Reprise du message précédent :
Mesdames et Messieurs les célibataires, pour ceux qui habitent les grandes agglo le couvre feu va t'il changer vos habitudes ?

Je vois pas trop pourquoi

Ceux qui ont l'habitude de sortir.

Pour ma part, non.

De mon côté, j'ai pris deux semaines sur Adopte. Je ressens une envie de trouver une copine.

Aveu de faiblesse Peu importe, j'arrive sur 40 ans et j'aimerais avant qu'il m'arrive une saloperie pouvoir vivre un truc cool.

Et j'ai eu un rencard Vendredi soir et ce rencard m'a renvoyé en pleine face mon célibat et le confort dans lequel je m'étais installé. Je ne m'en plains pas, mais je me suis entériné dans cette solitude (que j'apprécie cela étant) Tout cela pour dire que le mur de la séduction est encore plus grand quand on a une vie de célibataire épanouie. Du moins c'est le ressenti que j'ai eu quand j'ai repensé à cette rencontre.

Cool pour toi en espérant que tu trouveras ta Vandettate.

Moi pareil j'ai repris un abo sdr mais j'y crois plus trop.  

 
Essaie de pratiquer la théorie du détachement. Ca te préservera des potentielles et inévitables déceptions qui poindront.
 
Je n'y crois plus depuis un moment, c'est plus pour jauger ma capacité à séduire en fait que je l'ai pris.

Tiens je découvre ce topic
 
Drap'
 
Pour le couvre-feu, un peu chiant pour les dates et les restos, 21h étant un poil tôt pour moi, mais sinon pas de gros changements non

Non... Même le confinement n'y changeait pas grand-chose.  
 
Je n'ai toujours pas envie de me remettre en couple, mais je commence à saturer de mon isolement. J'hésite à tenter des rencontres à nouveau.

Bienvenue.

Pareil même si j'aimerais bien être en couple c'est surtout la solitude que je vis que j'aimerai bien changer mais bon...

Clouée au lit seule avec deux enfants en bas âge.. je me dis que je ne vais pas pouvoir vivre seule encore plusieurs années.je n'en ai tout simplement pas la force

Pourquoi clouée ? Tu es malade ?

 
Mais si tu y crois puisque tu as envie de trouver une copine, c'est ce que tu as dit, non?
 
Et de vivre "un truc cool" pas juste de voir si tu peux arriver jusqu'au lit de la meuf.
 
C'est difficile de te suivre.

Oui, courbatures horribles, pas de Doliprane chaque mouvement me fait souffrir. Je peux pas m'occuper de moi mais je dois quand même m'occuper de deux personnes, la solitude et l'épuisement pèsent lourd j'arrête pas de chialer

Ca s'arrange un peu quand les enfants grandissent, normalement. Il sont plus autonomes.
Bon courage.  
 
Personnellement, si je devais me remettre en couple, je voudrais garder le chacun chez soi. Je trouve tout de même des avantages au célibat, et j'aurais trop peur de revivre l'enfermement du couple tel que je l'ai connu.

 
Je ne crois pas aux vertus des SDR. Mais j'aimerais bien croire qu'une relation sérieuse dans le futur soit possible, oui.
 
Vivre un truc cool, c'est vivre une belle relation, un truc simple, sincère.

 
Perso, je ne sais pas. Ce serait pas étape, je pense. Avec de très longs moments entre chaque étape. Je vois cela comme des filtres. Seul le temps peut éprouver une relation, de mon point de vue.

 
Oh la la oui c'est terrible ça. Et j'imagine que tu n'as personne qui pourrait venir quelques heures?
 
Courage Harriet.

Ou au moins t'apporter 2 ou 3 boîtes de Doliprane ?

 
J'ai le même sentiment que toi là dessus.
 
Au final j'ai aucun problème pour me trouver une nana, mais systématiquement ça s'arrête après quelques mois (un an max), parce qu'elles veulent se projeter mais que moi je suis parfaitement à l'aise avec l'idée de la relation mais en gardant ma vie de célibataire à côté une fois rentré chez moi

Pourquoi ne veux-tu pas t'engager ?

Compliqué
 
Je vois très facilement tout ce que je "risque" de perdre, et je suis jeune (quoi que j'approche rapidement des 30 ans là).
Quand je vois certains collègues de mon âge avec leur premier gosse et/ou se prendre des reproches car ils sortent voir les copains, ce genre de trucs, ça m'angoisse

Ah d'accord, cette contrainte là : la liberté. Ca se comprend aisément.

Dans le cas où je serais covidée, je peux demander à personne de prendre ce risque. Merci pour votre soutien.

T'as pas un / une pote qui peut te déposer du doliprane et quelques courses devant ta porte ?

 
Je crois que la liberté est une notion récurrente.
Moi-même, si je dois faire un peu d'introspection, j'avoue être assez angoissé au fait de devenir "coincé" dans une situation qui ne me convient plus.  
L'exemple typique étant les enfants.  
 
Les rares fois où j'ai été en couple, j'ai toujours tenu à ce que chacun conserve son logement parce que je ne supporte pas que mon espace vital soit empiété. J'ai besoin de mon "chez moi" comme d'un refuge à partir duquel je peux recharger mes batteries vidées par l'extérieur (toutes les interactions sociales mais même le fait de sortir [citadin] m'épuise).
 
Dernièrement, ma tentative de couple a foiré car madame trouvait qu'on ne se voyait pas assez (le week end en gros).
Bref, ça m'a saoulé. Et comme je ne supporte pas la contrariété, j'ai mis un game over à cette histoire. Et au final, cette rupture m'a procuré immensément de plaisir dans le sens où je me suis enfin retrouvé maitre de mon temps. Même si je ne fais pas grand chose de celui-ci.

C'est la même chose pour moi oui, le côté introverti qui refait surface.
Pour nous cet espace vital est très important.

En fait c'est plutôt que la plupart des femmes ne conçoivent pas le fait qu'une relation, aussi épanouissante et agréable soit-elle, stagne et n'évolue pas vers un engagement supérieur.
Je l'ai constaté presque systématiquement quand c'était quelque chose de sérieux.

Bah oui quand meme

 
Je comprends de ne pas vouloir vivre en couple, pour l'instant je n'envisage pas non plus de reprendre une vie commune avec quelqu'un. Même si ça aussi ça peut évoluer....
 
Par contre une rupture qui te procure énormément de plaisir c'est que la relation était bancale.

Grave.

Avec la période COVID, le confinement, les fermetures anticipées, le port du masque, la distanciation et toutes ces mesures liberticides, il est aisé de comprendre que la liberté prend encore davantage de valeur qu'avant tout ce marasme.

Je comprends parfaitement cela, me sentant moi-même totalement libre en étant célib'. Et après une longue période seul, devoir déjà partager de son temps pour une autre personne, c'est contraignant (on l'a choisi, mais c'est une contrainte comparé à notre vie d'avant) donc la vie en concubinage, il s'agirait là, et je parle pour moi, d'un véritable renoncement. Un sacrifice.

L'engagement de nos jours fait peur car il symbolise , à tort peut-être, l'emprisonnement.

Ca se passait plutôt bien mais le niveau pression ressenti était tel qu'il venait obscurcir tout le reste.
Je n'aurais peut-être pas du utiliser le mot "plaisir" mais plutôt "soulagement".
 
Revenir au statut quo, à sa zone de confort initiale, a quelque chose de jouissif si on met de côté ce qu'on perd (le partage notamment).

ce côté détaché transforme là en force

pareil

Pareil ici même si j'étais en couple je me verrai mal avec 1 ou 2 gosse.

Comment ?

J'ai une vraie fragilité, un manque TOTAL de confiance en moi vis à vis de la gente féminine. C'est un véritable fléau. J'intellectualise trop.
 
Et si la fille me plaît, je perds tous mes moyens et toute mon assurance. Peut-être aussi que le célibat était un moyen de ne pas me confronter à mes faiblesses. Possible.

Copain

 
 
Il faut garder ce côté détaché (le fait que tu vives bien ton célibat) quand tu es intéressé par une nana

Extrêmement difficile que faire cela    
 
Je retombe naturellement dans mes travers de nigaud. C'est fou d'ailleurs. J'ai pas mal d'aisance mais dès qu'il s'agit de séduction, je suis un petit garçon. Ou alors non, je fais peut être le taf mais je me perçois comme un enfant.