Reprise du message précédent :
La y'a quelques pistes :
https://www.la-croix.com/Religion/C [...] 1200888650

Pour le rituel des fleurs ,c'est plus un rituel pour faire monter l'ame (mais ça revient un peu au meme ) il faut une photo (je crois qu'elle préférait l'argentique , un marqueur + puissant apparemment qu'une photo imprimé ), une bougie blanche , et des fleurs coupées non empoté  ... l'explication donné , l'odeur de la fleur attire l'ame ,ensuite elle voit la bougie et se laisse porté par les parfum de la fleur ... l'idée est sympa ...  J'avais lu autre part que la photo pouvait servir de "balise" .

J'ai retrouvé les explications video pour les fleurs ,mais les videos sont un peu violente pour une (theme du suicide) , je les mp si souhaité .

Je vais regarder ça, merci

 
Le moment que l'on craignait est arrivé. Mon père opéré une première fois en 2004 (+chimio+rayons), à fait une rechute en 2017. Il a été opéré de nouveau (+chimio) mais encore une fois sans exérèse complete. Cet été l'IRM a montré une progression de la tumeur malgré la chimio qui n'est plus efficace. Il est hospitalisé depuis quelques jours et il sombre petit à petit.
On le pensait guérit car même pour les specialistes en 2016 le fait que l'IRM ne montre pas d’évolution signifiait pour eux une rémission. 1 an plus tard c’était la douche froide.
Cependant il a pu vivre encore 15 ans , voir ces enfants et ses petits enfants grandir, malgré les troubles (du comportement, physique) lié à l’opération et à la tonne de médicaments qu'il ingurgitait chaque jours. Je pense qu'il à eu de la chance et nous aussi mais aujourdhui la maladie aura raison de lui.

Pense à toutes ces années gagnées et savoure les encore et encore
Courage.

Bon courage pour la suite.

Bon courage pour la suite.

18 mois après le diagnostic, ma mère vient de passer en sédation profonde. Elle s'est battue jusqu'au bout. J'ai envie de tout casser...

je regrette pour ma mére qu'elle ne fut pas mise en sédation profonde.
courage.

 
 
Mon père est décédé il y a 28 jours, un mois après avoir commencé les rayon pour les métastases au cerveau.
 
Il parait que le temps aide à faire passer la peine, mais là j'ai pas l'impression d'aller mieux

Condoléances pour ton papa  
Le temps aide, mais ça peut être très long
Perso après le décès de ma maman, je suis restée dans le flou pendant plus de 18 mois, à errer entre tristesse et déni.
 
A l'échelle d'une vie, 28 jours c'était hier, et encore...
 
Courage dans ce processus difficile.
Tu as de la famille proche, des frères, soeurs ?

merci, j'ai un frère on en a pas encore vraiment parlé depuis, même si on a discuté.

hier j'avais une séance avec ma psy c'était encore super difficile d'en parler.

je sais que 28 jours c'est rien dans une vie, mais là cumulé avec le confinement et le reste c'est vraiment trop dur, je ne sais pas si j'arriverai à passer le cap

Ça fait 6 mois dans 2 jours pour ma mère. J'y pense tous les jours au lieu d'y penser toute la journée.
J'ai pas l'impression de passer le cap.

28 jours, j'étais un zombie. Je suppose que c'est 'normal'

Je l'ai dit dans un autre topic récemment, mais après le décès de ma mère, j'ai consulté une psychologue qui m'a dit une chose très juste :
"Il y a un club pour les personnes qui ont vécu un décès
Et dans ce club, il y a encore un autre club pour ceux qui ont perdu un proche d'un cancer"
 
Et je trouve ça vraiment très juste
Chaque deuil est bien sûr différent. J'ai perdu mon père il y a une quinzaine d'années, et je n'ai pas connu à l'époque ce que j'ai vécu avec ma mère. Question de relations, d'entente, etc
Donc moi qui avait pourtant déjà perdu mon père, je n'aurais jamais imaginé que ça pouvait être si dur un deuil. Le deuil que je vis pour ma mère, je ne l'aurais jamais imaginé. Cette solitude, cette errance, cette lame de fond de tristesse.
 
Et puis se superpose par dessus la mort des suites d'un cancer
Cette épée de Damoclès liée à la maladie, puis cette perte qui peut être fulgurante
Comment faire face à cela ? C'est vertigineux
C'est pour ça que je me retrouve vraiment dans cette phrase de la psy
 
La perte de ma mère m'a changée à jamais
ça fera trois ans dans 15j, et je pleure pour écrire ce message
Mais je vais mieux. Je ne suis juste plus la même
 
Courage à toi et à tous

vous lire me rassure pas vraiment.
 
j'avais l'impression d'être mieux il y a deux semaines alors que là ca va beaucoup moins bien et je vois pas comment ni pourquoi ca irait mieux

Désolée c'est pas le but  
Après les descentes et remontées sont "normales"
Est ce que tu as entendu parler des 5 étapes du deuil ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Deuil

oui, c'est une des première choses que j'ai cherché en rentrant chez moi après la crémation de mon père, mais j'ai rien trouvé de bien à lire en termes simples, c'est toujours un peu trop tordu pour moi dans l'écriture

Je ne cherche pas à te rassurer mais à t'indiquer que c'est 'dans la normalité'.

Au bout d'un mois j'étais le nez dans l'administratif, je n'allais me coucher qu'une fois épuisé, vers 3h du mat, pour dormir sans réfléchir.
Je menais 20 projets en même temps pour m'occuper le cerveau.
Ne pas penser, ne pas réfléchir.

Et puis régulièrement tu te prends une claque émotionnelle qui te renvoie à ta situation.

Et tu vois que tu gères que dalle...

Faut pas penser, vivre au jour le jour...

En tout cas, c'est ce que je fais. Je ne suis pas assez fort pour gérer les souvenirs pour le moment...

 
Le temps permet de vivre avec la cicatrice mais elle n’efface jamais la peine, la douleur peut revenir n’importe quand, et parfois violemment.
 
Pour moi ce qui est difficile c’est d’écouter des gens de mon âge parler de leur père, en bien ou en mal d’ailleurs, avec insouciance. Ça me fout profondément mal à l’aise. Parfois ils s’étonnent même que je ne compatis pas à leur petit problème ridicule, et j’ai pas envi d’expliquer pourquoi.
 

ca va mieux, même si il y a des jours ou c'est plus difficile que d'autres.
j'accepte de vivre avec cette tristesse et à l'accepter, car, ca veut aussi dire vivre avec les bons souvenirs et les moments joyeux.

il y a quelques jours j'ai révé que j'essayais de prendre rdv pour ma mére pour le vaccin, j'avais peur de l'oublier.
quand je me réveille je me rend compte qu'elle est plus la, ca va faire 2 ans maintenant.
 
mais le plus dur ce qui fait rappeler l'époque ou elle était trés  malade j'avais un tel avec une sonnerie particulière, chaque fois j'entend cette sonnerie j'ai une sensation d'effroi, reflexe pavlovien.
 
a titre perso je n'ai pas eu ces 5 étapes du deuil, la maladie fait qu'on est préparé, une forte tristesse au moment de la mort, et derriere des remontées de tristesse, nostalgies, tristesse, mais plutôt désolé pour le défunt , et les regrets de ne plus partager.

Pareil pour moi  

Bonjour, je n' avais jamais posté sur ce topic ,juste un peu lurké.
Ça va faire 4 ans dans quelques jours que mon père est mort d un cancer et je pense que je suis toujours dans une forme de déni. Je n' ai pas arrêté de bosser de quelque manière que ce soit : pro, refaire tout dans la maison , le jardin bref pour éviter d avoir du temps de cerveau libre. Je me dis que grâce à ça j' ai "pu gérer" mais maintenant que j' ai plus de temps ou moins de pêche pour faire tout ça ce sont les questionnements voire la culpabilité: j aurai du être plus près de lui, lui dire plus que je l aimais ,faire différemment,etc.
Il y a des moments où je me dis d être moins " juge" avec moi même , que j' ai fait comme j ai pu eû égard aux circonstances et que même si j ai fait des erreurs ( ou pas) il est inutile de me prendre le chou car cela ne sert à rien mais entre la théorie et la pratique...

Des fois j ai l' impression que je suis en paix, des fois ça me bouffe...
Je pense que chaque situation est particuliere et ne pas hésiter à se faire aider, au moins pour parler. La parole est libératrice souvent.
Courage à ceux qui ont été, sont ou seront touchés.

Moi ce qui me donne toujours la boule au ventre, c'est la longue phase de soins palliatif, en dent de scie, sur le coup on se rend pas compte qu'on laisse un proche délibérément mourrir, alors que l'issue de toute manière est inéluctable. Mon père à souffert de sa maladie  mais à du souffrir encore en soins palliatif, car il ne pouvait plus s'alimenter, se déplacera ...quand j'y repense...fiou...

En général ils font ce qu ils peuvent.. Tout dépend du temps restant, le mien ça a duré 8 jours, je pense qu il .etait inconscient mais comme on sait pas si ils entendent, comprennent, je pense que si la douleur physique est gérée...En revanche leur angoisse face à la mort, je me demande si on peut apporter une aide quelconque.Bref, il faudrait se dire que ça ne sert a rien de se rendre malade en se posant des questions pour lesquelles on a pas de réponses mais tellement plus facile à dire...qu à faire.Bon courage à toi car même si le temps passe il y a toujours des choses qui reviennent. J essaie surtout de me dire qu il a eu de bons et beaux moments et que c est à  cela qu'il.a pensé sur la fin.

Bonjour,  
 
un témoignage un peu différents des derniers...
 
Ma mère vient d'apprendre qu'elle est atteinte d'un cancer, situé dans les ovaires, de ce que j'ai compris ils ne savent pas exactement la localisation et l'étendue pour le moment. Elle va bientôt commencer un protocole de chimio. La semaine dernière elle a fait en outre une embolie pulmonaire dont on ne connait pas encore l'origine, donc on ne sait pas si c'est lié au cancer ou non.
 
Mais bon, sa santé n'est clairement pas top et les médecins de ce que j'ai compris se montrent très réservés.
 
J'ai une relation très distante avec ma mère, même si on est toujours en contact (je l'appelle grosso modo tous les 3 mois, et vais la voir une fois ou 2 quand elle est de retour dans le coin pendant 4/5 mois, car elle vit à l'étranger le reste de l'année).  
 
Du coup je suis perturbée par mon absence de compassion/réaction. Disons que ça me fait le même effet que si un ami me disait que sa mère a un cancer "Oh merde, c'est triste, j'espère que ça va aller" et on passe à autre chose.
 
J'étais avec des amis quand j'ai appris son cancer, ils allaient tous de leur petite phrase de circonstance, selon leur propre vécu. Une amie qui a perdu son père brutalement me disait qu'au moins j'aurais le temps de lui dire les choses.
Ben ça m'a beaucoup perturbée parce que j'ai rien à dire à ma mère.
Je ne sais pas quoi lui dire quand je l'ai au téléphone à part les banalités d'usage : bon courage, essaie de garder le moral, prends soin de toi...
 
J'essaie de réfléchir à tout ça, d'introspecter un peu (est ce que je me protège en mettant une distance etc), mais rien ne vient. Ca me donne l'impression d'être sans coeur, ce qui ne me ressemble guère.
 
Bref, on va voir comment tout cela évolue, j'espère bien entendu qu'elle va s'en remettre, mais si ça devait se dégrader ? Je ne sais pas trop comment gérer cette absence d'émotion.

Drapeau, mon papa est mort en 1987, cancer à l’estomac foudroyant, j’avais 7 ans.
J’y pense très souvent.

Quand on est jeune on est pas préparé , on est un enfant , on ne peut comprendre , on est dans le purement émotif/affectif et c est normal..Je pense que maintenant pour des drames de ce genre on se tourne plus facilement vers un thérapeute, ça ne fait pas revenir l'être perdu mais aprrendre a essayer de vivre avec cette perte et d'essayer de ne pas trainer des drames, trauma, angoisses toute la vie.

de mon point vue ce n'est pas forcement, de dire des choses mais d'accompagner le malade.
pose toi plutôt la question de quoi il a besoin, et surtout quand il en a vraiment besoin.

4 ans  

Ma mère est morte dimanche, cancer du pancréas, ça a duré 18 mois, 69 ans .

Elle est partie sans aucune douleur, en sédation profonde. Ce fut un moment extraordinaire et forcément inoubliable, sans doute le moment le plus fort de ma vie. Depuis plusieurs nuits mes soeurs dormaient à l'hôpital avec elle et cette nuit là j'étais arrivé de Paris et c'était mon tour. Donc une de mes sœurs et moi sommes restées dans sa chambre. Sa respiration était profonde mais sonore (comme encombrée de glaires). Durant la nuit vers 2h, j'étais sans doute en hypervigilance mais à un moment je n'ai plus entendu sa respiration. Je me suis levé d'un bond ce qui a réveillé ma soeur et nous nous sommes regardés en comprenant que c'était la fin. J'ai voulu appeler l'infirmière, ma sœur m'a dit attend. Nous lui avons pris chacun une main et ma sœur lui a dit qu'elle pouvait partir, que ça allait aller pour nous, qu'on l'aimait fort et qu'on continuera d'être heureux pour elle. Elle a eu quelques respirations hachées et ça s'est arrêté. C'est à la fois un moment que j'aurais souhaité ne jamais vivre mais paradoxalement, un des plus beaux moments de ma vie. Dans la nuit qui a suivi nous avons appelé mon autre soeur et mon père qui sont venus et nous l'avons veillé jusqu'au petit matin, tous ensemble autour d'elle. Là encore, un moment qui a été beau et que je n'oublierai jamais.

Dans son malheur, elle n'avait jamais passé une nuit à l'hôpital jusqu'à la fin. Elle y est rentrée le 30 mai et n'y est plus sorti. Ce qui est beau, c'est que ma sœur avait décidé de se marier il y a environ un an (sachant déjà ma mère malade). La date du 27 mai 2023 paraissait très loin et on ne savait pas si ma mère serait en mesure d'être présente. Ma sœur n'arrêtant pas d'hésiter à modifier la date ou carrément annuler. Finalement elle a laissé tel quel et ma mère a pu se rendre au mariage, difficilement (elle ne pouvait plus marcher seule à cause de sa faiblesse mais aussi des œdèmes dans les jambes) et ça a été une magnifique journée où elle a vu toute la famille, elle a ri, elle a vraiment profité à fond et on s'en est rendus compte après coup, la dernière journée où elle a été totalement éveillée à son environnement du début à la fin. Dès le lendemain elle a décliné et ne faisait presque plus que dormir mais, plus grave, elle ne parvenait plus à manger quoi que ce soit, rien ne passait donc c'était un cercle vicieux parce que d'un côté elle s'affaiblissait et de l'autre on lui donnait des traitements pour calmer la douleur de plus en plus fort qui la sédatait énormément. On pense donc qu'inconsciemment elle a tenu le coup jusqu'au mariage et une fois passé, un barrage s'est ouvert en elle et elle s'est laissée aller, prenant le repos dont elle avait tellement besoin.

On l'a fait rentrer à l'hôpital le mardi 30 mai et moins de deux semaines plus tard elle nous quittait. Tout a été progressif donc nous avons d'une certaine manière eu le temps de nous y préparer, j'imaginais les crises de larme, le déni mais bizarrement mes soeurs, mon père et moi avons été très sereins dans l'épreuve (avec évidemment beaucoup de tristesse). Mais c'est sûr que depuis lundi tout me semble totalement irréel. J'ai l'impression de ne pas vraiment réaliser, d'autant plus que nous sommes assez occupés avec les préparations des funérailles et de tout ce qui va autour (buffet pour la famille, visite au funérarium etc...). Je découvre d'ailleurs tout ce processus absolument harassant de préparatifs (hier nous avons eu une réunion d'une heure pour préparer la cérémonie à l'église, nous avons passé trois après midi complètes au funérarium pour accueillir la famille et bien sûr être auprès d'elle, d'ailleurs hommage au personnel des pompes funèbres qui ont fait un travail remarquable et ont effacé toute trace de maladie de son visage, elle était superbe bien qu'amaigrie, on aurait cru voir une princesse attendant son prince).

J'appréhende la suite, le retour à la vie "normale" où elle ne sera plus là. Surtout j'appréhende beaucoup le quotidien pour mon père, qui se retrouve seul à 72 ans après 50 ans de mariage, je ne sais pas comment ça va se passer pour lui, j'habite malheureusement à 600km donc je ne pourrai pas venir le voir souvent. Mes sœurs elles, seront là donc pourront venir plus régulièrement. Pour l'instant il est fort, il nous répète "la vie continue" mais les journées sont longues pour un retraité seul dans une grande maison .

Les proches de victimes de cancer c'est vraiment double peine, parce que ça fait 18 mois que j'ai un nœud au ventre avec cette ombre qui plane au dessus de tout et les mauvaises nouvelles qui viennent vous flinguer le moral régulièrement. Dès le mois de février on savait la fin proche car son oncologue avait décidé d'arrêter les chimio qui ne donnaient pas de résultats concluants et qui affaiblissaient ma mère plus qu'autre chose. Et après une question de mon père (qui avait appelé le docteur sans qu'elle le sache), il nous avait dit qu'elle en avait pour 4 à 6 mois (et au final ça a été 4 ). Elle, elle vivait dans la déni, espérant sans cesse un remède miracle, parlant toujours comme si elle allait s'en sortir, on ne la contredisait pas, on aurait aimé y croire avec elle mais bien sûr on était pleinement conscients de la réalité de cette affreuse maladie (la nuit où elle est morte, dans le même service trois autres patients sont morts de cancer, tous plus jeunes...).

Bref désolé pour le pavé, ça fait du bien d'en parler.

.
ne sois pas désolé, du moment que ça fait du bien, c'est l'essentiel.
 

Tres beau témoignage Art Core, tu n'as pas etre désolé, ce topic est fait pour ca . C'est plus facile d'exprimer par ecrit ce que l'on ressent dans ces moments là. Ton histoire raisonne en moi car j'ai vécu la fin de vie de mon pere un peu de la meme maniere.  
Le plus dur effectivement peut etre l'apres, pour ma mere, on a de la chance car elle est tres dynamique, sociable et débrouillarde donc on ne s'inquiete pas trop meme si elle souffre tout de meme de la sollitude.
Avec mon frère on essaye de la voir le plus souvent possible (on est à 1h de route) et de lui confier nos enfants pendant les vacances ou weekend pour chambouler égayer son quotidien  

Art Core je te souhaite du courage pour cette épreuve    
 
Et ton récit m'a fait pleurer. Il est bouleversant, et si touchant par votre accompagnement pour votre maman    
 
Et oui épreuve difficile dans une vie que de perdre un être cher et comme tu nous dis : complètement irréel !
 
Courage pour toi et les tiens,

Killing cancer with a breakthrough therapy | 60 Minutes Full Episodes
https://www.youtube.com/watch?v=FEA6BQARqE8
 
 

Stress/Cancer

 
https://www.huffingtonpost.fr/scien [...] wtab-fr-fr
 
   plutot que    du coup