GregTtr | A01: Grichka a obtenu une these Grichka a effectivement obtenu une these.
Sa mention etait "honorable"
Pour quelqu'un qui n'a pas fait de these ou de recherche, cela peut sembler honorable justement.
En pratique, il faut savoir que la mention honorable correspond a "pas de mention" (il y en a toujours une et celle-ci est la plus basse possible).
De plus, il faut savoir qu'une these n'est jamais refusee, ou presque (moins d'une sur mille). Dans le monde universitaire, pour signaler qu'une these n'a aucun interet et n'apporte rien du tout, on octroie la these, avec une mention honorable.
reponse des Bogdanov:
Citation :
Grichka a, en effet, obtenu mention "Honorable". Mais comme je l'ai déjà signalé, cette mention n'est que le résultat d'un échange, une sorte de "troc" : à la suite du désordre créé par Grésillon (patron de l'Ecole Doctorale de l'X) le jury a mis le marché entre les mains de Grichka : s'il souhaitait maintenir la soutenance dans les locaux de l'X, même si cette soutenance était brillantissime, il n'obtiendrait pas plus que mention Honorable. C'était le prix à payer pour l'X. Comme il était impossible de revenir en arrière à 24 heures de l'évènement, la soutenance a eu lieu à l'X et la mention Honorable sera décernée. J'insiste sur ce point : dans ce cas précis, la mention Honorable n'a au cun rapport avec le contenu scientifique du travail. Pour preuve, ce qu'écrit notre directeur de thèse lui même : "...la mention honorable qui apparaissait dans le rapport de soutenance de GB, rarement attribuée, était le résultat de péripéties sans liens directs avec le contenu scientifique de la thèse..."
Pour comprendre ce qui s'est passé, écoutons à nouveau Sternheimer : "...Pour réunir les deux jurys, présidés par leur premier directeur de thèse, il s?est avéré nécessaire de prévoir la soutenance en région parisienne le 26 juin 1999. Le choix s?est porté sur les locaux de l? Ecole Polytechnique, où exerçait alors l?un des rapporteurs d?Igor (également examinateur de Grichka). Or c'est là que tout se gâte. Car les jurys de thèses qui auraient dû (il suffit de lire les rapports avant soutenance) obtenir Très Honorable ont été soumis à pression par D.Gresillon au prétexte que notre "dimension médiatique" était incompatible avec une institution comme Polytechnique. Sternheimer confirme ce point : "b) Peu avant les soutenances de 1999, le général, directeur de l? Ecole Polytechnique, a informé par courtoisie son directeur des études doctorales de la soutenance prochaine, dans les locaux de l? Ecole, de thèses de l?Université de Bourgogne, hors du ressort du directeur des études doctorales. C?est après cela que les rapporteurs d?Igor, tout en continuant à reconnaître que le manuscrit contenait des parties intéressantes (cela se retrouve dans le rapport de soutenance) ont brusquement manifesté des « doutes » sur la maîtrise des sujets évoqués. On ne peut manquer de se demander s?il n?y a pas, dans cette succession d?événements, la marque d?une action inconnue."
Cette "action inconnue" est connue de tous : elle a eu pour résultat direct mon ajournement et la mention Honorable décernée à Grichka, "résultat de péripéties sans liens directs avec le contenu scientifique de la thèse...".
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clarification :
Les Bogda ont eux-memes admis par ailleurs qu'il etait vrai que dans 99% des cas, une mention honorable etait un desaveu. Cela ne contredit en rien leur explication, mais est important a garder en tete: en dehors du cas particulier, il n'est pas conteste qu'une mention honorable est un constat d'echec.
Note :
Il semble quand meme surprenant, si le directeur de these de Grichka pensait du bien de cette these, qu'il se soit laisse si facilement convaincre. C'est quand meme facile de ceder comme ca, surtout juste opur pouvoir soutenir a un endroit pretenduement choisi simplement parce qu'y "exerçait alors l'un des rapporteurs d'Igor (également examinateur de Grichka)". De plus, on se demande bien pourquoi alors ne pas avoir change le lieu de la these. Oh, ca a ete annonce 24h avant la soutenance... Deja c'est etrange, mais meme en l'admettant, est-il preferable de repousser une soutenance et d'avoir, s'il la meritait effectivement, une mention (sachant que repousser une soutenance se fait tres, tres couramment), ou bien de ne pas la repousser et de subir une mention en forme de desaveu complet?
Que Grichka ait fait le choix du desaveu est etrange s'il meritait reellement mieux.
Etrange, mais possible.
K01: Le nombre d'or
Dans "Apres le big Bang", Igor et Grichka ecrivent p22: "si vous calculez le rapport entre deux nombres successifs de cette suite, vous obtiendrez un nombre transcendant (qui comme le nombre pi n'a pas de fin) et que les mathématiciens du XVIIe siècle ont appelé 'nombre d'or'"
Definition de "transcendant":
Un nombre transcendant est un nombre réel ou complexe qui n'est racine d'aucune équation polynomiale à coefficients entiers. Un nombre réel ou complexe est donc transcendant si et seulement si il n'est pas algébrique. Définition du nombre d'or (Phi) :
une des deux solutions de l'equation polynomiale a coefficients entiers
x^2 - x - 1 = 0 => Phi = (1+racine(5))/2
Premiere chose a remarquer, ce que disent les freres B. ne pourrait donc etre plus faux, la definition meme est en directe contradiction avec ce qu'ils ecrivent.
Deuxieme chose a remarquer, "transcendant" est bien employe dans leur texte comme un concept mathematique. Il est douteux que les frerees aient pu utiliser ce mot qui n'avait vraiment rien a faire la dans un autre sens que le sens mathematique normal.
Il faut donc en conclure soit qu'ils ne connaissaient pas le sens de ce mot, ce qui est grave pour un mathematicien (a BAC+1 en maths au plus tard on est au courant), soit qu'ils ne connaissaient pas la definition du nombre d'or.
troisieme remarque, le rapport entre deux nombres de la suite de Fibonacci ne donne pas le nombre d'Or, mais bien sur une simple fraction. C'est la limite a l'infini de cette suite qui est le nombre d'Or. Encore une erreur qu'aucun mathematicien competent n'aurait pu faire, surtout dans un livre qu'ils sont senses relire avant publication.
Quatrieme remarque, le fait que le nombre d'or n'ait pas de fin n'a rien a voir avec la choucroute. 1/3 n'a pas de fin non plus: 0.33333..., et racine de 2 n'a pas de fin non plus, et ils sont loin d'etre transcendant.
Cinquieme remarque, le fait que "Pi n'ait pas de fin" est loin d'etre une propriete qui vaut d'etre notee, puisqu'il la partage avec 1/3, encore une fois.
Voici donc un bveau concentre d'erreurs de niveau BAC+1 en quelques lignes pourtant ecrites par quelqu'un qui se pretend mathematicien.
negation de la validite des arguments d'autorite ("si nous avons publie ca prouve bien que..." )
Tout d'abord, la liste des publications des freres:
- Grichka Bogdanov and Igor Bogdanov, Topological field theory of the initial singularity of spacetime, Classical and Quantum Gravity 18 (2001), 4341-4372. - Grichka Bogdanov and Igor Bogdanov, Spacetime Metric and the KMS Condition at the Planck Scale, Annals of Physics, 296 (2002), 90-97. - Grichka Bogdanov and Igor Bogdanov, KMS space-time at the Planck scale, Nuovo Cimento, 117B (2002) 417-424. - Igor Bogdanov, Topological origin of inertia, Czechoslovak Journal of Physics, 51 (2001), 1153-1236. - Igor Bogdanov, The KMS state of spacetime at the Planck scale, Chinese Journal of Physics, 40 (2002).
1/ Grichka a obtenu une these
Grichka a effectivement obtenu une these.
Sa mention etait "honorable"
Pour quelqu'un qui n'a pas fait de these ou de recherche, cela peut sembler honorable justement.
En pratique, il faut savoir que la mention honorable correspond a "pas de mention" (il y en a toujours une et celle-ci est la plus basse possible).
De plus, il faut savoir qu'une these n'est jamais refusee, ou presque (moins d'une sur mille). Dans le monde universitaire, pour signaler qu'une these n'a aucun interet et n'apporte rien du tout, on octroie la these, avec une mention honorable.
La raison en est probablement que de toute facon, avec une telle mention, aucun thesard ne pourra avoir la moindre carriere universitaire, mais qu'accorder tout de meme la these permet de ne pas laisser un trou de 3 (voire 6) ans dans le CV.
Ainsi, obtenir une mention honorable en these signifie "Ce thesard a passe trois ans sur une these mais n'a abouti a rien qui ait la moindre valeur". Bien sur, le jury peut se tromper. Mais c'est en tout cas le jugement qu'il porte en donnant une telle mention.
Ceci toutefois est valable dans le cas general, comme l'admettent les deux freres d'ailleurs, mais ne s'applique pas a leur cas si l'on en croit une lettre de Sternheimer au Figaro (fournie par les Bogdanov).
Dans le cas de Grichka, les raisons de la mention sont, d'apres cette lettre, independantes de la valeur scientifque de la these.
On ne peut donc dans ce cas rien dire ni en bien ni en mal sur la these d'apres la mention.
2/ Igor a obtenu une these
Pour Igor, c'est encore mieux, il n'y a aucune mention.
Cela semble donc un epreuve d'absence totale d'interet de la these.
Les Bogdanovs s'en justifient par l'abolition toute theorique des mentions. Ils citent a cet effet un texte de loi qui aurait aboli les mentions en 2002. Apres verification, il apparait que ce texte est faux, et ne correspond pas du tout au texte de loi reel, qui est bien sorti a la date dont ils parlent, mais qui dit totalement aute chose, et ne parle certainement pas d'abolition de mentions. On peut trouver etrange le fait que les deux freres fournissent de faux textes de loi pour venir a leur secours.
On peut imaginer toutefois que cette universite particuliere ne decerne plus de mentions.
Probleme, une demande de confirmation aupres de l'Universite de Bourgogne amene des informations totalement differentes.
Citation :
>Est-il veridique que les theses delivrees par votre universite ne >comportent plus de mentions?
Monsieur,
La réglementation (arrêté ministériel du 25/04/2002) relative aux
études doctorales a prévu l'attribution des mentions honorable, très
honorable et très honorable avec félicitations du jury. A l'Université de Bourgogne, certaines écoles doctorales
"recommandent" aux jurys de thèse de ne plus délivrer "les
félicitations", faute de critère homogène et objectif pour ce faire.
Bien cordialement
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L'universite de Bourgogne infirme donc totalement le mensonge des bogdanov.
Elle decerne bien des mentions, simplement "certaines ecoles doctorales" (incluant peut-etre celle d'Igor) recommandent de ne plus decerner les felicitations. En aucun cas les mentions honorables et tres honorables (qui n'ont pas de quota et peuvent donc eter decernees a tous, et sont donc moins sujettes a polemique) n'ont ete supprimees, elles sont encore attribuees.
Igor, lui, n'en a pas recu, et la justification selon laquelle ce serait parce qu'elles n'existent plus est un mensonge.
3/ Des articles ont ete publies et acceptes
Les articles publies ne sont malheureusement pas toujours lus en details. C'est dur a croire, mais quand un article est trop complique, ou a l'air trop complique, la redaction ne peut pas forcement juger de la validite, et peut accorder le benefice du doute. C'est dommage.
Pour les faits dans notre cas:
Un de leurs rapporteurs,Igniatios Antoniadis a declare "Le langage scientifique était juste une apparence derrière laquelle se cachaient une incompétence et une ignorance de la physique, même de base." (source Le Monde 19-12-2002)
4/ Leurs articles ne sont comprehensibles que pour ceux qui ont lu la these
C'est un argument qui revient constamment dans leur bouche. Tous les articles qu'ils ont publies ont ete demontes. Leur reponse la plus classique est qu'avant d'emettre la moindre critique, il faut avoir lu leur these. Bien entendu, cette these n'est disponible qu'en francais. Au yeux de 95% des scientifiques du monde, on a donc un article qui repose sur des resultats pretendument demontres dans la these, qui leur est inaccessible. De plus, ces resultats ne sont bien entendu pas cites (il n'y a pas de reference a la these disant "pour ce resultat, ce referer a..." ), mais on est renvoye a la these au fur et a mesure des critiques (si bien qu'elle peut servir d'argument pour tout).
bien entendu aussi, c'est totalement en -dehors de tout usage scientifique que de faire reposer des "resultats" sur d'autres resultats qui ne peuvent pas etre consultes. C'est pratique.
Notons que si les resultats de la these etaient importants, ils les auraient publies. Un ethese ne remplace pas une publication, en general au contraire une these contient la synthese des publications, et tous les resultats importants de celle-ci sont evidemment publies, avant la soutenance ou a tres court terme.
Le fait qu'ils n'aient meme pas cherche a faire publier ce qu'ils disent etre le coeur de leur travail semble etrange.
Et en tout cas cela ne les autorise pas a rejeter les critiques pour une raison dont ILS sont responsables.
5/ on ne peut pas critiquer si on a lu la version electronique de leur article
Encore plus risible, on peut trouver:
Citation :
One more, one should refer to the PRINTED VERSION (not the
PDF's) of CQG paper (and also to the 2 thesis)
|
(http://math.ucr.edu/home/baez/bog1.html)
Ce qui signifie que les Bogdanov, confrontes a une absurdite, disent que c'est la faute de leur PDF qui est faux mais qu'il faut aller voir la version papier (pratique, car c'est 100 foisplus dur a trouver, ca ejecte donc 99% des critiques).
Bien sur ce n'est pas coherent. Deja les versions Pdf et papier d'un article sont les memes (a moins que mrs Bogdanov n'aient voulu innover la aussi). Ensuite, si elles devaient etre differentes, il est evident que c'est la version papier qui pourrait etre fausse puisqu'une fois publiee elle ne peut plus etre modifiee et la version pdf serait la version juste.
6/ L'article "Topological field theory of the initial singularity of spacetime"
Cet article a ete accepte.
Neanmoins, quelques temps apres, l'"editorial board" du Classical and Qantum Gravity Journal a publie cette excuse, unique dans toute son histoire:
Citation :
Classical and Quantum Gravity and the paper "Topological theory of the
initial singularity of spacetime" by G Bogdanov and I Bogdanov, Class.
Quant. Grav. 18 4341-4372 (2001)
A number of our readers have contacted us regarding the above paper
and in response we have decided to issue the following statement.
Classical and Quantum Gravity endeavours to publish original research
of the highest calibre on gravitational physics. It is not possible for the
Editorial Board to consider every article submitted and so, in common
with many journals, we consult among a worldwide pool of over 1000
referees asking two independent experts to review each paper. Regrettably,
despite the best efforts, the refereeing process cannot be 100% effective.
Thus the paper "Topological theory of the initial singularity of spacetime"
by G Bogdanov and I Bogdanov, Classical and Quantum Gravity 18
4341-4372 (2001) made it through the review process even though, in
retrospect, it does not meet the standards expected of articles in this
journal.
The journal's Editorial Board became aware of this situation already in
April 2002. The paper was discussed extensively at the annual Editorial
Board meeting in September 2002, and there was general agreement that
it should not have been published. Since then several steps have been
taken to further improve the peer review process in order to improve the
quality assessment on articles submitted to the journal and reduce the
likelihood that this could happen again. However, there are at this time
no plans to withdraw the article. Rather, the journal publishes refereed
Comments and Replies by readers and authors as a means to comment
on and correct mistakes in published material.
We are also grateful to our readers, contributors and reviewers for their
vigilance and assistance both before and after publication.
Dr Andrew Wray
Senior Publisher
Classical and Quantum Gravity
Institute of Physics Publishing
Professor Hermann Nicolai
Honorary Editor
Classical and Quantum Gravity
Albert Einstein Institute
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Autrement dit, le journal reconnait (pour la premiere fois de son histoire), avoir commis une erreur et avoir publie quelque chose qui ne meritait pas de l'etre.
On entend deja les B. dire que c'est un complot et qu'ils ont eu de la pression pour faire ca. Mais deja ca peut se dire dans les deux sens, donc c'est un argument nul: pourquoi la pression n'aurait-elle pas ete initialement pour pousser a accepter.
Ensuite, je doute qu'un journal aille jusqu'a reconnaitre une grosse erreur pour la premiere fois de son existence juste pour ceder a la pression de deux ou trois chercheurs.
Chacun son avis, l'avis officiel du journal en tout cas ne fait pas de doute.
7/ Les articles dans des revues obscures
On note que trois des 5 articles des deux freres,
- Grichka Bogdanov and Igor Bogdanov, KMS space-time at the Planck scale, Nuovo Cimento, 117B (2002) 417-424. - Igor Bogdanov, Topological origin of inertia, Czechoslovak Journal of Physics, 51 (2001), 1153-1236. - Igor Bogdanov, The KMS state of spacetime at the Planck scale, Chinese Journal of Physics, 40 (2002).
ont ete publies dans des petites revues nationales sans envergure.
Il faut savoir comment se passe le processus d'acceptation d'un article: il y a une certaine hierarchie dans les revues scientifiques, et le publier dans une revue non prestigieuse signifie generalement que l'article ne pourrait pas etre accepte par une revue plus prestigieuse.
En l'occurence, nous avons donc ici trois revues sans notoriete qui ont accepte des articles. Revues sans grand budget qui n'ont evidemment pas les specialistes qui pourraient reperer a quel point un tel article est absurde (Nuovo Cimento, Journal of Physics, Journal of Physics, nothing specializaed, as opposed to Journal of Classical and Qantum Gravity specialise sur la gravite).
Dans ces cas la, pour une petite revue, le comportement habituel est d'accepter un article sans se poser de questions si son auteur a deja publie dans une revue de plus grande renommee.
Ainsi, cela signifie que le fait d'avoir publie dans ces trois revues n'ajoute pas le moindre iota (ni n'en retire) a la credibilite deja acquise par la publication dans Journal of Classical and Qantum Gravity
Donc les freres ne sauraient tirer gloire de ces trois articles qui ne donnent aucun merite (notons qu'en plus, J.Baez dit que le contenu est identique et qu'il ne s'agit pas d'autres resultats, mais simplement d'une mise en forme differente de la meme chose).
Pour se convaincre du comportement d'imitation des petits journaux, il suffit de regarder les articles du Chinese Journal of Physics et du Annals of Physics: le contenu est le meme, seul la forme change un peu, comme on le voit au plan de l'article.
Citation :
The KMS state of spacetime at the Planck scale (IG) Ch. J. of. Phys.
1 Introduction 2 Preliminaries: 3-dimensional topological theory at the planck scale 3 thermodynamical equilibrium of the spacetime at the planck scale 4 the (pre)spacetime in KMS state at the planck scale 5 holomorphic time at the planck scale 6 Discussion
24 refs.
Spacetime metric and the KMS condition at the planck scale Annals of Phys.
1 Introduction 2 thermodynamical equilibrium of the spacetime at the planck scale 4 the (pre)spacetime in KMS state at the planck scale 5 holomorphic time at the planck scale 6 Discussion
24 refs.
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Dans ces conditions, il semble douteux qu'un journal avant d'accepter une publication ne regarde meme pas ce qu'a deja publie l'auteur. Et s'il le fait, voit qu'un article quasiment identique a deja ete accepte ailleurs et qu'il n'a pas lui-meme les ressources en specialistes pour verifier l'article, il est bien normal qu'il fasse confiance au premier a avoir accepte, surtout si le premier est plus repute (s'il l'est moins, il faudrait voir si l'article passe des criteres plus selectifs dans ce journal ci).
C'est logique, et ca montre bien que le fait que plusieurs journaux peu reputes aient accepte leurs travaux n'apporte aucune credibilite de plus que leur premiere publication dans un journal repute.
8/ L'article de Annals of Physics
Nous voila donc reduits a deux veritables articles, dont un a ete renie par le journal qui l'a publie.
Il ne reste donc qu'un seul article qui peut donner une credibilite:
"Grichka Bogdanov and Igor Bogdanov, Spacetime Metric and the KMS Condition at the Planck Scale, Annals of Physics, 296 (2002), 90-97"
Sur cet article, rien ne me permet de le critiquer, ce qui ne veut pas dire qu'il est plus credible que les autres.
Une seule chose a noter, c'est un article de 8 pages, donc un article qui ne propose aucune demonstration ni explication reelle mais se contente d'enoncer des choses (sensees etre prouvees ailleurs), par opposition aux 32 pages du Journal of Classical and Qantum Gravity et aux 80 pages du journal tchecoslovaque.
On peut supposer que dans ce cas, comme pour les petits journaux, c'est la publication anterieure dans Qantum Gravity qui a emporte l'acceptation de l'article, le journal acceptant un resume de 8 pages d'une demonstration de 30 acceptee prealablement comme serieuse par un autre journal. Toutefois, cela reste une supposition, ce n'est pas un comportement aussi naturel que ca le'st pour des petites revues de faire cofiance a des grandes.
9/ La preface de leur livre a ete ecrite par un grand scientifique qui les soutient
C'est vrai, Arkadiusz Jadczyk est un scientifique qui a maintes publications a son actif.
Il a d'ailleurs bien d'autres titres de gloire qu'il exhibe fierement sur son site http://quantumfuture.net/fr/index.html
Ainsi, il ecrit surl es crop circles, les autres races, les boucles temporelles, les complots des servcies secrets, l'alchimie, et toutun tas d'autres sujets tres serieux et interessants.
Un emarque de credibilite pour les freres B, qui ont reussi a interesser a leurs travaux quelqu'un de si serieux.
(visitez le site) Message édité par GregTtr le 15-10-2004 à 14:04:01
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