Reprise du message précédent :
Je récupère les
Vidéos
Petrs
Formats et je poste ça
( putain de téléphones
 hd , 350 mega la seule vidéo que j ai)

C'est un post sous l'effet de l'alcool ?

Pas fou mais hier soir remise de diplôme de mon école d'ingé (et de ma promotion - j'étais donc parmi les diplômés), je décide de m'allumer avant d'aller à la cérémonie à 20h30.

J'attaque à 18h30, me rend compte que je n'ai plus le temps vers 20h, décide de "paléssélabouteilledeskykomçacédomajfopagaché" et m'enfile un nombre de verres assez impressionnant assez rapidement  

Je me pointe à la remise, je suis saoul.
Je crois m'être fait griller au moment où, pendant le discours d'introduction du directeur, devant 1200 convives, je me lève et lâche un "BON BEN JE VAIS PISSER MOI". Bien évidemment, je dois écraser 40 paires de pompes cirées en passant et je manque de tomber sur plusieurs personnes    

Ou alors je me suis fait griller au moment de monter sur scène à l'annonce de mon nom et où je décide, dans un élan d'amour alcoolique, de ne pas serrer la main mais de faire un câlin au directeur et au parrain de promo  
(protip: je puais le whisky semble-t-il)

Bref.
Je suis diplômé en tout cas. Vivement les photos  

J'approuve

Félicitations

j'approuve aussi

simple et efficace

Il faut rappeler  que l'alcool est dangereux pour la santé et qu'il ne faut pas conduire sous son emprise

Sinon à essayer le cercle de feu, un jeu de carte d'alcoolique, où le 9 te fais dire "j'ai déjà fais" et ceux qui l'on fait doivent boire, avec des filles saoul ça donne environ : "j'ai déjà sucé", "j'ai déjà avalé" ou encore "je me suis déjà fais enculer..." Et quand tu te rend compte que toutes les filles boivent à ce
moment, tu dis que ça fais chier d'être en couple ...

C'est pas parce qu'elles l'ont déjà fait qu'elle voudraient le faire avec toi si t'étais célibataire
 
Et c'est pas parce que t'es en couple que tu ne peux pas faire ça avec ta copine

c'était une remarque à prendre au second degrés.  
 
juste que ce jeux est plutôt drôle.

Whaa pitaing je déguste ce matin Le mélange pastis / vodka / whisky ça fait mal
 
Pas de conneries pour autant si ce n'est des messages intelligents du genre " Je suis petaaayyyy " envoyés à 5h du matin aux parents ou " t'es une pute " à son meilleur pote
 
 

Pas mieux

Déplacer toutes les SMART qu'on croise de pigalle à montparnasse au milieu de la route c'est topic compliant ?

Avec une bande de filles et de mecs on y a joué y'a deux ou trois semaines, on étais bien éméchés et parfois ca méne à des situations incrongrues quand même ce genre de jeu !

Je pense qu'il faut aller voir sur le terain.

Ça dépends du nombre

Drapal

 
 
Lécher, c'est soft pour les jeunes d'aujourd'hui  

Ça me fait penser à cette scène:
 
http://www.youtube.com/watch?v=VtuGGbt1Rp0
 

J'ai été à un anniversaire d'une connaissance d'un ami, à Suresnes. Le truc supra-bobo (petite bourgeoisie parisienne quoi). Genre ils ont loué une salle de la ville. L'âge moyen c'était 17-18, j'en ai 25. Les filles minaudaient comme des chiennes, on voyait des A/R permanents aux chiottes (d'ailleurs on est passé de 1 personne qui sortait des chiottes à 2 voir 3 en fin de soirée). On a appris que c'était 12 ans, l'âge normal pour se faire décapsuler pour eux. 14 ans, ça faisait un peu coincée, 16 ans, c'était  

D'ailleurs, mon pote se faisait suivre par une petite meuf qui lui a fait comprendre de manière très explicite ses intentions. Il n'a rien fait, mino oblige (17 piges).

Et c est comme ça que tu vois arriver sur le topiku des filles comme bulle d o, carossée par bertone et dessinée par pininfarina, 22 piges au compteur et qui explique le sexe à des gens qui ont deux fois son âge.

Heu  c'est pas 15ans et trois mois la majorité sexuelle ?

Je connais des fille parisienne comme tu les a décrite et c'est pas toujours vrai,  celle que je connais c'est plus tôt 15/16ans pas 12.

Si c'est ça mais ça change pas tellement la donne je trouve. 15 ou 17 c'est pas "légal", si la famille décide de porter plainte t'es dans la merde.

 
A 16 ans elle décide ce qu'elle fait de son cul non ? T'es sûr que t'es dans la merde ? Faut testé

 
C'était facile mais ça valait la remarque

Aller, une petite pour faire remonter le topik avec un bon gros pavé

Octobre 2012, grosse fête étudiante annuelle organisée au Zenith de Rouen pour tous les étudiants du coin, DJ connu qui sera là pour animer tout ça... 5000 personnes de prévues, ça s'annonce bien  
Petit détail, le Zenith est un grand bâtiment composé de pas mal de salles (pour spectacles & cie), un beau petit labyrinthe de couloirs et autre... ça a son importance pour la suite.

Début de la soirée à 23h, on décide de se faire une raclette chez un pote avant pour commencer. On est 4 ou 5, je sais plus. Je sais que la raclette et l'alcool chez moi c'est pas extra (ça m'a valu un petit malaise à un jour de l'an   ), mais c'est pas grave, j'ai du gagner en skill depuis ce temps  

Le rhum de qualité plus que modeste est bien sûr de la partie (étudiant inside)

On commence à 21h, il reste 2h avant la soirée, j'ai envie de me mettre bien, pas de temps à perdre. La raclette se passe, les verres enchaînés aussi. J'arrive a presque un demi-litre d'ingurgité. Il est temps de partir. Le reste du "presque" fini dans une bouteille avec du jus de fruit pour donner lieu à un savant mélange atrocement âcre, idéal pour le petit temps de route qui nous attend  

Sur la route une bagnole blanche se traîne devant nous, je gueule pour qu'on aille lui expliquer comment rouler à chaque feu auquel on s'arrête. Mes potes ont compris, je vais être chiant ce soir...  

Arrivé sur place, on donne les tickets, fouille au corps auprès de la sécu, et on rentre dans le Saint Graal  

Après quelques couloirs, on arrive dans la salle convoitée, y'a de l'ambiance, le thème c'est "haut blanc", du coup ça rend plutôt sympa avec les effets de lumière. Le DJ est au centre d'une très grande pièce ronde, les gens dansent autour. On repère un peu les lieux. Je titube un peu, mais ça va, je tiens le coup.

On danse un peu, on croise quelques connaissances d'école.

Je me retrouve dehors à fumer ma clope... 1 pas devant, 2 derrière, en me répétant que je suis clean, les gens doivent pas voir que je suis bourré. J'me perd un peu, j'retrouve tant bien que mal la salle.

Black-out

Je me réveille en forme au milieu de la piste, 2 de mes profs sont là aussi (jeunes), et sont témoins de mon état  
Je me faufile et danse un peu au milieu des nanas dans les premiers rangs, rien à foutre, elles se rappelleront jamais de moi.

Je ressors fumer une clope.

Je suis perdu pour revenir. Je ne sais plus retourner à la salle, je titube, j'avance péniblement dans les couloirs. Je décide d'appeler un de mes potes (enfin c'est ce que je crois   ) pour lui demander de venir me chercher. Je lui dit que je suis perdu, je sais pas où je suis, c'est la merde.
A force de persévérance, je me retrouve dans la salle finalement, je retrouve mes potes, j'en vois d'autre, je les calcule pas. Je me pose dans les tribunes.

Black-out

Je suis sur la piste, mes potes ont des chapeaux de cowboys sur la tête  

Black-out

4h du mat' . On ressort, on monte en bagnole (on avait un sam   ), contrôle de flic systématique pour tout le monde. Mes potes : "TU DIS RIENNNNNNN §§§§"   -   "mokay"  

Mon pote souffle péniblement, on peut repartir, et je lâche un "Bonne soirée !... enfoirés !" par la fenêtre, on s'arrache.

Black-out

Le réveils sonne, 7h. Je suis chez mon pote sur mon matelas gonflable. Ce matin on a présentation d'un projet en groupe, qui a duré 15 jours, je me souviens que de bribes de la soirée, j'ai un mal de crâne horrible, l'estomac dégommé, j'ai des relans infâmes de rhum orangé...  

Je dois passer chez moi pour prendre mon costard. J'arrive, ma mère voit ma gueule de déterré ainsi que l'odeur de tise qui va avec, elle commence à gueuler un peu... Je lui fais comprendre que non, c'est pas le moment     Je me douche, je me déguise en pingouin, j'enquille un Doliprane, et je repars.

Arrivé, passage a 11h. Il est 8h30, je dois attendre 2h30 pour qu'on passe. Tenir debout me demande de gros efforts, assis je souffre en silence, mais ça va  
Je vois un de mes profs qui était là la veille, qui me regarde un peu comme ça :   , accompagné d'un "on était pas sûr de te voir ce matin !"
Notre jury, ça sera l'autre prof, qui me regarde un peu avec la même tête que l'autre en me voyant.  

Le temps est long... J'essaie d'apprendre au mieux ma partie pour pas faire le con à l'oral. 11h arrive. J'ai gardé mes dernières ressources pour ça. Manque de bol, ça dure quand même 1h, je ne me sens pas bien a rester debout aussi longtemps, j'attends juste que ça se termine pour aller bouffer un truc à la cafet' et mourir dans un coin. J'ai évidemment bloqué pendant ma présentation, un petit moment de blanc où je savais plus quoi dire. Parfait !  
Parce qu'une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, on est informé d'une réunion en amphi a 17h, obligatoire avec un mot du Dirlo, pour tous les étudiants  

Journée libre à part ça, j'en profite pour voir les autres promos. Je passe voir mes fillots, 1 année en dessous de la notre. J'entre dans leur salle... "HA ! BOBBY !   "
Je pige pas. Ils me demandent ce que j'ai foutu avec mon téléphone hier soir. Je pige toujours pas. En fait j'ai pas appelé mon pote, mais un de mes fillot, qui est juste en dessous dans ma liste de contacts  
J'ai laissé 2 messages, digne d'un savant mélange entre un homme alcoolisé et de la peur dans la voix (dans ma tête je savais plus où j'étais), et ça donne un truc assez pathétique. Entre les gens présents la veille à la fête, et ça, mon état à fait le tour de l'école en peu de temps. Super...
Quelques remarques compatissantes d'étudiants pendant la journée  

V'là que 17h arrive, ENFIN §§§§  
Dans l'amphi la tête des étudiants que je connais suffisait à comprendre le message, un mix de :   +  
Un de mes potes s'amuse à me demander pour chaque personne qu'on croise, si je me souviensl'avoir vu la veille ou pas... A part 2 ou 3, aucune idée  
Le dirlo fait son discours.
Bon, et puisque c'est la journée aux emmerdes... J'étais sur un projet interne pour l'école, qui allait déboucher sur un événement dans pas longtemps, le dirlo m'aimant bien, il m'invite à m'exprimer là dessus sur scène  
A l'annonce de mon nom, tous ces cons applaudissent en mode "Tu peux y arriver !    "
Je blablate 2-3 trucs, personne n'en a rien à foutre. Le dirlo est content. Ça se termine. Il est enfin l'heure de se casser !  
Je rentre, j'me suis pieuté.

Bilan : Le binch drinking me réussit pas trop, avec du rhum encore moins. J'ai retenu que 2 musiques de la soirée. J'ai du faire le zombie une bonne paire d'heures au milieu de centaines d'étudiants. Grillé comme il faut après de mes profs. 2 messages vocaux contenant tellement de misère humaine que Zola en serait jaloux. Une réputation bien ancrée parmi ceux qui étaient présents avec moi ce soir là. 2 flics insultés. 2 Doliprane. Et quelques regrets  

Depuis ce jour, le rhum bon marché et moi, c'est terminé  

Bobby tu va finir chroniqueur chez jmm hein !!! tu es  ... hors norme !

Je vais faire plus succinct.
 
Pastis (beaucoup trop), vin (comme d'hab), bière (plus que je ne veux bien l'admettre), vodka (peu) =
 
Je me retrouve dans le van de potes (chiliens) d'un pote (chilien) du colloc (français) de mon meilleur ami, avec tous ces derniers (sauf ledit colloc) et un autre ami à moi, sans ceinture évidemment    
 
On doit aller à une soirée dans un camping vers Marseille, on s'introduit par effraction dans le camping   , vu qu'on s'est fait recaler à l'entrée par les vigiles. Tant mieux, on fait rentrer le reste de l'alcool.
 
On y trouve 30-40 hippies en train de danser sur de la musique de merde les pieds dans le sable    Foutus pour foutus, on fait connaissance avec la faune (femelle) plutôt pas farouche du cuissot visiblement    
 
30mn plus tard, je discute sans grande conviction avec Agatha, une polonaise sympathique   , jusqu'à ce qu'une pluie battante me rappelle à quel point elle me m'a trouvé barbant au point d'en profiter pour s'enfuir prétextant ladite pluie.    
 
Consterné, j'attends pauvrement mis à l'abri   et finis par suivre mes potes sous une tente où nous sommes une vingtaine à danser, fumer, boire, s'embrasser (pas moi   ).
 
Très vite, le fait de revoir des tchouls (tchoul: nom masculin: se dit d'une personne appartenant à cette race de putains de hippies fumeurs de joints qui trippent en cercle comme des cons sous une tente en sarouels avec obligatoirement parmi eux un blaireau qui passe 4 accords de guitare sèche en boucle) me soule.              
 
déjà bien atteint, je me casse, je chope des skis (si si   ), rentre dans le van (dont la porte arrière ne ferme même pas vraiment) et m'endors avec l'un de mes amis.
 
Je suis réveillé 30 minutes plus tard par une planche en bois qui me tombe sur la gueule    et l'on me prie de sortir ce que j'exécute tant bien que mal sentant naître la bosse sur mon nez.    
 
Une fois les six étages montés (donc 5 minutes après être parti du rez de chaussée   ), je me roule un dernier cône pour calmer la douleur que cette planche m'a infligé   et mon meilleur ami résolument plus torché, commence à me demander de prendre en photo le trou du cul de mon pote (si si   ), ce qui finit par se faire, l'alcool n'ayant pas annihilé totalement ma gaieté (par contre ma raison si)
 
je m’exécute bassement tel un ouvrier à la tache, ricanant bêtement   . Mon commanditaire s'en retire dans les bras de Morphée, satisfait de son forfait
 
Sur cette fin de soirée, j'allume mon laptop pour me passer de la musique douce (écouteurs HS), je m'endors quelques minutes plus tard laptop allumé   (désolé par de smiley enceintes laptop pourri )
 
Mon ami photoanalysé l'a viré sur le côté dans la nuit d'après ses dires. Et dires qu'il m'avait dépanné mon dernier cône. Quel enkhulay je fais   . Vito si tu me lis, désolé
 
 
P.S: les skis sont restés à Marseille    
 
Bon allez, ayant déversé mon lot de conneries sur le net je vais tenter de trouver le réconfort dans mon lit  

le canard, ils doivent bien rigoler dans le monde du "non manifeste" pendant ton sommeil paradoxale ou ton Ame communique avec l'autre monde

Bon, on attend que tu dessaoules, et tu reviens nous expliquer ta pensée,  hein.  

le truc qui sort de nul part

Je drapalise un peu le topic et je constate que même dans les plans foireux, en présence de très jeunes demoiselles, le HFRien reste quand même droit dans ses godasses...  

Et bien tout ça me rappel une histoire qui m'est arrivé pas plus tard que cette nuit...

Je pose le contexte, je m'installe à **** et pour le premier dredi je décide d'explorer un peu les coins animés. Sentimentalement je suis avec une nana qui joue la distance donc soirée en mode solitaire... je rentre d'un restau qui s'est fait à 120 km de là donc pas eu le temps d'organiser quoi que se soit avec les 2 ~ 3 potes que j'ai sur place.
Qu'à cela ne tienne, je suis chow pour aller me caller devant un peu de son et passer un soirée à triper dans ma tête comme tout bon sans amis sait y faire

Je fini dans une péniche, la musique est bien à chier mais tolérable, j'ai décidé de pas faire le difficile et de laisser l'atmosphère s'installer dans ma tête    Tout ce passe comme prévu, j'emmerde personne, personne m'emmerde    Après pas mal de calories brûlées au milieu des gens, une petite blonde se met à m’aguicher, voila que la soirée n'est peut être pas perdue    On se met à danser collet serré pendant un moment, y a du contact mais sans plus, on se marre tout va bien  

La soirée passe et je tape la discute avec la nana, elle me dit que je suis cool, qu'elle est pas très rassurée parce que tous ses amis ont fini la soirée sans elle, elle est un peu en lose et a besoin d'un homme pour lui tenir compagnie au milieu de la foule nocturne hostile. C'est que la petite n'a que 18 ans      (j'en ai 28) et ne peut pas rentrer à la maison à 4h du mat sinon papa va lui taper sur les doigts.

Là je commence à me dire que c'est bien de pas avoir lorgné sur cette nana toute la soirée car la situation serait devenu bien gênante   ... on s'échange des convivialités, je lui dis que j'ai une nana, elle me dit qu'elle est lesbienne, woké ma belle, c'est ton choix   Au final ça arrange tout le monde  

Quand elle apprends que j'habite à deux pas  elle me confie qu'elle a envie d'attendre le 1er métro callée au chaud chez moi. Ben why not, j'ai au moins quelqu'un avec qui blablater pour finir la soirée. Il faut dire qu'en plus je suis d'humeur plutôt empathogène, je ne peux pas refuser de la compagnie  

Sur le trajet du retour les choses basculent assez vite dans la tete de la demoiselle puisqu'elle décide qu'elle veut me rouler une bonne gamelle ! y a un truc qui se passe là   on m'aurait menti   ? je comprends pas trop ce qui se trame dans sa tête mais dans le doute je rechigne pas consacrer une petit quart d'heure pour faire le tour de son piercing lingual   plus le temps passe et plus ça parait clair, la petite a envie de baiser   Ses couinement de plus en plus rapprochés au fur et à mesure que l'intimité augment ne laisse aucun doute. Honnêtement moi aussi, mais avec ma copine ... ça serait déjà un bon début    

Je fini par la ramener chez moi, au final je sais pas si elle veut pioncer ou sexer, pour ma part j'ai connu des filles assez jeunes, mais là c'est no way   de toute façon après une demi heure de blabla, photo etc le sommeil à raison d'elle... Tout semble retourner au calme, la nuit fini de s'installer dans l'appartement, je lui ai laissé le canap où elle s'est vautrée je la couvre et je me prépare à finir la nuit également  

La soirée prend un tournant inattendu    car il se trouve que j'ai pris bien froid avec toute ces conneries, la perspective du sommeil diminue, la sueur commence à monter et je sens que mon estomac a beaucoup de chose à raconter à mon sphincter    D'autant plus qu'au diner je me suis payé un restau gargantuesque.

Je suis donc dans un appartement minuscule, la porte des chiottes donne sur la pièce à vivre et le canapé, la petite dors depuis à peine 5 minutes, en fait je sais meme pas si elle dort. Ce qui se prépare là dans mon froc c'est pas une petite sortie mais une grande évacuation. Il va y avoir du bruit, des odeur et j'imagine déjà la blonde se réveiller et réaliser ce qui passe dans l'impuissance absolue      L'affaire est définitivement ingérable   je me résous et m'avance vers les chiottes

La le scénario du pire est en marche    tout y est, le torrent de merde incontrolé qui se déverse avec fracas dans la canalisation. Je sue à très grosse goutte et me demande si la situation est encore sous contrôle    je ne sais même pas si la petite est réveillée et je passe chaque dixieme seconde et chaque décibel franchi à m'attendre à entendre un cri horrifié derrière la porte.

Chose qui ne viendra pas.... si quelqu'un était réveillé dans l'appartement il n'aurait pas pu ignorer ce qui venait de se passer. Je me remet de mes émotion et décide d'aller finir la nuit une fois pour toute.

3H plus tard j'ai pas fermé l'oeil, je la réveille progressivement avec de la musique.... pas de chance pour ton mal de crâne ma belle j'ai que de la basse qui tape... elle émerge lentement et me demande si elle a pas ronflé en rigolant, pas de doute son sommeil était bien profond...  Elle a quand même pris bien cher dans la soirée côté alcool et le contraste entre son appel au sex quand elle me galochait et son envie de se barrer en 4eme vitesse me laisse songeur, je pense au genre de mec qu'il faudrait être pour sexer dans ces conditions.

J'aimerai ne jamais revivre ça.