Reprise du message précédent :
Je drapalise un peu le topic et je constate que même dans les plans foireux, en présence de très jeunes demoiselles, le HFRien reste quand même droit dans ses godasses...  

Et bien tout ça me rappel une histoire qui m'est arrivé pas plus tard que cette nuit...

Je pose le contexte, je m'installe à **** et pour le premier dredi je décide d'explorer un peu les coins animés. Sentimentalement je suis avec une nana qui joue la distance donc soirée en mode solitaire... je rentre d'un restau qui s'est fait à 120 km de là donc pas eu le temps d'organiser quoi que se soit avec les 2 ~ 3 potes que j'ai sur place.
Qu'à cela ne tienne, je suis chow pour aller me caller devant un peu de son et passer un soirée à triper dans ma tête comme tout bon sans amis sait y faire

Je fini dans une péniche, la musique est bien à chier mais tolérable, j'ai décidé de pas faire le difficile et de laisser l'atmosphère s'installer dans ma tête    Tout ce passe comme prévu, j'emmerde personne, personne m'emmerde    Après pas mal de calories brûlées au milieu des gens, une petite blonde se met à m’aguicher, voila que la soirée n'est peut être pas perdue    On se met à danser collet serré pendant un moment, y a du contact mais sans plus, on se marre tout va bien  

La soirée passe et je tape la discute avec la nana, elle me dit que je suis cool, qu'elle est pas très rassurée parce que tous ses amis ont fini la soirée sans elle, elle est un peu en lose et a besoin d'un homme pour lui tenir compagnie au milieu de la foule nocturne hostile. C'est que la petite n'a que 18 ans      (j'en ai 28) et ne peut pas rentrer à la maison à 4h du mat sinon papa va lui taper sur les doigts.

Là je commence à me dire que c'est bien de pas avoir lorgné sur cette nana toute la soirée car la situation serait devenu bien gênante   ... on s'échange des convivialités, je lui dis que j'ai une nana, elle me dit qu'elle est lesbienne, woké ma belle, c'est ton choix   Au final ça arrange tout le monde  

Quand elle apprends que j'habite à deux pas  elle me confie qu'elle a envie d'attendre le 1er métro callée au chaud chez moi. Ben why not, j'ai au moins quelqu'un avec qui blablater pour finir la soirée. Il faut dire qu'en plus je suis d'humeur plutôt empathogène, je ne peux pas refuser de la compagnie  

Sur le trajet du retour les choses basculent assez vite dans la tete de la demoiselle puisqu'elle décide qu'elle veut me rouler une bonne gamelle ! y a un truc qui se passe là   on m'aurait menti   ? je comprends pas trop ce qui se trame dans sa tête mais dans le doute je rechigne pas consacrer une petit quart d'heure pour faire le tour de son piercing lingual   plus le temps passe et plus ça parait clair, la petite a envie de baiser   Ses couinement de plus en plus rapprochés au fur et à mesure que l'intimité augment ne laisse aucun doute. Honnêtement moi aussi, mais avec ma copine ... ça serait déjà un bon début    

Je fini par la ramener chez moi, au final je sais pas si elle veut pioncer ou sexer, pour ma part j'ai connu des filles assez jeunes, mais là c'est no way   de toute façon après une demi heure de blabla, photo etc le sommeil à raison d'elle... Tout semble retourner au calme, la nuit fini de s'installer dans l'appartement, je lui ai laissé le canap où elle s'est vautrée je la couvre et je me prépare à finir la nuit également  

La soirée prend un tournant inattendu    car il se trouve que j'ai pris bien froid avec toute ces conneries, la perspective du sommeil diminue, la sueur commence à monter et je sens que mon estomac a beaucoup de chose à raconter à mon sphincter    D'autant plus qu'au diner je me suis payé un restau gargantuesque.

Je suis donc dans un appartement minuscule, la porte des chiottes donne sur la pièce à vivre et le canapé, la petite dors depuis à peine 5 minutes, en fait je sais meme pas si elle dort. Ce qui se prépare là dans mon froc c'est pas une petite sortie mais une grande évacuation. Il va y avoir du bruit, des odeur et j'imagine déjà la blonde se réveiller et réaliser ce qui passe dans l'impuissance absolue      L'affaire est définitivement ingérable   je me résous et m'avance vers les chiottes

La le scénario du pire est en marche    tout y est, le torrent de merde incontrolé qui se déverse avec fracas dans la canalisation. Je sue à très grosse goutte et me demande si la situation est encore sous contrôle    je ne sais même pas si la petite est réveillée et je passe chaque dixieme seconde et chaque décibel franchi à m'attendre à entendre un cri horrifié derrière la porte.

Chose qui ne viendra pas.... si quelqu'un était réveillé dans l'appartement il n'aurait pas pu ignorer ce qui venait de se passer. Je me remet de mes émotion et décide d'aller finir la nuit une fois pour toute.

3H plus tard j'ai pas fermé l'oeil, je la réveille progressivement avec de la musique.... pas de chance pour ton mal de crâne ma belle j'ai que de la basse qui tape... elle émerge lentement et me demande si elle a pas ronflé en rigolant, pas de doute son sommeil était bien profond...  Elle a quand même pris bien cher dans la soirée côté alcool et le contraste entre son appel au sex quand elle me galochait et son envie de se barrer en 4eme vitesse me laisse songeur, je pense au genre de mec qu'il faudrait être pour sexer dans ces conditions.

J'aimerai ne jamais revivre ça.

les ravages du mariage pour tous
 
(patapai )

Merci pour les 2 dernières grosses barres de rire

 
Pourquoi ça ?  

Continues d'écrire  

Je prend ça pour un compliment
 

 
(J'ai quelques autre anecdotes en stock   Mais bon, j'ai du mal a pas faire de pavé... j'aime bien détailler un peu )

Tant mieux, c'est plus romancé comme ça faut pas oublier les smileys surtout !

e

des regrets ?

Tiens j'avais pas vu ce topic !
 
La dernière bien hard :
 
Avec 4 potes à moi dont mon colloc, on se décide d'aller voir la demie finale de rugby dans un bar (18h), et on se dit que pour pimenter ce début de soirée, à chaque point marqué par l'équipe adverse on se devait de boire un shooter en plus des bières à la chataigne qui descendent rapidement.
Asm - Castres, on est serein, Castres devraient prendre une dérouillé et notre cher ville auvergnate arrivée en final sans prendre trop de points.
Bien sur, celui qui conduit ne boit pas, et deux autres nous sortent quelques excuses bidon pour ne pas se murger avec nous .
Je me retrouve à boire comme un trou avec mon colloc devant la défaite de notre équipe (merci l'asm pour ta saison...)
Au final le score est de 25-9
Autant vous dire que j'ai aucune idée du nombre de shooter qu'on a bu en plus des bières car mes souvenirs s’arrêtent très tôt (avant la fin du match...).  
Dernier souvenir : s'être fait offrir des shooter de tequila par le patron puis plus rien, le match n'était même pas finit.
 
 
Au final, je me réveille dans une pièce blanche, avec une perfusion dans le bras gauche, je réalise que je suis sur un brancard dans un coin des urgences du CHU de clermont. Aucune idée de ce qui s'est passé la veille.
L'infirmière arrive, me demande des infos car j'avais pas mes papiers, elle en vient à me demander ce que je fais dans la vie (sic)  :
- je suis en troisième année
- De ?
- Infirmier...
 
Puis elle se met à réveiller la personne à ma droite derrière le paravent, et là... Mon colloc qui lui répond.
- Putain mais C****** t'es là ?
- Ben ouais, mais qu'est ce qu'on a fait ?
- Je sais pas...
 
Au final on était tellement saoul que nos potes ont pas réussis à nous ramener, les pompiers nous ont emmenés au urgence à 21h30. La prise de sang indique 2,96 pour moi. 3,09 pour le colloc. Et on a tout les deux eu le droit aux conseils avisés d'un médecin sur la dépendance alcoolique le lendemain matin avec une bonne gueule de bois.
 
 
Au final je suis grillé pour le service des urgences de ma ville. Et je me suis délecté de 93€ en boisson.

énorme

 
Mauvais trou

Une bonne cuite express ça
 
(les jeux en paris sportifs finissent souvent mal )

Une petite dernière qui me poursuis encore  

L'été dernier, pas de boulot d'été prévu, grosse glande à venir en prévision (~2.5 mois)

Bon, ça fait trop long pour moi, j'me demandais quoi faire de mon corps d'étudiant... Un jour au bar, 2 comparses me demandent ce que je compte faire des mes vacances, et j'ai eu le "malheur" de répondre "rien". Il se sont regardés en mode :    

Ils m'annoncent qu'ils ont un truc à me proposer, du bénévolat... Bon j'ai pas trop une gueule à bosser gratos, mais faut voir, je suis prêt à essayer à peu près tout  

Le truc ? Aider à l'organisation d'un concours dans un centre équestre (pour des concours de dressages niveau amateur/pro), avec 200/300 partants (cavaliers), sans compter ceux qui les accompagnent... Je demande ce qu'on doit faire, la réponse aurait du me sauter aux yeux... "Equipe buvette !   "

Tout de suite, ça retient mon attention !     Il y en a pour 3 week-ends, mais ça demande de la préparation (bouffe/boisse/orga), c'est donc du mardi au dimanche que je m'y rend.
Le principe est simple, on bosse la journée (au rythme des bières enchaînées pour rester "posés"   ), et le soir, après 22h environ, quand les gens ont fini de manger, on s'installe, on mange, et une fois le plus gros des gens parti, on sort les munitions !  
Le soir on dort chez un mec, à l'étage (ça a son importance) ! On se couche vers 3-4h du matin pour se réveiller à 6h30, du vendredi matin au samedi soir, donc on est aussi assez fatigués, ça aide pas...  

Le plus gros passe en vin rouge (pas terrible en plus), et malheuresement, du Calva d'une qualité plutôt restreinte... Passe bien pour faire des trous normands... En bouche ça va, mais alors c'est le pire démonte tête que j'ai jamais rencontré !  

Je rappelle qu'on a quelques litres de bière de la journée, mais c'est presque un détail. On se venge sur le vin rouge, les anecdotes fusent, on rigole, c'est la bonne camaraderie  

Mais le soucis c'est qu'une fois lancé, j'ai du mal à m'arrêter... J'en étais arrivé à remplir des gobelets de calvados, et me les enfiler cul sec...  

Je vous passe les détails sur ce genre d'exploit après de la bière et du vin rouge. Black out total assuré ! Je me suis fais avoir plusieurs fois avec ce délicieux mélange, voici un récit des résultats de mes multiples essais, avant mon apothéose    :

++++ (là c'était pas trop trop agité encore) En rentrant chez mon hôte un soir, je veux enlever mes chaussures, je tombe comme une merde de tout mon long en avant, plus de réflexes disponibles dans mon cerveau   . Il y a un rebord de cheminée en briques rouge, de 20 cm de haut, qui fait donc un carré le long d'un mur pour loger le foyer. Mon corps a décidé de faire prendre à ma tête la trajectoire de ce muret, je me cogne dessus dans ma chute, alors que j'étais mort de rire comme un homme ivre avec 3 alcooliques acolytes     Tout de suite, ils ont perdu 3 grammes dans chaque bras, plus aucun bruit dans la baraque, mois un peu choqué de ce qui m'arrive, plusieurs secondes de tension...  "BOBBY ?!....   "
"Ouaiiiiiiiiiisss ça vaaaaaaaaaaaaaaaa §§§§§§§§§§§§§§   "
Mort de rire étalé par terre... Je me relève, en fait c'est mon oreille qui a prit le choc, et est entaillée...  Çà pisse le sang, et vu mon état j'en ai absolument rien a foutre  
Mon hôte m'emmène dans la salle de bain, on nettoie un peu, ça s'arrête pas de saigner, aucun de nous n'est en état de me soigner ou autre, donc je sors un "Bon écoute, ça va, je vais me pieuter, on verra demain matin   "
Le lendemain matin, je me réveille, la gueule dans le cul, je vois mon oreiller plein de sang et une douleur à l'oreille que je peux pas toucher de douleur  
Tout me revient, putain... On se lève, on se lave, mon oreille est violette, on part au centre. D'autres bénévoles sont déjà là avant nous. En arrivant tout le monde me regarde comme ça   et on m'appelle "Némo" pour la nageoire pétée... Un an après, j'ai toujours la cicatrice sur mon cartilage  

++++ Un jour mes vieux veulent passer me voir pour capter l'ambiance du truc. La veille j'ai pris une murge monstrueuse  
J'ai tourné gentiment à la bière, mais je suis frais pour les accueillir. Ils arrivent à la buvette, moi, enfant modèle (de 23 ans à l'époque ) :  
Au même moment un bénévole arrive de son taf pour bosser à la buvette (on était le soir), me colle une tape sure l'épaule et me sort un "Bah putain mon vieux, j'aurai pas voulu être à ta place hier soir !   "...
Mes parents :    -  
Mon hôte : "Ha *machin*, je te présente les parents de Bobby...."
Mon pote : "Ha heuuu.... Bonsoir ! "
Moi :  

Bien sûr j'ai fêter la soirée comme il se doit. J'ai pris le repas avec mes vieux, rythmé par les verres de rouge enchaînés avec bon train, comme à l'habitude là bas... Mon père : "Vas y doucement quand même   ", "Bah quoi ? S'comme ça ici !   " - ma mère :  

++++ Un autre soir j'avais pas encore assez bu pour être en black-out, j'ai fini à dormir dans l'herbe, dans un coin où tout le monde pisse la nuit, sous la pluie, pendant 1h avant que mes potes me réveillent pour me soutenir et m'emmener jusqu'à la voiture    (pour remonter à la baraque )

++++ Un jeudi soir j'étais content de revoir tous les bénévoles, j'ai pris une biture express-mortelle. Je me suis réveillé le vendredi matin, 9h. Seul dans la baraque, aucun souvenir de la veille, je vais me doucher en me demandant ce qui s'est passé. Ma bagnole était plus devant la maison, j'ai pas le "bip" du portail électrique, je capte pas.. Bref, la journée commençait bien  
Les bénévoles qui s'occupent du parking me regardent comme ça : "Putain t'es là ?!!"  - "Bah ouais   " (mon Doliprane à la main) - "On y comptait pas... chapeau vu ton état hier soir...   "

++++ ENFIN, le pire du pire... J'suis pas fier !  

Une cuite en bonne et du forme, au mauvais calva avalé par cul-sec de 20cl, la base !  
Je suis en black-out total, je ne sais même pas comment était la soirée. Je dors dans une chambre, moquétée, où 3 matelas sont posés par terre et occupent l'espace d'un mur à l'autre. Je dors avec un autre mec (un de mes comparses du début). Il y a une porte battante type "saloon", qui donne sur un petit coin qui sert d'entrée dans la chambre, avec un meuble rempli de coupe de concours, un tas de trucs en tout genre entassé, et la porte. Les boutons de lumière sont assez cons niveau positionnement... Voilà pour le contexte.
Je me réveille de mon back-out, il fait nuit noir, j'entend un bruit de flotte sur la moquette, et la voix de mon pote "MAIS TU FAIS QUOI LA ??§§§§"  
Sortant de mon coma alcoolisé, je réalisé que j'étais perdu, j'ai pas trouvé comment allumé la lumière, j'ai donc pas trouvé la porte pour sortir de la chambre. Je suis en train de pisser sur la moquette, mon ustensile en main...  
Le seul truc que je trouve à répondre c'est "... heu... je sais pas..."  
Je retombe en black-out illico. Mon pote m'a raconté que je me suis a moitié cassé la gueule sur l'étagère de coupes, qu'il a allumé la lumière, et que j'ai miraculeusement réussi à descendre l'escalier pour aller pisser aux chiottes du RDC !
Evidemment, au réveil, tout cela est aussi flou que dans un mauvais rêve lointain...   Dans ma tête que me dis que c'est rien... Mais chose bizarre, je sens l'urine...  
Mon pote qui me lance un peu "Tu te souviens de se qui s'est passé cette nuit ?!!!!"  
Moi : "J'sais pas trop...   "
Il me raconte...

Je fais pas le fier. Douche. Descente au centre. Mon pote en parle à notre hôte qui me jette un regard ->  
Dans ma honte, je remonte en bagnole voir les dégâts (j'y avais même pas pensé). J'ai beau arpenté la chambre, on a jamais retrouvé UNE SEULE TACHE ni odeur... Le mystère reste entier...  
Néanmoins, mon histoire à fait le tour du centre plus rapidement qu'une nouvelle MST dans un bordel mondain  
Je reçois des vannes à longueurs de journée, j'encaisse avec le petit sourire...  

Le soir, la soirée est lancée. Deux mecs inconnus se joignent à nous. J'y vais beaucoup plus doucement sous le regarde accusateur de mon hôte...  
Les deux mecs sont des palefreniers, ils s'occupent de gérer les chevaux d'une écurie présente, et d'y faire gaffe... Les petits pics reviennent sur la table concernant mon histoire, et là un des mecs me lance "C'est toi le mec qui a pissé dans la chambre ?!     "
Toute la table explosée, mon ego qui en prend un coup, de savoir que je suis connu même jusqu'aux palefreniers présents, des mecs qu'on voit jamais...  

Sympa comme topic, vraiment hallucinant à quel point on peut se foutre mal très mal!  
 
Pour ma part la pire qui me soit arrivée c'était il y maintenant 2 ans. Un anniversaire géant avec 100 personnes, salle réservé sur un terrain de foot donc assez de place pour les tentes.
Mes potes et moi arrivons vers 16h pour aider à préparer, et commencer en douceur la nuit qui s'annonce de folie.
Vers 18h on décide enfin de commencer à boire sérieusement, coktails, vins, mousseux etc...
De plus en plus de monde commencent à arriver, que l'on ne connais pas mais on se dis que comme à chaque fois avec l'alcool on terminera par connaître tout le monde!  
Et donc on continue à boire, de moins en moins frais on va voir de plus en plus de gens. Les délires sur les filles commencent et chacun tente d'en accoster une.  
Etc...on boit on danse on délire.
Là vraiment trop fais je vais voir une fille (complètement faite elle aussi) on discute, on se rapproche et on décide d'aller un peu plus loin pour "approfondir" le sujet.  
Là on commence notre affaire lorsque 10 personnes viennent autour! On gueule et tout, puis encore un dizaine de personnes! Cette fois photos et vidéos à l'appui OMG.  
On arrête car je peux pas continuer comme ça.
Il est environ 3h du matin je vais me coucher.
 
Le lendemain je reçoit un sms d'un pote: c'est toi sur la photo là? OMG
 
Maintenant on me connais pour avoir b**** sur un abris de terrain de foot, 20 personnes autour, une fille qui ne s'épile pas et qui est pas très ravissante.  

Drap  

Bordel  

A la soirée de mes 30 ans j'ai fini avec une fusée de feu d'artifice dans le cul.

Il m'est arrivé exactement la même chose, sauf que je suis sorti de la chambre, dans la noir, j'étais chez les parents d'un pote, le pote en question dormait avec sa nana dans une autre piaule, j'ai pas trouvé la lumière, j'ai pas trouvé les chiottes, j'ai fini par ouvrir la porte de leur chambre, je ne savais pas du tout ou j'étais dans la maison, je n'avais plus aucun repère spatial, je suis entré et j'ai pissé dans leur sac de fringues, j'ai arrêté quand la fille m'a dit "Maldo tu fais quoi là ?"

J'ai répondu comme toi : "heu... je sais pas", et je suis sorti de leur chambre, du coup je savais ou j'étais, les chiottes c'était la porte en face. J'ai terminé dans les chiottes.

Ah, jeunesse !

On se sent con sur le moment hein ?
 
Pote de galère  

Légèrement  
 
Mais bon, j'étais défoncé à l'époque, ce pote-là m'a vu fixer de l'héro assez souvent, donc ce genre de plan merdique, c'était presque pas grave
 
Et puis ils m'aimaient bien, me demande pas pourquoi

Ahhh ces p'tites cochonnes qu'ont le feu au cul

Une sympa; dans un immeuble parisien, 7ème étage, mon pote vomis par le balcon ... 30 cm à gauche d'un mec qui passait dans la rue.  
 
J'ai eu le fou rire de ma vie quand j'ai entendu le mec gueuler ...

Quand vous buvez beaucoup ça vous arrive de faire des vomi tactique ?

Tactiques, non.
 
Perso c'est le lendemain matin, parfaitement conscient, y'as rien de tactique... Je vomis pas le soir.
Par-contre, ça pique...

Sur une fille, ça m'est déjà arrivé. Une conne que j'pouvais pas blairer, j'en ai profité pour faire bourré ce que j'aurais pas osé faire sobre

Je ressors de 2 semaines de beuverie sans interruption.
3 jours @20 bière 0,4 par jour puis le reste entre 0,5 et 0,7 de vodka par soir et un vomi tactique le premier soir pour faire une transition entre bière et vodka.

J'ai pas vraiment de connerie à raconter, je suis parti en camping en Pologne faire de la planche à voile. C'est un camping où toutes les personnes viennent pour ça. Mon groupe d'ami vient de Cracovie, la plus part des personnes sur le camping venaient de Varsovie,  c'est comme si on était des parisiens au milieu de marseillais

À côté de notre camping  il y avait des filles de Varsovie justement,  conne comme leurs pieds. Un soir le petit frère d'une ami complètement fait nous dis le plus sérieusement possible :

Je vais aller chier devant une des tentes des filles vous pouvez me tenir pendant que je fais ça j'ai peur de tomber dans ma propre merde.

Un autre ami tout aussi sérieux : ok je vais te tenir par les mains.

Il l'ont fait ces cons,  c'était vers 5h du mat,  tous le monde buvais là bas il y avait pas de vent donc rien d'autre à faire. Les filles avait pour l'habitude de partir dans des boîtes de merde pour  

Un autre soir on a retrouver un mec complètement torché à +/- 1m50 de rails de train on était tous defoncé,  on a commencé à parler au gars, il était allongé mais il répondait à toutes les questions par oui. On a donc essayé d'appeler une ambulance,  impossible de le bouger,  les secours ne répondent pas on fais le 112 non plus. Le petit frère a finalement appelé la police. Lorsque ils sont arrivés on était tous ivre comme pas possible. Les policier on voulu noter l'identité de celui qui avait appelé et c'était le seul pas majeur d'entre nous ils on faillit l'embarquer ces cons mais ça soeur est arrivé en tant que responsable légal. Les policiers on commencer à nous engueuler et nous faire la moral alors que le mec était toujours près des rails  
J'ai comme un con commencer à engueuler les policiers qu'il savent pas faire le boulot et qu'ils s'en prenne à des honnêtes citoyens qui portent secours à un homme en danger. Imaginer le discours après 0,5L de vodka
Je me voyais déjà en dégrisement

Si on compose le 112, ça marche en Pologne?

C'est le numéro d'urgence polonais pour ceux qui ne connaissent pas les autres.  
Mais apparement c'est celui qu'il faut composer lorsque la vie d'autrui est en jeu.
Sinon:
999 – SAMU  
998 – Pompiers  
997 – Police  
986 – Police Municipale
 
Un homme allongé au bords des rails je pense rentre dans ce cas de figure!

 
Sa me rappelle mon voyage de lycée en Pologne tiens! C'est bizarre pourquoi on y vas principalement pour la picole    
3h du matin: plus de vodka ni rien: les hôtes "bon bah on va chercher des bouteilles" normaaaallll
à un barbecue sinon: 1L de vodka à deux en 30minutes avec bières à côtés..en 1h j'étais plus frais...En faite j'ai jamais été frais durant toute la semaine j'crois bien  

Bon allez, une petite  

Ca date de, grosso modo, 3 ans; j'ai rejoins un ami qui est barman dans un bar sur la fameuse "place des landais" d'hossegor (prononcer : rohh c'est gore...)  

C'est un très très bon pote de longue date, il m'a vu faire les pires conneries et je lui ai bien rendue.
Donc me voila parti pour une semaine de "détente" dans les landes, histoire de se mettre bien, il m'héberge dans son petit appart à capbreton, le patelin d'à coté.

Je me la colle toute la semaine.  

Le samedi arrive, je m'attaque dès l'après midi, j'ai pas bouffé grand chose de la semaine et j'ai le nez qui pique  
J'ai prévu (c'est important) de prendre une navette à midi le lendemain pour chopper mon train et rentrer sur paname pour le boulot dès le lundi (objectif : dormir dans le train et une soirée de récup)  

Mon pote est de service dans son bar sur la place, mojito, caipi à gogo, vodka... à minuit je commence à chanter du claude françois à tue tête    (ce qui est un signe chez moi j'aurait du me méfier à cet instant)

Arrive les deux heures de la fermeture. Comme je doit l'attendre, je me balade un peu sur la place pour taper le bout de gras avec les restants, tous aussi éclatés que moi.  

Petit passage au "bakoua" rapidos (présenté comme une boite de nuit mais on est plus proche de la cave musicale - c'est un peu l'endroit où tu te finis par flemme quand tu es dans le coin), mon pote y a une bouteille.

Je reprend des trucs   , retize, et au bout d'un moment, notre groupe décide de bouger dans une autre boîte du coin (le safari pour ceux qui connaissent)

Roule ma poule, le "convoi" est super chaud, y'a que de gentils tarés, entre les rugbymen et les nageurs sauveteurs c'est que des gars du coin et je peut vous dire que ça suce pas que des glaçons...

On arrive au safari, on reprend des trucs sur le parking   , on finis les boutanches, je suis chaud patate, y'a la queue devant la boite, chuis avec des locaux, on passe devant tout le monde.

Dans la boite, gros bordel évidemment, bouteille etc... C'est une boite avec une terasse énorme au dessus et bondée ce soir là.

La soirée se passe. ET JE PERD MON POTE.

A cet instant, faut bien comprendre que, pour moi, c'est quand même problématique :  ma navette est dans 7 heures, je suis très très très chaud   , et un coup de biggot m'apprend qu'il est tiré avec une petite qu'il a déjà travaillée mais qu'"il n'y'a pas de soucis" j'ai qu'a "rentré avec un de ses collègues qui me déposera chez lui", "que la porte est ouverte" "bla bla bla pas de problèmes".

Bon   , je retrouve le pote en question, je le juge plus bourré que moi   , et surtout il m'apprend qu'il part pas vraiment maintenant  

Je passe en mode "stand by" à la terrasse.  

Débarque une petite   . Surfeuse, sexy, facilement dix ans de moins que moins mais je sais que mon pote n'est pas chez lui, il va pas me casser les couilles, alors je passe au pressing via mon cerveau auxiliaire.
C'est plutot cool, je joue de la situation, on se marre, on se galoche, et en deux deux me voila à l'arrière de mon chauffeur avec la gamine pour une partie de galipette tranquillou chez mon poto.  

Le chauffeur nous laisse devant chez mon pote (je passe le coté "on manque de crever à chaque virages"   c'est anecdotique à ce niveau), je remonte la petite contre-allée (c'est un petit lotissement tout en longueur d'appartements cubiques : une pièce de vie en bas et une mezzanine en haut avec le pieu), on se chauffe comme des dingues, bien 10 minutes à faire l'allée qui en prend maximum 1.  

Et là, (j'ai la bythe  à moitié dehors hein faut imaginer...) j'ouvre le volet, je pose là main sur la poignée et ... rien.        

LA PUTAIN DE PORTE EST FERMEE.        

Je gueule, j’appelle mon pote, mais répondeur (normal).  

Et là, c'est parti :  

Je regarde la nana   , je lui dit un "recule", je me saisi de la table de jardin (en bois) et BIM ! je défonce le carreau de la porte vitrée.  

Ca fait un barroufe pas possible , c'est du double vitrage donc je m'y reprend à plusieurs fois , y'a du verre partout de chez partout, et je m'attelle à bien virer les gros bouts qui pendent avec les pieds de la table.

A ce moment là, le voisin sort de chez lui torse poil , batte de base ball à la main.  
J'ai 5 grammes , je me démonte pas (il me "connais" pour m'avoir vu squatter la terrasse de mon pote pendant la semaine), je lui dit que "je gère" que "t'inquiète mon pote est au courant" qu'il "y'a pas de soucis" bla bla bla (enfin je l'embrouille quoi)        

Il rentre chez lui, j'active le mouvement , et plutot que de finir les bout de verres du bas au pied, je sais pas pourquoi mais, je met un coup de genou dedans pour les faire tomber.

FAUTE GRAVE  

Je m'ouvre le genou gauche au niveau de la rotule sur 3 bons centimètres.      
 
Je regueule   , je rentre, la meuf me suit à l'intérieur. Je fonce à la salle de bain, en mode warrior et ce que je trouve sous la main : PQ et flotte   , je me fait un bandage rapidos (toute façon je sens que dalle ) et me décide à rejoindre la gamine à qui j'ai déjà indiqué la mezzanine.

Bien évidemment, vu mon état, genou défoncé ou pas, y'a des capotes à l'étage et j'en fait du petit bois.  

Je la prend dans tout les sens que me permette ma blessure et je fout du sang littéralement partout.  

A un moment, levrette contre la mezzanine, je suis sur une jambe, je pousse comme il se doit, et dans le feu de l'action on pète une des lattes de soutient de la "rambarde" qui nous sépare du vide, on manque de tomber de 5 mètres, je me rattrape au rideau (y'a un énorme rideau pour séparer la "chambre" du "salon" en fait), la gamine fait une petite chute dans l'escalier mais rien de grave, mais moi sans arracher tout le rideau, y'a deux / trois anneau en bois qui pètent, mais je reste sur mes ma patte.  

Je me suis réveillé, j'ai eu ma navette, j'ai une magnifique cicatrice (dont je ne suis pas peu fier) et c'est un coup de queue qui m'a coûté dans les 300 euros de réparations, j'ai jamais revu la gamine et ai gardé mon pote  

Avec le recul, on aurait simplement dubaiser dehors et attendre que mon pote vienne m'ouvrir mais... non  

D'après mes amis,  le 112 ne fonctionne jamais car il y a un seul standard pour tous le pays.

Le 986 c'est des connard. Il te donne une amende pour avoir bu une bière sur la place publique ou parce-que tu traverse au rouge. Contrairement à la Police ils ont un % sur les amendes.

On a appelé le 999 mais il ne répondait pas !

C'est qui est génial en Pologne c'est les magasins alcool 24/7, il y en a plein

Je ne suis pas allé à la mer juste pour boire mais il y avait pas de vent

Bordel de merde la cuite à Hossegor  

C'est là qu'on voit tout le pouvoir de la mythe. Limite une pute de luxe t'aurais plus pris ton pied pour moins cher

 
+1, c'est over 9000

si tu veux pas passer le reste de la soirée a hyperventiler pour que le pic passe, la gerbe préventive y a que ca de vrai.

bordel le bourrin