Reprise du message précédent :
Pourtant, normalement, les melanges...  
perso, j'ai souvent des black-outs, vu que j'ai toujours du mal a m'arreter... tant que la CB marche, je continue

C'est vrai que c'est un budget!
Depuis 3 semaines je commence a sortir sans la CB pour ne pas laisser de traces sur mes relevés bancaire*, je prend du liquide (argent hien!) pour essayer de mieux gérer la chose. Ca ne sert a rien et c'est galère, peut etre que la ou j'aurais pris un cocktail a 7 euros pour me finir je prefere prendre 2 bieres
 
Le probleme c'est que j'ai tellement peur de tomber a court dans la soirée que je me charge la tête avant de sortir et je m'assure qu'il y a une ou 2 bouteilles d'un pack de Leffe au frigo au cas ou j'ai pas ma dose c'est plus rassurant. L'autre jour je rentre de soirée, je me suis arreté au Kebab pour acheter 2 petites bouteilles de Leffe (hors de prix of course), je me suis senti con!

*comme j'ai un compte pro mon banquier m'appelle souvent et quand je suis ds le rouge il regarde mes dépenses    

Le comble d'un alcoolique dépensier c'est d'être souvent dans le rouge  

Je lis vos témoignages et je trouve ça dur. L'alcool use et fait vieillir énormément.
 
Je dis peut-être des conneries mais quand on est tombé dans la dépendance et que l'on arrive pas à s'en sortir, il n'y a pas de demi mesure, il faut s'en priver totalement.
 
Essayer de trouver des trucs pour s'occuper l'esprit , voir des gens etc...
 
Moi c'est ce que j'ai fait avec la cigarette. Je préparais mon coup depuis longtemps je savais que ça venait. Et le jour est venu: le 14 septembre 1998, j'ai dit: "c'est ma dernière clope". Sinon je finirai avc un cancer du fumeur, je le sentai.
 
Et j'ai arrêté ce jour-là.
 
C'est dur pendant les deux ans qui suivent. Et après aucun pbme.
 
En soirée, je me consolais ... en buvant. Ce qui ne pose pas pbme puisque je ne bois jamais sinon. Je n'aime pas l'alcool.

tu compares la dépendance à la clope à la dépendance à l'alcool...
 
"il n'y a pas de demi mesure, il faut s'en priver totalement."
 

 
un imbécile parmi tant d'autre qui vient écrire son message moraleux à 2 sous de merde du samedi soir..

Bah en même temps pour l'alcool il a pas tout à fait tort, quand j'ai arrêté d'me cuiter 4-5 fois par semaine j'ai continué à prendre une bière au diner et pendant 2-3 mois ça me foutait une migraine pas possible pour les 2h à suivre. Vu que c'est le genre de mal de crâne qui se soigne parfaitement avec une bouteille de vin, c'est pas top quand tu veux arrêter.

 
+1
 
L'arrêt de la clope et l'arrêt de l'alcool n'ont absolument rien à voir.

Désolé d'avoir donné mon avis, je ne savais pas qu'il ne fallait jamais faire ça avec des alcooliques. Désolé d'avoir voulu m'informer. J'ai tapé ça sans réfléchir et sans voir que mon post était moraleux et une porte ouverte aux crétins snobs qui profitent de la moindre petite occasion pour prendre l'autre pour un imbécile.

Je veux bien croire que la dépandance à la clope et la dépendance à l'alcool sont bien différents. De là à dire que ça n'a rien à voir ... Il y a un petit point en commun en tout cas: le mot dépandance.

Sinon, je connais des alcooliques qui se la joue gainsbourg ( exemple: Benjamin Biolay) . C'est grave ridicule. A noël, il faut leur offrir la panoplie gainsbourg.

Gainsbourg: souvent imité, jamais égalé.

 
C'est juste que tu compares deux choses qui n'ont absolument rien à voir, un alcoolique qui arrête de boire doit absolument être suivi sur le plan médical car les crises de manque peuvent être dangereuses pour sa santé.

sur FR3 à 23H25; Ce soir ou jamais :
 
 
Débat sur la dépendance à l’alcool : se donne-t-on vraiment les moyens de soigner les alcooliques ?
 
avec entre autre 2 médecins Isabelle Sokolow, médecin alcoologue
"Le piège, l’alcool n’est pas innocent", chez Flammarion, 2008
 
Olivier Ameisen, professeur de médecine et cardiologue
"Le dernier verre", chez Denoël, 2008
 
 

 
Arf je peux pas regarder
Tu nous fera un petit compte-rendu ?

toute les émissions sont disponible en streaming sur le site de l'émission
(que je recommande par ailleurs )

en fait, c'est meme bien plus que ça. l'arret brutal de l'alcool chez un alcoolique provoque une encéphalopathie, plus connue sous le nom de delirium tremens, et qui est une urgence vitale. la personne en meurt, tout simplement.  
donc la comparaison avec la clope etait pour le moins foireuse.

 
Putain ils me font vomir les espèces d'abrutis méprisants made in lobby du vin. Hautains et à côté de la plaque  

bon bha je m'attendais à quelque chose de plus approfondie sur le sujet..

le résumé est vite fait en tout cas  

dès le départ on observe 2 camps, dont celui des écrivains et du représentant des vignerons français qui partent tout de suite sur la défensive à tord ou à raison

mais toute l'émission à été faite du malentendu entre alcoolique et l'ivrogne; le droit à l'ivrognerie revendiqué entre autre par 2 écrivains

c'est dommage ça a donné de légers dérapages suite à cette incompréhension

c'est seulement vers la fin que la toubib donne enfin un élément majeurs aux 2 bêtas :

ils confondaient les malades alcooliques, qui ne peuvent pas s'empêcher de boire, avec des ivrognes; consommateurs exessifs
à risque, donc

en faite j'ai juste un peu appris des choses sur l'histoire du vin et qq données que voici

-sur 10 consommateurs d'alcool, 1 seul sera à problème

-l'alcool est responsable de 50000 décès par an en France; soit 125/jour

-les régions les plus touchées par la maladie sont les 2 régions qui ne compte pas de vignoble, la Bretagne et le Nord-pas de calai
 le représentant des vignerons laissait supposé que cela était directement dû à l'absence de "culture" lié au vin patati patata..
c'est à mon avis plutôt un concours de circonstance; le Nord pas de calai est déjà une région pauvre touchée de plein fouet par le chômage..

bon les 2 écrivains un peu couillon avaient pas réellement tord concernant la politique hygiéniste actuelle exessive
à mon sens

Z'étaient bien couillons les écrivains et l'autre beauf oui, surtout que fondamentalement le "camp adverse" était d'accord avec eux: ça va tuer personne (ou presque   ) de se mettre une mine de temps en temps ou de boire un coup pour le plaisir.  
 
Et il m'a fait marrer l'autre zouave  à faire la victime "oui mais c'est toujours les vignerons qu'on pointe du doigt pas les vilains qui fabriquent du mauvais alcool distillé frelaté tout pas bon", primo c'est quand même loin de transparaitre dans les campagnes contre l'alcoolisme, secundo bonjour la poutre, faudrait pas perdre de vue que le vin le plus vendu en France c'est le Vieux Papes, et ça m'étonnerait pas que la demi-douzaine qui suit coûte moins de 3€, niveau dégustation et grande culture du vin, on repassera.

le pb ou l'ambigüité des campagnes incriminées; c'est justement que se sont des campagnes anti alcool et pas de prévention contre l'alcoolisme
 
les zozos du gouvernement feraient mieux de faire en sorte qu'on trouve plus de psychiatre et médecins spécialisés pour soigner les malades plutôt que de dépenser des millions à faire des campagne de "prévention" contre l'alcool qui va te faire vomir ( bouh le vilain )
tuer tout tes amis et violer la voisine

 
Voilà, je sais jamais comment bien expliquer ça
 
Déçue par vos résumés de l'émission (s'pas vos résumés hein mais l'émission ), je sais pas si je la regarderai sur le net.

l'émission est dispo (à la 10° minute)  
 
sans aucun interet pour moi...
 
http://ce-soir-ou-jamais.france3.f [...] brique=395

1) Dans le Nord Pas de Calais on boit de la bière. On a la culture de la bière et non du vin. En plus avec la Belgique, ses moines trappistes, et les milliers de bières différentes on est servis. "L'abscence de culture" n'importe quoi, du vin on en boit a table comme tout le monde, mais si on fait la fete on passe a la biere ou spirits, comme tout le monde non?
2) La région Nord Pas de Calais n'est pas pauvre je pense même qu'elle fait plus "tourner" la France que d'autres régions réunis, donc humainement c'est plus dur, beaucoup plus de risques d'être au chomage, que les usines ferment, qu'ils y a des drames, des suicides, des personnes fragiles, l'alcool, milieu ouvrier etc...etc...la région n'est pas pauvre, mais la maladie est la

Effectivement c'est un peu un débat de sourds cette émission, c'est dommage

A propos, si ce n'est pas passé : http://www.boulimie.com/fr/actuali [...] dance.html
 
L'alcoolisme y est vraiment décrit, et on distingue l'alcoolique du buveur excessif, ainsi que des amateurs qui prennent à chaque fois du plaisir.

 
oui bon je voulais pas dire qu'elle était "pauvre"
 
plus pauvre que la moyenne étant donné un taux de chômage élevé quoi..

Je peux te prouver que c'est l'une des plus riche, dynamique, et jeune de France et j'ai toute la grande distribution + VPC + secteur automobile derriere moi

Taux de chomage élevé faut voir a quoi c'est du, il y a eu la perte du textile, mines, industrie lourde ses 25 dernieres années et je peux te dire qu'il y a eu beaucoup de familles touché, et malheureusement la morosité, le renfermement, le coté négatif de la vie s'est installé, transmise meme aux enfant qui ne croient plus au secteur privé, l'alcool n'a pas aidé, mais l'état & les assedics non plus...cela dit ca ne me gene pas de bosser pour un chomdu de ma region

bref  

Bah juste une petite statistique, le 59 a le taux d'immatriculations de voitures neuves par habitant le plus bas de France.

S'pas un peu HS là ?
A moins que tous les habitants du nord soient des alcooliques

Normal on fais tous du Tunninge   ....ou il y a beaucoup de voitures de fonction

HS peut etre mais il y a un lien, y'a pas que nous y'a les Bretons!
J'y vais, il a neigé dans Ch'Nord je dois déblayer 45 cms avant que ca gèle!

on vient de se torcher une bouteille de gnole + une bouteille de vodka et j'arrive pas a  vous lire vos messages sont trop longs  

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!je ne peut rien dire de plus que de faire attention!
le faîte de picolé c'est en teuf! ais tous les jours c'est craigniosses!
Donc les jeunes de 0 à 77 ans , voir les généalogies correspondantes.
Je sais que tous les ptits jeunos comme nous on fais la même chose mais en plus gentilles!
jamais fait du tort ou cassé chez ceux qui crapa ute pour arriver a quec chose!
@++

Vous faites parties des gens qui aides? où des critiques?
je vous sert quelque chose ?
arrrg ca me débecte!
L'un propose une soluce, l'autre vite fais gagne plus son painssssssssssss.
Je suis consterné par les msgs que vous laissez en suspend sur le point de règlé les gens qui en en souffre.
Je suis là rarement , mais dès que je revient aucune sollution et aide n'est formalisées.
Je reviens...  

 
La c'est la bonne biture.. la tête vas eclaté demain au réveil puis tout rentre dans l'ordre!
puis rebelotte et c'est reparties... arrg encores ce mauvais truc!!! pfff ca me prend le chou ...
c'est comme ça que ça commence et puis hop encore....

 
Bienvnue sur planète Terre
Nous êtres humains
Venez vous en paix?
Qui es tu?
et surtout: WTF?

Il devait être beurré quand il a posté.

 
  je pensais que c'etait encore moi!

Hihihi, haha, ha ben sa alors je pensait que c'était toi! mdr lol

Bonjour à tous,
 
Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi. Depuis que j’ai 17 ans environ – j’ai 31 ans -, je bois de manière régulière, d’une manière qu’on pourrait qualifier de « festive ». Seulement voilà, lorsque je commence, je ne sais pas m’arrêter avant d’être complètement saoul. Arrivé à un certain taux d’alcoolémie, je commence à perdre le contrôle de ce que je pense et de ce que je fais. Il m’arrive fréquemment de penser à l’infidélité par exemple, de draguer les filles, alors que je ne suis pas célibataire. Ce comportement m’a plusieurs fois causé des problèmes, et aujourd’hui j’en ai assez de tout ça, d’autant plus que mon amie est enceinte.
 
Le problème qui se pose à moi, outre le fait que je pense réellement avoir un problème avec l’alcool, c’est que je ne sais pas m’amuser autrement. Avec mes meilleurs amis nous sommes dans un schéma de type fiesta = boisson. Je ne m’imagine pas du tout passer une soirée sans boire une goutte d’alcool, d’une part parce que je pense que je ne m’amuserais pas, d’autre part parce que je ne serais pas dans la même ambiance que la majorité des participants à la soirée.
 
Je suis un bon vivant, j’aime la bonne chère, le bon vin, et j’aime bien profiter de tous les plaisirs de la vie, sexe y compris. Seulement, lorsque je suis sobre, même si j’ai de mauvaises pensées, j’arrive tout de même à contrôler cette envie, ce qui n’est pas du tout le cas lorsque je suis défoncé. Je passe sous silence les détails sordides que l’on peut aisément imaginer. Grosso modo j’ai un comportement parfaitement typique du célibataire (ce que je ne suis pas). J’ai régulièrement honte de mes actes lorsque je me les rappelle, les lendemains de beuverie.
 
La conclusion de tout ça c’est que j’ai peur de basculer du côté obscur, insidieusement. Actuellement je ne bois pas en semaine mais il m’arrive de prendre quelques apéros le week-end, sans raison, et ce même lorsque je suis tout seul. De là à boire quelques verres de vin de trop en semaine, il n’y a qu’un pas que je ne souhaite pas franchir.
 
Comment résoudre cet état de fait ? J’ai tout d’abord pensé à ne boire « qu’à l’occasion », mais le problème c’est qu’il y a toujours une occasion. Je suis régulièrement invité à droite à gauche pour « prendre un pot » ou faire une bouffe, et il n’y a pas une seule fois ou je rentre sobre chez moi lors de ces occasions. Je me suis donc dit que le meilleur moyen, le seul moyen, était d’arrêter radicalement de boire pendant une certaine période – un mois – pour faire le point, voir à quel point cela me manque, et voir si j’arrive à m’amuser normalement sans alcool – ce dont je doute – pendant les soirées.
 
Ce dont j’ai peur, c’est de subir l’incompréhension de mes amis, du moins dans un premier temps, et également de ne pas avoir assez de volonté pour tenir le coup, mais je me dis que les raisons qui me poussent à agir ainsi sont de bonnes raisons.  
 
J’espère que ce témoignage aidera tous ceux qui sont un peu dans le même cas que moi et qui se posent des questions sur leur consommation. Si certains qui vivent ou ont vécu la même situation que moi souhaitent m'apporter un peu de lumière sur cet état de faits, je les encourage à le faire, ca m'aiderait beaucoup je pense. Merci de m’avoir lu.

bha un mois c'est pas énorme non plus; ça passe vite
 
fixe toi ça comme objectif et regarde si tu arrives à t'y tenir  
 
tu sors chaque semaine et tu bois ?
 
ça t'es déjà jamais arrivé de sortir faire la fête sans boire ?
 
moi j'avais déjà tenté l'expérience une ou deux fois pour voir
 
 
quant au regard des autres tu t'en moque; ton rapport avec l'alcool n'implique que toi seul  
 

 
En fait j'ai testé une semaine déjà, mais ce fût dur, l'habitude de se taper une biere en rentrant du boulot étant bien ancrée. J'vais pas me le cacher, j'avais envie de boire un coup, envie accentuée sans doute par le fait que je ne me l'autorisais pas.
 
Faire la fête sans boire .. et bien comme je l'ai dit, pour moi l'un ne va pas sans l'autre, j'ai beaucoup de mal à concevoir ça, et j'en ai encore eu la preuve ce week end : pot de départ d'un pote de taf, j'avais "décidé" de me limiter, mais les vodka caramel ont tourné, ainsi que les bonnes bieres, et paf je me suis réveillé chez un pote en sachant a moitié pas où j'étais, rentré a 8h du mat, ma copine en avait gros (et c'était justifié)
 
Pour le regard des autres , comme tu dis, ca n'a guère d'importance, mais j'ai peur de m'exclure tout seul de mon groupe de potes, dans un premier temps, vu que je serais pas du tout dans le même état d'esprit