Reprise du message précédent :

 
 
Je viens de lire, et cela m'a tout l'air d'une "kienculelepeuple"
 

 
Merci pour ça
 
faut vraiment que j'apprenne les bonnes techniques. Je suis dans ma première année de boulot, donc faut que j'apprenne les rudiments d'une bonne optimisation...

En plus des combines habituelles (référencées en première page) pour paraître très très occupé au travail,

Il faut je pense, et comme le souligne souvent Gil, vraiment adopter une attitude de winner (voire charismatique)

A la COGIP j'ai des exemples à la pelle de personnes réellement très impliquées dans leur travail (qui vont jusqu'à acheter des revues spécialisées dans notre domaine d'activité, très obscures et en full english). Mais leur implication est peu prise en compte car ces personnes sont très transparentes.
Donc tout le monde s'en fiche.

Le ressenti par rapport à des employés de ce type est paradoxalement assez négatif. Ce sont des personnes que nous voyons mal s'exposer directement aux problèmes face au client, et donc elles n'évolueront presque jamais.

Comme quoi parfois, même si cela ne fait pas partie de notre caractère, se forcer à s'énerver bêtement sur un problème, s'agiter rapidement dans les couloirs etc est vraiment bénéfique pour l'image dans la COGIP.

On a l'air d'un battant qui ne se laisse pas faire, et quoiqu'on en dise... cela se remarque beaucoup en interne.

Départ -15 minutes
 
Allumage...

je m'échappe ! a++

 
Oui, car le management pensera que ce sont des autistes passionnés, absolument pas fiable quand il s'agit de se colleter avec des difficultés sortant de leur domaine de passion.  
 
 

 
Je le dis souvent à demi-mot : pour passer pour un moine-soldat, il faut s'extérioriser assez fort pour faire (hélas) chier les collègues. Si on est trop discret, si nos collègues ne nous remarquent pas, la direction ne verra rien non plus. Et faire suer les collègues avec du bruit, etc. c'est susciter du buzz sur notre personne.  
 
Cordialement,
 
Gil qui file
 
 

C'est en inaugurant mon nouvel avatar que je quitte la COGIP après une journée d'optimisation quasi-intégrale    
A demain !

 
ou plus simplement des personnes compétentes et passionnées sur lesquelles on peut charger la mule en ayant l'assurance que le boulot sera fait sans jamais recevoir de plaintes et de remarques en retour.
Ce sont les "forces vives" de la COGIP, celles qui bossent vraiment (et pas les plu valorisées car aucun intéret à les sortir de là et perdre en productivité)

Mesdames, Messieurs, bonne soirée...  

je ne peux que me féliciter de voir tous ces avatars de qualité  

A demain

Et on ne le dira jamais assez pour ceux ayant une place stratégique : ATTENTION AUX REFLETS DE VOTRE ECRAN DANS LES VITRES !!!  

moi on le voit en énorme le mien
va falloir que je baisse le store en partant mais ca va faire démasque aussi

 
OH PUTAIN        
 
Mille mercis

à demain les poussins

bisous les loulous  

Et sur les lunettes.

 
anti reflets powa

Normal, on est ici pour s'entraider

A demain les ptits malins !

 
   J'ai commencé à le faire : quand je m'absente de mon poste 10min pour une pause café ou 1h pour la pause déjeuner, toujours un tableau Excel bien compliqué que le premier venu n'a aucune chance de comprendre sur l'écran de mon ordi. Et à l'occasion des papiers avec schémas ou des notes prises en réunion. Je ne sais pas si ça fait son effet, mais étant en open space, je pense que pas mal de gens le voient.
 
 
 
  ² Qu'es-ce que j'en apprend ici, je sens que je vais passer ma vie sur ce topic    
 
Le problème ça reste la communication, savoir être indispensable et aimé de tous, même si on ne fait rien d'important. La direction aura toujours plus de mal à virer un type qui s'est fait aimé de tout le plateau qu'un mec qui reste dans son coin, même si il fait bien son boulot.
Je me penche dessus en ce moment, parce que je ne dis pas bonjour à tout le monde (on est nombreux), et je me demande si vraiment c'est nécessaire (sachant que je ne dis bonjour qu'aux gens avec qui je bosse réellement).
 
Sinon, COGIP = ?

Ravi que nos conseils te plaisent, je t'invite vraiment à lire la première page, Gil à fait un très bon travail

Tu y trouveras la définition de COGIP également

Pour tout connaître de l'esprit COGIP je te conseille de taper ce mot clé sur Youtube, tu comprendras pourquoi nous restons tous très second degré dans nos entreprises en voyant ce qui peut parfois s'y passer...
Tandis que d'autres vivent l'esprit COGIP au premier degré intégral.

Deux exemples (mes préférés)

http://tinyurl.com/2vps6yo
http://tinyurl.com/32mrz49

Nous connaissons presque tous des types de ce genre et nous paraissons identiques au premier abord, sauf que nous optimisons le système  

(edit : modification des URLs par des redirections tinyurl...)

indice : voir la signature de Gil

Je suis devant l'apéro avec un cahier en train de concevoir une bonne formule pour calculer l'indice optimisatoire.    
 
 
 
 
 
AMHA, il ne faut pas chercher à être aimé de tous : c'est une grosse source de frustrations (grand écart émotionnel face à des gens que nous n'aimons pas) et c'est épuisant. Surtout que l'approche la plus facile pour être apprécié rapidement est la gentillesse, qui est aussi le moyen le plus rapide de se retrouver surchargé de travail par les collègues qui délèguent sur les "bonnes poires"   .  
 
Je sais que certains arrivent à rester aimables en étant "carrés" dans leur fiche de poste. Mais ce n'est pas le cas pour moi, et je me contente d'être apprécié par les chefs.  
 
Mes collègues N et N-1, N-2 ne m'aiment guère car je les envoie régulièrement bouler ou je les gène avec mes démonstrations théâtrales, voire avec les manoeuvres de mon parapluie en acier blindé (bottage en touche, refilage de patate chaude, mise en difficulté en réunions, etc.)  Mais je peux me le permettre car je suis assez haut dans l'organigramme de ma COGIP. Un junior désagréable se ferait rapidement planter des schlass dans le dos, donc prudence.  
 
 
Cordialement,
 
Gil
 
 

 
Accueillant tout ça... rappelle moi le nom de ta COGIP que je fasse pas la connerie d'y postuler

 
Exactement comme moi Gil', assez haut placé dans l'organigramme pour être à la fois bien vu des N+x et respecté par la position des N et N-x.
 
Quand un N-x ou prétendu futur N commence à me chier dans les bottes je n'hésites jamais à lancer la formule magique : "Au fait, fais gaffe avec ce que tu as rendu la dernière fois, j'ai eu l'occasion d'en parler à N+1 et N+2 lors du repas extérieur ou j'étais invité avec eux, te grille pas tout de même, respecte les timings"
 
Pour lui c'est une catastrophe car il n'a pas de contact direct avec N+1 et 2 pour confirmer ou infirmer, et il me place directement dans la catégorie des influents donc des hypothétiquement dangereux, troisième effet il sait également que j'ai un acccès possible à la synthèse de son boulot via la hiéarchie : IMPARABLE  

 
C'est une hyperbole, pour dire que le gars qui n'arrondirait pas suffisamment les angles attirerait une mauvaise réputation suffisante pour réduire à néant sa carrière.
 
Cordialement,  
 
Gil  

vous êtes mes rôles modèles  

Sans vouloir paraitre sadique : J'adore faire ça également

Pour moi ça veut dire : N'essaie pas de jouer gamin, j'suis passé par là moi aussi et j'ai suffisamment galéré pour profiter au maximum de ma position actuelle (sans aucun remord ou état d'âme en cas d'optimisation intensive)

 
Ahah excellentes ces vidéos.
 
J'ai commencé à regarder la 1ère page, c'est juste génial. Faut que j'applique certaines techniques au plus vite.
 

 
Oui ok, nous ne sommes pas au même stade hiérarchique.

Je ne sais pas si par là tu veux dire que tu es plus bas hiérarchiquement?
Car crois moi, et j'en suis une preuve vivante, si tu es dans une COGIP dans laquelle tu as des possibilités d'évolution,
En appliquant les dizaines et dizaines de techniques décrites en première page, tu peux paraître vraiment plein d'énergie, motivé, surchargé de travail, mais également branleur de première classe dans la discrétion la plus absolue.

J'ai commencé comme assistant dans ma COGIP, il m'a fallu plusieurs années mais je suis monté hiérarchiquement uniquement car j'ai fait les bonnes choses au bon moment, j'ai su m'adapter, mentir, optimiser, faire des miracles (aux yeux des autres) uniquement avec des écrans de fumée. Et tu vois, si tout va bien (Cf: mon Post où je parlais de l'incident de la machine à café) je peux être promu adjoint du directeur de département pour lequel je bosse.

Alors que je ne me suis pas tué à la tâche depuis bien longtemps

Par contre j'avais une question (j'y ai pensé en lisant les posts de la 1ère page) :
 
Lorsque j'ai commencé mon job, on m'a dit que je ferai 9h-17h. J'ai une fonction qui se rapproche de la direction, donc cadre.
Tous les jours j'arrive vers 8h50, et pars systématiquement à 17h. Je ne sais pas si c'est mal vu que je parte toujours à 17h.......
 
Qu'en pensez-vous ?

 
Fais comme moi par exemple, des clients nécessitant un déplacement à la dernière (hopitaux, etc) pour t'inventer des faux prétextes et partir, comme ce soir  
devant tout le monde
 
Sinon les activités extérieures bien vues par les chefs comme adjoint au Maire, vice président de communauté de commune, adjoint au député et j'en passe
 
Le législatif est très souvent mal vu, l'exécutif souvent respecté car inconsciement lié à l'autorité publique

 
 
je rêve d'avoir ça aussi ...

C'est discutable mais là où je travaille je ne pars jamais à l'heure (TOUJOURS 10 ou 15 minutes plus tard au minimum pour simuler le fait que je n'ai pas regardé l'heure)

Si tu pars à l'heure, à mes yeux, cela signifie que tu attendais 17h00 donc que tu as regardé ta montre à 16h15, puis 16h30, puis 16h45 pour enfin lever le camp dès que possible.

Et crois moi, j'ai déjà entendu maintes et maintes fois des remarques sur mes collègues qui partaient à l'heure (alors qu'ils sont entièrement dans leur droit) du genre

"Ah tu pars déjà?"
"Et bin dis donc tous les jours 17h02 t'es réglé comme une horloge !"

Je pense ne pas me tromper en disant que tu seras vivement critiqué (poignardé dans le dos)... encore plus si tu es cadre. 10 ou 15 minutes supplémentaires à fouiner sur internet, en laissant partir la bonne moitié de la COGIP avant toi, ça me parait être un minimum uniquement si tu veux te faire bien voir bien entendu (en n'oubliant pas de saluer le chef cela va de soi)

D'autres avis de la part de personnes plus expérimentées dans le domaine pourront peut être me contredire à ce sujet

 
   Ça me laisse pensif tout ça.
Tu n'as pas tort, va falloir que je le fasse.
Mais c'est vrai que d'un côté j'ai souvent tout finis à 16h, donc la dernière heure est souvent très longue (pas internet au boulot).
 
Mouai, mais c'est vrai que t'as sûrement raison. En fait je pars souvent à 16h57.  
 
 
EDIT :
 

 
Plus je vous lis, et plus je me dis qu'en compilant tous ces trucs énormes on pourrait faire un film qui cartonne. Comme tu le disais, y'a qu'à voir le nombre de livres qui se vendent sur le foutisme au travail....

Ma proposition concernant l'indice d'optimisation :
 
 
A) Préambule :
 
Il faut partir des contraintes (ce qu'on peut quantifier, et la structure imposée par le calcul) et des fourchettes minimales et maximales. Déjà, je propose qu'on supprime de la formule les notions de bonheur, les jours de congés exceptionnels, le type de poste, car ils me semblent soit être redondants avec la paye et le taux de glande, soit être hors sujets, soit rentrer dans une catégorie existante.  
 
   
Si on veut un pourcentage, il faut :
 
("INDICE PAYE ANNUELLE NETTE - IPAN" + "TEMPS TRAJET - TT " + "TAUX DE GLANDE MOYEN JOURNALIER - TGMJ " + "NOMBRE DE JOURS ANNUELS DE DISPONIBILITE AUPRES DE L'EMPLOYEUR - NJD " + "PART VARIABLE D'APPRECIATION SUR LE JOB - PVA" + "RESPONSABILITE - RESP" ) / 100.
 
Attendu que IPAN + TT + TGMJ + NJAT + PVA + RESP  ne doit pas dépasser 100 bien entendu.  
 
 
B) Quantification des critères
 
Je propose d'affecter les valeurs maximales comme suit :  
 
IPAN = ne peut dépasser 25 %
TT = ne peut dépasser 15 %
TGMJ = ne peut pas dépasser 25 %
NJD = ne peut pas dépasser 25 %
PVA = maximum 5 %
RESP = maximum 5 %
 
La somme de tous ces indices au maximum donnerait 100 %,
 
 
 
C) Modes de calcul des indices  
 
 
Maintenant, déterminons les modalités de calcul des indices, selon les chiffres usuels français :  
 
 

• IPAN : La paie maximale pourrait être la plus forte rémunération mensuelle française, genre patron du CAC40 ou star du football : 240.000 € net. Pour transformer votre net mensuel en indice IPAN : (montant en euros x 100 / 240.000) / 4 . La caissière à tiers temps au SMIC à 342 € appréciera son IPAN de 0,035625 ...  

• TT : la valeur la plus basse sera la meilleure, sachant qu'en télétravail @home, le temps de déplacement est celui de faire chauffer un café au micro-onde. La valeur maximale pourrait être de 4 heures aller+retour au-delà de laquelle le job devient invivable, soit 240 minutes. Pour avoir le TT : (1 / temps de trajet A/R en minutes) x 100/6.66

• TGMJ : le plus fort taux de glande est de 100 % soit 1: emploi fictif ou placard doré. Nous le calculerions comme suit : Taux de glande moyen sur un laps de temps significatif / 4 (pour ramener au maximum à 25 soit le plafond défini).

• NJD : le chiffre le plus bas est le meilleur. Le pire serait de travailler 365 jours par an comme certains posteurs sur le topic des informaticiens aigris. Le mieux serait un emploi fictif avec une seule journée par an au siège pour signer le contrat de travail et/ou récupérer les consignes de discrétion. Pour avoir le NJD: (1 / nombre de jours de travail annuels) x 100 / 4  

• PVA : cette part est subjective et dépend du goût porté au métier, aux avantages tels que le temps de trajet convertible en sport, à des avantages en nature genre Alfa-Romeo de fonction, un cadre convivial, un bon restau d'entreprise, etc. Maximum 5 % pour un job ayant des à-côté agréables  qui ne seraient pas décrits par IPAN, TT, TGMJ et NJD.  

• RESP. Là aussi, sur 5 points, le plus bas taux de responsabilité récupérant le meilleur score. Pour échelle : chirurgien, capitaine de navire, contrôleur aérien : 0 %.  PDG d'une entreprise sur un marché concurrentiel : 1 %. Gratte-papier en CUI-CAE dans une chambre de commerce : 4 % et emploi fictif à la Mairie de Paris : 5 %

 
D) Conclusion  
Avec cette formule, vous verrez que l'IPAN et le NJD sont des opérandes restrictifs sur nos emplois de bureau usuels à 1800 € nets et nos 200 jours environ de bureau par an. Ceci pour éviter le "concours de pénis" et rappeler qu'en matière d'accès aux revenus, les extrêmes existent.  
 
Ma formule peut être modifiée en changeant quelques variables si on veut une fourchette salariale plus commune, par exemple. On peut aussi changer la pondération des indices au sein du numérateur.  
 
Cordialement,
 
Gil

Un compromis pourrait être de rester plus tard une fois de temps en temps, lorsqu'il y a un problème (véritable ou non, qu'importe, du moment que tout le monde est au courant ) pour montrer que, oui, tu pars parfois tôt mais jamais au détriment des intérêts de la COGIP qui passent avant tout Il y a eu "La stratégie de l'échec", il y aura "La stratégie de la glande l'optimisation"

Malheureusement le problème est que le monde du travail est rempli de vipères, de vautours et de charognards en tous genre. Il y aura toujours quelqu'un pour critiquer le fait que tu partes tous les jours à l'heure exacte, manquerait plus que ça arrive à l'oreille du boss, pour que celui-ci en soit stupéfait. Alors même qu'il pensait que tu vivais et respirais COGIP, il peut se mettre à te surveiller de près.

Tu ne peux pas propager auprès de tout le monde le fait que tu partes uniquement quand tout va bien parce que ce qui en ressortira au final c'est que, si tout va bien de ton côté, c'est sous entendu que tu gères ta charge de travail et qu'on peut te rajouter quelques dossiers sur la pile existante.

Ce n'est que mon point de vue certes, mais dans le monde merveilleux de l'entreprise, les ragots et les tacles à la gorge dans la surface de réparation sont légion.

Dans le cadre d'un travail de bureau sans possibilité de se déplacer librement à l'extérieur (rendez vous etc) mieux vaut perdre quelques minutes par jour pour avoir l'air de ne s'en aller que lorsqu'un dossier/une tâche est bouclée.

Partir à 16h55 parait dangereux car d'un point de vue de la charge de travail, ton supérieur peut imaginer -à tort ou à raison- que tu avais terminé bien avant ou bien que tu mettras les voiles à heure fixe le jour où le navire de la COGIP aura besoin de toi pour redresser la barre.

Edit : Pour argumenter encore (et augmenter la taille de mes pavés de post )je peux te citer un exemple : Dans ma COGIP il est arrivé que des critiques fusent envers ceux qui partent plus tôt certaines après midi alors que le jour précédent ils avaient entamé deux heures supplémentaires. Ou bien que l'on critique ceux qui vont fumer car cela grignote leur temps de travail alors que quotidiennement certains ne déjeunent pas à l'extérieur entre midi et 14h00 et se contentent d'un sandwich en continuant de travailler (ou en faisant semblant de travailler dans mon cas). Bon nombre de personnes frustrées à la mémoire courte ne retiendront que tes avantages en oubliant les services contraignants rendus à la COGIP.

Edit 2 : @Gil : Quel travail de qualité    Tu m'étonnes que tu arrives à faire gober n'importe quoi à tes supérieurs, respect. J'étudierai tes propositions dès demain lors du début de mon optimisation quotidienne

Je partage sensiblement le point de vue de Jack_Slater, et je vous renvoie à ce splendide résumé de Dzama :"plus tu es débordé moins on te charge de taff".  
 
Mais dans une COGIP pas trop violente comme la mienne, il n'est pas utile de partir tous les soirs dix minutes après les autres. Et dans les administrations ou organisations délégataires de service public, en faire trop peut causer des soucis relationnels. Rappel, dans les structures où la glande est institutionnalisée, il vaut mieux être facile à vivre et ne pas faire de vagues.  
 
 
Pour une COGIP de salariés non-enragés, il y a d'autres façons de suggérer les horaires extensibles :  
 
- Arriver un peu plus tôt le matin, et être déjà au travail, le bureau en bordel quand tous les autres arrivent à 09h01. Si on vous demande si vous êtes tombés du lit, dire que vous deviez déposer Madame à l'aéroport et/ou déposer le petit à la crèche.  
 
- Rester entre midi et deux au bureau.
 
- Partir à l'heure en allant dire au-revoir au boss, en emportant ostensiblement sous les bras des dossiers, et lui dire "on fait un point demain matin à la première heure, je rassemble les coûts pour l'estimatif Q1-2011...".
 
- Et si vous devez "brûler les planches" un peu plus longtemps le soir, le vendredi ou le lundi sont des bons choix. Vendredi = jour de week-end, qui fait trop envie au salarié lambda moins tenté de jouer le débordé. Et lundi = jour de spleen, où le "salarié pas motivé" n'a qu'une hâte, c'est de rentrer chez lui.
 
 
Concernant le calcul de l'IO, les discussions techniques se font dans la section scientifique : http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t24609832, où nous devrions passer pour des charlots auprès des bosseurs forts en math.    
 
Cordialement,
 
Gil

 
Pas faux dans ton cas Gil', dans mon cas, de la Cogip "prêt à mourir pour pour tout" tu remarques de toutes les manières les laborieux prêts à se tuer à montrer et démontrer leur compétences mais, et dans ce cas, ils sont directement classés dans la case "débordés", "pas assez compétent" ou autres "ne rentre pas dans le moule"
 
Ils sont en frontal de toutes les merdes qui arrivent, et sont les premiers à venir pleurer pour les aider. Mais je suis le premier à aider, mais selon la principale et unique règle du donnant-donnant...
 
Si j'aide ça sera de toutes les manières dans mon domaine de compétences (et je suis le seul à "maîtriser" ces compétences) si hors maîtrise immédiate : 18 mètres et prise de connaissance avant retour de la conversation. Par contre je fais un point d'honneur à remettre la sollicitation du collaborateur à l'ordre du jour tout en gonflant la sémantique et les enjeux et bien entendu à toutes les réunions où les N+x sont là  
 
Tout le monde est gagnant est ça me coûte à tout casser 5 à 6 % d'un total de TTG sur une journée.