ben oui, ça modifie le cycle menstruel...    

 
Pourtant, c'est la seule réponse scientifique qui n'aboutisse pas à un paradoxe. Mais c vrai que cette notion de cyclicité des phénomènes naturels n'est pas encore super "répandue". Ca fait à peine 250 ans que l'optique a changée... comparé aux 3000 ans de la vision "linéaire" véhiculée par la religion judéo-chrétienne

C'est peut être mon esprit formatée, c'est peut être l'heure, ou tout simplement ma bêtise, mais je ne vois pas très bien comment on peut concevoir que "le cercle" soit une réponse à ma question précédente. Spermatozoide, ovule, rencontre... quand peut on parler d'être humain?  

Tain pour un gars qui s'appelle "ton anus" je trouve pas que t'es vraiment le sens de l'humour

A chaque instant. Bien sûr, dans ce qui se nomme en l'occurrence un "continuum", tous les points ne se valent pas, au niveau de l'intérêt qu'on leur porte. Par exemple, on définit arbitrairement un moment qu'on nomme "fécondation" parce qu'il s'y passe des choses curieuses. Ou un autre nommé "gastrulation", quand on acquiert une structure avec une cavité interne. Mais ça reste des points fixés par convention intellectuelle. Chaque point dans ce cycle a toujours un "avant" plein de signification, et un "après" qui parait, à nous, plus proche de nous.
 
Tout ça à cause de la vieille habitude créationniste, héritée inconsciemment de la religion, qui veut qu'il y ait eu un "premier homme", une "premiere cellule", un "premier mammifère"... Alors que rien de tout cela n'a eu d'existence réelle, la nature obéissant à des lois de cyclicité, de probabilités, de populations de gènes et non d'individus...
 
Bref, entre ceux qui soutiennent que l'avortement est un crime (ou la masturbation, ou les règles ?), et les pro-avortement qui essaient de fixer un point de départ... les deux font erreur, différemment quant aux raisons invoquées, mais les erreurs ont en commun de chercher à définir une "origine unique" à ce qui n'en a pas.

A chaque instant. Bien sûr, dans ce qui se nomme en l'occurrence un "continuum", tous les points ne se valent pas, au niveau de l'intérêt qu'on leur porte. Par exemple, on définit arbitrairement un moment qu'on nomme "fécondation" parce qu'il s'y passe des choses curieuses. Ou un autre nommé "gastrulation", quand on acquiert une structure avec une cavité interne. Mais ça reste des points fixés par convention intellectuelle. Chaque point dans ce cycle a toujours un "avant" plein de signification, et un "après" qui parait, à nous, plus proche de nous.
 
Tout ça à cause de la vieille habitude créationniste, héritée inconsciemment de la religion, qui veut qu'il y ait eu un "premier homme", une "premiere cellule", un "premier mammifère"... Alors que rien de tout cela n'a eu d'existence réelle, la nature obéissant à des lois de cyclicité, de probabilités, de populations de gènes et non d'individus...
 
Bref, entre ceux qui soutiennent que l'avortement est un crime (ou la masturbation, ou les règles ?), et les pro-avortement qui essaient de fixer un point de départ... les deux font erreur, différemment quant aux raisons invoquées, mais les erreurs ont en commun de chercher à définir une "origine unique" à ce qui n'en a pas.

oui mais on fait koi alors, on interdit ou pas?

et puis l'exemple du cercle est foireux
Quand tu dessines un cercle ià la base, ça a un point de départ, sauf qu'apres l'avoir tracé on s'en rend plus compte puisqu'on relit ce point de départ à la fin (mais il y a bien eu un commencement)

Mais au fait qui ( qu'est ce qui ) l'a créé ce cercle ?  

personne, il a toujours été la, et si tu n'es pas d'accord tu es un hérétique
 
on laisse le choix? t'es anarcho uranus?  

 
(j'ai édité pour rajouter un exemple voisin un peu plus "parlant" )
 
- > Non, puisqu'à nouveau tu persistes à vouloir définir une limite de façon scientifique... La biologie, fondamentalement, dit : il n'y a ni début, ni fin, donc ne comptez pas sur moi pour vous dire à quel endroit vous devrez fixer votre choix, les yeux bandés, de façon totalement arbitraire scientifiquement.
 
Bien sûr après tu peux, Dieu merci, quand même prendre une décision... on est des humains capables de bons et de moins bons choix, pas des machines qui se mettent à exploser sitôt qu'on rencontre une erreur "division by zero". C'est bien ça le problème, cette inadéquation, parfois, entre notre univers conceptuel "humain", anthropocentrique, avec des notions de début/fin/premier/causalité/calcul, et un monde naturel qui obéit à des schémas pas forcément faciles à appréhender...

 
Pour savoir s'il y a un commencement a tout faut savoir s'il y a eu un commencement a l"univers.

 
Voilà. Pour la suite, il faut rejoindre le tomic "big bang", voire celui sur la philo/métaphysique. Mes compétences se limitent grandement à l'histoire naturelle

 
Pour savoir s'il y a un commencement a tout faut savoir s'il y a eu un commencement a l"univers.

 
Là, tu viens de tomber dans ce que Bachelard appelle un obstacle épistémologique : tu restes prisonnier d'un détail d'une métaphore, sans avoir pu en comprendre le sens "utile".

bah il y a un commencement puisque les partisants du big bang arrivent a dire a quel instant il a commencé
 
a moins que tu penses a ce qu'il y avait avant, mais a chaque fois que j'ai évoqué cette possibilité on m'a dit que ct impossible, puisque le temps n'existaient pas avant et que donc il n'y avait pas d'avant  

 
Rapport?  Spa a toi de décider de l'avortement des autres personnes.

Si on peut considérer cet avortement comme un meurte, j'ai pas envie de fermer les yeux non. (je ne dis pas que c'en est un, hein? je dis juste que si c'était le cas je ne pense pas que laisser un gamin se faire tuer soit le meilleur choix)  

 
Cé le meilleur choix si les parents considère qu'ils ont fait une erreur, s'mieux qu'un enfant non désiré.

même si l'enfant à 5 ans au moment de l'avortement?    

 
Elle a un sérieux problème si l'enfant n'est pas encore sortie  

T'as pas compris la différence pour moi entre avortement et meurte, c'est que pour l'avortement on considèfre que "l'enfant" n'est pas encore humain. Si on ne pose pas de limite même imaginaire, et qu'on laisse chacun faire à sa façon, alors pourquoi ne pourrait on pas dire qu'un enfant n'est pas humain tant que ses fonctions sexuelles ne sont pas opérationnelles par exemple et donc légaliser "l'avortement" des enfants jusqu'à l'adolescence? (j'exagère mais c dans un but pédagogique )  

J'en conclu (à tort peut etre) que la distinction n'est là que pour nous donner bonne conscience?

 
Une fois l'enfant sortie je considère que les parents le veulent et sont près a en prendre la responsabilité.  Puis l'avortement cé pratiquement dans le cas d'enfant handicapé, difforce ou autre truc du genre.

 
Que veux tu dire?

oui mais tout le monde ne pensera ps forcément comme toi, d'ou ma question sur la pertinence de laisser chacun faire ce qu'il veut.

Que dans tous les cas l'avortement est un "meurtre", on empêche un humain de vivre (pour des raisons "matérielles" ).

 
Si on décide a la place d'une autre personne, on considère qu'elle n'est pas apte a prendre de décision, de plus nous irions contre le sens éthique et nous pourrions lui nuire en lui forçant la main.
 
Bush a décidé de faire la guerre et flinguer plein de monde pour du fric, pour son pays, son peuple, il a bien fait?

c'est exactement ce que je repproche à ta conception : tu laisses les autres faire n'importe quoi si tu ne fixes pas de norme

 
Moi jle vois pas comme un meurtre.

A aprtir de quand l'avortement devient un meurtre pour toi? (après la naissance?)

'tain on lui a pourri son tomic YAISSE  

'tain on lui a pourri son tomic YAISSE