Reprise du message précédent :

 
La réincarnation est tres mal comprise généralement
 
 
on pense insinctivement à l'âme d'une personne quittant gentillement le corps après la mort pour s'approprier un autre corps, en fait ca n'a rien avoir.
 
ce sont juste les forces (Karma) qui rentre en ligne de compte dans la création d'un etre individuel qui perdurent, c'est différent du concept de l'âme, ce que le bouddhisme décris depuis 2500ans, en science moderne et notemment dans les NDE on retoruve énormément de coincidence, et à mon avis ce n'est pas un hasard tant le mécanisme du bouddhisme se veut d'une approche super pragmatique des choses et de la réalité, s'en est meme le but d'ailleur, voir les choses telles qu'elles sont sans préjugés, croyances, concepts erronés.
 

 
Et bien tu vois, toi ca viens de te frapper maintenant et tu as 21 ans ...  
Sans vouloir raconter ma vie, ma mere est morte à 43 ans egalement et moi j'en avais 10, et franchement ca a changé radicalement ma vision de la vie. A l'epoque je pensais encore que ce n'etait que les personnes agées qui mouraient de maladie, et que les gens plus jeunes ne mouraient que dans des accidents ou des trucs du genre (et surtout que dans ces cas la ca n'arrivaient qu'aux autres et certainement pas a mes proches ... )

 
La mort fais partie de l'ordre des choses ...  
 
Je me demande quelle sensation celà fait quand le coeur s'arrette, puisque finalement, quelle que soit la manière de mourrir , on meurt toujours d'un arrêt du coeur , sauf quand le cerveau meurt en premier mais que l'on garde le coeur actif actificiellement.

on dit bien "le meilleur pour la fin".non?

 
 
Peut-être que oui. Peut-être que non.
 
C'est ces sensations inconnues qui angoisse l'être finalement.
Vouloir mourir sereinement et sans souffrir est cependant possible.
 
Elle n'est pas une torture, juste un court moment singulier a passé.

pour une fois qu'on touche à l'immortalité avec toutes les nouvelles techniques . jamais la recherche dans la lutte contre le vieillissment et la comprehension du phenomene de senescence n'ont eté aussi avancée.
moi quand j'ai un  coup de blues je vais sur ce site:
http://www.imminst.org/
 
ils sont un peu félés mais j'aime bien .
 

Un peu seulement ?
 
Edit : que ceux qui aime le projet aille sur le topic "peur de la surpopulation ?"

Je suis sur que pour beaucoup, la cryogénie ferait moins peur que la mort en elle meme , meme si à l'heure actuelle, celà signifie mourrir tout de même. En fait, la cryogénie avant mort réelle ferait sans doute moins peur  mais peut etre me trompe-je.

je trouve que tu parles de personnalité la, pas de conscience

 
la cryogéneie a un interêt dans le sens où elle conserve ton adn et la structure neuologisue et les structures synaptiques de ton cerveau.

 
l'apothéose ?

 
Mouais ... de là a te décongeler vivant ...

 
Elle fait partie de la personnalité.
 

si vous allumez votre machine a laver , ca tourne si vous la débranché ca s arrete.
avec l homme  c est pareil, on voit, on pense ... grace a notre cerveau une fois qu il n est plus alimenté, ba y a pu rien tant qu il ne ce rallume pas mais aprés une mort c est difficil.

 
c'est pas le but , elle anticipe la possible recréation du vivant et de la conscience dans le futur. mais si tu n'as pas de base de travail comme ton propre corps...
on arrive à réactiver des cellules cardiaques en leur injectant des cellules souches. pourquoi pas réctiver des cellules neuronales?

j'avais lu une fois, tant qu'on aura peur de la vie on aura peur de la mort.
 
Citation: "Ne se suicident que les optimistes, les optimistes qui ne peuvent plus l'être. Les autres, n'ayant aucune raison de vivre, pourquoi en auraient-ils de mourir ? "
Cioran
 

moi je me pose une question : ca sertv à quoi de vivre si c'est pour mourir?

Pourquoi aller au parc d'attraction, si c'est pour en revenir ?
Pour profiter des moments qu'on va y passer peut-être ?
 

 
Cioran dit aussi que le suicide est l'état ultime de la liberté qui conciste à prendre en main son destin.

 
 
c''st pas pareil....
le parc d'attraction il y a un avant et un après... tu y vas, tu t'eclate ( alors que la vie c'est pas tjs le cas) et après tu en garde au moins des souvenirs des sensations...
moi c'est ca qui me fait parfois flipper : l'inutilité de la vie... surtout les jours ou tout est noir... on se dit : pourquoi se battre et traverser cette merde si il y a rien au bout.

 
pis parfois la mort apparait vraiment comme une delivrance... la fin de toute souffrance... et là elle fait pas peur bien au contraitre elle attire comme un aimant....
on voit que nos amis sont plus là , on se sent seul et on préfère essayer de retrouver ceux qu'"on a perdui parce que de toutes facons on nous aime pas ici...

il y avait une belle légende sur la Mort qui vient chercher un petit vieux (le Bonhomme Misère), et qui réussit à la piéger pour gagner 100 ans de plus.
A la fin, la Mort se retrouve bêtement perchée sur un arbre fruitier, et ne peut en redescendre si elle n'accorde pas son siècle de plus au bonhomme.
 
Je ne me rappelle plus du début de l'histoire, mais si quelqu'un la connaît, faut pas qu'il se prive, c'est sympa comme pitit conte.
(lu dans l'excellent livre de Michel Folco "Dieu et nous seuls pouvons"
 

la mort ça n'existe pas ! Seul le corps meurt, finit un cycle. La conscience perdure pour l'éternité !

 
La question que tout le monde s'est posé au moins une fois.
 
A perdurer l'espère et accessoirement, s'amuser dans cette vie.

 
Ca sert à quoi que les montagnes soient érodées, que les rivières coulent, que la planète tourne ?

 
Ca sert à quoi l'univers finalement si on va pas là ...
 
Un rien absolu est plus simple non ? lol
 
Imaginer le rien absolu de partout, ca rend fou  

puisque ca sert à rien, on peut tout faire peter, cpa grave  

 
A augmenter l'entropie de l'univers    
 
 

 
Tout étant cyclique dans l'univers, naissant et mourrant sans cesse, comme les vague à la surface de l'eau dépendant de multiples effet de causes à effet, je crois de plus en plus, en effet que la conscience est un peu comme les vaguelette à la surface de l'eau, nous mourrons sans cesse et rennaissons sous d'autre forme, c'est un cycle perpetuel qui est en conformité avec ce qu'on observe dans l'univers.

Bien trouvé , bonne réponse!

Donc tu crois en la réincarnation c'est ça ?

Perso, je n'en ai pas peur... ça viendra de toutes façons, et une fois que je serais mort, je serai plus là pour m'en rendre compte, ce sera juste dommage pour mes proches, mais bon, il s'en remettront
 
par contre le plus tard possible, j'espère
pour pouvoir encore profiter des petits plaisirs de la vie

 
réincarnation de l'âme ..non, mais plutot en une certaine continuité..
 
 
Le nuage lorsqu'il devient pluie, ne devient pas "rien" j'pense que c'est un peu pareil pour l'esprit.

En effet c'est une jolie vision de la vie après la mort. Mais bon il va falloir attendre avant de vraiment le savoir.

On peut déja se contenter des témoignages des gens ayant vécu une NDE ou lire le livre tibétain de la vie et de la mort, qui décris le processus de la mort, de la dissolution progressive des sens et du ressenti à ce moment là ..

Je voudrais être prévenu 10s avant ma mort, pour être consentré et la voir arriver, comprendre ce que ca fait

 
c'est possible et ca s'appelle powa: http://www.amazon.fr/exec/obidos/A [...] 08-2861842

A la suite de la fermeture d'un topic, je poste ma réponse ici.
 

 
Il n'est pas possible de penser à la mort, car c'est une pensée à proprement parler impossible à supporter, l'idée de devoir cesser de vivre.  
Pourtant, il n'est pas non plus possible de cesser d'y penser.  
La sagesse stoïcienne nous dit que la mort ne nous concerne en rien, car avant de mourir, nous ignorons ce que c'est, après nous ne le savons pas non plus. Si bien que la mort ne concerne en rien celui qui comprend sagement la vie.  
Le malheur est que cet argument se révèle dans la pratique de bien faible portée.  
 
Dans le cas où nous portons le deuil d'autrui, le but est de repenser à lui, d'incorporer l'idée qu'il ne sera plus jamais là, d'accepter qu'il disparaisse et qu'il faille l'oublier. Mais le travail du deuil a finalement pour but non de nous confronter à la mort mais de nous la faire oublier, en resserrant la communauté des vivants, donc en les aidant à avoir confiance en la vie : le deuil nous permet de continuer à vouloir vivre malgré la mort des autres.  
 
La mort n'est ainsi véritablement pensée que lorsqu'elle est ma mort, celle qui m'attend, inéluctablement. Face à elle, il n'y a nul échappatoire possible, car je suis seul face à elle. Personne ne meurt pour moi, il n'y a que moi qui "puisse mourir". Je suis le seul que ma mort concerne fondamentalement. En se confrontant à la mort, je saisis du même coup ma propre existence authentique, je comprends qu'elle ne m'est pas donnée, comme ça, de l'extérieur, mais qu'elle est à ma charge, intégralement. Les Stoïciens disaient déjà que je n'ai pas à me plaindre de vivre, car si je ne suis pas heureux, la solution du suicide m'est toujours permise. Aussi, tant que je continue de vivre, c'est que j'y consens, si malheureux que je sois. "Souffrir plutôt que mourir, c'est la devise des hommes" dit une fable de la Fontaine.  
 
Alors, faut-il penser à la mort ?  
Heidegger propose de distinguer la mort et le décès. Le décès est un évènement physique, biologique, constatable par la médecine. Mais la mort est ma mort. Or dès lors que je me confronte à ma possible impossibilité (au fait que je disparaisse) alors je saisis mon existence selon une angoisse complète qui m'amène à me décider quant à elle authentiquement : mon être-au-monde est saisi comme être-pour-la-mort. Heidegger nomme résolution devançante cette décision existentielle de se saisir comme possible et non simplement comme être qui existe comme d'autres. Se saisir soi-même comme ipséité, comme moi propre, authentique, dont l'essence même n'est pas de vivre mais d'être en projet.  
 
Dans la légende de Gilgamesh, le héros, grand et puissant roi, est en quête d'immortalité. Après bien des quêtes, il croit trouver la plante qui, une fois mangée, lui accordera l'immortalité. Mais la plante lui échappe de peu et il comprend alors qu'il n'accédera jamais à la vie éternelle. S'étant ainsi résolu à la mort, il retourne gouverner sa ville et décide de la fortifier, de la rendre magnifique et puissante, de lui construire les plus hautes murailles qu'on ait vu, afin que le nom de Gilgamesh soit éternel et qu'il acquiert l'immortalité par le souvenir des hommes.  
Celui qui accepte de devoir mourir un jour, qui s'y résouds librement conçoit du même coup son existence non comme une suite de préocuppations habituelles, mais comme projet possible du soi.

 
Ca ici, on maitrise  
 
Hachéfaire POWA !!!

Moi j'ai peur de la mort
 
j'espère qu'ils vont trouver le moyen de faire rajeunir les gens bientôt ..

 
Tu n'échapperas jamais à la mort.