Citation :
Le cœur du portefeuille de l’OPC est constitué principalement de sociétés immobilières dans le secteur des bureaux d’une part
et des centres commerciaux principalement. Bien que lié aux variations boursières, ces deux secteurs offrent une sensibilité
beaucoup plus faible aux évolutions des marchés actions car :
- Le secteur des centres commerciaux peut être considéré dans une certaine mesure comme anticyclique, c’est à dire ne
réagissant pas ou peu sur l’évolution de la croissance économique. L’effet rareté (centres commerciaux peu nombreux et très
recherchés) permet de conserver des niveau de valorisation élevés. Il s’agit pour les sociétés immobilières investissant sur ces
actifs, de « rentes de situation ».
- Concernant le secteur des bureaux, à l’exception des bulles spéculatives ayant affectées la valorisation de l’immobilier dans
son ensemble, nous remarquons que ce secteur est nettement moins sensible à la conjoncture que les classes d’actifs
traditionnels. Il demeure néanmoins plus sensible que le secteur des centres commerciaux
...
La croissance mondiale, qui a atteint un point haut, laisse présager d’un
ralentissement de la croissance
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