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Auteur Sujet :

Stop à la dépression [ Les anti-dépresseurs ]

n°13116328
abk5
Posté le 30-10-2007 à 00:08:19  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
LA SOLUTION contre la déprime : un peu de soleil et beaucoup de sexe  :D

mood
Publicité
Posté le 30-10-2007 à 00:08:19  profilanswer
 

n°13120541
lorelei
So goddamn slick it's a sin
Posté le 30-10-2007 à 14:54:13  profilanswer
 

abk5 a écrit :

LA SOLUTION contre la déprime : un peu de soleil et beaucoup de sexe  :D


Le mot clé se trouve en rouge sur vos écrans.
Sinon, en ce qui concerne la croissance des morts par suicide et de la dépression, j'ai toujours dit que ça me surprendrait peu si on découvrait qu'en fait la dépression est un virus type herpès, avec des poussées et des périodes de calme...


---------------
Rock'n Roll - New Noise
n°13122382
Nico [PPC]
Posté le 30-10-2007 à 17:18:35  profilanswer
 

On le sait déjà plus ou moins vis-à-vis de la génétique, on sait que des dépressifs ont de fortes "chances" d'avoir une descendance dépressive. L'augmentation de la natalité accroîtra de facto le nombre de dépressifs/déprimés.

n°13123238
Profil sup​primé
Posté le 30-10-2007 à 18:37:16  answer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°13123747
MaitrePo
Posté le 30-10-2007 à 19:33:23  profilanswer
 


[:ddr555]

n°13123784
banzai99
Posté le 30-10-2007 à 19:38:05  profilanswer
 

Ungeduld a écrit :


 
Perso, j'ai fait une dépression à 18 ans. Je me souviens m'être levé un matin avec l'impression d'avoir une montagne sur les épaules. Je voyais tout en gris, tout semblait terne, délavé, la nourriture ne goûtait plus rien, j'étais, quand je ne dormais pas - je dormais tout le temps, partout, d'un sommeil qui était lourd et me laissait épuisé au réveil - je ressentais un sentiment de honte constant. Plus d'espoir. J'ai commencé à penser au suicide. Il n'y avait pas d'issue, pas de solution, et tout le monde s'en foutait. Heureusement, à l'époque, les médocs n'étaient pas à la mode pour soigner la dépression.
 
C'est à ce moment que j'ai fait une découverte. J'allais encore, sans conviction, à quelques cours de musculation, et je me suis aperçu que je ressentais un grand bien-être dans les heures qui suivaient. Plus de tension, plus ce sentiment de désespoir, je me sentais simplement détendu. Je me suis mis à faire de la musculation comme un malade, au point d'en avoir des vomissements. Je n'en avais rien à foutre, tant je me sentais bien après ces séances! J'avais à nouveau un but dans la vie: atteindre mes objectifs. Je les ai atteint, en un mois alors que j'avais trois mois pour le faire! J'étais en pleine forme, et plus de dépression! Les années qui ont suivi ont été les plus heureuses de ma vie jusqu'ici.
 
Je ne condamne pas le recours aux médocs et à la psychothérapie, ils peuvent certainement être très utile. Cependant, ils vous déresponsabilisent et vous font chercher une solution à l'extérieur de vous-mêmes. J'ai beaucoup réfléchi à ces questions toutes ces années. Je n'ai jamais fait de rechute, mais je ne me suis pas débarassé d'un mal être dont j'apprends à faire le tour en suivant une psychothérapie. Je fais des progrès rapides, et j'ai beaucoup changé en peu de temps, sans doute parce que je n'attendais pas de la thérapie qu'elle me sauve. J'ai compris avant de l'entreprendre que tout partait de moi. C'est moi qui suis mon thérapeute, et je ne vais chercher dans la thérapie que des outils pour être un meilleur thérapeute.  
 
J'ai par ailleurs perdu beaucoup de poids en adoptant peu à peu de bonnes habitudes de vie, sans me faire violence cependant, sans me soumettre à un sentiment de privation. Il faut être bon avec soi, comme si on avait à charge un petit enfant que l'on aime et dont on prend à coeur le développement. Il ne faut pas se voir comme un malade, et c'est ce que je déteste d'une certaine approche qui veut médicaliser l'esprit humain. Il y a là une forme de réductionisme que je ne peux que condamner, car il nie en nous notre individualité. Pour moi, mes souffrances ont un sens personnel, elles m'indiquent aussi une direction à suivre, et font de moi une meilleure personne. Je ne cherche pas à souffrir, je ne suis pas masochiste, mais je ne fuis pas la souffrance non plus. J'ai appris à lui faire une place dans ma vie tout en la relativisant et, paradoxalement, je souffre moins. Comme le disait Gibran: « Et le même puits d'où jaillit votre rire a souvent été rempli de vos larmes. ».
 
Je sais aussi qu'il y a en moi une force de vie qui ne demande qu'à se manifester. J'apprends à être à son écoute, à déterminer ce qui la favorise, et ce qui l'étouffe. C'est l'étalon qui guide tous mes actes. Parfois, ma raison, mes préjugés devrais-je dire, me font faire de mauvais choix, qui me rendent moins vivants. J'apprends à me débarasser de ces barrières mentales, à prendre des risques. Car, pour changer, il faut sortir de sa zone de confort. Y a pas d'autre moyen. Il faut accepter de poser des gestes en ayant parfois la trouille de sa vie, en se sentant déstabilisé et en avançant en plein brouillard. Se cantonner au connu, à ses petites habitudes, ses croyances confortables, est rassurant, mais ça étouffe la vie en nous. On finit par manquer d'air dans notre cocon confortable, on ne peut pas y déployer ses ailes.
 
Je te souhaite de trouver TON chemin. C'est toi qui y a accès, et personne d'autre, même pas ces toubibs qui croient mieux le savoir que toi. Évite-les ceux-là, ils vont te faire tourner en rond. Trouve ceux qui t'aideront en respectant l'individu que tu es, qui ne te diront pas où aller mais qui t'aideront à trouver toi-même ton chemin.


 
et si tu ne trouves personne qui te respecte? et si toi meme tu ne te respectes pas, que faire?


---------------
Déposer vos expériences de stages sur le topic des stages :) "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." Hegel
n°13124417
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 30-10-2007 à 20:53:14  profilanswer
 

Nico [PPC] a écrit :

On le sait déjà plus ou moins vis-à-vis de la génétique, on sait que des dépressifs ont de fortes "chances" d'avoir une descendance dépressive. L'augmentation de la natalité accroîtra de facto le nombre de dépressifs/déprimés.


 
Apparemment oui il y a une prédisposition génétique à la dépression, faudrait que je retrouve les sources. Si t'as des stats, je suis preneuse.
Mais attention, il ne faut pas confondre déprime et dépression (pour ceux qui savent pas, faites une petite recherche, vous comprendrez vite, pis moi j'ai déjà expliqué plusieurs fois :o )
 
Edit : ortho

Message cité 2 fois
Message édité par floootheone le 30-10-2007 à 20:53:43
n°13124486
BAKA
Posté le 30-10-2007 à 21:00:35  profilanswer
 

floootheone a écrit :

Apparemment oui il y a une prédisposition génétique à la dépression, faudrait que je retrouve les sources.


 
Ca m'intéresse. Si une personne dépressive a un parent dépressif, comment savoir si ce sont les gênes ou l'éducation qui favorise la dépression?
(peut être aussi qu'on découvrira un jour que la pollution augmente les risques :whistle: )
 
 

n°13124512
Prozac
Tout va bien
Posté le 30-10-2007 à 21:03:42  profilanswer
 

BAKA a écrit :


 
Ca m'intéresse. Si une personne dépressive a un parent dépressif, comment savoir si ce sont les gênes ou l'éducation qui favorise la dépression?
(peut être aussi qu'on découvrira un jour que la pollution augmente les risques :whistle: )
 
 


NAN, c'est génétique [:sarko]


---------------
La ligne droite n'est en aucun cas le plus court chemin entre deux points. Sauf, bien sûr, si les deux points sont bien alignés l'un en face de l'autre
n°13124857
BAKA
Posté le 30-10-2007 à 21:38:43  profilanswer
 

Est-ce que je traverse une crise mystique ou bien un message explicatif vient-il de passer à la trappe? :??:

mood
Publicité
Posté le 30-10-2007 à 21:38:43  profilanswer
 

n°13124880
Profil sup​primé
Posté le 30-10-2007 à 21:42:22  answer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°13124900
Nico [PPC]
Posté le 30-10-2007 à 21:44:47  profilanswer
 

BAKA a écrit :

Est-ce que je traverse une crise mystique ou bien un message explicatif vient-il de passer à la trappe? :??:


 
C'est moi, j'avais oublié de quoter le message vu qu'il y a eu un message posté entre temps. Je disais donc :
 

floootheone a écrit :


 
Apparemment oui il y a une prédisposition génétique à la dépression, faudrait que je retrouve les sources. Si t'as des stats, je suis preneuse.
Mais attention, il ne faut pas confondre déprime et dépression (pour ceux qui savent pas, faites une petite recherche, vous comprendrez vite, pis moi j'ai déjà expliqué plusieurs fois :o )
 
Edit : ortho


 
En psychiatrie un déprimé est un patient traversant un épisode dépressif. Le langage médical est parfois totalement différent du langage courant (par exemple le terme "maniaque" qualifie un patient traversant une phase d'exaltation dans le cadre d'un trouble bipolaire alors que pour le profane il s'agit de quelqu'un d'excessivement méticuleux, fanatique du ménage, etc. De même pour le terme "mélancolie" qui est la forme la plus grave de la dépression et qui s'inscrit également dans le cadre d'un trouble bipolaire alors qu'un mélancolique est pour beaucoup quelqu'un de nostalgique).
 
Concernant les chiffres, il a été démontré que certains gènes interviennent (même si ça reste assez flou encore) dans la dépression ainsi que dans la maniaco-dépression (trouble bipolaire). Certaines études ont également été ménées sur les jumeaux et ont confirmé ces prédispositions.  
Par exemple, un enfant qui a un de ses deux parents atteint d'un trouble de l'humeur a 25% de risque d'avoir lui aussi un trouble de l'humeur. Ce risque passe de 50 à 75% si les deux parents sont atteints. Une étude de Simpson (non non, pas Homer ni Bart :D) a même démontré que 88% des bipolaires avaient au moins un parent dépressif.
 
A tout cela s'ajoutent certains facteurs biologiques (moindre production de certains neurotransmetteurs comme la dopamine ou la sérotonine, etc.).
La génétique semble donc jouer un rôle important (inné) mais l'acquis aussi.

Message cité 1 fois
Message édité par Nico [PPC] le 30-10-2007 à 21:47:34
n°13125275
BAKA
Posté le 30-10-2007 à 22:25:48  profilanswer
 

Nico [PPC] a écrit :

La génétique semble donc jouer un rôle important (inné) mais l'acquis aussi.


 
Si l'acquis joue un rôle, a t on identifié des comportements "anti-dépression"?
 
En ce moment je lis du Jung et un bouquin sur les TCC, mais ça ne m'aide pas beaucoup (les TCC font très méthode Coué, quant à Jung il me parle beaucoup plus mais n'offre pas de solution).

n°13125347
Nico [PPC]
Posté le 30-10-2007 à 22:32:32  profilanswer
 

Comme je l'ai dit, ça reste assez flou. Je pense que la part génétique est plus importante que la part acquise. Pour cette dernière il y a certaines théories qui disent que l'environnement plus ou moins houleux du nouveau né joue un rôle important, tout comme la relation parents/enfant en passant par l'école et j'en passe...

n°13125438
SanPe'
Membre n°312819
Posté le 30-10-2007 à 22:39:36  profilanswer
 

Merde, mais Nico t'es psy ?


---------------
"Vous avez beau travailler dur, devenir intelligent, on se rappellera toujours de vous pour la mauvaise raison."
n°13126010
banzai99
Posté le 30-10-2007 à 23:23:51  profilanswer
 

BAKA a écrit :


 
Ca m'intéresse. Si une personne dépressive a un parent dépressif, comment savoir si ce sont les gênes ou l'éducation qui favorise la dépression?
(peut être aussi qu'on découvrira un jour que la pollution augmente les risques :whistle: )
 
 


 
pour ma part, j'ai une grand mere qui est depressive, une mere sous anti-D et un frere bipolaire et je suis née le jour où l'on fete le saint que l'on prie contre la mélancolie et les maladies mentales  [:alph-one] mais a priori je ne suis pas depressive :D


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Déposer vos expériences de stages sur le topic des stages :) "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." Hegel
n°13126052
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 30-10-2007 à 23:28:17  profilanswer
 

banzai99 a écrit :


 
pour ma part, j'ai une grand mere qui est depressive, une mere sous anti-D et un frere bipolaire et je suis née le jour où l'on fete le saint que l'on prie contre la mélancolie et les maladies mentales  [:alph-one] mais a priori je ne suis pas depressive :D


 
Waou ce cumul... En même temps, peut-être que c'est ton frère qui a choppé les mauvais gènes et toi non :D (je sais c'est pas très scientifique tout ça)

n°13126182
banzai99
Posté le 30-10-2007 à 23:38:06  profilanswer
 

je pourrais continuer sur les maladies neurologiques de ma famille mais je pense que j'ai surement du choper quelquechose vu le poids génétique


---------------
Déposer vos expériences de stages sur le topic des stages :) "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." Hegel
n°13126217
Nico [PPC]
Posté le 30-10-2007 à 23:41:30  profilanswer
 

SanPe' a écrit :

Merde, mais Nico t'es psy ?


 
Mystère [:zebra33] [:ddr555]

n°13126328
Profil sup​primé
Posté le 30-10-2007 à 23:47:55  answer
 

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

n°13126348
Nico [PPC]
Posté le 30-10-2007 à 23:49:18  profilanswer
 


 
Voilà :o
Ce qui n'est pas si éloigné de psychiatre que ça [:rosebud] [:ddr555]

n°13127761
MaitrePo
Posté le 31-10-2007 à 07:09:07  profilanswer
 

Nico [PPC] a écrit :

Comme je l'ai dit, ça reste assez flou. Je pense que la part génétique est plus importante que la part acquise. Pour cette dernière il y a certaines théories qui disent que l'environnement plus ou moins houleux du nouveau né joue un rôle important, tout comme la relation parents/enfant en passant par l'école et j'en passe...


En tous cas, j'ai eu beau chercher (depuis 1996, donc...), je n'ai pas trouvé l'ombre d'une esquisse de qqchose qui pouvait expliquer ma fragilité - quelques anecdotes qui étaient manifestement à l'origine de qques petites phobies, au mieux, mais sinon... je crois avoir eu une enfance quasi idéale - "quasi", c'est juste pour dire que la perfection n'existe pas.  
 
Donc j'en viens effectivement à me dire que je suis faite comme ça - ce qui ne veut pas dire qu'il faut être fataliste, que "parce que c'est inné, on s'en sortira jamais"...  
 
Pour ma part, ma psy est revenue de congé maladie pour qques semaines, et constater mon état actuel a été une heureuse surprise pour elle - à vrai dire, c'est aussi une heureuse surprise pour moi : si peu de temps après la grosse tasse que j'ai bu en Août/Septembre, j'aurais pas crû... Certes, subistent qques pbs de sommeil et surtout de poids (d'où une fatigue générale quasi permanente) mais y'a pas à tortiller, ça va mieux et surtout toujours de mieux en mieux - j'arrive à gérer les coups de blues qui se font de plus en plus rares (les plus durs se produisant essentiellement... après avoir déposé ma chienne chez des amis, la veille d'un départ en week end en avion. C'est fou la place que peut prendre un petit cocker, dans une vie : "bon... personne ne veut un calin ? un biscuit ? jouer à la baballe...? hohééééé ? ahnon y'a personne... snirfl." ).
 
So, we've got to keep the faith (et non pas the fesse, ce qui n'a strictement rien à voir)

n°13127762
_pollux_
Pan ! t'es mort
Posté le 31-10-2007 à 07:11:10  profilanswer
 

il est pourri ton jeu de mot MaitrePo, tu m'as habitué à mieux :o

n°13129887
banzai99
Posté le 31-10-2007 à 11:43:03  profilanswer
 

MaitrePo a écrit :


En tous cas, j'ai eu beau chercher (depuis 1996, donc...), je n'ai pas trouvé l'ombre d'une esquisse de qqchose qui pouvait expliquer ma fragilité - quelques anecdotes qui étaient manifestement à l'origine de qques petites phobies, au mieux, mais sinon... je crois avoir eu une enfance quasi idéale - "quasi", c'est juste pour dire que la perfection n'existe pas.  
 
Donc j'en viens effectivement à me dire que je suis faite comme ça - ce qui ne veut pas dire qu'il faut être fataliste, que "parce que c'est inné, on s'en sortira jamais"...  
 
Pour ma part, ma psy est revenue de congé maladie pour qques semaines, et constater mon état actuel a été une heureuse surprise pour elle - à vrai dire, c'est aussi une heureuse surprise pour moi : si peu de temps après la grosse tasse que j'ai bu en Août/Septembre, j'aurais pas crû... Certes, subistent qques pbs de sommeil et surtout de poids (d'où une fatigue générale quasi permanente) mais y'a pas à tortiller, ça va mieux et surtout toujours de mieux en mieux - j'arrive à gérer les coups de blues qui se font de plus en plus rares (les plus durs se produisant essentiellement... après avoir déposé ma chienne chez des amis, la veille d'un départ en week end en avion. C'est fou la place que peut prendre un petit cocker, dans une vie : "bon... personne ne veut un calin ? un biscuit ? jouer à la baballe...? hohééééé ? ahnon y'a personne... snirfl." ).
 
So, we've got to keep the faith (et non pas the fesse, ce qui n'a strictement rien à voir)


t'entends quoi par enfance quasi ideale ?
 
merci
 


---------------
Déposer vos expériences de stages sur le topic des stages :) "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." Hegel
n°13130780
_pollux_
Pan ! t'es mort
Posté le 31-10-2007 à 13:04:08  profilanswer
 

une enfance normale quoi :D

n°13133977
banzai99
Posté le 31-10-2007 à 18:58:01  profilanswer
 

et c'est quoi une enfance normale?


---------------
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n°13134075
MC-JGabin
猫はあなたの母親を持っています
Posté le 31-10-2007 à 19:09:46  profilanswer
 

banzai99 a écrit :

et c'est quoi une enfance normale?


 
Papa , maman , éducation normale , pas de pbs partiucliers ,conneries de son âge,  scolarité moyenne etc , rien de transcendant  :)  


---------------
" !!  "  
n°13134199
banzai99
Posté le 31-10-2007 à 19:22:39  profilanswer
 

ca m'eclaire pas trop...


---------------
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n°13134454
MaitrePo
Posté le 31-10-2007 à 19:48:30  profilanswer
 

_pollux_ a écrit :

il est pourri ton jeu de mot MaitrePo, tu m'as habitué à mieux :o


[:ddr555]  
Spa moi, c'est Chypor <3

MC-JGabin a écrit :

Papa , maman , éducation normale , pas de pbs partiucliers ,conneries de son âge,  scolarité moyenne etc , rien de transcendant  :)


Bonalors ok, pas touuutafé normale, d'accord.
Papa, maman, éducation normale, pas de pbs particuliers, oui. Conneries très (trop ?) peu. Scolarité... oué, ok, j'en conviens, sur ce point, j'étais justement pas dans la norme, et ce qui a été fait pour rectifier a eu des effets de bords qui m'ont sans doute pas aidée, à une époque.
 
Mais de là à ce que ça me condamne à la dépression à vie... non, j'y crois pas.
 
 
 
 
 

n°13136561
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 31-10-2007 à 23:33:43  profilanswer
 

Qu'est-ce qui a été fait pour rectifier ton "anormalité" dans ta scolarité ?
 
L'enfance quasi-idéale, sans soucis, je croyais l'avoir eue aussi, mais en fait pas du tout :pt1cable:  
Et je pense que ca a pas mal joué sur mon état actuel et mon mode de fonctionnement. Alors méfions-nous des enfances qui paraissent idéales... :o

n°13136660
banzai99
Posté le 31-10-2007 à 23:46:10  profilanswer
 

et donc une enfance ideale pour toi flootheone c'est toi ?


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n°13136704
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 31-10-2007 à 23:51:38  profilanswer
 

banzai99 a écrit :

et donc une enfance ideale pour toi flootheone c'est toi ?


 
Non justement, avant je pensais avoir eu une enfance tout à fait normale, qui me poserait pas de problèmes, etc. Et en fait je me suis rendu compte (et je m'en rends compte encore) que ce n'était pas du tout le cas, j'ai pas vraiment eu une enfance aussi bien que ça.

n°13136723
banzai99
Posté le 31-10-2007 à 23:54:15  profilanswer
 

pourquoi que c'est il donc passé pendant ton enfance?


---------------
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n°13136989
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 01-11-2007 à 00:22:08  profilanswer
 

Rien de bien spécial, mais c'était plein de non-dits, de secrets familiaux, d'hypocrisie à haut niveau, de conversations chuchotées qu'on surprend et qu'on comprend pas bien, mais personne nous dit rien, parce que les enfants n'ont pas besoin de savoir ça, ce sont des histoires de grandes personnes.  :sarcastic:  
Alors c'est bien, je comprends que ca partait d'une bonne intention, seulement les enfants se rendent compte qu'ils genent dans certaines conversations, alors ils imaginent, puisqu'on ne leur dit rien.
Et puis un jour, paf, ils apprennent un secret de famille, ils se prennent ca dans la gueule, tout le monde était au courant depuis des années, tout le monde a toujours fait avec, et on attend d'eux qu'ils fassent pareil.
 
Il faut que j'arrête de raconter ma vie sans vouloir la raconter :o

n°13137032
banzai99
Posté le 01-11-2007 à 00:27:34  profilanswer
 

donc ca voudrait dire que dans toutes les familles il y a un secret de famille?


---------------
Déposer vos expériences de stages sur le topic des stages :) "L'homme n'est rien d'autre que la série de ses actes." Hegel
n°13137051
Nico [PPC]
Posté le 01-11-2007 à 00:29:54  profilanswer
 

L'ignorance est mère de tous les maux.

n°13137083
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 01-11-2007 à 00:33:20  profilanswer
 

banzai99 a écrit :

donc ca voudrait dire que dans toutes les familles il y a un secret de famille?


 
Pas forcément, ce n'est pas obligatoire pour construire une famille :o

n°13137094
banzai99
Posté le 01-11-2007 à 00:35:29  profilanswer
 

lol mais a priori c'est ce que vous avez l'air de dire, vous pensez avoir vécu une enfance heureuse et en fait vous vous rendez compte plu stard que ca n'était que mensonges.


---------------
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n°13137100
floootheon​e
Jack's colon
Posté le 01-11-2007 à 00:37:08  profilanswer
 

Il y en a aussi qui ont eu une enfance pourrie, qui le savaient dès le départ, et c'est pas forcément mieux :/

n°13137126
banzai99
Posté le 01-11-2007 à 00:40:55  profilanswer
 

moi enfance pourrie mais pas de secret de famille enfin je crois pas :D


---------------
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n°13137219
BAKA
Posté le 01-11-2007 à 00:59:04  profilanswer
 

floootheone a écrit :

L'enfance quasi-idéale, sans soucis, je croyais l'avoir eue aussi, mais en fait pas du tout :pt1cable:


 
Pas mieux :sweat: mais dans la plupart des familles, il y a des problèmes. C'est plutôt qu'on a tendance à ne pas voir ce qui ne va pas parce que c'est une donnée acquise (on ne va jamais demander qui était la "personne manquante" par exemple). J'ai eu une enfance "normale" essentiellement parce que je ne voyais pas les problèmes de ma famille. D'un autre côté, c'est normal que les parents souhaitent laisser leurs enfants de côté, ne serait ce que par crainte d'en faire des dépressifs :whistle:

mood
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