Reprise du message précédent :
Ouais, je parle sans réfléchir et sans pouvoir juger de la situation.
C'est juste basé sur des conclusions persos.
A part les proches et ceux qui partagent ou ont partagé le même soucis, je n'en parle jamais.
 
A vrai dire, ce n'est pas difficile tant j'ai l'impression que c'est un passé révolu. Peut-être à tort d'ailleurs, je m'en fais souvent la réflexion  
Ca serait comme me faire de la mauvaise publicité volontairement.

bienvenue romz et comme l'a dit le sac de papier, tu as déjà fait un énorme pas qui est de reconnaître le pbm et de bosser dessus

En rentrant de chez mes parents, je suis passé dans une supérette à côté de chez eux et j'ai reconnu un ancien camarade de classe qui était avec moi en 6eme. C'etait du genre grosse gueule mais je l'aimais bien. On s'est ignoré. Le mec avait le visage rouge, des grosses poches sous les yeux de fumeur de joint.Je lui donnais facilement 42 ans or qu'on en a 35. (on le dis souvent que j'ai 28). À la caisse le mec a sorti de son panier 3 bouteilles de rouge et un cubi.
Ça m'a fait un peu bizarre.

Bon demain matin un VSL viens me chercher à 7h45 et je me tire en cure 3 semaines. I will be back..

Bon courage monsieur Danslos  
 
Quelque soit le résultat, ça te fera du bien de faire un gros break.
Une fois en place envisage peut-être une post-cure à la suite, bien que ça soit difficile en 3 semaines de débloquer une place et puis il faut être soi-même disponible.
En tout cas, il faut penser d'avance à la sortie et aux choses à mettre en place, aux habitudes à changer, au suivi éventuel, ne pas attendre le dernier moment et risquer de se retrouver désemparé.
 
Je met un peu le char avant les boeufs, mais c'est très important

Bon me voila à J+5 abstinent.
Traitement: Tranxen + aotal + vit B1 B6 + imovan
 
Ils m'ont fait passer tous les bilan: echo abdominal, scanner, neuro, pneumo, panoramique dentaire, kiné, ruhmato, cardiologue, examen de l'oesophage sous anesthésie géneral, ORL etc.
 
Tension, constantes + ethylotest tous les matins.
 
Semaine prochaine place aux atelier, sport, jeux de mémoire type times up, rencontre d'association, atelier divers.
 
Vraiment top comme prise en charge. Y'a en plus un effet thérapie de groupe qui encourage, on s'est même beaucoup marrer tous ensemble.
 
Je ferai pas de post cure (trop compliqué d'un point de vue familiale mais un soutient à la sortit du sevrage 2j/semaine pendant un mois.

T'as l'air d'être dans une bonne dynamique, apparemment tu as bien choisi la structure
Bah écoute, suis le mouvement

Un petit coucou en passant, juste pour dire que ~42 mois sans alcool, tout se passe plutôt bien

As-tu trouvé la réponse à la grande question sur la vie, l'univers et le reste, en ce laps de temps symbolique ?

Renaud mon idole depuis ado est passé par cette structure près de chez moi a l'automne. Je l'ai interpreté comme un signe. Vivement demain de repartir pour la semaine 2, le 1er week-end est long dehors quand meme.
La bas y a un mec qui entame sa 2eme cure car il buvait de la biere sans alcool (alors qu'il y a au moins 1°) a longueur de journée. Il a fait une gastrite et hepatite alcolique.

Ouais, il y a pas mal de bières sans alcool qui en contiennent
La législation française est assez trompeuse sur la question, elles doivent contenir "moins de 1,2° d'alcool" pour avoir cette étiquette. Pour certains, c'est déjà trop, ça suffit à rallumer la chaudière et le craving ou entretenir, voire aggraver des problèmes physiologiques déjà développés.
Il faut bien lire l'écriture en tout petit

La Buckler, par exemple est à 1,2% et c'est pourtant une des plus connues, mais il y a des fabricants qui produisent réellement du 0%

J'ai jamais trop compris l'intérêt des bières sans alcool.

J'étais y'a quelques temps chez des "amis" qui avait invité un ami abstinant.
Il lui avait acheté de la bière sans alcool.

Moi aussi j'étais abstinant mais je ne le dis. Je prend juste un truc sans alcool quand on me propose.

Bravo XaT.
Je suis tes pas depuis plus d'un an et demi.

Yes ! Mais je ne la communique qu'avec les gens abstinent depuis mini 36 mois

GG

Sinon je déménage pas loin d'où j'ai fait mes études.
Ça fait bizarre de passer à côté de bar où j'enquillais les demis.

Pas des bars genre étudiant festif, mais plutot du genre bar tabac pmu pochtron.

La bonne époque. J'ai des envies d'y retourner mais je ne le ferais pas.

Perso je traîne toujours dans les bars, je bois pas mal de ginger beer et quelques fois des HK 0.0 (les autrs binouzes sans alcool sont immondes ou sont à ~1°). J'ai aussi testé un sirop de crystal, un faux pastis sans alcool dans un resto corse
Je me suis fait récemment enfermé dans un bar après la fermeture, comme à la bonne époque  
Avec la cave clandestine où ça bédave, arrosée de takin (vin blanc, eau de vie de prune si j'ai bien suivi)

Détruire un meuble quand on a une gueule de bois, c'est le comble du menuisier ?
 
Tu n'as toujours pas trouvé un moyen ou la disponibilité nécessaire pour te détendre au quotidien, relâcher de la pression au fur et à mesure au lieu de l'accumuler jusqu'au point de rupture ?
Car à te lire, c'est un peu le nerf de la guerre. On se dit que si tu arrivais à gérer ce problème, ça éliminerait en grande partie le risque de chercher la détente dans l'alcoolisation, qui entraîne fatalement un regain de tension au rebond.
C'est toujours en deux mouvements : anxiolytique/anxiogène, euphorie/déprime, excitation/abattement, détente/stress, etc...

Bah voilà, tu l'illustres de toi-même

De retour..avec un pseudo bis (changement d´email au bureau, impossible de recup le mdp)
 
Encore un weekend à merder
 
De retour aussi de chez le medecin et prise de sang pour vérifier le foie, je flippe...J´hésite à aller au labo maintenant ou attendre de me refaire physiquement qq jours..

Un we de 48 h ou de 3-4 jours ?
 
Faut vraiment que tu arrives à désamorcer ce mécanisme car absorber en quelques jours tout ce que tu as réussi à ne pas boire pendant plusieurs semaines/mois, c'est épuisant et dangereux à la longue.
C'est ton cerveau qui réclame, il essaye de rattraper tout le retard d'un coup

 
Un weekend de 5 jours    
 
Il faut vraiment que je reussisse à casser ce cycle. Il n´y avait pas de signes précurseurs,mis à part cette échéance débile du 3 sem/1 mois ancré dans mon cerveau. C´est vraiment un comportement/dépendance psychologique à ce stade et difficile à enrayer malgré toute la volonté du monde.  
 
Dommage que Vlad ne soit plus des notres, il aurait pu me conseiller sur une infusion/molécule/marque de chewing gum pour reprogrammer mon cerveau  

La meilleure molécule / infusion tout ske tu veux c'est de passer 3 jours à en chier et après essayer de tenir.

Perso les sevrages deviennent des tortures, j'ai plus de nuit correcte, je tremble (mais tout le corps), je déprime à mort.

J'alterne abstinence de quelques jours, 5 - 8, et après je repars, c'est terrible.

Ma conso la c'est 30+/ jour

à ce niveau j'en connais un qui tiendra pas longtemps.....

Les matins sont devenus une horreur à vivre, si j'ai pas bu 5 verres je peux rien faire... Ou alors me blinder de benzos.

Je réfléchis à une hospitalisation à vrai dire, mais ça implique d'engager ma famille la dedans.

Mon dernier arret de travail était clair : "dépression"

Et j'ai bossé quand même...

Je croyais être bien reparti pfffffff je suis mort. Ma vie est une succession d'erreurs et la frustration engendrée me fait boire des quantités qui sont à la limite du croyable... Hier 1,5L de vodka

 
Hello l'ami, cure et post-cure ; ça ne te fera que du bien. Tu ne vas pas tenir longtemps comme ça...

 
J´ai passé le cap des 3 jours à en chier de facon brutale, tremblement de tout le corps, aucune force, déprime violente, visage rouge (levres brulées même), anxiété de fou, champs de vision retreci et flou, yeux qui brulent, cho/froid, transpiration, insomnie, ne pas me reconnaitre dans un miroir, etc. Le tout sans benzos et sans recraquer. Mais je pense que tu connais les symptômes    
 
Ce cap de descente est passé, quand je parlais de molécule à la Vlad c´était plutôt pour casser la dépendance psychologique. C´est pas la première fois que je traverse une descente/sevrage quasi mortelle mais jsuis tellement con que 3/4 semaines après je retombe dans le baril par erreur    
 
Geo, je pense que tu n´as vraiment pas le choix. Avec ces doses la tu vas crever plus vite que tu ne le penses. Et tu le sais. Pour vivre la même chose, fréquence différente, l´impact sur le corps est vraiment violent. Envisages serieusement une hospitalisation/post-cure pour te sortir de cette merde. 1,5L de vodka t´es déja rendu très loin et t´as pas le choix faut arrêter et te faire aider sérieusement.
 

c'est con mais ça fait du "bien" de lire ça

 
J'en ai tapé des sevrages aussi, le dernier était terrible (plus de benzo donc au lit à crever pendant 4 jours). Je tiens jamais 3/4 semaines par contre.  
 
Je me doute qu'à ce rythme je m'explose, à l'heure ou je vous parle j'ai déjà 25U dans la tronche et je vais devoir en remettre un peu ce soir... je suis au taf en vélo sous la pluie tout à fait normalement.  
 
Bref.  
 
Je vais me prendre quelques jours et taper un vrai sevrage et m'y tenir. Mon toubib est au courant depuis longtemps, je vais en profiter pour arrêter les benzos aussi (mais après, sinon trop risqué).  
 
 
 

Franchement pour être passé par tout ce que je lis ici pour moi il y'a que le sevrage dans une unité spécialisé en addicto qui peut marcher. Déjà il gère très bien le sevrage sur 7 jours avec un traitement parfaitement adapté plus perfusion. Mais la n'est pas le plus important, y'a un effet de groupe entraînant, on partage beaucoup, se nourrit de bcp d’expérience et on se marre bien aussi, puis y'a des atelier super intéressant et beaucoup de bienveillance de la part du personnel. Et la bas (je pense à Marro) on prend du temps pour soi et rien que pour soi.
 
Y'a le check-up complet qui fait flipper mais si y'a une merde autant le savoir au plus vite. Pour le moment RAS pour moi, il me reste plus que la gastroscopie qui peut voir les varices de l'œsophage (signe de cirrhose) et les dégâts sur l'estomac.
 
Moi je suis en ambulatoire 3 semaines sauf férié et week-end, dernier verre y'a 11 jours. Ensuite 4 semaine de soutien dans la même unité 2 jours et demi par semaine, alors certes au final ca fait 8 semaine d’arrêt maladie, une organisation familiale pas toujours simple...  
 
Mais j'ai un et un seul regret c'est que pas un médecin généraliste m'est pas dirigé bien avant dans ce genre de structure (alors que je suis à >1000 GGT, transminase > 100 depuis des années).  
 
Alors ne perdez pas de temps.. 1L5 de Vodka c'est considérable, dans le groupe y'en a qui ont tourné a 1L de pastis, c'est cirrohse (au mieux asymptomatique, c'est a dire sans symptôme extérieur ou douleur), dégât neuro irréversible, ils marchent à 1km/h à fond. Style on a fait un times up (exercice pour évaluer la mémoire), un enfant 6 ans les défoncent tranquille.
 
Sachez aussi qu'il existe un médicament en dernier recours qui rend allergique à l'alcool, un verre et vous devenez tout rouge, cœur à 200 => Urgence direct. Tous ceux qu'ils le prennent sont resté abstinent.

 
Je suis passé de 20 clopes à 0 juste en changeant de taf, mais l'alcool c'est pas vraiment pareil....

Hier je me doute bien qu'à ce rythme ya tout qui prend cher. J'arrive à faire une pause de quelques jours de temps en temps c'est déjà ça.
Mes dernières analyses étaient loin de ce que tu annonces, j'étais dans les clou sur tous les marqueurs de l'alcoolisme. J'ai une ordo pour en refaire.

Mais je suis d'accord avec le fait qu'il faut envisager un sevrage à l'hopital car ça devient terrible. J'avais jamais tremblé jusqu'à il y a peu et maintenant c'est tout mon corps qui tremble.

L'avantage c'est que je mange bien, j'adore cuisiner, j'ai des réflexes dans la vie quotidienne qui sont healthy. (25km de vélo par jour, j'essaye de dormir bien quand la transpiration ou le manque ne me réveillent pas, je fais une cure de vitamine, citron le matin, chardon marie, je suis sous esomeprazole pour "protéger" mon estomac dans que je bois).

En fait faudrait vraiment que j'arrive à planifier une semaine de congés + hospitalisation.

Et dire qu'il y a 3 semaines j'étais sevré pffffff

Par contre si tu parles de l'esperal plus aucun médecin censé n'en prescrit. C'est un médoc qui tue.

 
Vrai, dans certains cas. Et je pense Geo que tu es dans cette catégorie. Non pas que je ne crois pas en ta capacité de rebondir seul, bien au contraire. Mais plutôt au vu des doses très elevées et d´un combo/addiction benzos (déja parlé de ce sujet il y a qq pages pour avoir un peu d xp familiale la dessus…).
 
 
Tout seul tu vas en chier. Tu vas refaire un sevrage à la dur avec ou sans seresta/valium (qui ne regle pas ton pb benzo   ). Et tu vas réussir.  
Comme tu le dis toi même benzo dans un second temps. Sauf que lors du sevrage benzo qui est bien hard tu penses que ton cerveau va réclamer quoi pour moins souffrir/compenser?    L´alcool simple c´est déja dur seul mais le combo c´est injouable à gérer. J´ai suivi mon frerot pendant 10 ans pour le même problème, même mode de conso, mêmes doses.  
 
 
Et le seul déclic a été une vraie hospitalisation/cure de 4 semaines, pour régler les 2 problèmes. Et depuis 7 mois il est clean, aucune rechute, aucun médocs et la vie est belle.
 
Après comme toujours c´est ta décision, ton déclic, blabla mais vu de loin je ne pense pas que ce soit une mauvaise solution. My 2 cents.
 
Et d´ailleurs je suis aussi preneur de feedback, solution, coup de pieds dans le cul par rapport à mon problème. Ca fait toujours du bien    
 
Allez courage tu vas t´en sortir    
 
 
 
 
 
 

Pas vu ta réponse le temps que je tape mon long message mais je pense qu´on est aligné

J'ai commencé à intégrer qu'une hospitalisation est nécessaire.

J'ai baissé les benzo, je suis à 2/4 de lexo par jour là. Ma meuf est du métier (elle vend des médocs ) elle me dit qu'à ce stade je vais pas prendre très cher. Et pourtant dès que j'arrête ça décolle, je peux plus sortir de chez moi tellement je suis en PLS.

Je suis sous sertraline 100 aussi, qui de toute façon ne sert à rien tant que je bois.

m'enfin si ya 2 semaines j'ai réussi à me sevrer (8 jours off, donc plus de répercutions physiques et rien) j'y arriverai encore. Je suis bien entouré (belle famille composée de toubib, pharmacien etc). Et ils savent tout

Faudrait qu'on me laisse en paix quelques mois niveau mauvaises nouvelles.

Pour tout vous dire, on a défoncé ma voiture dans ma rue alors que j'étais tout le weekend chez ma copine. Voiture qu'on m'a déjà défoncé ya pas 1 an et qui est presque neuve. Ca coute une blinde. Mais en dehors de ça, ça m'a fait recraquer. Avoir un carrefour à 40m c'est vraiment un facteur, il faudrait que je déménage maintenant que je vis seul.

M'enfin, je vais aller voir un psy, revoir l'addicto, remettre en route des choses, pke j'arrive à la limite de ce que je peux supporter (et dieu sait que je peux supporter...)

Niveau benzo, même si j'en ai pris sur une longue durée (1 an) avec 2 mois de pause, je suis vraiment pas trop dedans.  
 
Je les prends à la demande quand le manque d'alcool se fait trop difficile.  
Là je pense demander du valium pour quelques jours et me sevrer des benzo. Mon toubib m'a parlé du baclofène \o/ je vais dire oui aussi mais ils sont limite à 80mg...
 
Bon bref, to be continued, comme dit mon médecin "c'est 3 jours à passer", mais 3 jours pires que tout

 
3 jours ca passe vite qu´ils disent   Quand les minutes paraissent des heures ca fait quand même 180 jours    
 
Tu m´as l´air plutôt bien entouré, avec des proches au courant, lucide sur ta situation et avec pas mal d´experiences d´arrêt/rechutes. Donc pas forcément inquiet tu vas t´en sortir avec la bonne méthode, le bon déclic.  
 
Le cheminement vers l´arrêt prend un temps fou, je tatonne aussi depuis quelques temps, et l´évolution de la maladie (j´emploi peu ce terme mais peut avoir du sens dans certains cas..) suit en général une évolution qui est assez standardisé au final. Et on va dire que tu es au stade 3/4   (je suis à 2,5   )
 
Bref, tout ca pour dire que tu peux encore réussir à t´en sortir avec une aide familiale/pote/volonté mais note régulierement sur un cahier comment tu percois l´evolution de ta dépendance (depuis le début, avec doses mais surtout conséquences physiques, sociales, pro, justice, famille, le truc habituel) et si tu vois que ca part vraiment en couille, hosto/cure.  
 
Faut être fort avec ce bordel, la caractéristique de notre maladie/problème/abus est qu´il faut bien savoir s´autodiagnostiquer et déclencher le bouton au bon moment. C´est plus facile que quand le bouton est declenché par les proches...
 
 
   

 
Si toujours, y'en une dans mon groupe on lui en a prescrit, elle l'a arrêté 5j en prevision de boire 2 coupes de champ a un repas, elle a finit aux urgences. Le médicament agissant environ 7 jours. Par contre il prescrit évidement sous contrôle médical très strict. Ton foie doit être bien jeune pour être encore dans les clous niveau analyse, mais quand la machine s'emballe ça va vite attention.
 
Après j'entend bcp parlé de volonté, mais la dépendance à l'alcool est une maladie faut se soigner point. La volonté a son rôle mais après plusieurs mois de sevrage. Comme un cancer toute la volonté du monde ne peut rien ou peu.  
 
Attention aussi aux semaine je me la mets sévère, suivi de sevrage, ainsi de suite, c'est d'après le service addicto ou je suis encore plus destructeur pour l'organisme qu'un buveur 24/24 et plus difficile de devenir totalement abstinent.

Le mot volonté devrait-être proscrit ici, motivation c'est mieux.
 
40J sans, pas d'envie, et je me sens bien! je crois que je vais battre mon record...