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Auteur Sujet :

Aller plus loin que le big-bang : conditions initiales et conscience!

n°6215124
GregTtr
Posté le 30-07-2005 à 16:08:50  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

clementdousset a écrit :

Il se trouve que j'ai -qu'on m'en excuse- une petite idée sur la façon de penser le commencement. Il se trouve aussi que je pourrais l'exposer dans ce fil sans être a priori hors sujet. Il se trouve enfin que j'avais besoin de présenter au minimum un certain cadre de pensée pour qu'on ait des chances de la saisir. C'est pourquoi j'ai présenté ma petite typologie. Peut-être vaudrait-il mieux juger plus tard de son intérêt...


Ne t'inquiete pas, on a bien compris.
Tu as une facon de penser le commencement, et c'est tres bien pour toi, cela doit t'apporter beaucoup de bonheur.
Il se trouve que c'est une facon de penser non scientifique et qui a 24 siecles de retard.
Ce n'est pas grave, tu es peut-etre plus heureux avec 24 siecles de retard scientifique que moi qui comprend la demarche scientifique, et le but de chacun n'est-il pas de trouver le bonheur?
 
Avec ta version de l'univers, on retombe en gros toujours sur les principes d'Aristote, genre la pierre tombe vers la terre parce que son Etat Naturel est d'etre a terre et que chaque element tend vers son Etat Naturel, et du pipeau comme ca.
Ca doit etre tres agreable de se decrire l'univers comme ca (ou comme toi avec ta neige ton mouvement etc). Pas de chance, ca n'explique pas precisemment, et ca n'est pas predictif, donc ce n'est pas de la science (et accessoirement, ca n'a donc rien a faire ici, mais bon, il faudrait creer une categorie "mythes et croyances" pour decharger la cat sciences de tout ce genre d'interventions).
 

Citation :

peut-etre vaudrait-il mieux juger plus tard de son interet


Non, pas la peine, franchement, il n'y a pas besoin d'attendre, tu en as assez dit pour qu'on sache que le seul interet que cela pouvait avoir n'etait pas scientifique. Le reste est surement tres interessant, mais n'est pas notre propos.


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Ddr555: y'a pas à argumenter, si tu avais ma conviction tu comprendrais pourquoi. mais non c'est tellement mieux de garder ton idée qui n'a aucun sens...
mood
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Posté le 30-07-2005 à 16:08:50  profilanswer
 

n°6215128
GregTtr
Posté le 30-07-2005 à 16:11:37  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

Completement nawak [:rofl]
L'univers est actuellement constitué de 3 choses :
* 12 fermions
* 13 (ou 14) bosons
* un espace à 11 ou 26 dimensions


N'oublie pas
* un ensemble de lois
 
Il faut definir l'espace topologique, les objets, mais aussi les operateurs de l'espace sur les objets ou des objets sur les objets pour obtenir un univers.
 
A part ca, j'aime bien le "actuellement constitue" :D.
C'est tellement provoc et en meme temps tellement vrai...


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Ddr555: y'a pas à argumenter, si tu avais ma conviction tu comprendrais pourquoi. mais non c'est tellement mieux de garder ton idée qui n'a aucun sens...
n°6215155
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 30-07-2005 à 16:19:40  profilanswer
 

GregTtr a écrit :

N'oublie pas
* un ensemble de lois


 
Oui c'est vrai que j'ai fait dans le lapidaire :D
J'aurais pu au moins inclure le théorème de Noether.
 

Citation :

A part ca, j'aime bien le "actuellement constitue" :D.
C'est tellement provoc et en meme temps tellement vrai...


 
Héhé, c'était le but. L'univers est d'une telle simplicité aujourd'hui que ça doit faire enrager ceux qui essaient de monter un système tarabiscotté comme clement le fait avec ses concepts aristotéliciens réchauffés  :whistle:


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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6215285
Ryan
Foupoudav
Posté le 30-07-2005 à 16:53:38  profilanswer
 

Au fait, est-ce hasardeux que de penser que la découverte d'Einstein du continuum Spacio-temporel pourrait engendrer dans le futur une sorte de réunification ou plutot une convergence de vue entre mystique et science ?  étant donné que les apparances sont souvent trompeuses, temps et espace ne sont pas séparés, et que les cherchers de vérités spirituelles (sagit pas de religion), tombent à peu prêt tous d'accord pour se dire entre eux que la conscience n'est en aucun cas séparé du grand tout au même titre que le temps et l'espace ?
 
c'et peut-être un peu hasardeux mais bon  :o


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"Nothing ever happens to the knowing with which all experience is known"
n°6215415
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 30-07-2005 à 17:22:04  profilanswer
 

Bah si les mystiques arrivent à se plier à la réalité physique, ça serait effectivement une grande avancée :o


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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6215660
clementdou​sset
Posté le 30-07-2005 à 18:30:25  profilanswer
 

1/Pour penser le commencement, il faut avoir matière à penser avant lui. Le fait de concevoir un ensemble d’univers théoriques dont le nôtre fait partie nous donne au moins cette matière-là. Les physiciens qui explorent la première minute, la première seconde, le premier milliardième de seconde du cosmos ne sortent pas de l'univers flamme réglé par les lois de la mécanique statistique. Ils peuvent raffiner leurs notions des particules mais les questions de l’origine de l’ordre, du désordre et du mouvement par lesquelles se décompose la question du commencement lui-même restent a priori ouvertes. Or on peut maintenant supposer que se situerait avant notre cosmos un univers théorique qui ne serait pas l'univers flamme.  
 
2/Lequel ?  Au fond ce qui nous préoccupe, c’est l’origine de l’existence. Or s’il s’agit de se fatiguer l’esprit pour concevoir avant l’existence de notre univers un univers où il y aurait encore de l’existence, aussi bien aller se coucher. L’ univers caillou, l'univers lave , l’univers neige  enfermeraient des particules livrées aux caprices du hasard, soit dans leur position, soit dans leurs mouvements, inconnaissables donc a priori comme le sont les choses existantes. Dans l’ univers horloge le hasard est absent mais le mouvement n’implique-t-il pas que les choses qui se meuvent ne soient pas des abstractions pures ? Reste l’ univers cristal.
 
3/En évoquant cet univers, nous avons dit que les particules n’y auraient pas plus d’existence que n’en ont les points géométriques. De tous les univers théoriques , il est celui qui se rapproche le mieux d’une réalité parfaitement abstraite. On pourrait dire qu’il a une réalité sans avoir d’existence, ce qui est le propre de toute chose abstraite, des figures géométriques par exemple qui n’existent point hors du support qui les matérialise.
 
4/Ainsi donc, pour penser le commencement, on devrait  d’abord considérer successivement deux objets : le premier dans le domaine de l’abstraction et qui apparaîtrait comme une structure parfaitement définie et fixe, le second, la boule de feu originelle dans notre espace à trois dimensions. Il va de soi que, pour la suite, pour imaginer la transition entre ces deux objets, notre esprit est à court. On peut s’amuser à inventer une catastrophe et à faire exploser l’univers cristal mais imaginer une abstraction qui explose me paraît friser légèrement le ridicule, faire intervenir un événement là où le temps n’existe pas ne me paraît d’ailleurs guère mieux.
 
5/Cependant nous sentons bien qu’à faire de l’univers cristal l’ascendant de l’univers flamme, nous ne sommes pas dans la pure fantaisie métaphysique. Les physiciens ont découvert à la matière des propriétés invariables, ils ont défini des constantes, établi des rapports. Ils ont repéré par exemple qu’il y avait quatre forces fondamentales et non pas trois ou cinq. Tout ce passe comme s’ils s’ingéniaient et parvenaient toujours mieux à définir la structure de ce que j’appellerais désormais le cristal des limbes. Ils sont même parvenus à établir que notre univers avait subi des transitions de phase guère moins brutales que l’explosion originelle et après lesquelles la matière prenait des formes d’existence nouvelles mais sans rien perdre de ses propriétés fondamentales. La transition originelle doit être toutefois d’une autre nature, impliquer un autre mode de pensée.
C’est ce mode de pensée que je propose dans ce qui va suivre. Il vaut ce qu’il vaut. Chacun verra s’il peut s’en satisfaire.
 
6/Le cristal des limbes est une structure pure. Si je conçois celle-ci comme un ensemble d’éléments en relation, je dois faire abstraction de la nature de ces éléments comme de ces relations. Pour définir toute relation, je ne dois retenir qu ‘une grandeur relativement à une unité de mesure commune.
 
7/Je commencerai par supposer que le cristal des limbes se présente sous la forme la plus simple possible : un ensemble fini de n éléments ayant une relation identique définie par une grandeur a. Je supposerai bien entendu que toute relation d’élément à élément peut se définir par une grandeur et qu’il existe une unité de mesure u commune à toutes les relations établies.  
 
8/Je supposerai ensuite que cristal des limbes défini dans le domaine antérieur où il a réalité est représenté automatiquement dans un espace dont le nombre de dimensions est fini et donné.
Puis j’essaierai de voir et de comprendre ce qui peut se passer lors de cette représentation.
Dans le premier cas, j’envisage que le nombre d’éléments est 3, que la relation commune est définie par la grandeur 10 u. Si je convertis u en centimètre, je représente aisément mon cristal dans un espace à deux dimensions en dessinant sur une feuille de papier un triangle équilatéral dont chaque côté mesure 10cm.
 
9/Dans le deuxième cas, j’agrandis le nombre d’éléments à 4 et je garde la même grandeur 10 u. Je dispose d’un peu de pâte à modeler et je façonne un tétraèdre régulier dont chaque côté mesure 10cm. Le tétraèdre a  à peu près la forme de cette confiserie appelée berlingot. Voilà donc le cristal des limbes installé fixement pour l’éternité sous la forme d’un gros berlingot dans un espace à trois dimensions.
 
10/Dans le troisième cas un problème se pose. J’envisage encore de représenter un cristal à 4 éléments mais je n’ai pas de pâte à modeler. Qu’à cela ne tienne, me dis-je d’abord, je vais dessiner un berlingot sur ma feuille. Mais l’instant d’après la perplexité me saisit. Il ne s’agit pas de dessiner en l’occurrence. Il s’agit de représenter exactement l’équidistance de quatre points, c’est à dire de les disposer de façon à ce qu’ils délimitent six segments de droite égaux.
 
11/Or sur ma feuille, ce n’est pas possible. Mon cristal des limbes n’est pas représentable dans un espace à deux dimensions. Que faire alors ? Rien peut-être. Ou bien tâtonner, faire à peu près, au mieux. Et le mieux, que serait-il ? Voilà que ma petite feuille devient le siège d’un problème métaphysique intéressant.
 
12/Je pourrais d’abord disposer mes points sans ordonnance mais de façon à ce que la somme de leurs distances fasse 60 cm. Je me dirai alors qu’au moins une grandeur déduite de la définition du cristal est conservée.
 
13/Je pourrais ensuite, et de façon à mon sens plus satisfaisante, chercher à réaliser le plus grand nombre d’équidistances possibles. En disposant mes points aux sommets d’un losange formé de deux triangles équila4téraux tête-bêche, je puis obtenir cinq segments de droite de 10 cm. Et c’est le mieux que je puisse faire.
 
14/Le mieux ? Pas si sûr. Car maintenant un nouveau problème se pose. Ni dans le triangle, ni dans le tétraèdre, je n’avais à tenir compte de la réalité individuelle des points pour la raison qu’elle ne se distinguait pas plus dans ces figures que la nature des éléments qu’ils représentaient ne se distinguait dans la définition du cristal. Or maintenant il existe deux points aberrants dont la distance est mesurable, voisine de 17,3 centimètres (10 x racine carrée de 3) mais ne représente pas une grandeur donnée par la définition. Si je dispose les points du losange remarquable dans le sens des aiguilles d’une montre et que je les nomme successivement A,B,C,D, je trouverais les points A et C en position aberrante. Si je veux continuer à considérer la réalité des points et faire fi de tout arbitraire, je devrais dessiner cinq autres losanges : ABDC,ACBD,ACDB,ADBC,ADCB. Bien sûr alors je représenterai non plus 4 éléments mais 24 et ne pourrais bien entendu prétendre à une représentation  juste du cristal défini.
 
15/La seule solution satisfaisante pour moi nécessiterait un miracle. Ce serait que les points marqués se mettent à remuer sur ma feuille. Qu’ils occupent tour à tour dans la succession de brefs instants les positions aberrantes. Je pourrais alors faire intervenir, avec la notion de mouvement, celle de durée et me dire que dans la durée mon cristal est représenté justement même si, dans l’instant, il ne l’est pas.  
 
16/Il faudrait alors instaurer une unité de durée t comme on a instauré une unité de distance  et envisager plusieurs hypothèses.
 
17/Dans la première, les points occuperaient pendant toute la durée de t une position fixe dessinant un des six losanges. Ils changeraient de position l’instant suivant.
Dans la seconde, les points évolueraient de façon continue et constante. Cela nécessiterait d’instaurer une nouvelle unité, celle de la vitesse. On pourrait dire alors que toute position remarquable des points se retrouverait à intervalles réguliers.
 
18/Dans ces deux hypothèses l’ordre des changements pourrait s’envisager de deux manières.  
Dans la première manière, l’ordre des changements se ferait de façon donnée et invariable comme celui qui a été présenté plus haut ABCD,ABDC etc. Si on se place alors dans l’hypothèse d’un mouvement continu, la représentation du cristal engendrerait alors un univers horloge où seraient présents les éléments mouvement et ordre, mais pas l’élément désordre. On  ne serait pas dans le cadre d’un univers flamme, c’est à dire d’un univers d’un type semblable au nôtre.
 
19/Dans la seconde manière, l’ordre des changements serait a priori quelconque. Cependant leur succession obéirait à la loi suivante :
Si on connaissait la figure réalisée à un instant t1, on ne pourrait en déduire absolument laquelle des six figures serait réalisée à l’instant suivant t2 mais plus le nombre d’instants successifs considérés serait grand plus les quantités de chaque sorte de figures réalisées au cours de ces instants seraient voisines.
 
20/Je ne puis être satisfait de la première manière dans la mesure où l’ordre des changements n’est aucunement donné par la définition du cristal et ne peut aucunement s’en déduire. La seconde, en revanche, me paraît très intéressante. Mon petit univers y apparaît tout à fait comme un univers flamme où seraient présentes les réalités du mouvement, de l’ordre mais aussi du hasard puisque la loi qui le gouvernerait serait précisément une loi statistique. Les points ne seraient plus de pures figurations d’une réalité abstraite mais des éléments soumis aux lois d’ une mécanique statistique, des éléments pourvus d’une existence analogue à celle qu’on reconnaît aux plus élémentaires particules.
 
21/Sans doute le temps de cet univers-là différerait du temps que nous connaissons parce qu’il n’existerait que sous forme de durée et non pas d’ordre chronologique. Rien n’y permettrait d’opposer un passé et un futur. La seule opposition pertinente que l’on pourrait faire serait celle de l’instant et de la durée. Dans l’instant mon univers ne serait pas connaissable de façon absolue, celle des six formes qu’il pourrait y prendre n’est pas déterminée. Mais dans la durée mon univers serait rigoureusement semblable à ce berlingot que j’évoquais naguère dans un espace à trois dimensions. Pour parler autrement, chaque instant serait comme un coup de dé. On y a une chance sur six d’obtenir le nombre qu’on souhaite. Mais si on multiplie inlassablement les coups de dé, on est sûr par exemple d’obtenir le un à peu près autant que le six. Un aveugle, qui ne saurait pas ce que c’est que le dé qu’on jette, pourrait déduire du comptage des résultats qu’il a six faces semblables.
 
22/Je ne saurais sans divaguer jouer plus longtemps les physiciens d’un univers purement conceptuel. Mais j’ai parlé d’un mode de pensée qui me permettrait de saisir la transition entre la réalité abstraite d’un univers cristal et la réalité existentielle d’un univers flamme. Le voilà expliqué. A partir de là la présence conjointe dans notre univers de l’ordre et du hasard, l’origine du mouvement, l’apparition du temps lui-même cessent pour moi d’être des impénétrables mystères. Ce n’est pas  que je ne mesure la distance qu’il y a entre mon  losange élastique et les innombrables et complexes figures  qui s’entremêleraient, se déplaceraient ou se déformeraient dans notre cosmos. Ce n’est pas non plus que je me figure le  cristal des limbes ayant l’élémentaire simplicité de celui que j’ai pris pour exemple. Mais il existe pour moi une suite de propositions qui me paraissent justes dans la mesure où l’est le mode de pensée que j’ai évoqué.
1-Toute réalité définie dans un domaine abstrait (qui pourrait être celui des nombres) tend automatiquement à être représentée dans un espace  dont le nombre de dimensions est fini.
2-Si ce nombre fini n’est pas inférieur à un nombre donné Nd, le produit de cette représentation est une figure régulière et fixe
3-Si ce nombre est inférieur au nombre Nd, le produit de cette représentation est un univers flamme régi par les lois de la mécanique statistique.
 
23/A ces trois propositions, j’ajouterais un corollaire :
Tout univers flamme représente de façon optimale dans un même espace à chaque instant de son existence comme dans la totalité de sa durée une réalité définie dans un domaine abstrait.
Ce corollaire me paraît évacuer l’aspect historique du problème du commencement. Pour comprendre ce qu’il peut signifier il faudrait supposer qu’il existe un nombre Nd très grand mais fini qui serait celui des dimensions d’un espace où la réalité définie que représente notre univers pourrait être transplantée et prendre la forme d’une figure régulière et fixe. Alors ce corollaire permettrait de déduire que cette transposition est possible à tout moment et que la figure obtenue serait toujours la même. Vous me direz : « on voit tout de suite que ce corollaire est faux. Notre univers a considérablement évolué depuis les premiers instants de son existence. » A cette objection, je répondrai : oui, notre univers a évolué mais pas les propriétés fondamentales de la matière, pas les lois qui la régissent, pas les données d’ordre qu’elle contient aussi loin que l’on remonte dans son origine. Les deux quarks qui se sont appariés pour former le premier prion avant que notre univers ait vingt microsecondes d’existence se sont placés l’un de l’autre à une distance d’un fermi et, si l’on recrée un prion dans les accélérateurs de particules, on constate que le fermi mesure toujours exactement sa dimension. Vue d’un espace à Nd dimensions où notre univers serait transplanté, l’évolution nous apparaîtrait sans doute aussi fantomatique que le fixe cristal qu’on peut imaginer dans cet espace-là. La science nous fournit une image à mon sens assez forte de cette contiguité entre l’univers cristal et l’univers flamme. Le génotype ou stock chromosomique n’est rien d’autre a priori qu’une concrétion de matière. Or cette concrétion-là est présente à tout instant dans chacune de nos cellules. Elle existe dès notre conception et subsiste même à notre mort. Or il n’existe pas un instant de l’évolution de notre corps qui ne soit réglé par le génotype. Le clonage engendrerait un corps semblable au nôtre qui évoluerait de la même façon. L’analogie a ses limites, du seul fait que notre corps n’est pas isolé dans l’univers, que nous avons une vie affective, psychique, sociale où nos gênes n’interviennent pratiquement pas. Mais elle est à retenir.
 
24/Il ne s’agit pas de voir l’évolution de notre univers comme un épiphénomène. Il s’agit au contraire de la voir comme le phénomène essentiel qui caractérise notre univers. Mais il n’est pas nécessaire d’en chercher la cause ailleurs que dans la structure particulière du cristal des limbes. Pour penser le commencement, je suis parti d’une structure dérisoirement simple. J’ai admis que sa représentation pouvait aboutir à un micro-univers réglé par une loi de mécanique statistique. Je n’ai pas conçu que cet univers pouvait avoir une évolution et je ne conçois d’ailleurs pas qu’il en ait. Mais si, au lieu d’envisager au départ quelques éléments ayant des rapports semblables, j’envisageais plusieurs ensembles d’éléments ayant des rapports différents, je conçois volontiers que l’univers flamme qui résulterait de la représentation de cette structure dans un espace à trois dimensions comporterait non une loi statistique unique mais une combinaison de lois semblables à celle que les physiciens ont établi et qui engendre l’évolution que l’on connaît. De là à voir dans le cristal des limbes une sorte de génotype qui règlerait l’évolution de notre univers, il n’y a qu’un pas aisé à franchir.
 
25/Cependant avant de s’intéresser spécifiquement à ce cristal des limbes, il faut achever de penser le commencement de notre univers aussi bien qu’on peut. On a supposé qu’il existerait un espace à Nd dimensions, Nd étant un nombre très grand, où notre univers pourrait être représenté sous la forme d’une structure fixe. Pourquoi alors l’espace dans lequel nous sommes a-t-il 3 et non Nd dimensions ? Une première réponse coule de source. Si l’univers était une structure fixe dans un espace à Nd dimensions, ni le mouvement, ni l’évolution, ni les hommes n’auraient eu d’existence. Mais on ne peut se contenter de cette lapalissade. Il s’y glisse d’ailleurs l’inacceptable présupposé que le cristal des limbes est une conscience, que celle-ci aurait voulu que sa représentation se fasse dans un espace où elle engendrerait la matière et l’évolution. On pourrait aussi dire que le seul espace qui puisse exister est un espace à trois dimensions. Mais je ne vois pas pourquoi.  
Une réponse, qui n’est rien d’autre qu’intuitive, me paraît satisfaisante. Le petit jeu auquel on s’est livré avec la pâte à modeler et la feuille à dessin nous a fait vérifier une loi empirique. : si on figure par des points n éléments dans un espace et qu’on veuille représenter l’égalité de leurs relations, l’espace de représentation doit avoir au moins n-1 dimensions. Il se trouve que le nombre de relations possibles entre n éléments est justement le produit de n par n-1. On considère qu’il y a deux relations possibles entre deux éléments A et B, la relation de A à B et la relation de B à A. Il y en a six entre trois éléments, douze entre quatre éléments etc. Si on divise le nombre de relations possibles de n éléments par le nombre n lui-même, on a le nombre de dimensions de l’espace de représentation. C’est à dire qu’il peut y avoir une opération liée à la définition même de la structure à représenter qui donne le nombre de dimensions de l’espace où il doit être représenté. Cette opération suppose au départ un nombre donné d’éléments distincts. Quatre forces fondamentales : l’électromagnétique, la nucléaire faible, la nucléaire forte , la gravitationelle existent dans notre univers, ni une de plus , ni une de moins. La réalité de définition du cristal des limbes doit « contenir » le chiffre 4, et ne pas « contenir » par ailleurs de nombres entiers finis. A partir de là je suppose que l’opération interne dont j’ai parlé fonctionne pour déterminer le chiffre 3, nombre de dimensions de l’espace de représentation.


Message édité par clementdousset le 03-09-2005 à 20:03:01
n°6215756
The NBoc
Quo Modo Deum
Posté le 30-07-2005 à 18:52:42  profilanswer
 

oh putain [:joce]

n°6215767
Profil sup​primé
Posté le 30-07-2005 à 18:54:53  answer
 

je connaissait le capitaine flam mais là, l'univers flamme ca me scie  [:w3c compliant]
 

Citation :

Le génotype ou stock chromosomique n’est rien d’autre a priori qu’une concrétion de matière. Or cette concrétion-là est présente à tout instant dans chacune de nos cellules. Elle existe dès notre conception et subsiste même à notre mort


 
là j'ai un doute


Message édité par Profil supprimé le 30-07-2005 à 18:56:24
n°6215775
The NBoc
Quo Modo Deum
Posté le 30-07-2005 à 18:57:39  profilanswer
 

Citation :

On peut s’amuser à inventer une catastrophe et à faire exploser l’univers cristal mais imaginer une abstraction qui explose me paraît friser légèrement le ridicule

tout à fait [:lerodfaction]

n°6216261
Sanozuke
Ailé !
Posté le 30-07-2005 à 20:20:52  profilanswer
 

Citation :

Pour penser le commencement.....nombre de dimensions de l’espace de représentation.


Diantre  [:hide]

mood
Publicité
Posté le 30-07-2005 à 20:20:52  profilanswer
 

n°6216288
xantox
Posté le 30-07-2005 à 20:26:01  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

Pour penser le commencement..


Clement, cela est bien intéressant et ton intuition métaphysique est fertile, mais tu ne pourra communiquer avec des scientifiques qu'à travers une présentation mathématique rigoureuse, qui ferait émerger toute incohérence interne de ta construction, et qui éventuellement pourrait excuser l'origine métaphysique de tes postulats (c'est bien le cas dans la théorie des cordes après tout). En l'état actuel, je ressens pas mal d'incohérences internes à ton discours, et surtout ta présentation mi métaphysique/mi scientifique ne fera que t'attirer les foudres parallèles des philosophes et des scientifiques.


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-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6216518
Watou-Wato​u
Yoyoma!
Posté le 30-07-2005 à 21:04:57  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

Il est énorme, si tu veux une bonne crise de fou-rire  :jap:


 
En effet:  

Citation :

L'univers est actuellement constitué de 3 choses :  
...
* un espace à 11 ou 26 dimensions


Tu fais bien rire  :D  
 
(C'est beau la science, mais faudrait faire attention à pas affirmer les trucs improuvables auquel on crois, psq sinon on se discrédite :whistle:  ou du moins on se place dans la même situation que celui qui crois en Jésus et qu'on méprise ...  :lol:  )


Message édité par Watou-Watou le 30-07-2005 à 21:14:45
n°6217233
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 30-07-2005 à 23:36:36  profilanswer
 

Watou-Watou a écrit :


Tu fais bien rire  :D


renseigne toi sur le sujet avant de rire betement  :sarcastic:  
(mot clé : théorie bosonique des cordes à 26 dimensions)


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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6217284
big e
Posté le 30-07-2005 à 23:43:26  profilanswer
 

Entre 11 et 26 çà fait un sacré écart! :o

n°6217379
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 30-07-2005 à 23:54:07  profilanswer
 

big e a écrit :

Entre 11 et 26 çà fait un sacré écart! :o


 
C'est pas "entre" c'est "ou" [:aloy]
La théorie M en comporte 11.
Et si y a des monopôles, il y en aurait 26 (une par lettre de l'alphabet, nickel pour les notations  :sol: )


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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6217475
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 31-07-2005 à 00:07:58  profilanswer
 


 
Et les équations sont où ?
Même la theorie M demande moins de mots pour être formalisée.
 
Vu que t'es calé en charabia, peut être peut m'expliquer ce texte :

Citation :


Une psychophysique au-delà de l’énergie de Planck
 
 
 
Les lignes diallèles de force gravifique radiale et longitudinale qui composent les points nodaux d'un treillis solitonique (de la structure psychophysique humaine) , sont la manifestation d'un super potentiel électro-gravitationnel en double flux coaxiaux de Temps (double ''effet tunnel'') qui autorégule simultanément un flux de Temps Réel (galactique) de pulsation continue non linéaire, et un flux rétro pulsé logarithmiquement à travers 6 densités (ou variables) temporelles alignées et opposées coaxialement sur 3 axes et dont nous ne percevons (psychologiquement) que leurs 3 densités dans un seul sens orienté de flèchede temps linéaire (passé, présent, futur). Ce super potentiel est intégrateur et autorégulateur d'Information-Signification en mode dissipatif dans le continuum chromosomique, par réductions d'ondes fractales (collapses psi) de pression dans les espaces-interfaces de videentre les rotations orbitales contrarotatives des électrons de charge électrique opposée : négative pour les électrons et positive pour les positrons (particules gémellaires interprétées comme matière et anti-matière).
 
Les espaces interfaces de vide autorégulent selon des facteurs angulaires d'équations horaires (degrés de ''liberté''), des mises en phases périodiques de flux d'ondes fractales (phonons et gravitons) dont les radians ''effet-miroir'' de leurs abscisses curviligne à géométriehélicoïdale, mettent en oeuvre les principes organisateurs d'un Invariant Génotype Systémique (IGS = vecteur psi ou 7ème sens génotrope) au travers de courbes spectrales ouvertes (et de rayon négatif). Les courbes spectrales sont mutuellement en rapport d'homothétie hologrammique et d'échelles de grandeur variable au travers 2 monopoles hyper sphéroïdaux à résolution holographique observée simultanément par l'IGS au travers 6 axes coaxiaux contrarotatifs impliés en 3 axes double ''effet-tunnel'' : ils caractérisent 6 filtres optico-acoustiques .
 
Au travers l'hyperespace des 2 monopoles hyper sphéroïdaux, ces 6 filtres forment des plissements éthériques angulaires à orientation de faisceaux optico-acoustiques, et entre lesquels une masse (un électron et/ou un positron) peut être observée simultanément comme corpuscule ou onde fractale. Entre ces 6 filtres, les ondes fractales y sont auto-éclusées électrostatiquement par des réitérations infinies de compressions-dilatations en feed-back à ultra haute fréquence, auto générées par l'inductance et la réluctance de champs magnétiquessphéroïdaux qui se comportent comme des monopoles sélénoïdes Delta-Time de facteurs angulaires à densités temporelles et informatives variables ; leurs 3 axes double ''effet-tunnel'' ont la particularité d'être diamagnétiques et sont susceptibles d'être aimantés et orientés (par l'IGS) variablement par triangulation orthogonale ''glitch-time'' (transferts temporelsd'Information-Signification) .
 
Chaque pliure tri-coaxiale connexe sépare axisymétriquement les 2 quadriques coaxiaux de 2 particules gémellaires en 2 monopoles sphéroïdaux gémellaires et de spectres opposés. Ensemble ils forment un composant éthérique ''transistoré'' piézo-électro-plasmique ayant les propriétés de cristaux quartzeux (poussière) à hyper énergie (et d'invisibilité) qui fonctionnent symbiotiquement (en réseau Cyber-Noétique), comme des aimants permanents à effets-lentille. Ces composants ''transistorés'' exotiques peuvent adopter toute base lentille pour modéliser l'image acoustique (de l'IGS) en champs à tonalités morphogénétiques (lignes diallèles du treillis solitonique). Ils sont capables d'absorber les fréquences vertigineuses hyper acoustiques d'ondes de chocs entre phonons (ondes sonores de fréquence V) et gravitons (ou tachyons de gravité instable au travers l'hyperespace et où ils sont interceptés par la chaîne de la matière qui est comme transparente) et de les transducter via les filtres,en microfaisceaux à plasma par génération optique du son (radiations ''maser'') dans les contextes hologrammiques).
 
Selon leur orientation mutuelle par effets ''glitch-time'', les 6 filtres optico-acoustiques hologrammisent un dipôle axisymétrique : c'est un point nodal dans le treillis solitonique, dont les longueurs d'ondes sont comprises dans les échelles sub-nanométriques (quelques angströms). L'ensemble de ces points nodaux compose un holo-réseau matriciel cristallin ''transistoré'' ultra stable (antenne) de géométrie hélicoïdale et de liaison h (atomes d'hydrogène et d'anti-hydrogène) avec les nano cristaux mésomorphes ADN. Ce système ''transistoré'' se comporte comme un rétro-pulseur contrarotatif (Tet-Tracking) de microfaisceaux optico-acoustiques au travers 12 paires de graphes réticulaires asymétriques. Chaque paire de graphes est composée de 2 raies spectrales séparées par du vide quantique absolu, chacune est de polarité opposée par rapport à l'autre. Les 24 graphes se comportent comme 12 tubes thermo-ioniques (à vide quantique fluctuant) comme des correcteurs optico-acoustique radio-thermiques (dans le spectre infrarouge) qui s'attirent et se repoussent mutuellement en un holomouvement logarithmique à travers l'hyperespace (des 2 monopoles hyper sphéroïdaux) et dont les orientations angulaires et mutuelles de 6 doubles paires de graphes à leurs jonctions connexes avec les 6 autres, caractérisent 6 ''portails'' holographiques chacun de spectre optico-acoustique opposé au travers les rotations orbitales contrarotatives des espaces-interfaces de vide (et de temps inversé) électroniques-positroniques. Dans le système ''transistoré'', un point nodal est délimité par la ceinture plasmoïde de bornage des 6 ''portails'' holographiques qui forme une hyperbolique de 2 hyper sphéroïdes .
 
En résolution holographique observée au travers cette hyperbolique, positrons et électrons sont identiques en masse au travers les 6 ''portails'' holographiques (qui sont mutuellement en rapport de vergences dioptriques avec leurs radiations électromagnétiques respectivement opposées) par réduction d'ondes fractales (collapse psi) en un bio-photon qui n'a pas de charge électrique entre 2 raies spectrales connexes d'une paire de graphes. Les réductions d'ondes sont subséquentes aux transferts logarithmiques en double ''effet-tunnel'' du flux temporel ''T'' entre les 12 paires de graphes qui se compressent et se dilatent comme une double pompe à vide, enserrant électrostatiquement les trains d’ondes fractales (comme un piège à Penning).
 
Dans l'hyperbolique, les 2 hyper-sphéroïdes hologrammisent respectivement 2 cônes d'espaces gémellaires ayant chacun leur propre référentiel de temps inversé et séparé par la barrière de la lumière (mur de Planck). Ce système caractérise à leurs jonctions équatoriales 2 quadriques de 2 x 4 axes superposés angulairement à 90° les uns par rapport aux autres et qui sont traversés à leurs convergences coaxiales par l'axe ''double effet tunnel'' de Temps réel '' T '' (Temps Galactique) qui se dissipe entre chaque jonctions contrarotatives des 12 paires de graphes. Ils sont opposés asymétriquement 2 à 2 dans les espaces-interfaces électroniques et positroniques. Cette convergence coaxiale peut être inférée comme une double fonction virtuelle ''Focus'' en force simultanément implosive-explosive (compressions/dilatations) non linéaire d'énergie infinie ultra-compressée, qui après s'être dilatée instantanément dans 4
directions de densités temporelles variables au travers les 2 monopoles hyper sphéroïdaux, se rétro-pulse logarithmiquement en périodicités de quantum de temps (de densités variables) au travers les 2 espaces gémellaires. La convergence entre ces 2 espaces gémellaires est une zone virtuelle ''0-Time-Space'' de pure ''Information-Signification'' et de connexion basique avec l'axe double effet-tunnel de Temps réel ''T''. Au travers de l'hyperespace, cette convergence coaxiale forme d'infinis micro-doubles puits de temps ''manquant'' de liaison optico-acoustique avec les raies spectrales des 12 paires de graphes : c'est la dimension cardinale de la lumière elle-même au travers l'hyperespace et où ses vitesses relatives n'y ont plus aucun sens (cette convergence porte d'autres termes : 5ème dimension, Ailleurs, mur de la lumière, gravastars, trous de ver, énergie point zéro, point de sur-unité, infinité, tunnel du temps, zone de temps négatif ...etc)
 
En oscillant vertigineusement à l'intérieur de cette convergence virtuelle, l'IGS s'exprime en self-induction par radiations ''maser'' amplifiées et démodulées en fréquences micro-tonales consonantes (mais non résonantes!) à travers les 6 ''portails''. Les radiations ''maser'' holographient entre chaque ''portail'' et en temps sériel, des séquences de faits (des réalités alternatives) rétro activées dans les doubles référentiels de temps inversé des 2 hyper sphériques. Ces séquences de faits se traduisent par le rétro-holomouvement ''hyper-conscientisé'' dans 4 orientations (par l'IGS) en résolutions simultanées et gigognes observées au travers les n' courbes d'homothétie holographiques des 12 paires de graphes contrarotatifs dans les 2 cônes d'espaces gémellaires immergés dans l'hyperespace. Les 2 cônes gémellaires coexistent ensemble dans chaque hyperbolique et ne peuvent se rencontrer ni se superposer n'étant pas liés par des relations dimensionnelles ni par des distances entre chaque ''portail'' holographique, mais par des relations symbiotiques subséquentes à des empreintes psycho-énergétiques (signal-radio vecteur psi de l'IGS démodulé en fréquences micro-tonales) à travers les 12 paires de graphes. Ces relations relativisent, selon des équations horaires d'échelles périodiques infimes entre femto-secondes et attosecondes (degrés de liberté au travers les 6 ''portails'' holographiques) consécutives à l'orientation angulaire mutuelle des 2 quadriques coaxiaux et par conséquent des 12 paires de graphes, le flux électrogravitationnel tripolaire (+ - et neutre) auquel s'associent ipso-facto les champs magnétiques des bio-photons dans les contextes hologrammiques.
 
Le flux électrogravitationnel rétro-pulse logarithmiquement les trains d'ondes fractales sinusoïdales de pression et dans lesquelles fluctuent des compositions gazeuses. Ces monopoles sphéroïdaux sont des vecteurs de ''Signification-Information'' (des qualia) dans les paires de particules gémellaires. Particules gémellaires et groupes de qualia associés forment ensemble des senseurs holographiques auto intégrateurs et autorégulateurs ''d'Information-Signification'' portée par les ondes fractales : il s'agit d'une bio-communication simultanée en deux sens, plus ou moins conscientisée selon les différents niveaux bio-physiques qui l'absorbent. Au travers des densités temporelles fluctuantes selon les degrés de ''liberté'' déterminés par l'orientation mutuelle de la zone neutre du double-quadrique de toutes les particules gémellaires, ce transfert ''d'Information-Signification'' est démodulé en microfaisceaux optico-acoustiques à double ''effet-tunnel'' dans les espaces-interfaces électroniques-positroniques.
 
Les espaces-temps électroniques et leurs contreparties connexes positroniques ayant leurs champs électriques et magnétiques opposés dans les deux cônes d'espace gémellaires, se comportent ainsi comme des rotors-stators incorrectement alignés par leur holomouvement dans leur hyperbolique respective. Le point coaxial de cet holomouvement correspond à la zone neutre de convergence virtuelle ''0-Time-Space'' (de toutes les hyperboliques) ou fonction ''Focus'' par sa liaison optico-acoustique au travers le réseau de micro-faisceaux réticulaires des 12 paires de graphes. L'IGS au travers cette convergence, les électro-dynamisent chacun en doubles flux magnétiques rétro pulsés. Chacun de ces microfaisceaux canalisent en double effet-tunnel , la zone neutre de vide quantique dans laquelle circulent les qualias. Ils se comportent entre chaque paire de graphes (et par conséquent entre les 2 cônes d'espaces gémellaires) comme des transducteurs sub-thermonucléaires en système non linéaire dans un holomouvement d'empreintes psycho-énergétiques.
 
L'ensemble de tous les holomouvements de toutes les hyperboliques, forme des micro vortex dont les champs magnétiques et électriques sont alignés angulairement à 90° dans les plissements éthériques de l'hyperespace (des 3 axes double ''effet-tunnel'') spatialisant ainsi le réseau d'homothétie de courbes de l'IGS qui s'holographie par un processus de triangulation orthogonale simultanée et coaxiales des 6 ''portails'' holographiques (en fonction de degrés
relatifs de ''liberté'' périodiques gradués à la convergence ''0-Time-Space' ') . Sa projection holographique est reflétée par les radians d'arcs ''effets-miroir'' délimités par l'orientation angulaire des abscisses curvilignes de chaque paire de graphes qui déterminent à partance du ''0-Time-Space'' le cadre référentiel 3D d'une ligne d'univers (successions d'événements séquencés par des intervalles de temps). La fonction ''Focus'' virtuelle de l'IGS n'étant pas confinée à l'axe de temps linéaire de la ligne d'univers (dans le sens dissipatif d'aperception psychologique), il y agit comme fonction ordinale achrone (en temps nul et/ou sériel) dans son axe double effet-tunnel de temps ''T'' Réel , comme un diaphragme et/ou obturateur holo-senseur bio-électromagnétique par ''effets lentille'' au travers les 6 ''portails'' holographiques de tous les espaces-interfaces électroniques/positroniques (toutes les hyperboliques) qui composent la masse d'une structure psychophysique . Dans les échelles infinitésimales, la triangulation orthogonale des 3 axes double ''effet-tunnel'', forme dans les infinies hyperboliques des trains d'ondes fractales de pression fragmentées en 6 densités temporelles variables. Chaque densité y possède son propre référentiel qualique de conscientisation en fréquence, longueur d'onde et amplitude qui délimitent son cadre d'espace-temps. Les 6 densités sont multi étagées en systèmes non linéaires et gigognes à fréquences tonales consonantes en base 12 (états basiques des éléments périodiques de la matière).
 
En termes quadri-dimensionnels , l''holomouvement'' de chaque hyperbolique est à la fois quadri-axial : orbital, rotationnel, toroïdal et dissipatif et pivote à partance des points de vergences coaxiales dioptriques (les ''degrés de liberté'') qui virtualisent (non linéairement) la convergence dioptrique de toutes les hyperboliques au ''focus-0-Time-Space''. Ces 4 formes de mouvement, peuvent être subdivisées en deux formes fondamentalement radiale-axiale (de l'extérieur vers l'intérieur). Elles sont la manifestation de l'IGS qui en tant que senseur de qualia et vecteur psi, s'exprime en temps nul au travers le réseau de microfaisceaux, en une même force duale psycho énergétique à la fois informative et formative (''Signification'') en double sens : a' < d'une façon répulsive en se projectant instantanément au travers les 2 densités temporelles inversées (2 flèches de temps inversé) non linéaires du double tunnel d'ondes psi et b' <d'une façon attractive en se ré-introjectant logarithmiquement dans 4 densités variables temporelles et dissipatives.
 
Cette force duale compose, au sein du treillis solitonique, une signature bio-électromagnétique tri-polaire (+ - et neutre) et tri-connexe entre l'IGS , les 12 paires de graphes et le système ''transistoré''. Cette signature est zippée (calée) électrostatiquement en boucle sur le ''0-Time-Space''. A partance de cette zone virtuelle ''Focus'', il auto-analyse holographiquement des séquences de faits (réalités alternatives) simultanément calculés à l'avance et rétroactivés en réponses digitales interactives dans des multi-contextes hologrammiques. Par cette rétro-technique , il agit comme un attracteur-répulseur de qualia qui manipulent des attractions croissantes de probabilités synchroniques multi-existentielles. Il contrôle ainsi divers aspects d'ordre psycho-biologique et multi-évolutionniste au travers 12 paires de graphes connexes (12 entités élémentaires cosmiques). Les 12 paires de graphes, de par leurs jonctions asymétriques contrarotatives 2 à 2 au travers l'holomouvement de toutes les hyperboliques , forment dans les milieux gazeux ultra-compressés du réseau de microfaisceaux, des ''cavitations'' de polarités de tension opposées entre charges électro-plasmiques positive et négative. Ces polarités se traduisent par des effets de sonoluminescence produits en auto-électro-catalyse par l'holomouvement logarithmique lui-même.
 
La signature tri-polaire démodule des vibrations micro-tonales synergétiques au sein du réseau de microfaisceaux, qui se traduisent par une série infinie d'impulsions de décharges et pré-décharges dans les doubles flux électro-gravitationnels des 12 paires de graphes en maintenant un plasma constant pour chauffer les molécules gazeuses (de gaz rares) au travers les ondes électroniques-positroniques de tous les dipôles axisymétriques du système ''transistoré''. Ces impulsions sont auto-générées piézo-électriquement en auto-résonance avec les poussières quartzeuses du système holo-transistoré, par les propriétés d'émissions spontanées de certains bio-métaux (métalloïdes, lanthanides, actinides) assignés à la masse de leur principal isotope respectif (pour la matière : carbone 12) et sa contrepartie gémellaire connexe de charge opposée (ou anti-matière). Cet auto-allumage à plasma a pour effet de conserver la bio-énergie électron-volt à distance du point de fusion 0°K au détriment de la tension dans les réactions endothermiques (à très basse température et à basse énergie) et exothermiques (à très haute température et à très haute énergie UHF au-delà de l'énergie de Planck) ; on peut interpréter ceci comme un effet Casimir à ultracourte distance entre les espaces-interfaces de densités temporelles variables au travers les 6 ''portails'' holographiques.
 
Chaque hyperbolique forme une ceinture de bornage interne hyper-luminique de gravité non linéaire et instable (non assujettie à des lignes de force) , qui intègre via les 24 graphes , les infinis dipôles axisymétriques du système ''transistoré'' enserrant ainsi le plasma dans des courants électriques et des champs magnétiques. Ces champs sont l'extension intra-périphérique radiante électro-plasmique dont les limites d'alignement internes entre les 6 ''portails'' holographiques gigognes sont bornées par les effets sonoluminescents. Toutes les ceintures de bornage internes de toutes les hyperboliques qui constituent la masse d'une structure psychophysique humaine, forment un double plasmoïde (communément interprété comme l'aura). Ces effets sonoluminescents sont auto-induits par les ''cavitations'' en fréquences micro-tonales consonantes entre les 6 ''portails'' holographiques dans une échelle décroissante d'ondes fractales sinusoïdales de pression de compositions moléculaires gazeuses (xénon, krypton, argon, néon, hélium, azote, hydrogène).
 
Les ''cavitations'' forment des chambres d'électrolyse naturelle dans laquelle des éléments chimiques d'oxyde de carbone et de silicium font office d'arcs à comburants selon leurs potentiels auto-disruptifs de charges et de pré-décharges par les gradients de tension qui sont subséquents à leurs inversions de polarité qui font que les zones neutres dans les quadriques-coaxiaux des particules gémellaires ne sont pas correctement alignées au travers les ''portails'' holographiques; les gradients de tension transductent des phénomènes universels d'attractions et de répulsions et par lesquelles les radiations ''maser'' des microfaisceaux se répandent , entre chaque espace de vide quantique (zone de polarité neutre et fluctuante) des paires de graphes, en double-effet (décharge/prédécharge) par permittivité périodique (relative aux 6 densités différentes des ''portails'' holographiques) selon la résonance en fréquences établies entre les champs contextuels cosmiques (ioniques et magnétiques entre les 2 espaces gémellaires) et les fréquences micro-tonales consonantes des contra-rotations orbitales des espaces-interfaces électroniques-positroniques. Ce phénomène permittif interagit, au travers chaque ''portail'’, analogiquement comme un condensat Bose-Einstein dans lequel la vitesse de la lumière est proportionnelle à la vitesse des ondes de gravité instable (de l'hyperespace) relativisant ainsi selon la vitesse de conscientisation entre les 12 paires de graphes, une aptitude mentale synchronisée débouchant sur un super-potentiel gravifique de qualia psi (le 7ème sens si l'on considère l'intuition comme étant le 6ème).
 
Ce super-potentiel d'ondes gravifiques psi peut adopter deux polarités : l'une attirant la matière et l'autre la repoussant au travers les 12 paires de graphes et dans lesquels les modifications de pression sont caractérisées par l'interactivité synergétique des radiations ''maser'' dans leurs champs de célérité gravifique respective. La célérité gravifique et la Signification-Information qui lui est assignée, est déterminée via une échelle descendante de fréquences UHF , à partance de longueurs d'ondes infinitésimales (entre 6 et 7 angströms) et d'amplitudes croissantes au travers les espaces de courbes spectrales des paires de graphes selon les densités temporelles asymétriques délimitées par les espaces-interfaces contra-rotatifs. Plus le champ gravifique est faible plus les fréquences UHF sont atténuées et plus il y a d'espace-temps à conscientiser (donc moins de qualia) et plus la Signification-Information décroît (et inversement).
 
Le potentiel gravifique psi est interactif entre les impulsions de décharges et pré-décharges ultracourtes dans les trains d'ondes fractales sinusoïdales dont leur polarité primordiale négative est le dipôle supraconducteur de l'IGS absorbant les ondes de chocs entre gravitons et phonons à la convergence ''0-Time-Space'' , et le pôle positif dissipatif in fine sont les espaces-temps électrons-protons de la ligne d'assemblage des paires de bases nucléotides ADN au travers leur milieu ionique isolant. Ce double plasmoïde agit comme un circuit redresseur en boucle ouverte de puissance énergétique-informationnelle d'ondes temporelles psi et gravifiques courbées d'ultra hautes- fréquences très élevées. Ces UHF sont entrecoupées en ondes radiales et longitudinales (lignes diallèles) dans le champ de gravité basique faible : les UHF sont ainsi atténuées in fine en pré-décharges ultra basses fréquences dans le spectre ultra-violet (de large détection) en harmoniques acoustiques et optiques (bio-photons) dans leur milieu ionique ambiant ; Celui-ci est susceptible de se transformer en un réseau supraconducteur dans un système diélectrique convenablement excité !
 
Dans un milieu bio-ionique, la force électrostatique de zone neutre (entre 2 polarités opposées) d'ultra hautes fréquences atténuées dans les espaces-interfaces de vide crée de nombreuses harmoniques dont leur polarité négative est le pôle absorbant d'électricité et le pôle dissipatif est le pôle positif : ce qui a pour effet de conserver l'énergie électron-volt au détriment d'une tension ultra faible. Le pôle négatif absorbe le continuum ''d'Information-Signification'' non linéaire de temps ''T'' réel par la force électrostatique (entre 2 polarités opposées) qui est fragmentée par effets ''glitch-time'' au travers les 6 ''portails'' holographiques à cause de la faible force gravifique tirée de son milieu ambiant de gravité basique. Cette force électrostatique est donc faiblement cohérée avec le vecteur psi (de l'IGS) de temps ''T'' Réel à cause des intervalles de temps linéaire et des espaces-interfaces de vide entre les rotations électroniques-positroniques contra-rotatives qui sont fonctions de degrés de ''liberté'' subséquents à n' radians de périodicités relatives à l'holomouvement des doubles quadriques coaxiaux de 2 particules gémellaires (au sein de leur hyperbolique) qui font que leurs champs électriques + - , s'opposent à toute aimantation et donc que leurs champs magnétiques respectifs s'opposent ainsi à toute modulation de facteurs angulaires ''effets-lentille'' au travers les 6 ''portails'' holographiques. Ces champs magnétiques ont la particularité d'être diamagnétiques mais sont susceptibles d'être aimantés par des champs d'attraction interactifs avec la force électrostatique (de zone neutre) , incorrectement distribuée entre les espaces-interfaces électroniques-positroniques .
 
Cette force peut être augmentée en compressant les espaces-interfaces de vide par incidence tangentielle sur les rotations orbitales des espaces électroniques. Le rendement E informationnel sera alors supérieur à celui entrant (donc supérieur à l'unité). L'énergie obtenue le sera par amplification ''d'effets-Joule'' (exprimés en E-V) par réaction
endothermique radiante de basse température dans les espaces-interfaces électroniques et s'interprétera comme une hausse d'énergie électrogravitationnelle convertie en bio-électricité par fusion scissible des éléments chimiques des particules gémellaires. Ce phénomène électro-gravitationnel amplifié s'effectue dans un bref transfert temporel ''glitch-time'' en hyper-énergie de fréquences vertigineuses et par lesquelles les éléments quantiques électroniques opèrent des transmutations chimiques à basse énergie et de réactions de fusion Mn25 + HI = Fe 26 (principe déjà démontré par L.C Kervran en 1960!).
 
L'Information de la Signification et de son énergie, est dans une large part dispersée entre les espaces-interfaces de vide entre électrons-positrons et protons-anti-protons de liaison h avec toutes les bases nucléotides ADN. Leur masse est constituée par la somme de tous ces espaces de vide entre leurs isotopes opposés ; elle est donc pleine de vide subséquent à la gravité basique ambiante dans leur milieu ionique. On peut compresser ces espaces-interfaces de vide par une force duale opposée et contrarotative d'accélération progressive centripète radiale-axiale ou tangentielle (de l'extérieur vers l'intérieur) capable de compresser, par incidence implosive sur les rotations orbitales des espaces-interfaces de vide et au sein desquels leurs éléments quantiques et chimiques respectifs peuvent être amenés à leurs conditions extrêmes selon des lois de résonances ''micro-tonales'' . Ces lois concordent les fréquences gémellaires (des 2 cônes d'espace) par effets de résonances qui débouchent sur un point infinitésimal de ''libération'' à partir de 96% de la vitesse de la lumière et où la densité énergétique y est chaotique et vertigineuse .
 
Deux forces opposées en double effet-tunnel, s'annihilent en s'unifiant et créent la convergence de ''libération'' dans laquelle le champ de gravité basique associé aux espaces-temps électroniques, se transforme progressivement en célérité tangentielle exponentielle implosive qui aspire et lévite en compressant à la fois leurs espaces respectifs et les espaces-interfaces connexes positroniques et leur densité temporelle moyenne. Cette force duale implosive influe sur les densités temporelles par la triangulation orthogonale d'orientation angulaire des 3 axes double ''effet-tunnel'' en compressant les champs magnétiques et électriques des 12 graphes qui peuvent alors aligner leurs zones neutres de force électrostatique plus ou moins correctement entre les 6 ''portails'' holographiques : l'énergie et l'Information-Signification (vecteur psi) qui leur sont associées se densifient progressivement par transfert ''glitch-time'' : les 3 axes double effet-tunnel s'orientent sans rapport de vergence dioptrique , d'une densité d'espace à une autre plus faible jusqu'à converger in fine au point de ''libération'' où les deux forces en fusionnant s'alignent optimalement à la convergence quadrique coaxiale ''0-Time-Space'' et libère momentanément une colossale énergie (informationnelle) de temps ''T'' Réel associé à la dimension de la lumière. Correctement alignés géométriquement comme le design d'une antenne Tesla Delta-Time (2 pyramides partageant la même base carrée), ils se comportent comme des systèmes d'induction de champs magnétiques asymétriques multi-étagés et ascendants (non linéairement) des fréquences opposées résonantes. Ces fréquences résonantes et radioactives dans les champs bio-électromagnétiques, sont capables d'interagir sur les densités temporelles et de moduler de la bio-information (exactement comme les champs électromagnétiques pulsés par les antennes du MWO de Lakhovsky) .
 
Cette méthode est analogue à celle utilisée naguère en ingénierie -radio et qui utilisait les interférences produites entre les ondes reçues et les ondes utilisées par le générateur local (l'émetteur) à l'intensité désirée par le récepteur. Cette bio-technologie de triangulation optimisée relève d'un principe de syntonisation qui inter-réagit entre les ondes bio-électromagnétiques (la signature tripolaire) et les ondes mentales et qui débouche sur une fonction illimitée d'hyper-conscientisation (7ème sens) dotée d'une logique holographique multi-valente en mode non local c'est à dire hors de l'espace et du temps linéaire. Cette fonction d'hyper-conscientisation est atténuée dans les contextes hologrammiques en conscientisation ordinaire (conscience génétique et somatique) car assujettie à la gravité basique qui la canalise dans une densité temporelle de vecteur psi atténué linéairement en 3D. A un niveau plus élevé, lorsque les champs électriques et magnétiques des 6 ''portails'' holographiques sont suffisamment alignés hors des ''degrés de liberté'', il se produit graduellement un dézippage de la signature tripolaire par un effet super-hétérodyne de triangulation orthogonale des 3 axes double ''effet-tunnel''. Cet effet permet de conscientiser et de cibler avec grande précision tous les atomes d'un groupe moléculaire donné et les exciter sans affecter leurs noyaux.
 
Ce procédé oblige, dans les contextes hologrammiques, un processus numérique ''codificateur'' de fréquences (de 0 à 12) , relatif aux 24 graphes qui se manifeste lors des phénomènes de scissibilité des éléments chimiques des particules gémellaires qui alignent correctement leurs zones neutres dans leurs champs magnétiques au travers leurs quadriques coaxiaux respectifs, à la convergence ''0-Time-Space. Leurs atomes respectifs peuvent alors coïncider avec toutes leurs raies spectrales. Pendant cette scission, ils captent en temps négatif-sériel (à la convergence ''Focus-0-Time-Space'') de la pure ''Signification-Information'' et reviennent via un processus numérique inverse ''décodificateur'' à leur état quantique initial en libérant un bio-photon porteur d'une nouvelle information. Leurs isotopes se comportent ainsi comme des transporteurs électrogravitationnels (au travers leur zone neutre) capables d'absorber par synthèse nucléaire à froid , la radiation UHF du plasma et qui s'interprète, au niveau des processus de Tet-Tracking ADN (nano-cristaux), par une bio-communication en flux de pure ''Signification'' non perturbé.
 
Aucune autre base cognitive ne peut lui être comparée et la compréhension de ceci nous permet d'interpréter correctement tous les phénomènes paranormaux (ufologiques, perceptions extra-sensorielles, télépathie, psychokinésie, guérisons spectaculaires...etc) qui sont inhérents à une aptitude mentale d'un 7ème sens de force psycho-énergétique latente. Cette force est capable, dans certaines conditions subséquentes à divers paramètres bio-magnétiques et bio-chimiques des nano-cristaux ADN (effet-vitrifiant!), de modifier et/ou moduler le cours de désintégration radioactive dans les processus hologrammiques internes. Ces phénomènes qui sont encore considérés comme surnaturels dans le conscient et l'inconscient collectif, relèvent d'un ordre pré-naturel qui est sous-jacent aux champs bio-électromagnétiques et bio-électroniques humain et qui est la manifestation d'une hyper-psychophysique au-delà de l'énergie de Planck. Sa compréhension (intuitive) peut être mise en oeuvre dans la conceptualisation de systèmes électromagnétiques non linéaires : multi-étagés en holos-structures d'aimants permanents (à cristaux de synthèse de haute énergie) et disposées en géométrie hélicoïdale (basée sur La Géométrie Sacrée et le Golden Ratio).
 


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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6217516
Profil sup​primé
Posté le 31-07-2005 à 00:13:46  answer
 

[:2501]  
 
mais c'est quoi cet infame charabia ???

n°6217530
Friday Mon​day
Trop de hérissons écrasés...
Posté le 31-07-2005 à 00:14:45  profilanswer
 


 
Ca provient du site de la secte quanthomme : c'est ENORME, non ?  :lol:
 
J'adore le  

Citation :

Le flux électrogravitationnel rétro-pulse logarithmiquement les trains d'ondes fractales sinusoïdales de pression et dans lesquelles fluctuent des compositions gazeuses.


 
[:ddr555]


Message édité par Friday Monday le 31-07-2005 à 00:15:49

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Friedrich Nietzsche : Le christianisme et l'alcool, les deux plus grands agents de corruption
n°6217592
Profil sup​primé
Posté le 31-07-2005 à 00:22:25  answer
 

Friday Monday a écrit :

Ca provient du site de la secte quanthomme : c'est ENORME, non ?  :lol:
 
J'adore le  

Citation :

Le flux électrogravitationnel rétro-pulse logarithmiquement les trains d'ondes fractales sinusoïdales de pression et dans lesquelles fluctuent des compositions gazeuses.


 
[:ddr555]


 
j'ai honte, j'ai cherché Mikhail dans ton site  [:ddr555]

n°6218346
Ryan
Foupoudav
Posté le 31-07-2005 à 04:09:10  profilanswer
 

C'est énorme :D
 
moi j'aime bien la théorie de l'univers holographique, de david Böhm :o
 
http://www.chaouqi.net/index.php?2 [...] ographique
 
 
Karl Pribram, cerveau et univers holographiques
 
Par abel, dimanche 17 avril 2005 à 08:29 :: univers holographique :: #13 :: rss
 
Karl Pribram et David Bohm ont mené respectivement des recherches sur des axes différents et ont abouti à la même conclusion : l'univers n'est qu'une gigantesque illusion, c'est un hologramme.
 
Les théories de Pribram, comme celles de Bohm, portent un regard neuf sur le monde: nos cerveaux construiraient une réalité "concrète" irréelle et la réalité objective n'existerait pas.
 
Le neurophysiologiste américain Karl Pribram s'est demandé comment les souvenirs se stockaient dans la mémoire.
 
Pour cela, il a remis en cause les recherches menées dans les années 1920 par le neurochirurgien canadien Wilder Penfield qui affirmait que chaque souvenir avait sa place dans un endroit précis du cerveau. Pour démonter cette affirmation qui faisait alors la quasi-unanimité, il s'appuya sur les expériences du neurophysiologiste américain Karl Lashley. Ce dernier commençait par entraîner des rats à accomplir un certain nombre de tâches comme courir dans un labyrinthe. II prélevait ensuite au bistouri sur le cerveau des cobayes diverses quantités de matière grise, par exemple le secteur où était censé s'inscrire le processus mémoriel. Il s'aperçut que, quelle que soit la partie du cerveau d'un rat qui lui était enlevée, le rat était toujours capable d'accomplir les tâches qu'il avait appris à faire avant l'opération. Mais Lashley ne pouvait expliquer comment cette mémoire "tout entière dans chaque partie" fonctionnait. C'est au milieu des années 1960 que Pribram eut une révélation en tombant sur un article du Scientific American décrivant le premier hologramme.
 
Pour comprendre pourquoi Pribram a eu cette illumination, il faut expliquer ce qu'est l'hologramme mis au point par Denis Gabor : on l'obtient en divisant un unique rayon de lumière pure (un laser) en deux faisceaux distincts. Le premier rebondit sur l'objet à reproduire. Le second, acheminé par un jeu de miroir, entre en collision avec les ondes lumineuses diffractées du premier. II en résulte un système de franges d'interférences qui va s'enregistrer sur une émulsion photosensible. Mais, à la différence de ce qui se produit en photographie, l'ensemble des informations sont enregistrées sur chaque fragment du support. Même si l'on brise une plaque holographique en mille morceaux, chaque fragment pourra être utilisé pour reconstituer l'image entière.
 
C'est ce dernier aspect qui fascina Pribram car il vit une métaphore du mode de répartition des souvenirs dans le cerveau qui abrite, dans chacune de ses parties, de quoi reconstruire un souvenir dans son intégralité. Le cerveau est donc un hologramme, capable d'emmagasiner d'enormes quantités d'informations dans un très petit espace, de même qu'un seul centimètre cube de film holographique peut contenir jusqu'à dix milliards de bits d'informations. Cette découverte fondamentale allait s'avérer à l'échelle du cosmos sous l'impulsion de David Bohm.
 
En 1987, l'Américain Stanislav Grof, directeur du Centre de recherches psychiatriques du Maryland, déclara que le modèle holographique était le seul à pouvoir expliquer les expériences archétypales, à savoir les rencontres avec l'inconscient collectif et les états modifiés de conscience. En 1987, le physicien canadien David Peat de la Queen's University soutint que la synchronicité - des coïncidences insolites et si riches de sens qu'elles ne peuvent résulter du seul hasard - trouve son explication dans le modèle holographique. Elle trahirait des processus de pensée infiniment plus connectés que nous ne le soupçonnons.
 
Là où le modèle holographique est vertigineux, c'est quand il donne sens à un vaste éventail de phénomènes si difficiles à cerner qu'ils restaient jusqu'à présent exclus du champ de la science. C'est le cas de phénomènes comme la télépathie, la précognition, le sentiment de ne faire qu'un avec l'univers décrit par les mystiques et même la psychoki-nésie (la faculté de déplacer des objets par la concentration). Les phénomènes paranormaux méprisés par le milieu scientifique parce qu'ils n'entraient dans aucun des schémas connus devraient désormais trouver leur place dans la compréhension du monde. Certes, bien des scientifiques restent sceptiques mais le modèle holographique a ses adeptes qui disposent d'une clé permettant d'expliquer certains phénomènes déclarés inexplicables.


Message édité par Ryan le 31-07-2005 à 04:09:41

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"Nothing ever happens to the knowing with which all experience is known"
n°6220180
EL_HA_M
Posté le 31-07-2005 à 16:26:22  profilanswer
 

Une question: Si la théorie du big ban g est vrai quelqu'un pourrait m'explique où se trouver l'atome qui a permis le fameux big bang et par extension où se situe l'univers lui même: Moi je suis sur terre, la terre est dans le systéme solaire, le systéme solaire est dans une galaxie, la galaxie est dans l'univers.  
 
Où est l'Univers?

n°6220515
Sanozuke
Ailé !
Posté le 31-07-2005 à 17:44:14  profilanswer
 

EL_HA_M a écrit :

Une question: Si la théorie du big ban g est vrai quelqu'un pourrait m'explique où se trouver l'atome qui a permis le fameux big bang et par extension où se situe l'univers lui même: Moi je suis sur terre, la terre est dans le systéme solaire, le systéme solaire est dans une galaxie, la galaxie est dans l'univers.  
 
Où est l'Univers?


L'Univers n'est pas contenu dans quelque chose, il rassemble tout ce qui existe.
Ta question n'a pas de sens.

n°6220550
Profil sup​primé
Posté le 31-07-2005 à 17:53:09  answer
 

EL_HA_M a écrit :

Une question: Si la théorie du big ban g est vrai quelqu'un pourrait m'explique où se trouver l'atome qui a permis le fameux big bang et par extension où se situe l'univers lui même: Moi je suis sur terre, la terre est dans le systéme solaire, le systéme solaire est dans une galaxie, la galaxie est dans l'univers.  
 
Où est l'Univers?


 
c'est où le nord du pole nord ?

n°6220626
Watou-Wato​u
Yoyoma!
Posté le 31-07-2005 à 18:09:11  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

renseigne toi sur le sujet avant de rire betement  :sarcastic:  
(mot clé : théorie bosonique des cordes à 26 dimensions)


 
Justement je me suis renseigné ...
Tu t'appuis sur des travaux purement spéculatifs ou tout au mieux improuvables pour venir balancer sur un forum que l'Univers est constitué d' "un espace à 11 ou 26 dimensions", déjà la phrase me semble grotesque vu la marge et le ton affirmatif du post, mais passons, mais en plus l'Univers est "actuellement" ;) constitué de 4 dimensions  (jusqu'a preuve du contraire bien sur)  :p  
 
 
Voir par exemple ici :
  http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_cordes
 
extrait : "  La théorie des cordes souffre de deux problèmes majeurs. Le premier est que, selon les mots de Wolfgang Pauli, elle ne peut même pas être fausse. En d'autres mots, elle ne fait aucune prédiction qui pourrait être sujette à vérification expérimentale ; ainsi, elle ne peut être ni prouvée ni réfutée, ce qui est un sérieux problème pour toute théorie physique. ... "  
 
PS: Je suis sur que tu as fait semblant de ne pas comprendre la 1ere fois.
 
 

n°6221437
big e
Posté le 31-07-2005 à 21:00:20  profilanswer
 

Bah dans un sens c'est vrai mais la théorie des cordes est quand même un tout petit peu plus crédible que celles de clémentdousset... :whistle:

n°6221480
clementdou​sset
Posté le 31-07-2005 à 21:10:01  profilanswer
 

big e a écrit :

Bah dans un sens c'est vrai mais la théorie des cordes est quand même un tout petit peu plus crédible que celles de clémentdousset... :whistle:


 
J'espère bien ! moi je ne propose pas une théorie, je propose un cheminement de pensée pour comprendre pourquoi l'univers existe, et le temps, et les lois, et le hasard... ce cheminement me suffit pour comprendre cela . Il ne vous suffit pas... tant mieux ou tant pis, c'est selon...

n°6222984
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 01-08-2005 à 06:31:52  profilanswer
 

Friday Monday a écrit :

une par lettre de l'alphabet, nickel pour les notations  :sol:


 
Et apres il y en a qui osent dire que Dieu n'existe pas...


Message édité par hephaestos le 01-08-2005 à 06:33:56
n°6223114
Nicky_rr
L'art est la manière
Posté le 01-08-2005 à 09:06:31  profilanswer
 

Et dieu a utilisé notre alphabet pour créer l'univers, si jamais il l'a écrit en français là je pense qu'on pourra le considérer comme parfait...


---------------
Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et n'aura aucun des deux. - Sur internet si le service semble gratuit, c'est que le produit, c'est vous.
n°6226164
big e
Posté le 01-08-2005 à 17:15:08  profilanswer
 

clementdousset a écrit :

J'espère bien ! moi je ne propose pas une théorie, je propose un cheminement de pensée pour comprendre pourquoi l'univers existe, et le temps, et les lois, et le hasard... ce cheminement me suffit pour comprendre cela . Il ne vous suffit pas... tant mieux ou tant pis, c'est selon...


 
Ok, chemine, chemine...

n°6226205
elliotdoe
Posté le 01-08-2005 à 17:20:46  profilanswer
 

Citation :

la compléxité, la composition de notre corps,


Je trouve ça très simple le corps humain : d'ici 20ans on fera des machines tout aussi complexe. On n'est rien de plus qu'un robot, avec nos besoins, nos déchets...

n°6226226
elliotdoe
Posté le 01-08-2005 à 17:23:11  profilanswer
 

Citation :

Ah ouais, mais alors si le temps prend naissance avec le big-bang ... comment le big-bang est né, car il faut bien un element qui soit la cause de la naissance du big-bang....


 
Toutes ces questions, ça me mène à penser que la seule réponse qu'on peut leur apporter, c'est que finalement on ne doit pas exister :??:

n°6226410
elliotdoe
Posté le 01-08-2005 à 17:47:53  profilanswer
 

En même temps, ça ne fait qu'environ 2000ans qu'on pense un peu à notre univers. 2000ans, c'est une centaine de générations d'hommes. Quand on en sera à 10 000 générations, on commencera à connaître pas mal de choses sur l'univers, on commencera probablement aussi à l'utiliser.
 
J'imagine que vous connaissez tous Asimov. Dans "Le robot qui rêvait", un ensemble de nouvelles, lisez "la dernière question". J'aime assez son explication du BigBang :jap:

n°6227738
Profil sup​primé
Posté le 01-08-2005 à 21:57:17  answer
 

elliotdoe a écrit :

En même temps, ça ne fait qu'environ 2000ans qu'on pense un peu à notre univers. 2000ans, c'est une centaine de générations d'hommes. Quand on en sera à 10 000 générations, on commencera à connaître pas mal de choses sur l'univers, on commencera probablement aussi à l'utiliser.
 
J'imagine que vous connaissez tous Asimov. Dans "Le robot qui rêvait", un ensemble de nouvelles, lisez "la dernière question". J'aime assez son explication du BigBang :jap:


 
"Que la lumiére soit" ?

n°6227929
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 01-08-2005 à 22:23:32  profilanswer
 

elliotdoe a écrit :

Citation :

la compléxité, la composition de notre corps,


Je trouve ça très simple le corps humain : d'ici 20ans on fera des machines tout aussi complexe. On n'est rien de plus qu'un robot, avec nos besoins, nos déchets...


 
On fait les paris?  
 
Pour être tout à fait franc, si on parvient à quelque chose de vaguement comparable ce siècle ci, on est bons...
Tu as déja fait de la biologie moléculaire ?

n°6227975
Sanozuke
Ailé !
Posté le 01-08-2005 à 22:30:08  profilanswer
 

hephaestos a écrit :

On fait les paris?  
 
Pour être tout à fait franc, si on parvient à quelque chose de vaguement comparable ce siècle ci, on est bons...
Tu as déja fait de la biologie moléculaire ?


+1, moi meme j'ai du mal a croire qu'a partir d'un brin d'adn le corps humain est capable de fabriquer une main, objet en trois dimension alors que le brin est en une dimension...

n°6228233
xantox
Posté le 01-08-2005 à 23:14:50  profilanswer
 

elliotdoe a écrit :

Citation :

la compléxité, la composition de notre corps,


Je trouve ça très simple le corps humain : d'ici 20ans on fera des machines tout aussi complexe. On n'est rien de plus qu'un robot, avec nos besoins, nos déchets...


 
Mort de rire.. ton argument est donc "du moment que ça bouffe et que ça chie, on sait faire"?


---------------
-- Parcours Etranges : Physique, Calcul, Philosophie
n°6228868
khalys
Anything can happen
Posté le 02-08-2005 à 00:29:57  profilanswer
 

Sanozuke a écrit :

... alors que le brin est en une dimension...


 
Huh ?

n°6228996
lokilefour​be
Posté le 02-08-2005 à 01:03:57  profilanswer
 

elliotdoe a écrit :

Citation :

la compléxité, la composition de notre corps,


Je trouve ça très simple le corps humain : d'ici 20ans on fera des machines tout aussi complexe. On n'est rien de plus qu'un robot, avec nos besoins, nos déchets...


 
Disons que si le cerveau est basé sur le tien, çà simplifie déjà grandement la tache.


---------------

n°6229090
elliotdoe
Posté le 02-08-2005 à 01:30:24  profilanswer
 

Ah, pourquoi tant de haine. Ouvrez vous l'esprit les gars.
Dans le principe, le corps humain est simple.
Comme tu dis xantox : tant que ça bouffe et que ça chie.
On a une architecture de base, et des zones avec des fonctions précises. Le reste, c'est du détail. Faut arrêter de se branler devant la "complexité" humaine. Physiologiquement parlant on est pas plus complexe qu'une mouche ou qu'un chien.
 

Citation :

+1, moi meme j'ai du mal a croire qu'a partir d'un brin d'adn le corps humain est capable de fabriquer une main, objet en trois dimension alors que le brin est en une dimension...


Alors tu as du mal à croire qu'un programme puisse te permettre de joindre une personne à l'autre côté de la planète ?
 

Citation :

On fait les paris?


Si c'est pas dans 20ans, ça sera dans 200 ou 2000. A l'échelle de l'Homme, c'est rien. Cela voudra dire qu'en moins de 4 milliers d'années il s'est reproduit lui-même.
 
En 50ans on a apprit la greffe d'organes étrangers, le remplacement de membres par des membres totalement synthétiques, depuis peu on sait même greffer des puces à des paraplégiques pour qu'ils aillent surfer sur le net ou jouer à des jeux rien que par la pensée. On est en train d'apprendre à reconstruire une moëlle épiniaire déchirée.
 
Après, au niveau moléculaire, on sait manipuler les molécules pour certains travaux (microprocesseur, nanotechnologies, médecine...). Pour l'ADN, on a bien décrypté le génome de chaque bestiole qui vit sur cette planète.
 
Au lieu de m'insulter, réflechissez un peu aux deux côtés... je dis pas que ce n'est pas complexe, je dis que finalement, on sait déjà tant de choses en si peu de temps, que ça doit pas l'être tant que ça au vu de notre Intelligence.

n°6229277
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 02-08-2005 à 04:44:59  profilanswer
 

elliotdoe a écrit :

Physiologiquement parlant on est pas plus complexe qu'une mouche ou qu'un chien.


 
Remarque pertinente. Mon pari tient aussi pour les mouches ou les chiens. Et les bactéries.

n°6229278
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 02-08-2005 à 04:49:02  profilanswer
 

elliotdoe a écrit :


Si c'est pas dans 20ans, ça sera dans 200 ou 2000. A l'échelle de l'Homme, c'est rien. Cela voudra dire qu'en moins de 4 milliers d'années il s'est reproduit lui-même.
 
En 50ans on a apprit la greffe d'organes étrangers, le remplacement de membres par des membres totalement synthétiques, depuis peu on sait même greffer des puces à des paraplégiques pour qu'ils aillent surfer sur le net ou jouer à des jeux rien que par la pensée. On est en train d'apprendre à reconstruire une moëlle épiniaire déchirée.
 
Après, au niveau moléculaire, on sait manipuler les molécules pour certains travaux (microprocesseur, nanotechnologies, médecine...). Pour l'ADN, on a bien décrypté le génome de chaque bestiole qui vit sur cette planète.
 
Au lieu de m'insulter, réflechissez un peu aux deux côtés... je dis pas que ce n'est pas complexe, je dis que finalement, on sait déjà tant de choses en si peu de temps, que ça doit pas l'être tant que ça au vu de notre Intelligence.


 
Bah si tu avais dit 200 ou 2000 ans dés le début, ç'aurait pas été pareil...
 
Concernant ce qu'on sait faire à l'heure actuelle, on est trés loin de 'savoir manipuler les molécules' (les nanotechnologies, ça me connait ;)). Quant au génome, on n'a fait le séquençage que d'une poignée d'animaux pour le moment, mais c'est certain que pour ce point particulier, on en aura tout un tas d'ici 20 ans (l'objectif aujourd'hui c'est de pouvoir faire du séquençage individuel).

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