a écrit :

La servitude actuelle dépasse largement la question du statut d'après moi. Pour avoir été salarié et maintenant indépendant, je peux presque dire que je me sens (beaucoup) plus servile aujourd'hui, même si j'ai gagné en liberté sur l'organisation de mon temps. Je peux choisir comment caser mes 60 heures par semaine :pt1cable:


 
Tant qu'on n'a pas un business scalable, la liberté est relativement limitée, en étant indépendant c'est le cas.
Je sais de quoi je parle, ma principale source de revenu vient de mes activités de consultant indépendant.
 
Pourquoi travailles-tu autant ?

n°5019195
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 16:47:52  profilanswer
 

Parce que pas trop le choix... Je débute, mon taux journalier est faible et je passe souvent plus de temps sur mes missions qu'il n'en faudrait. Si je veux manger, je dois produire, gérer, trouver de nouveaux contrats et valoriser mon activité à travers des projets perso. C'est donc à peu près sans limite pour l'instant. Quand je suis trop fatigué, je m'endors sur mon clavier et je le paie le lendemain :lol:  
 
Mais c'est intéressant parce que je suis en train d'évoluer très vite, d'apprendre de nouvelles choses et mon taux devrait exploser à court ou moyen terme. En tant que salarié, j'aurais sûrement moins de perspectives d'évolution et l'augmentation mécanique de ma paie me suffirait peut-être (= je m'impliquerais peut-être moins, sauf que plus on s'intéresse à quelque chose, plus ça devient intéressant).


Message édité par Foncky le 13-11-2017 à 16:54:04
n°5019211
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 13-11-2017 à 18:30:46  profilanswer
 

Foncky a écrit :

Il ne s'agit pas de la trouver tout de suite, dans ce que j'ai dit. Au contraire, c'est lui donner des chances d'apparaître petit à petit, sans rien précipiter.


 
Je suis d'accord, ce que je veux dire c'est que si ton travail est aliénant, procéder à cette réflexion peut nécessiter de se mettre en retrait rien que pour se dégager du temps de cerveau pour penser.


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°5019236
dobermann7​8
Demqin
Posté le 13-11-2017 à 21:00:07  profilanswer
 

Vous pouvez aussi changer de secteur sans changer de métier.
Au lieu de travailler pour des banques, travailler pour des boîtes/orga plus utiles.  :)


---------------
Demqin
n°5019237
Tillow
J'aime les tierces picardes.
Posté le 13-11-2017 à 21:06:25  profilanswer
 

dobermann78 a écrit :

Vous pouvez aussi changer de secteur sans changer de métier.
Au lieu de travailler pour des banques, travailler pour des boîtes/orga plus utiles. :)


Mouarf, nan, perso 90 % des clients de mon domaine de compétences c'est banque / assurance.


---------------
Stabatmaterophile - Witches, Bitches and Britches.
n°5019238
Foncky
Posté le 13-11-2017 à 21:12:42  profilanswer
 

dobermann78 a écrit :

Vous pouvez aussi changer de secteur sans changer de métier.
Au lieu de travailler pour des banques, travailler pour des boîtes/orga plus utiles.  :)


Tout à fait, j'aimerais orienter mon activité vers des clients avec qui je partage des choses.  
Bon, pour l'instant c'est beaucoup comme Tillow :D

n°5019248
flash23
Posté le 13-11-2017 à 23:14:44  profilanswer
 


 
Bien au contraire : c'est l'argent et le besoin qu'on en a, ou plutôt : que l'on se crée, qui nous rend dépendant.
Pour être un peu moins dépendant, il faut réduire ses besoins de consommation.
Et par là même, avoir la possibilité de réduire son temps de travail.
 
Ce qui fait plus de temps libre et moins de dépendance.
 
Au contraire de ce que tu proposes qui est le "travailler plus pour gagner plus" : pourquoi pas, mais ça ne fait que donner plus d'argent, pour pouvoir être plus dépendant de la consommation, et aussi devenir encore plus dépendant de la peur de perdre sa bonne situation salariale et économique.
 
À mon avis, apprendre à se contenter de peu est un moyen beaucoup plus efficace pour gagner en bonheur.

n°5019260
youmoussa
Ecrou-vis
Posté le 14-11-2017 à 02:53:56  profilanswer
 

dante2002 a écrit :


 
Justement slide, ça fait longtemps que je te lis ici.
 
Sans offense aucune, tu te plains de ton taf indépendant depuis que tu as commencé.
 
Alors que prof s'éclate la dedans par exemple.
 
Ne penses tu pas être fait pour le salariat au final ?


 
 
Prof est un salarié déguisé depuis belles lurettes [:spamafote]
 
En plus il fait pas d’info, mais du ppt :o


Message édité par youmoussa le 14-11-2017 à 02:54:45

---------------
Galerie HFR - Photoblog San Francisco - American Cars Photos
n°5019261
youmoussa
Ecrou-vis
Posté le 14-11-2017 à 02:57:10  profilanswer
 

flash23 a écrit :


 
Bien au contraire : c'est l'argent et le besoin qu'on en a, ou plutôt : que l'on se crée, qui nous rend dépendant.
Pour être un peu moins dépendant, il faut réduire ses besoins de consommation.
Et par là même, avoir la possibilité de réduire son temps de travail.
 
Ce qui fait plus de temps libre et moins de dépendance.
 
Au contraire de ce que tu proposes qui est le "travailler plus pour gagner plus" : pourquoi pas, mais ça ne fait que donner plus d'argent, pour pouvoir être plus dépendant de la consommation, et aussi devenir encore plus dépendant de la peur de perdre sa bonne situation salariale et économique.
 
À mon avis, apprendre à se contenter de peu est un moyen beaucoup plus efficace pour gagner en bonheur.


 
Ben non. La dépendance vient du delta. Libre à toi de choisir si tu veux gagner plus, réduire les besoins ou faire un mix des 2.


---------------
Galerie HFR - Photoblog San Francisco - American Cars Photos
n°5019262
true-wiwi
Posté le 14-11-2017 à 08:16:57  profilanswer
 

L'équilibre est difficile à trouver et doit dans tous les cas faire l'objet d'une réflexion perso.
 
Le souci étant d'avoir du temps de cerveau disponible justement.
 
J'aime peu l'idée de se contenter de peu, ça freine souvent une envie d'évoluer.


---------------
Sullen and bored the kids play and in this way they wish away each day...
n°5019346
flash23
Posté le 14-11-2017 à 16:33:03  profilanswer
 

C'est parce que vous avez le schéma classique des besoins matériels bien inscrits dans vos esprits, c'est tout.

 

Si vous n'êtes pas capables d'accepter un déclassement au smic ou au rsa, c'est bien la preuve que vous êtes dépendants.

 

«évoluer», ça veut dire quoi ça ? C'est pour gagner plus d'argent ou avoir une meilleure situation sociale.

 

Mais je conçois qu'il est très difficile d'abandonner nos désirs matériels et de pouvoir.

n°5019348
damtoul
Un boulot!
Posté le 14-11-2017 à 16:40:13  profilanswer
 

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


---------------
Plouf plouf!
n°5019349
Baggers
Posté le 14-11-2017 à 16:55:11  profilanswer
 

damtoul a écrit :

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


 
A mes début, j'étais rouge vif comme tu dis. C'est vrai que je regrette pas cet aspect des choses :o être en mesure d'encaisser sans sourciller financièrement un petit accident (une voiture cassée ou des dégâts des eaux...) c'est un certain confort!


---------------
C'était une petite provocation de ma part, bien sur ┌n┐(^_^')  
n°5019354
youmoussa
Ecrou-vis
Posté le 14-11-2017 à 17:12:49  profilanswer
 

flash23 a écrit :

C'est parce que vous avez le schéma classique des besoins matériels bien inscrits dans vos esprits, c'est tout.
 
Si vous n'êtes pas capables d'accepter un déclassement au smic ou au rsa, c'est bien la preuve que vous êtes dépendants.
 
«évoluer», ça veut dire quoi ça ? C'est pour gagner plus d'argent ou avoir une meilleure situation sociale.
 
Mais je conçois qu'il est très difficile d'abandonner nos désirs matériels et de pouvoir.


 
Tu parles à qui là en disant vous :??:


---------------
Galerie HFR - Photoblog San Francisco - American Cars Photos
n°5019359
oh_damned
Posté le 14-11-2017 à 17:44:50  profilanswer
 

flash23 a écrit :

C'est parce que vous avez le schéma classique des besoins matériels bien inscrits dans vos esprits, c'est tout.
 
Si vous n'êtes pas capables d'accepter un déclassement au smic ou au rsa, c'est bien la preuve que vous êtes dépendants.
 
«évoluer», ça veut dire quoi ça ? C'est pour gagner plus d'argent ou avoir une meilleure situation sociale.
 
Mais je conçois qu'il est très difficile d'abandonner nos désirs matériels et de pouvoir.


 
 [:arantheus]  
 
 

damtoul a écrit :

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


 
Si c'était si simple, un revenu confortable n'efface pas l'aliénation et la perte de sens qui vivent certains

n°5019364
true-wiwi
Posté le 14-11-2017 à 18:36:46  profilanswer
 

damtoul a écrit :

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


 
Reconversion en cours, compte rouge pas tout à fait vif, je peux aisément comprendre ce qu'on ressent. Boulot dans un bureau, c'est autrement le bonheur par rapport à avant.
 
Je sais que j'en ai encore pour un an et demi de smicard derrière mais que ça sera plus tranquille par la suite (informatique)
 
Évoluer ça veut dire qu'on peut toujours s'améliorer. J'ai accepté le "déclassement" en connaissance de cause parce que je savais que c'était un investissement pour l'avenir qui me demanderait des efforts.
 
Mais la question de l'équilibre se posera nécessairement une fois cette période passée car j'aime profiter de mon temps libre. Restera à trouver l'endroit où mettre le curseur.


---------------
Sullen and bored the kids play and in this way they wish away each day...
n°5019379
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 14-11-2017 à 20:14:04  profilanswer
 

damtoul a écrit :

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


 
J'ai fait bullshit job vers revenu zéro (et pas d'allocs) pendant 4 ans complets, ça va, je le vis bien. Là j'ai un tout petit revenu (très inférieur au SMIC) et c'est seulement cette cinquième année que je ressens un sentiment de privation. J'aimerais bien m'acheter des vêtements pas troués, des chaussures de bonne qualité, une CG de porc, et bouffer de la viande bien rouge, bien ggrrrrassse et bien saignante plus souvent (ça j'en rêve la nuit, je dois avoir une carence :o). Techniquement, je pourrais, mais je préfère continuer à radiner tant que j'ai pas fini mes études (enfin, ce round-ci).  
 
C'est ce que je répète : si tu as un bullshit job 3k€+/mois, c'est une chance parce que tu peux passer relativement tranquillement au travers des vaches maigres. Après, j'ai aussi la chance d'aimer rester chez moi à manger des coquillettes au beurre et à jouer à Diablo III, c'est bien. Et beaucoup de loisirs sont gratuits. J'ai la gratuité dans plein de musées, les bibliothèques municipales sont gratuites, ça coûte rien de se balader…


---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°5019381
damtoul
Un boulot!
Posté le 14-11-2017 à 20:22:49  profilanswer
 

+1 biez, au bidule près que quand tu vis la misère à la campagne, eh bien tu n'as quasiment aucun loisir de gratuit puisque cela nécessite une voiture, et que se ballader dans parmi les champs monsanto ça ne dure qu'un temps.  :o


---------------
Plouf plouf!
n°5019384
biezdomny
MONSTERS DO NOT EAT QUICHE!
Posté le 14-11-2017 à 20:53:12  profilanswer
 

Oui bon OK.
La campagne j'y vais une fois par an, j'adore ça, mais j'ai pas essayé d'y vivre :o

 

Edit : j'ai vécu en grande banlieue par contre et je peux dire que ça pue du cul.


Message édité par biezdomny le 14-11-2017 à 20:53:40

---------------
Expos et muséesÉgyptologie (stupid sexy Jean-François Champollion) — team bépo
n°5019385
Slyde
Lizard of the Coast
Posté le 14-11-2017 à 20:53:21  profilanswer
 

damtoul a écrit :

Pour ceux qui en ont marre, faites l'expérience d'un petit tour de manège d'un "bullshit" job à 3k€+/mois vers un RSA avec des comptes bancaires rouge vifs et la pression qui va avec, le déclassement social, aucun loisir et devoir rester enfermé chez vous car 0 argent pour sortir, et surtout pas grande perspective de s'en sortir et vous verrez que, merde, finalement bosser dans un bureau, même si on peut se demander à quoi on sert parfois, c'est quand même bien sympa.   :D


 
Dans ce style mon petit frère à joué à ça, maintenant il est techniquement SDF.


---------------
Le topic du QLRR et FIRE - Knowledge is power. Power corrupts. Study hard, become evil.
n°5019386
flash23
Posté le 14-11-2017 à 21:02:15  profilanswer
 

damtoul a écrit :

+1 biez, au bidule près que quand tu vis la misère à la campagne, eh bien tu n'as quasiment aucun loisir de gratuit puisque cela nécessite une voiture, et que se ballader dans parmi les champs monsanto ça ne dure qu'un temps.  :o


 
On peut jouer à Diablo III à la campagne.  :o

mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3  4  5  ..  214  215  216  ..  280  281  282  283  284  285

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
licence EEA à marne la vallée ou informatique à pierre marie curie?[CDI][BORDEAUX] Technicien vendeur Micro-informatique
OFFRE TERMINEEOrientation dans le domaine de l'informatique
recherche cours L1 informatique montpellier si possibleChoix pour la liste de vœux entre les différentes écoles informatique
Réorientation Informatique d'un DUT TC[Recherche]Alternance Technicien de maintenance informatique/réseaux
Iacp informatiqueL1 informatique Montpellier
Plus de sujets relatifs à : Reconversion : marre de l'informatique.....


Copyright © 1997-2022 Hardware.fr SARL (Signaler un contenu illicite / Données personnelles) / Groupe LDLC / Shop HFR