brown paper bag a écrit :
Quand je picolais vraiment beaucoup (du genre une à deux bouteilles de vodka par jour), j'étais obligé de boire le matin pour commencer ma journée "normalement", sinon j'étais complètement HS.
Et ça m'arrivait que le manque me réveille la nuit et que je doive remettre du bois dans la machine avant de retourner cuver.
Quand on boit du lever au coucher, c'est qu'on est complètement intoxiqué, qu'on ne dessoule jamais vraiment, et qu'on est obligé de continuer pour ne pas être en manque, quelle que soit la quantité ingurgitée.
Là, oui, je pense qu'il n'y a pas d'alternative à la consultation médicale pour mettre en place un protocole de sevrage, car même si on trouve la volonté de le faire tout seul, ça peut être dangereux (delirium tremens, épilepsie, bouffées délirantes...).
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