Reprise du message précédent :
J'ai raté mes cours ce matin, trop fatigué pour me lever...

Ptin mais à fond quoi ! C'quoi ce teaser de tapette ?    
 
   
En fait c'était cool les cours question glande, absentéisme et compagnie, surtout vers la fin, mais plus j'y pense, plus je me dis que j'aurais vraiment aucune envie de revivre ça  

topik sur le jeu video the saboteur. Pas encore en ligne, je chiade un peu la page 1.

 
 
Hmmm...  
 
Bien que ma vie professionnelle soit actuellement dorée (glande, peu de responsabilités réelles, 35 heures et pas 39 heures déguisées, proche de mon lieu de résidence, paye correcte, etc.), je préfèrerais encore la vie étudiante, synonyme de :
 
- plus de liberté, pas de surveillance discrète des heures d'arrivée et de départ ;
- plus de potes déconneurs ;
- très peu de soucis logistiques, en partie pris en charge par le giron familial ;
- tarifs réduits pour pas mal de choses, du coiffeur aux transports ;
- grèves dans les facs fréquentes.
 
Gil

Je ne pourrait plus moi la vie étudiant.
Rentrer chez toi le soir avec encore du boulot à faire c'était vraiment trop chiant.
Et j'suis même pas certain que j'arriverai à repasser mon BTS 8 ans après.

 
en BTS tu travaillais le soir chez toi ?      

A part pour les tarifs réduits, y a pas vraiment de changement pour moi. Pour mes horaires, ils sont fixes, enfin dans une fourchette, mais je les vois pas trop comme une contrainte, ça me va...  
Je pense que je commençais à en avoir un peu marre d'être étudiante.  
Et sans chercher à rouler sur l'or, j'en avais aussi marre de pas être autonome financièrement.

Pareil, les études avec le travail à la maison, je ne pourrrais plus (surtout que j'ai toujours eu comme principe d'étudier à l'école, pas la maison => si je glande en cours, c'est mon problème, je ne réviserais pas d'avantage chez mois.)
 
Aujourd'hui j'admire les gens adeptes du télétravail, ceux qui arrivent à focaliser leur attention sur du boulot lorsque chez toi tu as tellement de choses pour te divertir.
Je suis le premier à reconnaitre les vertues du télétravail, mais j'en reconnais aussi les dangers.

Bah oui, révision et devoir maison

 
Bien vu ! Mon opinion sur le bonheur d'être étudiant est motivée par le fait que j'étais en AESà la fac. Ce qui implique peu de travail, par rapport à des cursus et écoles plus rigoureux.  
 
En AES, je travaillais un peu le dimanche à l'apprentissage des cours et ça suffisait (le dimanche, car en semaine, c'était jeu de rôle ou apéro le soir... )  
 
 
Mais cela n'aurait pas marché en BTS.  
 
 
Gil
 
 
 

 
au cours de mes études supérieures je n'ai pratiquement jamais travaillé le soir chez moi
j'ai eu ma licence en maquillant mon relevé de notes erasmus alors que je n'allais jamais en cours
mon master je l'ai eu en étant malade le jour de l'examen et en ayant une session de rattrapage seul dans un cagibi avec mes classeurs de cours à portée de mains  

Les masters et les thèses sont parfois donné c'est vrai.
Surtout quand les prof ne veulent pas revoir un élève l'année suivante ; c'est prends ton diplôme et va voir ailleurs.
 
La nos étudiants togolais vont repartir avec leur masters dans quelques mois, master qui ne vaudra pas grand chose.
Mais bon, les industriels ou chercheurs ne sont pas con ; à choisir un candidat Togolais avec une thèse en aéronautique ou un Ricain/français/anglais, ils ne vont pas se poser la question bien longtemps.

Coucou  

bon chuut le repetez pas je passe le reste du temps de travail sur ma moquete chez moi la a glander par solidarité

t'as pas de chaise ?

kaka  

ces tarés  

 
si mais je prefere ma moquete épaisse pour m'allonger sur le dos, ce que je ne peut pas faire facilement au boulot

Comment dire gentiment qu'on ne pourra pas être présent à un pot/réunion/rencontre dans le cadre du travail ?

J'opterai pour un

Sans aucune explication

 
Allez sérieux  

tu réponds pas et t'y vas pas

tu dis que t'as une inondation chez toi.

 
Moi aussi, je suis très méfiant vis-à-vis du télétravail, pour plusieurs choses :  
 
- En étant absent du siège, on échappe à la surveillance "douce" de la part des managers et de "l'auto-contrôle" entre collègues. Ce qui amènerait la direction à établir des critères d'évaluation stricts pour le travail rendu, envers les télétravailleurs. Dès lors qu'un reportingpointu se met en place sans possibilité de faire du théâtre au siège, le déficit de travail utile se remarque plus facilement...
 
- Le management peut arguer du gain de temps dans les transports pour inciter à travailler plus d'heures à la maison.  
 
 

 
Ah ah ! Excellent, ça me fait penser à ma "gruge" quand j'étais étudiant : en première année à la fac, il fallait prendre une UV de langue. Pour ne pas me faire suer avec du boulot en plus, j'ai choisi sur cette UV un niveau de débutant, alors que j'en avais déjà fait au collège+lycée. La prof avait demandé les copies des notes du baccalauréat, je l'ai embobinée en disant que ces papiers avaient été perdus lors d'une inondation.    
 
C'est passé comme une lettre à la poste, et j'ai pu m'inscrire dans cette UV de débutant alors que j'avais des années de pratique... Je n'allais qu'à un cours par trimestre pour "prendre la température" et j'ai eu une excellente note.
 
 
Gil

Bon, je rentre en rendez-vous avec mon responsable direct pour mes objectifs de cette année.
Le truc qu'il ne sait pas encore encore, c'est qu'il se fait jeter demain  

Bon allez, pour digérer, je vous propose un cours de diététique par ma collègue chinoise :  

J'lui ai répondu que j'en avais rien à foutre, et que je mangeais aussi du chocolat, et que de toute façon il fallait manger de tout    
Faut que je trouve une solution pour plus la croiser de la journée au plus vite là  

Fallait lui répondre que toi tu ne manges pas de chat.

Hé les zamis, je cherche la série des "je suis ton père" mais gif, flemme de tous les télécharger.
Quelqu'un sait où je peut trouver ca ?
 
une pour le fun :
 

Je vais essayer de lui répondre le moins possible, dorénavant hein  

 
Héhé, bien joué. Moi aussi j'ai grugé pour glander durant mes etudes. Exemple en Licence; il y avait un module de sociologie ou de communication (un machin dans le genre). La note du semestre portait sur un sondage à la mord moi le noeud, à faire dans la rue. Pour ce travail on m'avait foutu avec deux sales grognasses qui pouvaient pas m'encadrer (juste comme ça sans raison, mais c'etait largement reciproque...). Donc le truc c'était que chacun de nous aille de notre coté emmerder les gens à la sortie du metro aux heures de pointe avec nos questions à la con...  
 
Bref: (puissance 10)
 
J'ai torché cette connerie la veille au soir sur un coin de table en regardant un match de foot et en bouffant du saucisson. J'avais tout inventé de A à Z avec tout ce qui me passaient par la tête (profils socio-professionnel des personnes interrogé, prenoms, ages, reponses...).
 
Le lendemain je montre ça à la prof: elle dit "Alors voilà, ce genre de réponse c'est typique de ce genre de profils sociologique, tres bon cas d'ecole, excellent sondage, bravo Barracus! Tiens: 17/20"
 

Ellesse, tu n'as pas de chance, niveau compatibilité d'humeur avec les collègues.
 
Un peu comme Guilletit avec son nabot velu et Ouin-Ouin. Et si j'étais mauvaise langue, je dirais : un peu comme toutes les femmes dans les bureaux, qui cohabitent plus mal entre elles que les hommes.  
 
Gil

un collègue m'a envoyé tout fier par mail un screen de son démineur en mode hard qu'il vient de compléter vaillamment
 
commentaire "bon, maintenant,  qu'est ce que je vais faire jusqu'a 17h ?"
 

 
Un p'tit freecell?

merci
 

Je crois pas non, on est 6 femmes et un homme, y en a qu'une que je peux pas encadrer, et qui, manque de chance, s'avère être une glu. Y a tout autant de mecs qui sont aussi chiants qu'elle, j'en ai vu pas mal là où je bossais avant, surtout que la proportion était presque inversée. Mais je m'en foutais, j'étais à temps partiel et je savais que ça durerait pas.

Invite la à optimiser avec nous...

 
J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de blablas-pipo dans le monde universitaire, et surtout dans les sciences humaines. A ton témoignage s'ajoutent d'autre :
 
- L'été de mon bac, en congés à la campagne, j'ai rencontré une doctorante en sociologie qui m'a dit "s'il te manque des références et citations pour boucler un devoir, cites les Cahiers de Paul Valéry - bien plus connu comme poête que comme penseur et philosophe. Quasiment aucun prof de fac ne connaît ces cahiers, donc pioche le ton de ses textes à la BU, et brode avec cette base !"
 
Dans les années 1970, un ami de mon père avait pompé son mémoire de maîtrise sur l'économie liée aux nodules polymétalliques dans la base documentaire de l'UNESCO ou de l'ONU, auprès desquels il avait des entrées. Le prof de fac qui suivait le mémoire n'avait pas accès aux infos les plus récentes de ces organismes... En deux week-ends de saisie à la machine à écrire, la maîtrise était torchée.
 
- Des universités s'équipent de logiciels qui comparent les devoirs des étudiants avec les sources trouvables sur le net, afin d'éviter les copiers-collers les plus flagrants. Ce qui était possible en 1970 n'est plus aussi facile aujourd'hui.
 
 
Bref, tout ça pour dire que la fac de lettre a bien renforcé des aptitudes que je développe aujourd'hui au bureau : aplomb et air doctoral en débitant des conneries, réflexes d'enfumage, noyage d'infos sous de la langue de bois, des périphrases, etc.
 
Gil
 

pinaise mais les toshop de sharen morgan sur le topik koh lanta