Reprise du message précédent :
C'est toujours mieux que rien.

 
 Il doit être neuf    
 
Vends le à l'Brad'rie !  

Drapal.
J'ai une bizarre relation avec l'alcool. Déjà exit alcools forts, ça se limite aux bières et au vin. Je ne buvais pas jusqu'à l'âge de 20 ans. Ca a commencé par prendre un peu de vin rouge lors des fêtes, soirées, restaurants, etc.
Puis j'ai décidé de gouter aux bonnes bières belges, trappistes de préférence. C'était ma période de chômage...sans doute avais-je besoin d'oublier ? Dans les faits je tournais à 1 bière tout les deux jours, en mangeant. Je n'ai jamais aimé boire sans manger à côté. C'est toujours dans le cadre d'un repas que je bois.
 
Après avoir trouvé un boulot, de nouvelles connaissances, on a enchainé les soirées festives, et là j'ai accéléré ma consommation. Petit bras par rapport à certains témoignages, pendant 6 mois, je devais tourner à 1/2 bières par jour. Avec quelques rares fois, des pics...à 3/4/5, seul ou à plusieurs.
 
Puis je me suis calmé, j'ai restreint mes soirées festives , je suis repassé à 1 bière tout les deux jours (25 cl entre 6,7° et 9°le plus souvent, 33cl...parfois). Parfois ce ne sera pas du vin, mais tout les deux jours, je boirais 1 à 2 verres de vin rouge, au repas du soir.
 
Très important, je ne bois d'alcool pour boire de l'alcool. Pour moi il est indispensable que le produit soit de qualité. Si dans une soirée, les mecs (ou les nanas   ) se ramènent avec des kros/1664/destop ou vodka/rhum/alcools forts, je ne boirais pas. Le goût l'emporte chez moi, c'est pas la sensation d'ivresse que je recherche (même si c'est pas désagréable quand on ne force pas sur la dose), mais le désir renouvellé de bien manger et bien boire, avec l'ivresse des papilles gustatives mises en ébullition, pas celle de la tête.
 
Finalement, je suis un consommateur régulier, je constate que je ne bois quasiment jamais 2 jours d'affilée, sans raison consciente particulière. Il m'est arrivé de ne pas boire pendant 2 semaines (typiquement, les vacances, toujours prêt à conduire), ça ne m'a pas manqué. Par contre, au retour je salivais déjà au super repas avec le vin rouge kivabien. Mais je salivais, je ne fantasmais pas sur "me mettre ma race".
 
Alors suis-je un alcoolique, même si pas au même degré que l'alcoolique de base, qui fait son litre chaque jour ? Certainement, je ne suis pas dupe. Mais lire ce topic m'a été instructif pour tenir ma limite. Mon "alcoolisme" n'est pas destructeur, quand je bois je suis toujours plus gai (l'alcool triste, connais pas), mais je vais essayer de tenir une ligne de conduite. Déjà j'ai moins bu en moyenne en 2008 qu'en 2007 ou 2006. Il faut croire que ma période "festive" était une période d'exorcisation de la période précédente (un an de chômage).  
 
Donc être conscient de son état, s'il est satisfaisant, penser en permanence à le stabiliser pour ne pas s'enfoncer. Je bois moins qu'avant, peut-être trop, je ne sais pas. Mais ça ne me pose pas de problème particulier, d'autant que contrairement à une époque, je ne dépasse que très rarement 2*33 cl de bière...30 cl de vin rouge...et encore ce sont mes maximums, que je n'atteinds pas souvent, loin de là. Et de moins en moins souvent. Je me pose juste des questions par rapport à mon corps. En théorie, vaudrait mieux tout arrêter, mais je ne crois pas. Je préfère ma méthode douce, qui consiste, à boire de moins en moins sur le long terme.

 
T'as rien à faire ici en fait    

Ben je dois quand même correspondre à une certaine définition de l'alcoolique, non ? Après c'est certain je joue petit bras face à la concurrence qui carbure à 1 bouteille de vin par jour. Mais je ne dois pas minimiser mon comportement, amha.

si ça te pose aucun pb dans ta vie de tout les jours cherche pas de pb là où il y'en a pas hein
 
c'est pas parcque tu bois de temps à un autre un bon truc plaisir que tu es forcément alcoolique, ama tu es plus amateur que alcoolique  
 
tu es néanmoins conscient de la relation que tu entretiens au produit c'est bien  

Oui voilà. Mais comme j'ai expliqué, j'ai quand même eu une (petite) période alcoolique, j'avais un entretien le matin, la veille je n'aurais pas du boire. Pas pu m'en empêcher, et je devais pas être à 100% clean. Maintenant c'est impensable.

alcoolique alcoolique; une période où tu étais plus dépendant soit
 
ça arrive à tout l'monde hein
 
 
le véritable alcoolisme est une maladie; j'aime pas utilisé ce mot à outrance comme le font si bien les médias actuellement ..

Je vois. Dans les débuts du topic, y avait des réponses plus cinglantes, et plus sévères (du genre 1 verre de rouge par repas, t'es foutu, t'es alcoolique comme les autres). Je m'étais donc interrogé et composé ce foutu pavé.

 
+1
L'alcoolisme c'est une maladie qui crée une dépendance, tu te sens mal quand tu n'as pas d'alcool dans le sang, tu ne peux pas te passer de boire, tu fais des crises de manque si on t'empêche de boire (crises qui peuvent aller très loin).
Pour avoir vu et connu de vrais alcooliques, ceux qui tournent à 2L de gin par jour, ça n'a aucun rapport avec ce que tu décris Black Jack, ceux-là se foutent de la qualité, ce qui importe c'est d'être en permanence alcoolisé, s'ils n'avaient pas le choix ils boiraient leur eau de cologne ou une bouteille d'alcool à 90°.
 

après comme dit, il y a une échelle de mesure bien évidemment, mais tant que tu n'en souffre pas, constate que ça ne te pose pas de pb particulier
outre le fait d'aimer bien manger avec de bons alcools en quantités raisonnables, je ne vois vraiment pas où est le mal
 
mieux vaut être dépendant à ça plutôt qu'a autre chose, on est tous dépendant de qq chose de toute façon  

non mais +1000 quoi    
 

Désolé d'avoir été si ennuyeux

Tu te prends juste la tête pour rien.

 
y'a pas mort d'homme chérie

Ok alors

salut a tous ;je vais vous laisser un petit temoignage et repondra qui voudra,j'ai 31 ans et une relation tres forte avec l'alcool, tout a demarrévers les 15 ans ou j'ai commencé a boire en soiree comme tout le monde mais surtout apres reflexion pour vaincre  une certaine timiditee .pourtant j'ai toujours eu beaucoup de chance dans la vie je suis beau mec j'ai eu plein d'aventures j'ai toujours travaillé et toujours progressé dans ce que j'entreprend mais byzarrement il m'a toujours manqué quelque chose que je ne serais definir(toujours mal dans ma peau)donc je me suis enfonce dans l'alcoolisme de plus en plus attention je ne dis pas que je n'aime pas l'alcool au contraire un peu trop meme, et la les ennuis serieux ont commencé a apparaitre et ma consommation s'agravait j'ai tout d'abord commencer par perdre mon permis une premiere fois, puis une annulation a la segonde ensuite j'ai eu un grave accident de la route qui a failli me couté la vie(comas, perdu 4,5l de sang et je me suis retrouve avec un bras paralisè.cet accident et mon andicap m'ont fais deteste la vie encore plus et donc j'ai continue de m'alcooliser de plus belle .au bout de deux ans un miracle s'est produit ,mon bras s'est remis a fonctionner j'ai donc pus reprendre une vie normale mais ma dependance a l'alcool etais de plus en plus accru. j'ai repasse mon permis mais de nouveau reperdu, et la le choc! mon meilleur amis qui m'avais sauve la vie dans mon accident nous a quitte pendant son sommeil, j'ai continue de plus belle jusqu'a avoir un accident sous l'emprise d'alcool et arriva ce qui devais se passer je suis parti en maison d'arret a laon pour la premiere fois je precise que je n'ai jamais blesse personne .j' ai purge ma peine de 2 mois et en sortant me suis rendu  en cure de desintoxication qui sera la premiere d'une longue serie  je suis ensuite reste abstinent 06 mois et la patatras la rechute .conduite sans permis ma copine est parti retour en prison toujours pour des fais d'alcool, bagarres rebellion outrage je vous epargne la liste et pourtant agen je suis tout le contraire , un jour un collegue de travail m'a meme dit que j'etais un hutopiste je ne connaissais pas encore ce mot et la en le decouvrant j'ai commence a comprendre mon comportement, j esperais  toujours que le monde soit fait differement moins de pauvre plus d'egalitee des chance mais quand j'ouvrai les yeux c'etait tout le contraire alors j'utilisait l'alcool comme une defence il me permettait de m'evadait et finnissait par me rendre fou avec l'exes, j'ai multiplie les peines de prisons et en tou ai excutee 19 mois ferme  ainsi que 3 cures(passe noel et nouvelle an 1fois en famille en 5 ans!) .j'ai depuis longtemps concience de mon probleme et meme une certaine experience des effets desastreurs de l'al'cool, mais malheuresement tout ses evenements me rende aigri et mechant  ça je m'en apperçoi et me detruit encore plus chaque jour, en ce moment j'alterne les passages d'abstinence j'envisage de repasser mon permis en fin d'annee qui est primordiale pour mon travail et vis au jour le jour sans trop esperer de beau de la vie ; advienne que pourra mais j'aspere que les pires moments sont derriere, mais je sais une chose ,comme l'a dit renaut je suis abstinent aujourd'hui mais j'ai du mal a envisager une vie complete sans alcool, chapeau a ceux qui y arrive , je sais que certain cas y parvienne mais ce n'est pas le mien, voila je vous laisse si ce mess peut aider l'un d'entre vous a eviter des erreurs ce sera ça de pris.

Amélioration de la mise en page, correction partielle des fautes et de la ponctuation    
Ne le prends pas mal, c'est que personne n'aime lire un gros bloc de texte du coup je leur facilite la tâche

Merci, franchement c'est décourageant de lire un pavé plein de fautes et sans ponctuation

allez franchement je quitte ce forum, vraiment trop con! ou l'on ne trouve que des gamins de lycée ,qui passe juste leur temps et n'ont méme pas de probléme au niveau du sujet et n'on aucune idée de ce sujet.c'est facile quand on est 5h par jour devant son écran.trouvait vous un forum sur les tokios machin!!adieu  les nazes,;:!ù^=)àç_è-('"é&

Euh...

 
   
Tu seras bien gentil de ne pas parler comme ça de gens que tu ne connais pas.

C'est à dire qu'il s'est déjà fait pourir à cause des fautes d'orthographe sur le topik des conneries sous l'effet d'alcool, c'est donc compréhensible qu'il soit un peu énervé

 
S'pas une raison pour nous traiter de gamins dont le seul problème est de passer 5h par jour devant un PC

Certes certes Mais il nous raconte une histoire tout ce qu'il y a de plus poignant, et tout ce qu'il récolte sur les 2 topics c'est des commentaires sur son orthographe... donc bon
 
 
 
Enfin bref, on va pas en débattre 3 plombe, osef

Ouais franchement, sur le coup vous auriez pu être compréhensifs quoi  
L'alcool transforme certains d'entre vous en pures loques en société : pour autant, en auriez-vous fait la remarque ? Je ne crois pas  

Honnêtement, des témoignages plus poignants, j'en ai.
Mais comme tu dis, osef.

C'était une tournure rhétorique
 
 
bref

Salete de boulot qui me fait retomber dans des travers que je pensais vraiment avoir mis de cote...  
Pression incidieuse, comme une bonne biere, mais qui fait plus mal

j'ai pas mal deconné a cause de l'alcool, depusi le lycée ou avec les potes on se mettait minables tous les week ends, puis les week end se sont etirés.. mais c'était toujours festif (enfin au debut de soirée du moins^^), avec des potes, et on se marrait (quand ca partait pas en couilles ou qu'on manquait de se tuer en caisse )  
 
mais la je me suis calmé quand je me suis retrouvé a picoler tout seul, en pleine rue completement dechiré avec ma bouteille de rhum/coca a la main a discuter avec les epiciers du coin et avec les vendeurs des sex shop.  
 
je me suis dit qu'il etait temps d'arreter les conneries. et je suis content j'y arrive, je ressens pas de manque pour l'acool. et tant mieux car avec mon taff je suis souvent tout seul bien que j'ai une copine, on a des horaires de travail super decalés.
 
par contre des que je picole je sais pas m'arreter, si je suis avec des gens raisonnables je me fais chier et si je suis avec mes potes comme moi ca degenere a chaque fois en soirées no-limit. j'aimerai bien reussir a avoir une consommation maitrisée.  
 

Jme retrouve dans ce que tu décris.  
Pas plus tard que samedi, ambiance posée chez des potes, on bosse sur la caisse de mon coloc et bois dla Newcastle à la pression. Ben à 23 heures décidant que je me faisais chier (en fait je me faisais pas chier je voulais juste me déchirer la tête), je décide d'appeler un pote qui était dans un bar qcq pour aller m'allumer au Vodka Red Bull et Whisky Coke... et j'ai diverses autres dépendances qui rendent la chose encore plus impossible à refuser.  
J'aimerai pouvoir me contenter d'une bonne bouffe, un film, une discussion avec deux trois verres et go dodo. Mais comme toi, je finis méchamment à l'envers.  
 

Idem, quand je commence à picoler, ca fini quasiment toujours en n'importe quoi et je me retrouve avec des gueules de bois monstrueuses le lendemain...

D'ailleurs je ne sais pas si ca le fait à quelqu'un, mais avant quand je buvais trop, au bout d'un moment je finissais par tout rendre (un peu comme tout le monde me direz-vous ). Mais depuis un an que je bois vraiment beaucoup (genre 3-4 cuites par semaine, et quasiment 1 cuite par jour en vacances), je ne vomi plus quasiment quelque soit la quantité bue, mais je le paye cher le lendemain...

Là j'ai décider de me calmer depuis quelques temps (j'entame la troisième semaine), et ca se passe plutot bien. J'ai pris qu'une seule vraie cuite le premier week-end, et je ne bois rien la semaine. Le seul truc que j'ai trouvé pour pas me retrouver completement torché à chaque fois, c'est de savoir que je conduis après pour rentrer chez moi (avant je m'arrangeais pour que les potes conduisent ). Du coup j'arrive à me limiter à 2-3 bières sans trop de problème.
Enfin si vous arrivez vraiment pas à vous arretez, je vous déconseille cette technique, ca peut etre dangereux

Se que tu dois te dire ,c'est que si aujourd'hui tu ne bois pas c'est le principal, demain est un autre jour. C'est comme ça que j'ai ralenti!

prendre les choses au jour le jour, effectivement, et trouver des derivatifs. l'inaction ca fait cogiter, deprimer, et fatalament on se defonce.  
il faut s'occuper l'esprit et essayer d'exprimer tout ca.  

 
 .
 
ca t'a pris combien de temps ?  

et c'etait comment, aujourd'hui?
moi, les lendemains, c'est SUPER hard : tremblements, sueurs, vertiges, envie de tout rendre sans le faire, discours hache......
generalement, me dis "plus jamais", mais le soir, je me laisserai bien retenter a nouveau

 
faut eviter , autant que faire se peut  

Pareil, la sensation d'ether le lendemain est detestable. Impossible de cogiter, comme si les neurones etaient englues.  

Un conseil de qualite.
Le probleme, ca a ete dit plusieurs fois, c'est que qd tu fais un black out, c'est le verre d'il y a plus d'une heure que tu n'aurais pas du boire. C'est pas facile a gerer.  
Et surtout pas possible chez certains. Si jprends mon cas, je suis vite a un point de non retour ou je vais boire pour me "finir". Le seul truc qui me sauve, c'est que je ne bois que si je suis accompagne par d'autres buveurs. J'ai egalement note que d'etre en couple me coupe l'envie d'etre completement ivre.

Pourtant, normalement, les melanges...  
perso, j'ai souvent des black-outs, vu que j'ai toujours du mal a m'arreter... tant que la CB marche, je continue