Reprise du message précédent :
Petite sondage : Aux personnes dépressives, comment est votre sommeil ?

En ce moment, pas terrible, je me réveille 4-5 fois/nuit et je ne suis pas reposé au réveil vers 7/8h après 9 bonnes heures de repos.

Mais ça varie dans l'année, c'est plutôt correct en général.

Réveil souvent brutalement en panique à 6h/6h30 après 5/6h de sommeil, impossible de se rendormir impossible de se lever. Quelle perte de temps.

 
Sommeil assez lourd, trop même  
De l'hypersomnie souvent, je dors 10h voie plus et je me réveille très fatigué. Ca me fait ça depuis que je prends des AD, avant j'arrivais péniblement à 4h de sommeil à cause des angoisses

 
Idem, le soir je m'écroulais et m'endormais vite en général, et sans me lever en cours de nuit.
Avec l'AD c'est moins ça  

Avec les AD, je m'ecroule vers 22h, je dors 9 heures d'une traite.
Avant, j'arrivais pas à m'endormir et je me réveillais dans la nuit en panique.
Le choix il est vite fait.  

Ah  
 
Moi l'angoisse de la journée me tabassait tellement que j'avais la situation inverse.

Hey all.  
 
Juste un petit point pour dire qu'apres 1 mois d'ad, ca va mieux.  
 
La boule au ventre est partie et je dors "a peu pret" bien.  
 
 
Bon, je vais pas encore bien mais j'ai sorti la tête de l'eau déjà.

Xeroquel 50mg, Valium 3.3mg, Imovane 7.5mg : 9h de sommeil d'une traite.

Évidemment, sans rien, ce serait nuit blanche assurée
Je diminue le valium progressivement avec pour objectif de ne plus en prendre d'ici là fin de l'année. Après j'arrêterai le xeroquel puis ce sera au tour de l'Imovane, qui sera le plus dur à arrêter. Objectif 2023 clean  

exactement pareil. j'adore le moment où je vais me coucher, je peux enfin me reposer.

Je dors mal depuis quelques années : aucun problème pour m'endormir mais sommeil très agité et donc peu reposant.

Problèmes de sommeil / dépression, sans doute les deux en même temps et pas juste poule / œuf.

 
Je dirais dépressif léger, j’ai surtout beaucoup d’anxiété, et d’ailleurs le Xanax est un anxiolytique et pas un AD. Enfin bref c’est parce que ça va pas quoi    
 
Avant c’était ruminer sans trouver le sommeil au bout de 3 ou 4 h après le coucher (endormi d’épuisement et pas réparateur). Avec je m’endors relativement vite (environ 15min si pris au bon moment, mais ça marche pas à 100%, disons 7/10). Par contre je me réveille plus facilement après 6h, ce qui ne me fait pas assez. En général je peux me rendormir et faire une nuit correcte.  
Sauf hier par exemple, réveillé à 6h30, impossible de reprendre, fini par me lever à 7h30. Alors que c’était ok de faire la grasse matinée, rien de prévu.  
 
En résumé ça aide, à la fois à trouver réellement le sommeil et à s’assurer que ça va marcher, sans m’inquiéter et calculer sans arrêt «  il est telle heure, si je dors pas avant x heure je vais encore être claqué «  etc.  

J’ai pas de mal à m’endormir mais parfois je me réveille vers 4h et j’ai du mal à me rendormir. Et j’ai du mal à me coucher de bonne heure. Si je me couche tôt, je suis à peu près certaine de me réveiller dans la nuit. Mais je dormirais bien tard le matin.
 
Je ne sais pas si c’est vraiment dû à l’angoisse ou au fait d’avoir dû se lever plusieurs fois la nuit pour mes enfants.

Après c’est difficile de déterminer ce qui trouble le sommeil. Depuis tout petit jusqu’à environ 2 ans en arrière je dormais comme une masse et rien ou presque ne me réveillait, alors qu’avec l’âge je suis plus sensible aux bruits, à la lumière. Et on a pas les mêmes préoccupations dans la vie en terme de boulot (études puis boulot) ou le social (célibataire, en couple, d’autres qui ont des enfants comme le dit PetiteAlex).  
Puis ça dépend de ce que j’ai mangé, si j’ai mangé et à quelle heure, si j’ai pu faire du sport ou pas du tout, si je me suis pris la tête sur un truc en journée au boulot et plein de trucs.  
Là dessus on rajoute un période très bizarre avec la pandémie et ses incertitudes et restrictions, ça fait un bon cocktail    
 
Bref bon dimanche  

Il me semble en plus qu’en vieillissant le sommeil est de moins bonne qualité.

vachement une question d'environnement...
l'été dernier en wwoofing à la montagne je dormais du sommeil du juste  

JPour info je n'ai pas de dépendance, enfin j'pense pas, mais j'ai parfois besoin d'une bonne dose en cas d'angoisse/stress, je ne prend pas le xanax sous posologie M/M/S mais plus quand j'en ai vraiment besoin (par exemple 0.5 à 1 en une fois, en général entre 17 et 22h). Je vais me tourner vers le vapotage ponctuel pour tester et voir si ça me fait le même effet; si ce n'est pas le cas j'aurai au moins essayer

 drap même si j'aurais préféré ne pas être ici parmis vous

 
Qu’est-ce qui t’arrive ?

Comme tous ici je pense, un trou dans la poitrine, et beaucoup de vide.
 
Je pense que je suis dépendant affectif, quoi que j’en suis certain. Et j’ai une fois de plus été rejeté. Pour la première fois de ma vie je vais consulter un psy. J’ai des idées noires et je me demande si je devrais pas en parler à mon médecin.
 
Je pense être en dépression depuis quelques années et je me refusais à voir les choses en face. Là j’essaye d’affronter ces sensations et d’y faire face pleinement.

La dépendance affective, c'est chiant, ça fait qu'on supporte des choses que font les autres alors qu'on ne devrait pas, du coup, quand on se fait jeter, c'est la double peine.

J'ai connu et je compatis  

S'en rendre compte, c'est un pas pour ne pas retomber dedans et jetter plus facilement les personnes insupportables. Bref, apprendre à nexter  

Il faut se dire qu'affronter les choses en face, c'est le premier pas vers la rémission. Selon moi c'est le pas le plus dur

Merci pour vos encouragements.
 
Le plus difficile justement c’est de tourner la page quand quelqu’un vous donne autant d’attention puis la retire brutalement. J’arrive pas à supprimer les photos, les textos. J’arrive pas non plus à ne pas lui répondre.
A chaque sms ou appel je suis comme un junky qui prends sa dose. Et puis la descente est horrible.
 
Je n’arrive plus à manger depuis quelques jours et je dors en sommeil fractionné dans la nuit. Le seul point positif c’est la perte de poids.
 
Je sais pas comment j’ai pu tomber là dedans. Je suis le mec gentil, le mec toujours là pour les autres et toujours heureux. C’est dur.
 
Aujourd’hui je me fixe l’objectif de prendre plus de distance.

Merci John, et je compatis vraiment à ta situation. Je me mesure la force qu’il faut pour tenir tout ce temps et ça me semble aujourd’hui impossible.
 
Le plus difficile c’est que je la verrais tous les jours malgré tout. On travaille plus ou moins au même endroit.  
J’ai activé mon réseau pour changer de travail. Avant même cette situation j’en pouvais plus de mon job, c’est peut-être le coup de pied au cul qu’il me faut pour changer de vie.
 

Drap

Penses surtout à ne pas te laisser aller à répondre à ses sollicitations, je ne sais pas pourquoi les ex aiment bien continuer à faire du charme à leurs ancien(ne)s partenaires alors que c'est juste douloureux. Ça doit flatter leur égo ou bien ils sont un peu stupides ?  

 
C'est pas mal de le voir comme ça en effet.
Parfois le hasard se goupille bien  

Merci pour vos messages
 
J'ai vu une nouvelle psy tout à l'heure, pour une première séance. Elle est jeune et très à l'écoute. Je me suis senti vraiment écouté et pas jugé, malgré une situation un peu border que je vie en parallèle.
 
Elle a mis le doigts sur pas mal de choses : mon manque d'estime de moi et mon manque de confiance en moi. On va bosser ces points là.
 
Je suis vraiment content de cet échange. J'avais la voix serrée tout le temps, mais j'ai pu libérer pas mal de chose et en intégrer d'autres.
Je la vois de nouveau lundi.

Hey super c'est top ça, de t'être rapidement motivé pour voir quelqu'un et aussi la chance que dès le début ça se passe bien avec elle.
Ça va aider à aller mieux

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Même si ça va plutôt bien depuis quelques semaines, je sens que je suis pas loin de rebasculer dans les angoisses. J'ai rdv mardi chez l'hypnothérapeute, j'espère que ça va m'être utile.  
 
Là j'ai une grosse culpabilité. J'ai lu dans un des cahiers de mon fils que sa plus grosse peur est d'être SDF. Je lui ai posé la question si c'était lié à mes angoisses, il m'a dit que non mais il m'a demandé pourquoi l'assurance ne rembourse pas toujours quand il y a un problème. Je m'en veux énormément de lui avoir communiqué mes peurs.

En même temps en tant que parent je pense qu'il n'y a rien de pire que d'être rongé par des trucs, le cacher, et culpabiliser. Les gosses sentent que t'es mal, mais ne savent pas pourquoi, et pensent que c'est de leur faute. En tout cas moi mon enfance a été marquée par ça vis-à-vis de ma mère. Mieux vaut être honnête avec eux, leur expliquer que comme tout le monde t'es pas infaillible et que tu as des difficultés mais que tu te bagarres pour les surmonter, et bien leur rappeler que eux peuvent compter sur toi quoi qu'il en soit.
Enfin c'est ma lecture à travers le prisme de mon xp perso, avec une mère-gamine ultra angoissée qui voulait être parfaite et finissait toujours par exploser puis culpabiliser à mort, rinse & repeat  

'tain quand j'y repense, ce cirque qu'on subissait avec ma frangine    

J'en ai parlé avec eux, ils savent que j'ai des angoisses et que j'essaye de m'en sortir. Ce soir, j'ai essayé de rassurer mon fils en lui disant que la maison avait été expertisée et que tout allait bien, que quoi qu'il se passe on serait toujours là pour lui. La psy me dit aussi que c'est la bonne chose à faire de leur en parler mais sans en faire une montagne. Mais je ne veux pas qu'ils deviennent angoissés à leur tour, et je culpabilise de leur transmettre ça. Ça serait tellement plus simple si tout allait bien.

Oui, c'est sûr  
Les changements psy prennent du temps, faut persévérer.

 
Je ne lâche pas pour le moment, j'ai rdv chez une psychiatre dans une dizaine de jours. Je tente l'hypnose et je continue à voir la psychologue.

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J’ai connu quelques tabous avec mes parents, pour des choses sans grande importance au final. Mais à chaque fois j’imaginais pire que ce qu’il en était réellement. Je trouve que la vérité est toujours préférable donc j’essaye d’appliquer cela avec mes enfants.