Pas d'info là dessus non plus. Bizarre. J'appelle mon desk asie pour voir.

 
 
tu vas les reveiller  

Pas d'info là dessus non plus. Bizarre. J'appelle mon desk asie pour voir.

 
La rumeur hier c'etait le write down d'RBS (£12.5bn de funding gap).
Rien entendu ce matin sur une banque allemande...

 
Bravo Kurush, t'es comme moi. Ca tombe on est dans la même banque!
 
RDV à la machine à café du 5eme!

Bon sinon je propose de créer une nouvelle unité de mesure du P/L de trading : le Kerviel (Kv)
 
1 Kv = 4.9*10^9 €
 
On peut aussi utiliser les sous unités : le micro Kerviel (mKv) ou le nano Kerviel (nKv)
 
Par exemple, un trader qui fait un gain de 350 000 €  peut dorénavant le convertir en 71.4 mKv
 
Je propose de le soumettre à Wikipédia  
 

 
 
 
sans rire, j'ai lu je sais plus où, peut-être dans Métro, qu'un petit malin a réussi à vendre 10 000 euros une photo de classe avec jeune dessus à un journal... photo qu'il avait trouvé sur trombi.com gratos !

J'ai une photo de JK lors d'une soirée spéciale, je pense que ça vaut au moins 20.000 €... Par contre ça m'étonnerais que le figaro la publie
 
[img]www.s-r.ru/travesti/b_travesti3.jpg[/img]

Bon sinon je propose de créer une nouvelle unité de mesure du P/L de trading : le Kerviel (Kv)
 
1 Kv = 4.9*10^9 €
 
On peut aussi utiliser les sous unités : le micro Kerviel (mKv) ou le nano Kerviel (nKv)
 
Par exemple, un trader qui fait un gain de 350 000 €  peut dorénavant le convertir en 71.4 mKv
 
Je propose de le soumettre à Wikipédia  
 

1/ le cash c'est pour les mecs qui savent pas compter jusqu'à 10. Je peux t'assurer qu'il existe des quants dans le cash (les algorithmes d'execution en PT ne tombent pas du ciel)
 
2/ les mecs qui font de l'exo ou de stru sont tous les demi-dieux en maths, médaillables Fields. D'accord qu'il vaut mieux savoir faire un DL ou résoudre une EDS pour comprendre le pricing d'une structure ou le hedging d'une pose mais c'est pas non plus de la physique nucléaire. Quand tu a vu un priceur de près, tu comprends qu'il faut juste savoir rafaîchir la feuille et aligner quelques lignes de codes dans un éditeur de scripts.

sur le marché des StockArnak l'indice de confiance est à son paroxysme...
 
Je ne me souviens pas où Equant tout cela a commencé. Seule une phrase résonne sans cesse:" sans Accor pas d'Avenir, Télécom en tête, c'est comme la musique ! ", c'est ce que me martelait Endy. Endy, mon pôte à moi. Fort en éco, fort en Géo, physique d'athlète. Un Peugeot vial, je l'appelais tout naturellement Legrand. C'était mon Alten-ego. C'est lui qui m'a poussé à la Bourse.  
 
Directement sur Internet. Je me souviens il riait tout le temps. Un Colas à la main, la mèche qui re-Bic, il m'expliquait les marchés. En ce temps là tout montait. Total euphorie. On gagnait tellement et à tous les coups. Alors pour changer d'Air, Liquide à la main, nous allions au Casino, celui du grand Carrefour. Et quand on avait tout claqué nous partions pour le Club. Méditerranée face au bar, offrant une Granvision sur toute la baie. Nous y retrouvions Remy, Cointreau à la main.  
 
Parfois nous partions faire une virée en Zodiac. Je prenais le volant, Sophia au bras. Je sentais, contre moi, ses Miche,Lin pour le costume cigare pour la frime. Et toujours, Endy à mes cotés. Il me conseillait, tout comme en bourse.  
 
" Garde le Cap ! " Gemini Cricket, c'était mon Gemini Cricket. Je faisais tout ce qu'il me disait… Je croyais au marché tel un Devo. Team de choc pour fortune rapide : Endy et moi. Avec lui, je me sentais invincible. Je me disais pour perdre, Faurecia ment faire de mauvais investissement.  
 
Chaque fois que je gagnais, je me répétais Vivendi, Mais Endy ne vit rien venir et patatra les bourses se sont écroulées. J'ai mis longtemps à réaliser. Et ce fut la lente mais inexorable dégringolade. Plus je perdais, plus j'hypothéquais. Cela m'a coûté mon Bail. Investissements dérisoires pour essayer de me refaire, plus les cours descendait, plus je m'engouffrais dans ma perte. Quant j'eus tout hypothéqué, je courus chez mon banquier pour un prêt. Tu me fais Crédit ? Lyonnais d'origine, comme moi, il dira sûrement oui ! Altadis le banquier. Puis sèchement, il ajouta : On coupe les Van. Adoocir l'amertume des pertes, je n'avais que cette obsession en tête. Alors je suis allé voir mon pote Endy. Prête moi encore 1000 Euro, Tunnel vers les marchés. Seb y en parce que c'est toi… 1000 Euros j'allais me refaire, c'était sûr. Je rêvais de Rallye haussiers, " ça Valeo, très haut " ne cessais-je de me répéter.  
 
Je portais la fraîche aux marchés, je leur donnai, ils Lagardère. J'étais ruiné.  
 
Tout, ils m'ont tout pris. J'avais Bolloré péter " Sema voiture ", mais la belle Renault partit aussi. Leur Canal auditif était bouché. " Seita maison, mais pas pour longtemps répondit l'huissier ". " Lapeyre de baffe qui se perd " pensais-je.  
 
Encore aujourd'hui, le matin vers 9h00 je suis Transi. Ciel c'est l'ouverture ! Mon corps tremble sur les Spir de mon matelas miteux. Dans cet hôtel minable, c'est vraiment pas Royal, Canin interdit, j'ai du laisser le mien. Je passe les journées à me refaire le film de la descente, le Neopost toujours branchée sur TF1.  
 
Ce soir c'est un match nul au Scor nul de zéro Azeo. Dans mon exil j'étouffe, un peu d'Air, France natale, tes parfums me manquent. Parfois pour rêver à tout ce que je pouvais m'offrir, je fais les Galeries. Lafayette y trône en bonne place aux cotés d'Hermes. J'aime ce magasin, son style Liberty, Surf obligatoire dans la foule. Douce musique, Wolfgang Amadeus Mozart je crois. L'autre jour j'y vu Endy. Mais je n'ai pas eu le courage de l'interpeller. Je l'ai laissé se fondre dans le Publicis, toire de ne pas réveiller les douleurs passées. Comme je le voyais s'éloigner, je me disais qu'il était devenu Sage,muet, quelconque. Imerys pourtant mieux que ça ! De lui en particulier et de la Sociéte en Générale, tout m'indiffère désormais. J'avais l'argent, la mer, le soleil, j'ai la ville triste, Legris, Industries polluantes et autres joyeusetés.  
 
Ah, je me souviens maintenant. Je me souviens quand tout cela a commencé : c'était sur Boursxxxxx, il y a 2 ans pile aujourd'hui. Mais je suis guéri, tout cela n'était qu'une Bull spéculative. La bourse, pour moi, c'est terminé. Atos je voudrais dire : Sidel'aventure vous ne retenez qu'une seule chose cela doit être " la bourse, y a p'Axa dans la vie ". ... Mais Qu'Elior est-il . ? 15H30 ! C'est l'ouverture de Wall Street.  
 
 

sur le marché des StockArnak l'indice de confiance est à son paroxysme...
 
Je ne me souviens pas où Equant tout cela a commencé. Seule une phrase résonne sans cesse:" sans Accor pas d'Avenir, Télécom en tête, c'est comme la musique ! ", c'est ce que me martelait Endy. Endy, mon pôte à moi. Fort en éco, fort en Géo, physique d'athlète. Un Peugeot vial, je l'appelais tout naturellement Legrand. C'était mon Alten-ego. C'est lui qui m'a poussé à la Bourse.  
 
Directement sur Internet. Je me souviens il riait tout le temps. Un Colas à la main, la mèche qui re-Bic, il m'expliquait les marchés. En ce temps là tout montait. Total euphorie. On gagnait tellement et à tous les coups. Alors pour changer d'Air, Liquide à la main, nous allions au Casino, celui du grand Carrefour. Et quand on avait tout claqué nous partions pour le Club. Méditerranée face au bar, offrant une Granvision sur toute la baie. Nous y retrouvions Remy, Cointreau à la main.  
 
Parfois nous partions faire une virée en Zodiac. Je prenais le volant, Sophia au bras. Je sentais, contre moi, ses Miche,Lin pour le costume cigare pour la frime. Et toujours, Endy à mes cotés. Il me conseillait, tout comme en bourse.  
 
" Garde le Cap ! " Gemini Cricket, c'était mon Gemini Cricket. Je faisais tout ce qu'il me disait… Je croyais au marché tel un Devo. Team de choc pour fortune rapide : Endy et moi. Avec lui, je me sentais invincible. Je me disais pour perdre, Faurecia ment faire de mauvais investissement.  
 
Chaque fois que je gagnais, je me répétais Vivendi, Mais Endy ne vit rien venir et patatra les bourses se sont écroulées. J'ai mis longtemps à réaliser. Et ce fut la lente mais inexorable dégringolade. Plus je perdais, plus j'hypothéquais. Cela m'a coûté mon Bail. Investissements dérisoires pour essayer de me refaire, plus les cours descendait, plus je m'engouffrais dans ma perte. Quant j'eus tout hypothéqué, je courus chez mon banquier pour un prêt. Tu me fais Crédit ? Lyonnais d'origine, comme moi, il dira sûrement oui ! Altadis le banquier. Puis sèchement, il ajouta : On coupe les Van. Adoocir l'amertume des pertes, je n'avais que cette obsession en tête. Alors je suis allé voir mon pote Endy. Prête moi encore 1000 Euro, Tunnel vers les marchés. Seb y en parce que c'est toi… 1000 Euros j'allais me refaire, c'était sûr. Je rêvais de Rallye haussiers, " ça Valeo, très haut " ne cessais-je de me répéter.  
 
Je portais la fraîche aux marchés, je leur donnai, ils Lagardère. J'étais ruiné.  
 
Tout, ils m'ont tout pris. J'avais Bolloré péter " Sema voiture ", mais la belle Renault partit aussi. Leur Canal auditif était bouché. " Seita maison, mais pas pour longtemps répondit l'huissier ". " Lapeyre de baffe qui se perd " pensais-je.  
 
Encore aujourd'hui, le matin vers 9h00 je suis Transi. Ciel c'est l'ouverture ! Mon corps tremble sur les Spir de mon matelas miteux. Dans cet hôtel minable, c'est vraiment pas Royal, Canin interdit, j'ai du laisser le mien. Je passe les journées à me refaire le film de la descente, le Neopost toujours branchée sur TF1.  
 
Ce soir c'est un match nul au Scor nul de zéro Azeo. Dans mon exil j'étouffe, un peu d'Air, France natale, tes parfums me manquent. Parfois pour rêver à tout ce que je pouvais m'offrir, je fais les Galeries. Lafayette y trône en bonne place aux cotés d'Hermes. J'aime ce magasin, son style Liberty, Surf obligatoire dans la foule. Douce musique, Wolfgang Amadeus Mozart je crois. L'autre jour j'y vu Endy. Mais je n'ai pas eu le courage de l'interpeller. Je l'ai laissé se fondre dans le Publicis, toire de ne pas réveiller les douleurs passées. Comme je le voyais s'éloigner, je me disais qu'il était devenu Sage,muet, quelconque. Imerys pourtant mieux que ça ! De lui en particulier et de la Sociéte en Générale, tout m'indiffère désormais. J'avais l'argent, la mer, le soleil, j'ai la ville triste, Legris, Industries polluantes et autres joyeusetés.  
 
Ah, je me souviens maintenant. Je me souviens quand tout cela a commencé : c'était sur Boursxxxxx, il y a 2 ans pile aujourd'hui. Mais je suis guéri, tout cela n'était qu'une Bull spéculative. La bourse, pour moi, c'est terminé. Atos je voudrais dire : Sidel'aventure vous ne retenez qu'une seule chose cela doit être " la bourse, y a p'Axa dans la vie ". ... Mais Qu'Elior est-il . ? 15H30 ! C'est l'ouverture de Wall Street.  
 
 

Contrairement à vous, j'ai adoré Scalp.
Le début démarre mal. Mais à partir du 3eme voir 4ieme épisode, c'est super bien foutu. Et le final de lundi était génial.
 
J'en ai discuté avec deux mecs du cash qui ont connu le pit (un en stage et un au taf). C'est ultra réaliste et bien renseigné. D'ailleurs la série explique très bien comment fonctionne le marché, et tous les gestes sont vrais. D'ailleurs ça donne des conseils pour ceux qui veulent être brok. Genre toujours annoncer une quantité pour un prix à l'achat. Inverse pour la vente.
La seule chose qui n'éxistait pas sur le pit à l'époque c'était l'écran avec les news diffusées.
Mais pour moi c'est franchement une très très bonne série. Et le final est terrible!
 
Après la meilleure vision d'une salle d'aujourd'hui, c'est dans l'intro du film de Spike Lee : la 25eme heure.
 
PS: Seul souci pour Scalp, la partie sur les bateaux à St Martin n'a aucun interet!

Est-ce qu'il existe des liens internet où l'on peut avoir accès aux épisodes ?