Reprise du message précédent :
Mais s'il n'y a pas de réactions de la part des entreprises c'est aussi de la faute du MOE. Perso j'ai pas de scrupules à arrêter des postes de travail.

Disons que la sécurité n'est pas la préoccupation principale (c'est regrettable) j'ai l'impression. Ça fait aussi partie de la mauvaise image du btp.

C'est un fait avéré. La sécurité c'est un investissement important sans "réelle" rentabilité.
 
Les EPC et EPI ça coute cher, etc
 
Mais bon les arrêts maladies sont préjudiciables également...

 
Les dernières études montrent au contraire que la rentabilité est réelle. Mais difficile à percevoir pour l'entreprise, et encore plus dans le cas des chantiers où beaucoup d'entreprises interviennent.

Certes, j'aurais du précisé que je parlais du ressenti pour les entreprises.

Je précise : à la base je suis ingénieur sécurité

Les études sont produites par des boîtes de sécurité ?

Personnellement je pense que la sécurité a conduit pas mal de boîtes à se doter de services dédiés à base d'ingenieurs sécurité et d'assistants QS / QSE / HSE...

Ces services sont totalement deresponsabilisés par rapport au terrain et leur rôle se borne à pondre de la procédure, faire du reporting, des fois faire du contrôle terrain et rarement chercher des solutions.

Le problème c'est qu'une procédure de lancement de chantier ne vaut rien sans une bonne analyse des risques sur le terrain; une formation au poste de travail ne sert à rien si l'ouvrier n'est pas consciencieux, un autocontrôle sécurité avec tous les voyants au vert ne veut pas dire qu'un chantier est carré...

Les vrais responsables de la sécurité ce sont les gens de terrain, pas les mecs qui essaient de faire parler les taux de fréquence et de gravité. J'ai jamais vu de responsable QS se faire virer en cas de mauvais résultats. Par contre j'en ai vu plein appuyer sur la tête de conducteurs de travaux ou de chefs de chantier en train de boire la tasse...

C'est ce que je pense aussi, c'est dommage

C'est le côté terrain aussi qui est moins valorisé.
 
Si tu essayes d'expliquer à untel qu'il faut un mec à plein temps sur terrain pour anticiper les risques etc, on te dira que ça sert à rien parce que y'a un conduc de travaux xD

Toi, l'architecte qui a écrit en gros "1/200" sur un plan au 1/100, et qui a côté tous les niveaux en relatif avec une référence volante (et un terrain à -0.80m donc), sache que je te hais

Quand je vois certains confrères, je leur conchie vraiment à la gueule ... Quand je vois le mec (parisien) avec qui on bosse (celui avec qui on partage le DCE) qui galère techniquement à faire son APS (très light).  
Mes plans EDL (que j'ai pas détaillé à fond) du bâtiment actuel sont à des années lumières des plans qu'il a fait en APS/APD. ( ça fait tâche quand on compare les deux devant le MO sur le dossier PC)
Il sait même pas qu'il fait un plan de situation dans un PC. Ou pour ce même Pc il fou le plan de masse agrandi pour le plan de toiture ...  
 
Ou encore sur un autre projet, on doit faire le DCE d'un projet d'immeuble pour un promoteur. L'archi de conception est assez connu sur Lyon( trois lettre qui rappel un label écologique ). Ils sont pas capables d'avoir des GT de niveau à niveau qui plombent. Tout est dévoyés 56 fois ... Paye tes km2 de soffites/ FP + problèmes acoustiques. De plus j'ai jamais vu des apparts aussi mal conçus ... Dans 90% des cas ils sont innamenageables et, bien sur le promoteur qui ne les a pas regarde avant le PC, comprend pas qu'en DCE on veuille tous les reprendre pour les faire tourner.  

J-2

Impossible à gérer pour vous, les entreprises et nous  

?

Pour mon anniversaire

 
Avant le début des emmerdes
 

T'as pas de signature

 
Je deviens patron

Le nid à boulets plutôt !

Pas un Appart pareil de niveau en niveau.
En gros ils ont faits les façades/volumétrie, puis il ont remplis.

Bon je suis co-gérant  

Voilà, tu es grand maintenant.  

Pd-Gay

Et t'as intérêt de me filer tes missions de synthèse maintenant.    
 
 
Bon, il faudra faire autre chose que du logement par contre.    
 
 
Mais sur le CJII par exemple, je peux être très utile.

Sur Carré Daube 2, c'était avec mon ancien employeur D*A.
La on fait à 70 % du lgt (promotion - social - particulier) et après on fait un chouillah d'hospitalier ( IME - Foyer de vie pour bargeots - EHPAD - etc... ) , du bureaux, de l’hôtellerie , et des ERP pour l'IPB.  

Donc, tout ce qui est de tes 30% hors logement, je postule pour les missions de synthèse.    
 
File-moi ton adresse de courriel PRO que je t'envoi mon CV d'entreprise illico.  
 
 
nb 1 : je croyais que tu étais toujours chez D*A.
 
nb 2 : IPB ?

Ah non, ca fait 4 ans que j'y suis plus. Et eux lache rien.
M. H*rl**d part bientot, et c'est principalement lui qui conçoit tout.  
M. Do**t lui reste et refile tout à sa petite famille.
C'est donc impossible à quelqu'un d'en dehors de predre des parts chez eux (même pour des personnes qui ont plus de 20 ans de boites chez eux)

 
Ouais, enfin bon, la petite famille, c'est bien gentil, mais a-t-elle les compétences ?    
 

Et "IPB" ?

google

Bah justement, Google ne répond rien de pertinent.  
 
Institut de Physique Biologique  

je t'ai répondu en MP

J'hésite à poster sur le topic immobilier, mais je préfèrerais des avis techniques dans un premier temps : il est possible que j'ai l'opportunité d'acheter à vil prix un "jardin avec cabanes" de 11 ares. Non constructible, en bord de ruisseau, dans la campagne profonde du midi... "Valeur sentimentale" avant tout. Quel genre d'investissement peut-on faire de ce genre de terrain ? Là tout de suite je ne pense pas à grand chose, mais si vous avez des idées...

Tu poses une caravane dessus

Sinon tu deviens pote avec le maire et jackpot.

 
Au bord d'un ruisseau ?
 
Des risques pour qu'il soit en zone inondable, non (et donc jamais constructible) ?
 
Et si en plus il est totalement en dehors d'un village (non dans la continuité du tissu urbain), bah ça fera un beau jardin... qu'il faudra aller entretenir 2 à 3 fois par an (sinon il va vite devenir une jungle impénétrable et les voisins pourraient s'en plaindre) ou alors confier en fermage à un paysan (et là le terrain ne t'appartient plus sauf sur le papier).
 
Pour la caravane, le maire la tolèrera peut-être quelques semaines par ci par là.
Mais il est totalement illégal d'en laisser une à demeure (enfin, d'y vivre à demeure dedans).
Tu ne peux pas non plus légalement y planter un abri de jardin.
 

Pour la zone inondable faut que je vérifie, mais je pense que oui.
Pour l'abri de jardin, il existe déjà, ce sont même 3 pièces en dur et déclarées (maçonnerie et toit en tuiles, avec arrivée d'eau).

ce qui m'etonnes c'est jardin avec cabane, qui devienne un 3 pieces, tu dis que c'est déclaré pourquoi appeler ça une cabane ?
 
Je dis ca parce que j'ai visité il y a moins d'un an une maisonnette qui aprés un petit tour en mairie s'est avérée être un garage transformé la mairie avait saisi la justice pour que le proprio le retransforme en garage, le changement de destination était impossible vu qu'on était en pleine zone ppri.
 
ils essayaient de revendre ça vite fait bien fait.  
 
de toute façon c'est la mairie qui t'en dira le plus sur les possibilités et les interdiction du bien.
 

Dans l'acte de vente précédent, il est écrit : "parcelle de jardin avec cabanes".
 
Dans les faits ce soir 3 pièces dos à dos :
- deux avec le sol en terre battue, une avec une "dalle" béton
- les trois en dur : murs en maçonneries, portes bois et toiture en tuiles.
 
Faudrait effectivement que je file un coup de téléphone à la mairie pour en savoir plus.

 
Alors ce qui est écrit dans l'acte de vente, point de vue droit de l'urbanisme, on s'en... , mais d'une force alors...    
 
 
Ce qu'il faut que tu récupères, c'est tout simplement les règles d'urbanisme de la zone.
 
Tu sauras alors si ces constructions sont illégales ou non (ce qui ne présage pas du tout d'une éventuelle destruction ou non).  
 

Je ne savais pas

Un acte de vente décrit le bien vendu, pas sa situation au regard des diverses lois et règlements.

Enfin, normalement et théoriquement, il devrait car si ce n'est pas le cas, l'acheteur peut se retourner contre le vendeur.
Mais :
- il est délicat pour un acheteur d'écrire dans un acte de vente que le bâtiment est en zone inconstructible (et il peut aussi en toute bonne foi l'ignorer)
- le juge considère que les documents d'urbanisme étant éminemment publics, il est du devoir de l'acheteur des les consulter avant d'acheter.