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Auteur | Sujet : CR Vacances & Voyages |
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Peyes |
Publicité | Posté le 07-09-2012 à 17:03:38 |
lechewal des sensations...bien | Ses photos d'islande sont à tomber aussi |
sytchev013 PHI_ADE_PHIA EAG_ES | ça me conforte bien dans l'idée que j'irai un jour là-bas --------------- Me suivre sur le Continental Divide Trail => Le long chemin de Rémi |
Profil supprimé | Posté le 08-09-2012 à 23:20:16 Super merci ! |
Pantadarell | La Turquie Aujourd'hui débute donc le récit du voyage de 15 jours que j'ai effectué en Turquie en Août 2010.
Deux petits points à préciser :
Message édité par Pantadarell le 30-09-2012 à 21:11:13 |
tourtour | Superbe
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Publicité | Posté le 09-09-2012 à 19:43:27 |
trezoman | très sympa ton CR sur la Turquie, bien écrit en plus .
--------------- Prêt pour l'aventure ! |
Pantadarell | Yep, les paysages arrivent bientôt, avec le roadtrip. |
tourtour | Le petit dej' |
Kivi_ raboteur de parquet | |
Donkey' ᕙ༼*◕_◕*༽ᕤ White ☝ → | powa ce cr de ouf malade |
trezoman |
--------------- Prêt pour l'aventure ! |
Profil supprimé | Posté le 13-09-2012 à 21:33:19 Merci Pantadarell ! |
Pantadarell |
_sentenza_ Houba Houba Hop !!! | Beau boulot ! |
tourtour | On en veut encore |
Pantadarell | La Turquie - De l'antiquité à la modernité - Etape 1: Istanbul (Jour 5)
Aujourd'hui, nous nous levons relativement tôt pour aller, enfin, visiter la basilique Sainte Sophie ! C'est cette basilique qui est encore debout aujourd'hui, modifiée, réparée, transformée. C'est en effet ce qui fait la particularité du lieu : c'est un joyeux mélange de toutes les cultures qui ont influencé la ville d'Istanbul, l'emblème parfait du multiculturalisme de la région. En effet, commandée par Justinien, alors Empereur Romain d'Orient, la basilique va traverser des tremblements de terre, incendies, conquêtes et autres changements de régimes qui modifieront sa fonction : Place à la star : nous approchons de la basilique en la longeant sur deux côtés. Ce qui donne l'occasion de voir des manifestations materielles de son Histoire : les minarets, signes distinctifs des lieux de culte musulmans, sont imposants, et on observe d'énormes arcs-boutants qui soutiennent les murs, sans doute construits suite à un tremblement de terre ou aux destructions engendrées par les Croisés. A l'époque de notre visite, la mosquée est dans un état qu'elle a connu à peu près à tous les moments de sa vie : elle est en réparations !! Ainsi, nous voyons des échafaudages à droite et à gauche, des échelles pour les ouvriers, des outils et tout le bazar nécessaire aux rénovations : Nous finissons par pénétrer à l'intérieur. Contrairement à la Mosquée Bleue visitée quelques jours plus tôt, on ne pénètre pas directement dans la salle principale. Il existe en effet un réseau de couloirs qui entourent cette dernière. Ils sont richement décorés, et on aperçoit déjà quelques unes des mosaïques qui participent à la renommée de l'édifice. Les couleurs sont vives, les portes finement travaillées, les sols et la moitié basse des murs sont pour la plupart plaqués de marbre blanc. En tout cas, au début. Car on passe assez vite à des couloirs ayant l'air beaucoup plus vieux, avec des sols beaucoup plus irréguliers et des décorations beaucoup moins fines. Je trouve tout de même un certain charme à l'endroit. Nous pénétrons enfin dans la basilique à proprement parler : la salle centrale. Et là, c'est la claque ! L'endroit est IMMENSE. 56 mètres de hauteur maximale sous la coupole, plusieurs étages de galleries séparées de la salle par des murets et colonnes de couleur blanc/gris, un plafond peint en jaune, des fenêtres laissant entrer une forte lumière blanche. C'est époustoufflant. Un mélange de couleurs, une impression d'être minuscule, le bruit ambiant est étouffé par l'immensité du lieu. Un mélange d'émotions incroyable. Nous nous promenons quelques instants en bas, écrasés par les siècles, le nez en l'air et l'esprit rêveur. Arrivés au premier étage, nous découvrons de larges halls, à nouveau richement décorés. C'est l'une des parties les mieux restaurées de la basilique. La lumière est beaucoup plus forte que dans la salle principale. Nous pouvons donc admirer à loisir de nombreuses mosaïques murales qui ont réussi tant bien que mal à traverser les remous de l'Histoire. Malheureusement, de nombreuses mosaïques ont été détruites à l'occasion de tremblements de terre et de guerres, mais aussi complètement sciemment, notamment au VIIIème siècle, quand un Empereur Bizantin instaurera une période d'interdiction de vénération des icônes. Les restaurations ont cependant fait des miracles. Vue d'en haut, on se rend mieux compte de la taille du bâtiment : hors catégorie. Mais le point de vue est superbe, et nous continuons tranquillement notre tour, allant de points de vue magnifiques en mosaïques surprenantes. L'architecture particulière donne également des points de vue inouïs sur la ville. Les coupoles, minarets et autres toits de la ville s'étalent sous nos yeux qui doivent se rhabituer à la forte luminosité. La visite n'aura sans doute duré qu'environ une heure et demi, mais on en prend plein les mirettes. C'est superbe, et on arrive même par moment à faire abstraction des masses de touristes se massant dans les entrailles de la bête. L'espace est suffisant pour pouvoir poser son regard sur une zone moins passagère. Quelle visite ! L'un des passages obligés lors d'une visite d'Istanbul, mais qui en vaut entièrement la peine. Nous allons ensuite déjeuner en avisant de la suite : il nous reste une après-midi à Istanbul. Nous décidons d'aller visiter les bazars de la ville afin de faire un peu de shopping cadeaux/souvenirs, car lors de notre retour à Istanbul après notre roadtrip, nous pensons que nous n'aurons pas le temps de le faire. Direction donc le quartier du bazar. Les rues sont très animées et nous nous faufilons avec difficulté. Mais nous sommes à l'ombre une bonne partie du chemin gràce à un système de toiles tendues au dessus des rues pour protéger les passants et commerçants des rayons meurtriers du soleil. Je n'ai malheureusement pas pris de bonne photo de l'intérieur des bazars. Il faut imaginer des réseaux interminables de couloirs aux voutes en pointe, avec des boutiques larges de quelques mètres (en général 5-6 mètres au maximum) et du monde PARTOUT. C'est blindé. Il faut faire attention à ses effets personnels, car les touristes sont pris pour cible par des pickpockets agiles ! Tout se négocie au bazar. Les prix, les quantités... C'est assez amusant pour certains, énervant pour d'autres... On accède au bazar par plusieurs portes d'entrée, toutes ayant un charme particulier. En général, un représentant de la Loi s'assure de la sécurité de chacun et renseigne les visiteurs sur le chemin à suivre pour se rendre aux endroits x, y ou z. Nous sommes tombés plusieurs fois sur des policiers très aimables. Agréable. Nous faisons nos emplettes. Je repars avec un service à thé, des babioles et des épices. PLEIN d'épices. A prix cassé et qui feront le bonheur de mes papilles pendant très longtemps. Finalement, fatigués par plusieurs heures de marche et de station-debout, nous allons manger une glace. Nous restons à observer les réactions des touristes. Souvent, le procesus est le même : au début, on rigole. Puis on se demande quand il va finir par nous la donner cette glace. Enfin, on s'énerve quasiment. Et puis quand on est finalement en possession de la chose... elles sont quand même bonnes ces foutues glaces ! Nous continuons à nous ballader, allons dîner, et nous couchons très tôt. En effet, le lendemain, nous allons de très bonne heure à l'aéroport pour déposer certains d'entre nous qui rentrent à Paris, et prendre la voiture de location pour entamer le roadtrip, à deux (avec ma soeur).
Maintenant, place à l'aventure !! Edit:
Message édité par Pantadarell le 15-09-2012 à 15:32:23 |
sytchev013 PHI_ADE_PHIA EAG_ES | --------------- Me suivre sur le Continental Divide Trail => Le long chemin de Rémi |
Pantadarell | Hésitez-pas à poser des questions si vous en avez, histoire de flooder un peu. Parce que là, la page commence à devenir un peu longue à loader... |
tiibo A chacun sa façon de voyager. |
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Pantadarell | La Turquie - De l'antiquité à la modernité - Etape 3: Side, Aspendos, Perge (Jour 7) * * On ne le dira jamais assez : aller en Turquie en plein mois d'Août, c'est une bêtise ! Il fait extrêmement chaud, et il y a des touristes partout ! Du coup, quand on a la chance de tomber sur une chambre avec climatiseur, on se rend compte à quel point on est plus frais le matin... (je parle en pur parisien, hein... les sudistes seront moins dépaysés !) C'est le cas, en ce 7ème jour du voyage. En revanche, la douche est toujours pourrie, avec une salle de bain où les toilettes, le lavabo et le pommeau de douche sont tous dans 1,5 m², avec une évacuation au sol et basta ! La voiture est garée à quelques centaines de mètres de l'hostel, car le centre ville historique est réservé aux piétons. C'est très sympa, des ruelles dans tous les sens, des boutiques, des chats errants, du monde se promenant lentement en ce début de matinée ensoleillée... Nous avons pris 2 nuits dans l'hostel à Antalya, car il y a pas mal de choses que nous voulons voir à l'Est de la ville, tandis que notre voyage va vers l'Ouest. Heureusement, on ne va pas trop loin, et nous retournerons dormir à Antalya le soir : Point B : Side Direction Side, donc, en bord de Mer Méditerrannée. La route n'est pas particulièrement intéressante, on traverse des zones assez habitées, on sent que la côte est touristique à cet endroit. Beaucoup d'hôtels, des resorts de luxe, des piscines, des centres commerciaux et magasins... Pas ce qu'il y a de plus passionnant. Mais cela nous permet de nous équiper en chapeaux, crème solaire et autres bouteilles d'eau. Le parfait panier du voyageur pas préparé à affronter les 40 degrés quotidiens en plein cagnard. Nous arrivons à Side, où des ruines Grecques datant du VIIème siècle av. JC bordent la mer. Nous remarquons tout de suite que les ruines sont vraiment en bord de route, en accès libre aux visiteurs, pas protégées pour deux sous... Ici, d'anciennes boutiques qui longent la route qui menait au centre ville depuis la porte principale taillée dans la muraille d'enceinte. Le cadre est sympa. On aperçoit au loin la chaine de montagnes que nous avons traversée la veille, certains pics s'élevant au-dessus des 3000 mètres. La mer est bleu profond. La végétation est très... méditerranéenne : de l'herbe "brûlée", des pins, quelques oliviers. Des paysages qui ressemblent à ce que j'ai pu observer en France du côté de Grasse / Fayence, dans l'arrière pays Niçois au niveau des premiers contreforts des Alpes. Les ruines sont intéressantes et variées. Le port a été successivement Grecque, Romain et Byzantin avant d'être abandonné au VIIème siècle, lors des attaques arabes. Tous les bâtiments typiques de ce genre de villes de l'antiquité y passent, un théâtre, une agora... L'état de conservation est très bon, mais l'organisation du site est très mauvaise, les fouilles pas finies. Des machines sont en place, on sent que le site est en chantier. Nous trouvons cela étrange, et sommes un peu desarçonnés. Nous nous attendions à un peu plus d'ordre. Nous nous accomodons de cet état de fait et poursuivons notre visite, ce qui permet d'observer de belles colonnes remontées par les archéologues, des bains en marbre en assez mauvais état... C'est notre première visite de ruines antiques, je ne suis pas encore bien habitué à la topographie de ce genre de lieux, et les photos s'en ressentent : peu sont montrables... Nous ne nous éternisons pas, car le programme de la journée est chargé. Direction Aspendos ! Nous sommes équipés d'un guide de voyage, acheté à Paris. Malgré le fait que l'ami Turque rencontrée à Istanbul nous ait dit que son auteur était peu apprécié en Turquie même, les informations incluses font leur boulot, et nous indiquent des endroits sympas où nous arrêter. Ainsi, sur le chemin, nous faisons un tout petit crochet pour aller observer un pont Seldjouke au-dessus de la rivière Köprüçay. Bâti sur les fondations d'un pont romain, le pont actuel a plus de 700 ans. Il est en zigzag car les fondations romaines auraient été décalées par le courant. Nous reprenons la route et arrivons peu de temps après à Aspendos, dont l'intérêt principal est un théâtre romain. Comme beaucoup de colonies grecques de la région, elle a d'abord été indépendante, puis est tombé sous le joug d'Alexandre le Grand lors de son passage en Asie mineure. Puis, les romains prendront le relai avant que la ville ne soit abandonnée au moment des invasions arabes au VIIème et VIIIème siècles. Cela diffère beaucoup du profil des ruines antiques trouvées en Europe de l'Ouest. En France, par example, les villes romaines telles que Massilia, Lugdunum ou Lutecia n'ont pas été abandonnées, mais plutôt modifiées, changées par deux millénaires d'occupations successives par des civilisations différentes pour donner Marseille, Lyon et Paris. Dans nos contrées, quand un bâtiment n'était plus utilisé, il était détruit et les pierres qui le composaient été réutilisées ailleurs. En Asie mineure en revanche, les pierres sont toutes restées, ce qui créé une abondance de sites d'une richesse extraordinaire, à peine explorés. Ainsi, à Aspendos, la ville en elle-même n'est pas vraiment visitable, car les archéologues ne sont pas encore passés par là. En revanche, son théâtre a été restauré au XIIIème siècle par un sultan pour en faire une résidence secondaire ! Ce qui donne le théâtre antique le mieux conservé que j'aie eu l'occasion de voir. Contrairement à celui d'Orange, qui a été restauré récemment, et offre tout le "confort" moderne lors de spectacles tous les étés, celui-ci respire encore l'authenticité. L'immensité du lieu est surprenante. Les marches menant vers le haut des gradins sont irrégulières et un peu casse-gueule... Mais la vue d'en haut est magnifique. De plus, la gallerie située tout en haut est très appréciable : un peu d'ombre bienvenue. Vraiment incroyable. Nous nous apprêtons à partir quand nous réalisons qu'un petit sentier mène vers le haut de la colline à laquelle le théâtre est adossé. Nous entamons donc l'ascension des quelques dizaines de mètres sous une chaleur accablante. Ma soeur fera d'ailleurs un tout petit malaise. Assuré qu'elle va bien, après avoir bu un peu d'eau, je la laisse se reposer à l'ombre et poursuis tant bien que mal. Et cela en a valu la peine : la vue d'en haut est à couper le souffle : On aperçoit également les restes en friche de nombreux autres bâtiments : un stade, une agora, une basilique... Sans aucun doute de bien belles choses, mais comme dit plus haut, non visitables car non excavées. Dommage. Je me ballade quelques minutes sur des sentiers de gravier au milieu d'ébauches de murs et de bâtiments avant d'amorcer la descente. En chemin vers la voiture, une scène marrante, montrant un peu l'envers du décor. Les acteurs aussi souffrent de la chaleur. Ravis par ce que nous avons vu, nous repartons toujours vers l'Ouest, direction Pergé. La ville est vieille de 3 millénaires ! L'une des villes majeures de la région pendant de longs siècles, elle s'est développée grace à son port fluvial, à 17km de la côte, et donc à l'abri des attaques des pirates. Comme Aspendos, elle sera abandonnée, mais à la différence de sa voisine ce ne sont pas les arabes qui chasseront les habitants, ce sera plutôt le fleuve devenu non-navigable qui les poussera à trouver des contrées plus accueillantes. Le long de la route qui mène au parking se trouve un stade géant, fort de ses 12.000 places. En relativement bon état de conservation, sa taille indique l'importance de la cité à l'époque romaine. Il doit faire dans les 200m de long... La ville de Perge elle même est une visite géniale ! On se ballade en complète liberté au milieu des ruines. L'agora est gigantesque, la quantité de colonnes relevées un peu partout donnent l'impression de faire un saut dans le passé. Nous errons pendant plus d'une heure dans la ville, entourée d'une enceinte plusieurs fois restaurée au cours de la vie de la cité. On distingue très bien les anciens bâtiments, et des panneaux explicatifs décrivent leur fonction : les thermes, les boutiques, les habitations... Ce qui rend l'endroit si magique à mes yeux, c'est que l'on voit à quel point la nature a repris ses droits. La cité a été recouverte d'une dense végétation, même par des champs de maïs sauvages. Dans les zones non fouillées, les pierres sont à moitié recouvertes de terre, d'herbes sauvages et autres arbustes. L'ambiance est quasi-indéscriptible. Je me suis même pris à philosopher sur le passage du temps, l'Histoire, et "on est bien peu de choses, n'est-ce pas Madame Michel !" On observe sur le plan suivant que la ville (en gros 400m de haut sur 500m de large) est encore quasiment entièrement recouverte de végétation. Seuls le quartier de l'agora et des thermes (au Sud), la rue principale et ses boutiques, un quartier d'habitation à l'Est et la muraille Ouest ont été fouillés. Imaginez qu'un jour la ville entière soit mise à nu ! Quelle vision ce serait. Parallèlement, l'ambiance actuelle est si spéciale que l'on risque de perdre ça si la végétation disparaît... Nous sommes décidémment enchantés d'avoir visité ces sites. Pour une première journée de visite, on en a pris plein les yeux ! Nous commençons même à nous habituer à la chaleur extrême (40 degrés largement dépassés au soleil) qui participe à l'expérience. Sur la route du retour, nous faisons une dernière étape de 15 minutes dans un petit coin de paradis sur terre. Un sous-bois avec une petite cascade : il fait 15 degrés de moins qu'au soleil, le choc thermique est puissant. Mais les jeux de lumières, les couleurs, les bruits sourds sont charmants. Une journée très remplie qui laisse augurer du meilleur pour les jours qui viennent. Une fois n'étant pas coutume, nous nous écroulons de fatigue le soir, après un dîner excellent dans un petit restaurant du centre d'Antalya. Demain, programme chargé ! Message cité 1 fois Message édité par Pantadarell le 17-09-2012 à 21:07:22 |
wardal68 | Magnifique CR sur la Turquie, plus beau pays du monde (Je dis pas ca parce que je suis Turc hein...)
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Peyes |
+1.. l'an dernier à Bryce on avait eu 0°C pil-poil (en tente ). Pas si surprenant, c'est +/- à 2000m d'altitude en fait (de mémoire).. edit : en pleine nuit hein , de jour il faisait bien 30°C Message édité par Peyes le 17-09-2012 à 20:57:29 |
Kaffeine Noisette | CR superbe |
wardal68 | Superbe! --------------- Mon Feedback |
tiibo A chacun sa façon de voyager. | Vraiment superbe... ça prend un temps fou en plus.
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Pantadarell | Non, c'est pas lonely planet. De mémoire, c'est un bouquin qui ne fait pas partie d'une collection type lonely ou le routard... |
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