Reprise du message précédent :

 
J'avais vu une offre passée il y a un moment...Ils cherchaient plutôt un docteur.

Une triste nouvelle pour le monde de l'actuariat...
 
Le responsable du Master d'Actuariat du CNAM (Monsieur F.) nous a quitté subitement en début de semaine.

 
Tout a fait accessible pour les actuaires (regarde LinkedIn). Après le job est particulier, après avoir modéliser X tempêtes tu en auras peut-etre fait le tour.
 
ça reste quand même plus sexy que faire de l'inventaire ...

 
un grand monsieur qui part trop tôt  

C'était un bon prof, sympathique et très humain

ok merci pour vos retours

question bête: dans un cabinet de conseil en actuariat, pour un stage, doit on toujours venir en costume ?(pas de relation avec des clients)
je pense que le dresscode c'est costume sans cravate, mais je préfère demander  

merci  

Il n'y a pas de profil unique.  
Même si le CAT est un marché "de niche", je ne pense pas qu'il soit spécialement difficile d'y sortir. Ça dépend du poste bien entendu, mais dans des grosses compagnies on voit souvent des mobilités dans des sujets assez différents.
Tu vises quel type de boîte, plutôt un réassureur j'imagine ?
 

Lors de ta première journée de travail, viens en costume-cravate ou en tailleur. Tu auras la possibilité de poser la question à ton tuteur. Tu pourras probablement faire tomber la cravate dés le second jour. Et si tu n'as pas l'occasion de poser la question, habille-toi de la même manière que tes collègues.  
En revanche, je peux te dire que j'ai déjà vu des consultants en mission ne pas venir en costume, notamment l'été (le costume sous 30°C c'est une horreur).

 
Oui plutot branche réassurance a priori. J'ai posé ces questions car je ne suis pas actuaire et ne viens pas du monde de la ré/assurance, mais ca a l'air plutôt intéressant comme taff et a priori accessible pour un profil ingénieur technique. Mais difficile d'avoir des retours sur ce métier apparemment

C'est très bien l'inventaire

Oui. Et passionné, pas comme B.éhar...

Trop passionné, je pense qu'il s'est tué à la tâche malheureusement... Il avait une somme de travail colossale (cours, mémoire, chaire d'actuariat, membre influent de l'IA, livre(s) à écrire...)

Bonjour à tous,
 
Je m’intéresse sérieusement à la possibilité de candidater en M1 à l'ISUP après mon diplôme d'ingénieur (école rang B) que je finis cette année. Pour faire simple, les orientations que j'ai choisi au sein de mon école ne me plaisent finalement pas du tout et je ne me vois pas continuer dans le domaine que j'ai choisi. Ce qui est particulièrement dommage c'est que mon école proposait un DD avec l'ISUP et un second avec l'ENSAE mais à l'époque où il fallait postuler je ne pensais pas continuer dans cette voie.
 
Pourquoi je pense que ce métier peut me convenir car :
- J’aime bien les statistiques et j’adore les probabilités !
- J’aime bien également l’économie (j’ai déjà lu des livres d’éco + suivi des cours)
- J’aime bien excel, je l’utilise très souvent pour ma vie perso ou pour faire des simulations
Mais :
- En ce qui concerne les normes et le droit, ce n’est pas ce qu’il m’attire le plus c’est vrai
- A la longue, j’ai l’impression que c’est un métier où on fait toujours la même chose, sortir du secteur doit être compliqué
- Pas le job le plus glamour
- Refaire encore deux ans d’études après un Bac+5 …
 
Alors j'ai plusieurs questions pour lesquelles, même en cherchant bien je n'ai pas trouvé la réponse.
 
Question sur l’ISUP :
 
1) Question un peu simpliste mais : Ais-je mes chances d’être recruté en M1 sachant que les cours que j’ai suivi dernièrement n’ont AUCUN rapport ? J'ai cependant fait des maths/proba/info jusqu'au milieu de la deuxième année d'école + une peu d'économie en 3ème année.
 
2) Si je suis ce parcours, je vais étudier en tout 7 ans. Je m’intéresse donc à la possibilité de faire la filière en alternance en dernière année. Le diplôme obtenu est-il bien le même ? Est-ce dur d’avoir cette filière ?
 
3)Est-il dur après l’ISUP d’être recruté par une compagnie de réassurance (qui me semble être le graal de l’actuariat) ? Ou de faire un Graduate Program chez Axa par exemple ? En fait, par-là, je veux dire, les meilleurs jobs ne sont-ils pas pris par les ENSAE qui passent devant les ISUP ?
 
Questions générales sur le métier d’actuaire :
 
4)J’ai trouvé beaucoup d’informations sur les salaires en début de carrière mais moi ce qui m’intéresse réellement, ce n’est pas de savoir combien je vais gagner demain mais plus combien je vais gagner quand ma carrière aura déjà bien avancé. Alors, à quoi peut-on s’attendre pour les salaires avec 10, 20, 30 ans d’expérience ? Je me doute bien que cela dépend de chacun mais bon …
 
5)Est-ce un métier d’avenir ? Y-a-t-il des risque important d’automatisation ?
 
6)Trouvez-vous le métier « chiant » ? Oui, l’assurance ce n’est pas ce qu’il y a de plus glamour. Au vu de certains des commentaires que j’ai lu, tout le monde n’est pas passionné par le job. A l’inverse, j’ai vu certains profils qui se reconvertissent en actuaire après une carrière déjà bien avancée.
 
Voilà, je vous prie de m’excuser par avance si mes questions ont déjà une réponse sur ce topic. Je l’ai bien survolé mais c’est vrai je n’ai pas lu toutes les pages.
 
Bonne journée & je remercie par avance les âmes charitables qui répondront à ce message  

en vrac:
 
_  sortir du secteur est compliqué, les exits sont d'autres jobs dans l'assurance et certains dans le secteur bancaire
_  faire 7 ans d'études n'est pas spécialement dramatique, finir à 25 ans c'est pas spécialement très grave. néanmoins regarde l'euria ou dauphine, il est possible de rentrer directement en master 2 (il faut cependant avoir le niveau requis) et d'avoir le titre.
 
 
1) Tentes en M1, à mon avis le M2 c'est mort. mets bien en avant l'aspect quantitatif de ton profil. Dans tous les cas tu ne perds rien à essayer.
 
2) même diplôme, après je ne sais pas si il y a une limite de places en alternance.
 
3) la réassurance est un petit secteur d'activité, qui plus est assez international. Donc oui c'est plus compliqué d'avoir un job spécifiquement en réassurance, il faut être mobile ( pas mal d'entreprises en Suisse/Allemagne ).
    par ailleurs, ce n'est pas spécialement un Graal, tout les actuaires ne rêvent pas de travailler en réassurance.
    Pour les graduates programes en assurance, l'isup est un plus. Après pour ce genre de choses, il faut avoir un avoir un profil bon et équilibré  , et avoir l'ensae ou l'isup n'est ni necessaire, ni suffisant, comme dans tous les jobs. (meme si c'est toujours mieux d'avoir l'ensae)
 
4) les salaires augmentent beaucoup avec l'exp (en comparaison avec d'autres métiers rémunérateurs), regardent les enquêtes de l'institut des actuaires concernant les salaires. La médiane est à 75 K€ fixe à 10 ans d'exp, si je me souviens bien. Retiens quand même une chose: un actuaire en France travaillera quasiment exclusivement à Paris, et un salaire de 75 K€ à 35 ans c'est bien, mais il faut aussi relativisé par rapport au cout de la vie à paris (surtout si tu comptes rester et être propriétaire...)
 
5)  métiers "d'avenir" je ne sais pas. A mon avis, il y aura du boulot dans les prochaines années, beaucoup de changements en ce moment dans le secteur des assurances, mais d'un autre côté, le nombre d'actuaire augmentent considérablement.
     le reste d'automatisation est faible je pense, le métier demande une certaine culture en assurance/finance et la réalisation de taches très spécifique.
 
6) personnellement, je suis étudiant en école d'ingé, j'ai fait un stage en actuariat. De que j'ai vu dans l'entreprise ou j'étais, l'ambiance était sympa et jeune, certains actuaires gagnent très bien leurs vies, mais bossaient beaucoup (parfois tard le soir ou travail le samedi matin).
    Je pense que peu de gens le font par passion, comparativement à d'autres métiers similaires. Aussi, le travail est quand même très spécialisé, et  donc tu peux très facilement tomber dans la routine.
 
je te Mp, je pense savoir dans quelle école tu es

Je suis d'une école qui permet d'être actuaire et ingénieur

1)L'ISUP a la réputation d'être matheuse, mais pourquoi pas si ton école n'est pas trop inconnue ? Le but d'un master est d'apprendre ce que l'on ne sait pas, après tout, donc ça pourrait même être un handicap si tu as déjà un M2 actuariat/proba/stat... Mais je suis pas ISUP. Amha, il faut juste pouvoir prouver un bon niveau en maths..

3)Plein d'ISUP/EURIA/UdS voire pire ont de bons postes. A moins de viser super haut et hors assurance rien de rédhibitoire. Si tu n'as pas fait de prépa ou une mauvaise école d'ingé avant, tu seras pénalisés pour les meilleurs postes. Le réseau de l'ENSAE en actuariat est pas forcément meilleur que celui de l'ISUP, car l'ENSAE forme pour d'autres secteurs et a de petites promos. La réass est bien le graal de l'actuariat, surtout chez SCO.R où semble t-il les salaires et augment' sont élevées et le rythme de travail trèès relax. Ce secteur n'est pas forcément toujours le plus complexe et intéressant intellectuellement.

4-5) Attention, il y a eu un gros trou d'air après la crise de 2008, et un afflux excessif de diplômés. Les salaires des expérimentés de 20 ans de 2018 ne sont donc pas forcément ceux que tu auras toi dans 20 ans. Eux ont bénéficié d'un "âge d'or" pré-crise, alors que les actuaires en titre étaient rares. De plus, les enquêtes des journaleux/cabinets sont souvent très optimistes. Quant à l'enquête salaire de l'Institut des Actuaires, elle ne sort plus depuis 2010, officiellement pour un problème d'échantillon statistique Je subodore une méchante stagnation des salaires JD voire des débutants.

Le risque d'automatisation est réel. Les actuaires sont embauchés pour automatiser la MCEV, l'inventaires, Solva II, bientôt IFRS 17... Si un jour l'afflux de nouvelles normes cesse, certains deviendront superflus. De plus, cette demande d'expertise créée beaucoup de postes de consultants avec peu d'avantages (mais assez bien payés et ça recrute)  et peu de CDI en compagnie.

75k€ à 35 ans ne me parait pas un chiffre absurde par rapport à mon expérience limitée. Cela correspond à 12 ans d'XP. Si l'on inclut les bonus, c'est assez réaliste.

6) Le métier peut être très chiant niveau normes, inventaires et surtout du fait que tu ne peux pas changer facilement de taf ou choisir ce qui te plaît car c'est assez spécialisé et un peu saturé pour les jeunes. Mais c'est pas forcément plus ennuyeux que d'autres métiers d'ingénieurs ou style CDG, marketing, finance, etc...

Un des défauts peu connu de la profession est qu'elle ne s'exporte pas si bien que ça à l'étranger (mauvaises équivalences du titre français) et est avant tout localisée dans les grandes villes (Paris et un peu Lyon, Strasbourg et... Niort). Alors qu'un mec qui code dans un langage alakon ou est admin réseau peut aller faire n'importe où son taf ; étranger, province, etc...

D'ailleurs l'institut des actuaires met pas mal en avant ses formations "Big Data" ; une manière de montrer que ce que l'on sait faire (économétrie, stats...) peut être très utile ailleurs, mais aussi un aveu que le métier d'actuaire stricto sensu est en perte de vitesse... Vu ton profil, si tu ne veux pas te prendre la tête, il pourrait être plus pertinent de se spécialiser vite fait dans ce domaine à la mode (même si c'est un feu de paille) que de consacrer 2 ans au titre d'actuaire... Mais tout dépend de ton école. Si tu arrive à faire M2 direct ou le Master en un an de l'ENSAE why not.

Bonjour à tous.
 
Je me présente : j’ai soutenu mon mémoire d’actuariat en mai 2016 (à 31 ans), au terme d’un master du CNAM commencé en 2012. Avant cela, mon cursus était universitaire (master de statistiques appliquées obtenu en 2008), avec un bagage mathématique nettement plus léger que dans les formations qui mènent directement au titre d’actuaire (ISFA, ENSAE, ISUP).
 
J’ai également travaillé comme chargé d’études statistiques et de conception chez un grand assureur français pendant 8 ans, en Ile-de-France (où je réside toujours). J’ai surtout été mobilisé sur l’assurance santé complémentaire individuelle, ainsi que sur l’assurance dépendance et prévoyance, parfois sur l’assurance automobile et habitation. J’ai fait beaucoup de tarification, de suivis de risque, de lois biométriques, d’analyse de portefeuilles. Mon mémoire, effectué au sein de l’entreprise, portait sur de la modélisation du risque (tests de modèles d’apprentissage pour l’évaluation et la segmentation de primes pures).
 
En disponibilité depuis quelques mois, je cherche à me reconvertir dans l’actuariat freelance.  
 
Mais je me pose ces questions :
 
- Quelles sont les meilleures places de marché pour trouver des missions d’actuariat indépendant ? Je cherche bien entendu de mon côté, mais si vous avez des avis et opinions sur certains sites, ça m’intéresse.
 
- Le fait de ne pas être un actuaire qualifié (je ne suis qu’associé à l’Institut) pénalise-t-il ma démarche ?
 
- J’ai peu travaillé sur les problématiques Solvabilité II (même si j’ai suivi des formations, au CNAM et chez mon ex-employeur), et me sens peu compétent sur ce domaine : est-ce un grand obstacle ?
 
- Je n’ai pas encadré d’équipe, pas même de stagiaire : est-ce limitant ?  
 
- Un point que j’espère plus positif : durant l’ensemble de mon activité salariée, j’ai fait beaucoup de programmation, de développement d’applicatifs pour la tarification et le reporting. Par ordre d’affinités décroissantes, je développe en Python, SAS, VBA, R et Matlab. J’ai envie de proposer à mes clients de finir mes travaux en leur livrant des applicatifs qui leur permettront, après la fin de ma mission, de modifier/ajourner mes calculs en les reparamétrant, avec une notice claire, et qui seront utilisables même par des non-programmeurs. Est-ce, selon vous, intéressant pour des clients ?
 
Je vous remercie d'avance de vos réponses.

Salut !
 
Je rentre en M1 Maths Appliquées Parcours Actuariat à Dauphine. J'ai plusieurs questions.
 
1) Admettons que je poursuive en M2 actuariat, est ce que je pourrais faire un stage à l'étranger ? Est ce facile à trouver ?  
 
2) Pour travailler par la suite à l'étranger (USA/Londres), devrais-je faire la même chose que les étudiants qui sont déjà là bas ? Je veux dire, devrais-je passer les 14 examens dans les mêmes circonstances ?
 
3) Enfin, j'hésite entre un M2 Actuariat et un M2 en finance quantitative (en réalité, j'aimerais bien faire le M2MO, je sais pas si je serai pris mais dans le cas favorable j'hésite encore entre le parcours finance et le parcours data science), est ce que faire le M2 en quantitatif serait un gros plus pour ma carrière d'actuaire ?
 
4) Enfin, est ce que ça vaut la peine que je tente d'intégrer l'ENSAE l'an prochain, en perdant un an ? Pour au final être actuaire.
 
Merci.  

Bonjour,
 
Je suis étudiant en master de stats, j'ai l'occasion de faire un stage de fin d'etude dans une mutuelle en tant qu’actuaire risk.
Je serais chargé du calcul des provisions en prevoyance, sachant que je dois tout coder et modéliser sur SAS, car pour l'instant c'est réalisé sur access. Par ailleurs, je devrais optimiser le calcul des provisions en non vie et assurer la veille règlementaire S2.  
Vous pensez que le contenu est intéressant ?
Ca peut bien se revendre pour faire un MS actuariat derrière mon m2 qui ne délivre pas le titre ?
Merci

Je n'étais pas passé depuis longtemps, désolé.

1) Ça peut se trouver, mais c'est assez peu naturel. Sachant que dans la plupart des cas, étranger = UE.

2) C'est très préférable. Le titre français peut te donner droit à des exonérations de passages d'examens cela dit, et il y a toujours des VEE. Tu peux aussi commencer à en passer en France, les exams P/FM/MFE sont assez faciles de mémoire.

3) Si tu veux faire de l'actuariat financier (modélisation d'actifs...) oui. Sinon non.

4) Si tu veux faire de l'actuariat financier et que tu veux faire le M2 finance quantitative, oui. Sinon, privilégie le M2 actuariat.

Le stage peut être intéressant en soit, mais tu ne feras pas réellement ça, la description est un peu bullshit.
Oui, le MS actuariat est un bon plan

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À moi
Je commence à me renseigner sur la qualification, et en particulier sur le mémoire d'activité actuarielle. J'ai compris en partie ce qui était attendu, mais j'aimerais avoir des exemples concrets. Y en a-t-il de disponibles quelque part ? Est-ce que ça se fait d'aller voir des actuaires récemment qualifiés pour demander des retours d'expérience (y compris de personnes qu'on ne connaît pas forcément) ?

En termes de structure, je me vois bien faire un listing des missions du genre :
- Mission 1 : mise en place et calibrage d'un modèle USP
- Méthodes : préconisées par l'EIOPA. Merz-Wuthrich, boni-mali...
- Conséquence : down du SCR de X% au 31/12/N par rapport à simulation formule standard

- Mission 2 : ...

Etc. En revanche, je vois assez mal ce que je peux faire comme introduction (je travaille depuis X ans comme chargé d'études actuarielles... ?) et comme conclusion (je mérite donc ma qualification ???).
Si je comprends bien, pas de présentation orale contrairement au mémoire par exemple ? Donc impossibilité de répondre à des questions/de reformuler des incompréhensions ou mal-dits... ?

Peut-on demander à un supérieur hiérarchique (N+1 ou N+2, par exemple) d'être son référent ?

Quels types de missions peut-on mettre dans ce rapport ? Il faut que ce soient des grosses missions, ou bien des missions plus ponctuelles et "accessibles" peuvent aussi être intéressantes ? Quid des sujets récurrents ? (Ex : calculs trimestriels Solvabilité II, où on réalise des améliorations en continu pour aller plus vite, sans pour autant faire quelque chose de spécial du pdv actuariel)

J'aimerais passer la qualification courant 2019, mais j'aimerais aussi commencer à préparer un rapport d'activité actuarielle en 2018, sachant que je me prends un gros rush en début d'année (résultats S2 T4/annuel, les QRT (...) et le T1 qui chevauche limite avec les QRT annuels).

De manière générale je prends touts vos retours d'expérience sur la qualification

Fail double message sorry

 
pour les USA, il n'y a d'exonération que si tu bosses 7 ans aux USA...Concernant l'UK, les équivalences risques de changer avec le brexit (MRA notamment...). Sinon, la SOA vient de changer ses examens, je ne suis pas trop les examens pour être associate étant donné que je le suis déjà, mais pour l'examen MFE n'existe plus et a été remplacé par un autre.
 
 

Rien de disponible à ma connaissance...sauf si tu as des collègues actuaires qui l'on déjà passé.  
Sinon, des retours d'expérience sur quoi? tu as un oui ou un non à la fin, rien d'autre...
 

on ne demande pas un listing de méthodes !!! Aucune présentation, juste un rapport lu par un membre de la commission de qualification.
 

Oui.

on s'en fiche...on veut juste voir que tu as fait des trucs d'actuaire.
 

j'ai fait mon truc en une semaine hein !
 
 

Merci pour la réponse
 
Je n'ai aucun collègue actuaire qui n'a passé la qualification, en tous cas sous sa forme actuelle...
 
En ce qui concerne le contenu du rapport, je pensais bien entendu à quelque chose de plus rédigé, mais la notice de l'IA a l'air assez carrée sur ce qui est demandé... et compte tenu que mon poste est très généraliste, mon travail couvre un périmètre très large, ce qui implique d'être moins technique, moins expert sur des sujets particuliers. Par conséquent, j'ai peur de faire un truc fourre-tout, qui soit finalement dénué de sens, et pas très technique... mais c'est peut-être une crainte injustifiée.

Trop cher.

Ca dépend du domaine d'activité...

Oui.

Non, ca ne donne pas le titre d'ASA...alors que le CERA passé avec la SOA le donne. Je pense que ça ne donne même pas les crédits pour l'Exam ERM qui sert pour le titre FSA, il faut tout repasser.  

Bonjour à tous,
 
Actuellement en 2A au DUAS, je cherche un stage de 3 mois pour l'été prochain et une alternance pour l'année prochaine.
J'aimerais bien savoir ce que vous pensez des différents secteurs actuellement (compagnie, conseil, réass), quelle serait votre recommendation et si ce post de inconnu35 est toujours d'actualité.
 

 
Aussi, j'ai remonté le topic et j'ai vu ces fameuses "tier lists". Quels sont les critères qui ont servis pour catégoriser les différentes boites ? Je n'ai pas réussi à les trouver malheureusement.
 
Merci!

Salut a tous je dois faire une rapide interview d'un actuaire pour mon projet de fac, si quelqu'un aurait l'aimabilité de le faire merci de m'envoyer un mp

 
Je suis disponible si tu veux.

Salut,  
 
je dois aussi faire une interview pour mon projet de fac si quelqu'un est prêt à répondre à mes questions pour une interview qu'il m'envoie un mp !

Chère population Hardware !  
 
J'aimerais vous solliciter pour avoir quelques précieuses informations nécessaires pour donner un cap à ma carrière !  
Je suis étudiant en actuariat et j'ai un entretien dans un cabinet de conseil en actuariat pour un stage de fin d'études ! j'aimerais savoir si des personnes on fait leurs stages chez "Forsides" afin d'avoir des retours d'expériences, les sujets traités durant leur stage, comment s'est passé l'entretiens ... quelqu'un ?  
 
Merci les z'amis !

J'ai travaillé avec leur DG et des associés, ils ont bonne réputation et bossent bien. Ils font des missions de plus en plus variées, par la force des choses

Pour ceux qui travaillent sur l'ALM, quelle duration attribuez-vous aux poches actions cotées et non cotées ?
(1 / rendement attendu) ?
Je dois connaître la duration des actifs. Facile pour l'obligataire et le monétaire, mais le reste...

Même si c'est trop tard.
En théorie, ta courbe des taux est sensée converger, donc tu peux poser ta duration comme une série.
En pratique... bah ça dépend. Selon le domaine dans lequel tu travailles (épargne nécessite un calcul précis et IARD beaucoup moins), selon le poids de ta devise (si t'as 0.1% de ton actif en PLN osef de faire un calcul précis)... on voit tout et n'importe quoi, entre ceux qui feront un calcul précis via une série, ceux qui poseront un horizon de ruine via la notation, ceux qui mettront une duration générique...

 
question pour le topic :
 
pour un JD qui prend un poste d'analyste financier dans une filiale d'assurance vie à l'étranger, c'est quoi les débouchés/évolutions possible ? est que c'est worth it pour un diplomé ingé groupe B avec un bon cv ?

 
Ton diplôme ingé groupe B est très cool dans un premier temps mais à terme faudra envisager de passer le titre d'actuaire pour pouvoir évoluer plus rapidement.

S'il reste dans l'analyse financière et bouge dans une banque par la suite pas forcément.

Ya des fonctions clé ici ?

 
Finalement j'ai une piste pour une offre dans une autre filiale à l'étranger, en VIE.
 
8 premiers mois ~ contrôleur financier
puis pendant 6mois -- 1 an ~ actuaire/ chargé d'étude actuarielle
A noter que le taff se fait uniquement dans la langue locale.
 
 
*Mes objectifs pour après le VIE, c'est typiquement de rentrer dans un graduate programme/poste équivalent en "finance" ou IT dans une banque/assurance/entreprise telecom -- tech, si possible à l'étranger.
*J'ai un bon profil en IT/informatique, un peu moins solide en statistique/finance, et un diplome d'ingé du bas du groupe B.
*L'offre m’intéresse car :
_ je pense apprendre pas mal de choses en finance-assurance de manière générale.  
_ apprentissage de la langue locale, qui est un gros atout.
_ ville & environnement plutôt sympa
_ bon brandname sur le CV + expérience à l'étranger.
 
Est ce que cela vous parait cohérent? A votre avis, après ce job, est ce qu'un move dans une autre fonction en banque/assurance sera facile ?
 
merci pour vos réponses  

A priori oui, toute expérience que tu peux prendre dans le milieu sera bonne, et un VIE t'aidera grandement à crédibiliser ton CV pour un CDI dans le domaine lorsque les études que tu as faites ne sont pas totalement adéquates. Quoique dans le Big Four ce serait déjà jouable compte tenu de ton profil je pense.
Mais tu veux faire quoi exactement ? Auditeur ? Analyste financier ? Actuaire ?

 
Pour donner un ordre d'idée,  j'ai fait un stage en actuariat,  mais peu de mes cours ont été en finance,  principalement informatique avec un peu de math/finance.
 
Et concernant les jobs,  j'en sais rien,  je veux juste percer    . Plus sérieusement, actuaire a priori c'est pas le truc qui me branche le plus,  je me vois bien actuaire pendant quelques années (2-3 ans) mais pas plus. J'ai pas vraiment de connaissances des métiers financiers en banque & assurance, donc difficile de choisir. La en y refléchissant, tous les métiers un peu analytique liés aux investissements (analyste financier etc ...), ainsi que ceux concernant la strategie d'entreprise ( faire les prévisions financières de l'entreprises, auditer des filiales etc etc... ) me plairait.
 
Les seules certitudes que j'ai:  
_ J aime voyager et j'aimerai parler plusieurs langues,  donc un taff où je pourrai parler plusieurs langues me plairait bien.  
 
_ Si possible un taff un minimum intellectuel avec de l'interaction avec d autres personnes. Par exemple pas de R&D car je trouve ça trop solitaire comme job,  mais pas non plus un job de pur commercial car c'est pas très intéressant intellectuellement.  
 
_ qui offre de bonnes conditions, même si il faut bosser plus que la moyenne et que c'est pas un secteur d activité "sexy".

Tu ne sais pas exactement, du coup. Pas de soucis mais dans ce cas-là pourquoi vouloir travailler en banque ou assurance ?
De ce que tu es en train de dire j'ai l'impression que faire de la tarification en (ré)assurance te conviendrait assez bien. Tu es relativement proche du business sans pour autant être un commercial, t'as pas mal d'interactions et de mon expérience c'est in peu moins technique que de l'ALM ou S2. Ou pourquoi pas auditeur interne, ça peut correspondre si tu es curieux de base.
 
Dans ce cas-là un VIE peut être une bonne porte d'entrée. Ou, si tu es prêt à souffrir pendant quelques années, un poste d'actuaire auditeur dans le Big Four ou Mazars.

 
pourquoi la banque/assurance ? J'ai principalement fait par élimination pendant mes études. Au final il reste le secteur de la banque/assurance, ainsi que le secteur des telecom/de la defense/du "web".
 

 
Actuellement, si je décide d'aller en banque/assurance hors IT, je peux faire data analyst/scientist(pas trop pointu) assez facilement, actuaire moins facilement (je me manque de culture en finance/assurance), audit financier assez difficilement. Le reste me parait difficile à avoir, à moins d'accepter une offre vraiment au rabais.
 
pour l'instant, je cherche un job qui me ferme le moins de portes possibles en banque/assurance, si possible à l'étranger, et qui me laisse un peu de temps pour passer une certification dans le domaine (le CFA par exemple). le VIE je trouve que sur le format c'est pas mal, c'est généralement assez "encadré", original et court.