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Pour une position à déboucler d'ici la fin de l'année, quel trade préférez-vous ?


 
30.2 %
 32 votes
1.  long World
 
 
11.3 %
 12 votes
2.  long S&P500
 
 
17.0 %
 18 votes
3.  long LQQ
 
 
0.9 %
      1 vote
4.  long CAC40
 
 
12.3 %
 13 votes
5.  long bitcoin
 
 
5.7 %
 6 votes
6.  short World
 
 
0.9 %
      1 vote
7.  short S&P500
 
 
11.3 %
 12 votes
8.  short LQQ
 
 
2.8 %
    3 votes
9.  short CAC40
 
 
7.5 %
 8 votes
10.  short bitcoin
 

Total : 139 votes (33 votes blancs)
Ce sondage est clos, vous ne pouvez plus voter
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Auteur Sujet :

╚╤╤[POGNON] Topic Bourse : La correction de tous les dangers ╤╤╝

n°24016169
nhemles
Mort aux assistés
Posté le 20-09-2010 à 16:30:10  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

falagar-87 a écrit :

Tu as sans aucun doute raison. Essaies de mettre un stop sur un turbo pour voir si le cours est vraiment fixé par le MM ?


Mais aucun rapport. Avec les turbos, tu vends au cours d'achat du MM et tu achètes à son cours de vente, et c'est le MM qui fixe ces deux valeurs (ceci dit en ayant en tête que les transactions sont suffisamment rares pour ne se faire qu'avec le MM).
Partant de là, si tu arrives à me dire qu'il ne fixe pas le cours...
 
Exemple sur le H429Z :
Bourso http://www.boursorama.com/cours.ph [...] y%5D=H429Z
Commerzbank http://www5.warrants.commerzbank.c [...] 93&pc=1361

Message cité 1 fois
Message édité par nhemles le 20-09-2010 à 16:34:13
mood
Publicité
Posté le 20-09-2010 à 16:30:10  profilanswer
 

n°24016230
Miles_Teg9​1
Posté le 20-09-2010 à 16:33:37  profilanswer
 


 
 :lol:  

n°24016236
falagar-87
Posté le 20-09-2010 à 16:33:54  profilanswer
 

nhemles a écrit :

Mais aucun rapport. Avec les turbos, tu vends au cours d'achat du MM et tu achètes à son cours de vente, et c'est le MM qui fixe ces deux valeurs.
Partant de là, si tu arrives à me dire qu'il ne fixe pas le cours...

 

Le cours de bourse est "fixé" par une transaction. Si sur une valeur tu as plein de monde qui vend à 10 € et plein de monde qui veut acheter à 5 € il n'y a pas de transaction, donc il se passe rien. Sur un turbo c'est pareil : si pas de transaction, alors le cours reste inchangé : celui de la dernière transaction. C'est là que réside le danger pour les turbos et les stop loss : sans nouvelle transaction le cours ne varie pas. Le prix d'achat et l'offre de vente, oui, OK, mais pas le cours puisque le MM ne fait jamais affaire avec lui-même. Et donc tu peux perdre ton slip à cause de ça.

Message cité 3 fois
Message édité par falagar-87 le 20-09-2010 à 16:34:19
n°24016250
falagar-87
Posté le 20-09-2010 à 16:34:59  profilanswer
 

Aj, j'oubliais : une louche de tput CAC 4000 @ 0,11, revente dans 20 minutes maxi.

n°24016264
Profil sup​primé
Posté le 20-09-2010 à 16:35:48  answer
 

falagar-87 a écrit :


 
Le cours de bourse est "fixé" par une transaction. Si sur une valeur tu as plein de monde qui vend à 10 € et plein de monde qui veut acheter à 5 € il n'y a pas de transaction, donc il se passe rien. Sur un turbo c'est pareil : si pas de transaction, alors le cours reste inchangé : celui de la dernière transaction. C'est là que réside le danger pour les turbos et les stop loss : sans nouvelle transaction le cours ne varie pas. Le prix d'achat et l'offre de vente, oui, OK, mais pas le cours puisque le MM ne fait jamais affaire avec lui-même. Et donc tu peux perdre ton slip à cause de ça.


 
Yep :jap:


Message édité par Profil supprimé le 20-09-2010 à 16:35:59
n°24016266
nhemles
Mort aux assistés
Posté le 20-09-2010 à 16:35:58  profilanswer
 

falagar-87 a écrit :


 
Le cours de bourse est "fixé" par une transaction. Si sur une valeur tu as plein de monde qui vend à 10 € et plein de monde qui veut acheter à 5 € il n'y a pas de transaction, donc il se passe rien. Sur un turbo c'est pareil : si pas de transaction, alors le cours reste inchangé : celui de la dernière transaction. C'est là que réside le danger pour les turbos et les stop loss : sans nouvelle transaction le cours ne varie pas. Le prix d'achat et l'offre de vente, oui, OK, mais pas le cours puisque le MM ne fait jamais affaire avec lui-même. Et donc tu peux perdre ton slip à cause de ça.


Le cours n'a aucun sens avec les turbos, seules les positions du MM comptent. Et je veux bien que tu me fasse le détail pour en arriver à perdre son slip.

n°24016294
Profil sup​primé
Posté le 20-09-2010 à 16:37:05  answer
 

nhemles a écrit :


Le cours n'a aucun sens avec les turbos, seules les positions du MM comptent. Et je veux bien que tu me fasse le détail pour en arriver à perdre son slip.


 
Ah si ! Le prix du sous-jacent influe très fortement le prix de ton dérivé

n°24016311
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 16:38:12  profilanswer
 

Cette discussion de sourds [:prozac]


---------------
Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24016358
Profil sup​primé
Posté le 20-09-2010 à 16:40:47  answer
 

Un turbo call/put c'est rien d'autre qu'un call/put avec fort effet de levier, avec vega très faible et théta inexistant. Par contre tu dois gérer la barrière :)

n°24016371
Profil sup​primé
Posté le 20-09-2010 à 16:41:37  answer
 


 
C'est un dérivé exotique [:hill]

mood
Publicité
Posté le 20-09-2010 à 16:41:37  profilanswer
 

n°24016520
nhemles
Mort aux assistés
Posté le 20-09-2010 à 16:52:49  profilanswer
 

Kornichon56 a écrit :

Cette discussion de sourds [:prozac]


C'est aussi mon impression, ça me chagrine :(

n°24016566
peter maca​loai
Posté le 20-09-2010 à 16:55:49  profilanswer
 

nhemles a écrit :


C'est aussi mon impression, ça me chagrine :(


C'est surtout que vous avez tout les 2 raisons d'un point de vue diffèrent, toi tu dis que c'est le MM qui fixe l'achat et la vente et lui dit que le cours n'est fixé que quand il y a transactions, dans les 2 cas c'est vrai stout. [:dtc haha:3]  

n°24016620
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 16:59:02  profilanswer
 

kikidonc a écrit :

Ca serait franchement top de péter les 3800 cette semaine [:agkklr] et les 4000 pour mi-octobre avant re-down :o


Peut-être en cours d'exaucement  [:wank]


---------------
Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24016696
as253
Loucheur averti
Posté le 20-09-2010 à 17:04:34  profilanswer
 

nico6259 a écrit :


 
 
Sur le marché de Wazemmes?
 :whistle:


 
http://www.lesafriques.com/images/stories/j97/17_vendeur-medicaments.jpg
 
 :sol:

n°24016777
Piksou
Posté le 20-09-2010 à 17:11:01  profilanswer
 

LVC vendus :o
Si on casse 3800 j'en reprend, sinon...


---------------
« Le verbe "aimer" est le plus compliqué de la langue. Son passé n'est jamais simple, son présent n'est qu'imparfait et son futur toujours conditionnel. » Jean Cocteau
n°24016782
hfrfc
Bob c'est plus simple à dire..
Posté le 20-09-2010 à 17:11:17  profilanswer
 

Kornichon56 a écrit :


Peut-être en cours d'exaucement  [:wank]


 
bien envie de shorter là qd meme :o

n°24016800
peter maca​loai
Posté le 20-09-2010 à 17:12:31  profilanswer
 

Comment j'ai mal d'avoir vendu mes LVC en légère PV :(. Enfin bon c'est les joies de la bourse. (mais bon c'est la deuxième fois que je vends 30-40 min avant un rally haussier).

n°24016816
falagar-87
Posté le 20-09-2010 à 17:13:28  profilanswer
 

falagar-87 a écrit :

Aj, j'oubliais : une louche de tput CAC 4000 @ 0,11, revente dans 20 minutes maxi.


 
Revendu en légère perte. Fallait surveiller le S&P : la résistance a été vaincue, plus personne ne veut plonger. C'est reparti pour un rallye comme l'an dernier ?

n°24016818
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 17:13:34  profilanswer
 

hfrfc a écrit :


 
bien envie de shorter là qd meme :o


Et moi de moyenner à la baisse mon bx4
mais... [:do not want]


Message édité par Kornichon56 le 20-09-2010 à 17:14:01

---------------
Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24016822
Piksou
Posté le 20-09-2010 à 17:13:57  profilanswer
 

Bah moi j'ai vendu mes ACA avec une PV minable, alors :D
On peut pas tjs gagner :o


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« Le verbe "aimer" est le plus compliqué de la langue. Son passé n'est jamais simple, son présent n'est qu'imparfait et son futur toujours conditionnel. » Jean Cocteau
n°24016834
peter maca​loai
Posté le 20-09-2010 à 17:14:29  profilanswer
 

Mais on sait au moins pourquoi ca monte?

n°24016850
falagar-87
Posté le 20-09-2010 à 17:15:25  profilanswer
 

peter macaloai a écrit :

Mais on sait au moins pourquoi ca monte?


 
Le HF trading, encore... Des ordinateurs qui ne pensent pas. La résistance majeure a été vaincue sur le S&P : les ordis achètent.

n°24016859
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 17:16:12  profilanswer
 

Mais non c'est normal :o

Citation :

AFP le 20/09/2010 à 16:39
L'OCDE revoit en baisse ses prévisions de croissance et prône une rigueur graduelle
 
 
Logo de l'OCDE
AFP/Archives Jean Ayissi
 
L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a revu lundi en forte baisse ses prévisions de croissance économique pour les Etats-Unis et a jugé que la priorité budgétaire du pays devait être une suppression progressive des réductions d'impôts.
 
La croissance du PIB américain devrait atteindre 1,5% en 2010, et 2,3% en 2011, indique l'OCDE dans son rapport semestriel sur l'économie américaine.
 
Cela marque une révision en forte baisse des perspectives de croissance de la première économie mondiale puisque l'OCDE tablait en mai sur une croissance de 3,2% par an pour ces deux années-là.
 
La prévision de l'OCDE est difficilement comparable à celle du gouvernement américain (+3,2% en 2010, +3,6% en 2011) dans la mesure où sa base de calcul est différente. L'OCDE estime ainsi que le PIB américain a reculé de 1,2% en 2009, quand celui-ci s'est contracté officiellement de 2,6% cette année-là.
 
Publiée fin juillet, la prévision de croissance du gouvernement est trop optimiste. Celui-ci l'avait reconnu à l'époque en indiquant qu'elle avait été élaborée à partir de données collectées avant le ralentissement économique, noté depuis le début de l'été.
 
Selon l'OCDE, la "reprise économique progresse" et "la politique monétaire devrait rester accommodante pour soutenir l'économie alors qu'on assiste à un resserrement de la politique budgétaire".
 
La banque centrale américaine (Fed) doit se réunir mardi pour décider de sa ligne de politique monétaire. Celle-ci devrait déboucher sur un maintien du taux directeur quasi nul en vigueur depuis la mi-décembre 2008.
 
Les analystes estiment que les dirigeants de la Fed devraient discuter des mesures de soutien supplémentaires qu'il conviendrait de mettre en place au cas où la reprise viendrait à caler, mais qu'ils ne devraient rien annoncer.
 
L'Organisation note que les Etats-Unis sont sortis de la récession "avec un fort déficit budgétaire et une dette publique en hausse".
 
Pour ramener le pays à la viabilité budgétaire, "le contrôle des dépenses ne devrait pas être suffisant, donc les impôts devront également augmenter", indique l'étude.
 
Le gouvernement américain s'est engagé à ramener le déficit budgétaire de 10% environ en 2010 aux alentours de 3% en 2015, ce qui aurait pour effet, écrit l'OCDE, "de stabiliser le ratio de la dette au PIB à un niveau deux fois supérieur à celui d'avant la crise".
 
Il faudra donc prendre "des mesures de consolidation budgétaire supplémentaires après 2015", et, dans cette optique, "augmenter la base budgétaire en supprimant progressivement les réductions d'impôts qui la déforment, devrait être la première priorité du gouvernement", ajoute l'OCDE.
 
L'étude fait référence aux réductions d'impôts accordées par le gouvernement du président George W. Bush (au pouvoir de 2001 à 2009). Celles-ci sont au coeur du débat électoral en prévision des législatives de novembre, alors que le gouvernement veut supprimer celles bénéficiant aux 2% des Américains les plus riches, les autres se renouvelant d'elles-mêmes, par défaut.
 
L'étude de l'OCDE relève que la suppression progressive des baisses d'impôts devrait permettre d'amortir les "effets négatifs" que la disparition de "ces incitations économiques" risque d'avoir sur la croissance.
 
L'OCDE, qui siège à Paris, réunit 33 pays développés ayant choisi la démocratie et l'économie de marché.


---------------
Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24016910
peter maca​loai
Posté le 20-09-2010 à 17:19:36  profilanswer
 

Sire de Botcor tu as surement une explication plus convaincante je suis sur? tu as pris une énorme louche de BX et tu ne veut pas l'avouer [:mesh:1] !
 
On sais faire parler les gens ici  [:m3e30]

n°24016931
Profil sup​primé
Posté le 20-09-2010 à 17:21:17  answer
 

Je souçonne Sir également...

n°24016941
Dephi
Posté le 20-09-2010 à 17:22:19  profilanswer
 

M'mmerde j'ai joué (j'assume le terme) 1XX € sur un Tput 3800...
 
J785B.PA@0.20...
 
Je fais de l'OVN on verra demain matin...
 
(je sais C con et pueril mais bon.. :/ )


---------------

n°24016971
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 17:25:06  profilanswer
 

Dephi a écrit :

M'mmerde j'ai joué (j'assume le terme) 1XX € sur un Tput 3800...
 
J785B.PA@0.20...
 
Je fais de l'OVN on verra demain matin...
 
(je sais C con et pueril mais bon.. :/ )


 [:jiejie999]  

Spoiler :

Moi désactivé mon 3775  [:hahaaulas]


Spoiler :

Et désactivé le 3825 car j'avais oublié qu'il arrivait à terme  [:hahaaulas]


Spoiler :


 
 


Spoiler :

[:the este]


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Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24016997
sire de Bo​tcor
Armorican way of life
Posté le 20-09-2010 à 17:26:41  profilanswer
 

peter macaloai a écrit :

Sire de Botcor tu as surement une explication plus convaincante je suis sur? tu as pris une énorme louche de BX et tu ne veut pas l'avouer [:mesh:1] !
 
On sais faire parler les gens ici  [:m3e30]


[:popol] rien touché aujourd'hui [:cosmoschtroumpf]


Message édité par sire de Botcor le 20-09-2010 à 17:27:10

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«Ceux qui croient que les peuples suivront leurs intérêts et non leurs passions n’ont rien compris au XXe siècle.» © Raymond Aron
n°24017025
Dephi
Posté le 20-09-2010 à 17:29:03  profilanswer
 

Mon délire TPut me fait me poser une question..
Sur un Tput 3800, imaginons qu'à 17h30 on soit sous les 3800..
Fin de la cotation du Tput..
 
Au fixing du CAC, on est au dessus des 3800...
Le lendemain à l'open, on est sous les 3800...
 
Désactivé ou pas ??
:??:


---------------

n°24017056
Kornichon5​6
Ça c'est gaingsteur
Posté le 20-09-2010 à 17:30:45  profilanswer
 

+9,1% sur un call ACA en 1h15, seul trade de la journée [:tim_coucou]


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Les canons sont toujours brûlants sur ce forum de merde, nous créons terreur et désordre pour la compétition.
n°24017083
nico6259
Facilitateur, coach POGNON
Posté le 20-09-2010 à 17:32:22  profilanswer
 

http://www.boursorama.com/internat [...] eab5cea3a0
 
L'économie américaine officiellement sortie de la récession :
 
L'économie américaine, entrée en récession en décembre en décembre 2007, en est officiellement sortie en juin 2009, a annoncé lundi le Bureau national de la recherche économique (NBER).
 
Les spécialistes du NBER sont chargés de déterminer le début et la fin des cycles économiques. La dernière récession, expliquent-ils, aura duré 18 mois, la plus longue depuis 1945. Les précédentes, en 1973-1975 et 1981-82, avaient duré 16 mois. AP

 
 
 
 [:william l petersen]


---------------
Tout pour bien placer et investir : Avenue Des Investisseurs (guides, comparatifs...)
n°24017102
luvidoc
Posté le 20-09-2010 à 17:33:32  profilanswer
 

ALU !!! je suis enfin vert ! vais pouvoir m'en débarasser bientôt après 10 mois !

n°24017179
AirbaT
Connection timed out
Posté le 20-09-2010 à 17:40:30  profilanswer
 

falagar-87 a écrit :


 
Le cours de bourse est "fixé" par une transaction. Si sur une valeur tu as plein de monde qui vend à 10 € et plein de monde qui veut acheter à 5 € il n'y a pas de transaction, donc il se passe rien. Sur un turbo c'est pareil : si pas de transaction, alors le cours reste inchangé : celui de la dernière transaction. C'est là que réside le danger pour les turbos et les stop loss : sans nouvelle transaction le cours ne varie pas. Le prix d'achat et l'offre de vente, oui, OK, mais pas le cours puisque le MM ne fait jamais affaire avec lui-même. Et donc tu peux perdre ton slip à cause de ça.


Sur un turbo, le cours est fixé par le bid/ask du MM. Si bourso retient la dernière transaction, tant pis pour lui.
Lorsque tu places un stop, c'est le bid/ask qui est pris en compte. Mais comme un stop c'est un ordre au marché, oui, il y a un risque de se faire éxécuter beaucoup plus bas.

n°24017283
Setlel
Posté le 20-09-2010 à 17:47:10  profilanswer
 

Dephi a écrit :

M'mmerde j'ai joué (j'assume le terme) 1XX € sur un Tput 3800...

 



 

J'avais vendu à 3791 car jeudi ( ou vendredi? ) je fus cramé par une désactivation alors que je pensais avoir vendu ( devais partir )...

 

J'aime bien les turbos, marrant comme produit :o


Message édité par Setlel le 20-09-2010 à 17:49:37
n°24017317
nhemles
Mort aux assistés
Posté le 20-09-2010 à 17:49:07  profilanswer
 

luvidoc a écrit :

ALU !!! je suis enfin vert ! vais pouvoir m'en débarasser bientôt après 10 mois !


Mon PRU imposé à 2.636 me paraît toujours lointain [:moule_bite]

n°24017367
luvidoc
Posté le 20-09-2010 à 17:52:48  profilanswer
 

nhemles a écrit :


Mon PRU imposé à 2.636 me paraît toujours lointain [:moule_bite]


je vais voir pour un objectif de 3€, voir 3.5€ si le cac40 va vers les 4000/4200.

n°24017705
Absolument​ Fabuleux
Et en plus, je suis immortel.
Posté le 20-09-2010 à 18:15:32  profilanswer
 

http://nsm04.casimages.com/img/2010/09/20/100920061623516726785322.jpg
 

Citation :

L’actualité de la crise : en Europe aussi, les faits sont têtus, par François Leclerc
 
L’Irlande vient de rejoindre la Grèce dans le camp des pays européens dont il est très probablement devenu inévitable qu’ils fassent défaut sur leur dette obligataire. Le Portugal entre dans la zone des tempêtes après avoir réussi un temps à l’éviter en se faisant tout petit. Le risque monte que d’autres pays comme l’Espagne et l’Italie les rejoignent, ce qui serait pour l’Union européenne – et pas seulement la zone euro – une toute autre affaire.
 
Cette perspective n’a rien d’alarmiste, si l’on entre dans le détail.
 
Willem Buiter, chef économiste de Citigroup et observateur pointu de la scène européenne (il est d’origine britannique), considère en effet que l’Irlande n’est pas en mesure de faire face à l’addition de sa dette publique et du renflouement de son système bancaire, en premier lieu l’Anglo Irish Bank (AIB). C’est d’ailleurs ce qui explique que des tractations sont en cours, menées par le gouvernement irlandais, afin de reporter sur les créanciers de la banque une partie de ses pertes grâce à un mécanisme financier en cours d’élaboration dont il n’est pas dit qu’il soit accepté.
 
Les marchés vont être testés demain mardi, à l’occasion de deux émissions obligataires à quatre et huit ans. Mais, quel que soit le résultat, le véritable test va être ailleurs : l’Etat irlandais n’a en effet pas les moyens d’absorber les pertes d’AIB. Il est en train de se débattre dans l’improvisation et les autorités européennes comme le FMI ne vont pas pouvoir rester longtemps derrière le rideau, comme ils s’efforcent de le faire en faisant comme si de rien n’était.
 
S’agissant de la Grèce, les commentaires pleuvent et concourent : le pays n’échappera pas à une restructuration de sa dette. C’est Peter Steinbrück, ancien ministre social-démocrate allemand précédemment aux avant-postes de la crise européenne, qui l’affirme dorénavant. Ainsi que, parmi tant d’autres, Marco Annunziata, chef économiste de Unicredit (la mégabanque italienne), qui déclare « de nombreux investisseurs ne sont pas convaincus que la Grèce pourra éviter de faire défaut. Athènes doit réduire ses charges, et beaucoup considèrent que la seule manière d’y parvenir est de restructurer ses emprunts ».
 
Qu’importe alors que George Papaconstantinou, le ministre grec des finances, puisse déclarer afin de rassurer les investisseurs qu’il est allé solliciter dans le cadre d’une tournée éclair à Londres, Paris et Francfort, que « une restructuration [de la dette publique] n’interviendra pas. Cela aurait de trop lourdes implications pour l’eurozone, si elle devait le faire ». Ou que le FMI, par la bouche de l’un de ses hauts responsables, confirme que « personne ne bénéficierait d’un défaut de la Grèce ». Ce qui est incontestable, mais s’en inquiéter ne permettra pas d’y échapper.
 
La troika chargé de la surveillance de la Grèce – composée de l’Union européenne, la BCE et le FMI – n’est pas restée inactive, à l’inverse de son attitude vis à vis de l’Irlande : elle a tout simplement décidé de repousser des stress tests des banques grecques, qui devaient intervenir en raison des sourdes inquiétudes qu’elles suscitent, au prétexte d’attendre l’échéance des neuf mois d’application du plan de redressement gouvernemental. En réalité, elle n’a pas voulu qu’ils soient simultanés au road show du ministre des finances, sa tournée de propagande en faveur de la souscription aux prochaines émissions obligataires grecques…
 
Les stress tests des banques, c’est dorénavant bien connu, ne sont effectués que si leurs résultats sont favorables  !
 
Vient le cas du Portugal, qui s’annonce très difficile. Diario de Noticias, quotidien de référence du pays, publiait en fin de semaine les déclarations de trois anciens ministres des finances, qui unanimement reconnaissaient que le pays allait difficilement pouvoir éviter de faire appel au FMI. A remarquer qu’il n’est même plus question de l’Union européenne ! Antonio de Sousa, lobbyiste en chef des banques, admettait que celles-ci étaient en grande difficulté et ne parvenaient plus à lever des fonds à l’étranger. Une nécessité vu l’étroitesse du marché financier portugais. Enfin, Cavaco Silva, le président portugais, tenait dans la foulée une réunion avec le gouverneur de la banque centrale, tandis que le gouvernement annonçait de nouvelles mesures d’austérité, sous la forme d’un nouveau budget 2011 d’urgence.
 
Une telle situation n’est pas durable longtemps, quand bien même la BCE continuerait de tenir à bout de bras le système bancaire portugais, alors que le taux des obligations souveraines à dix ans est remonté à 6,3%, un pourcentage qui renoue avec celui des pires moments de la crise européenne.
 
Les autorités européennes vont-elles continuer longtemps à faire l’autruche et garder la tête dans le sable  ? La crise irlandaise devrait sonner comme un signal d’alarme, mais il n’en est rien, la loi du silence et l’attentisme continuent de s’imposer. Elles restent donc étrangement silencieuses, ou accaparées par d’autres polémiques, comme si elles n’avaient pas d’autre issue que d’activer dans l’urgence, quand cela ne pourra plus être évité, un Fonds européen de stabilité financière (EFSF) potentiellement pourvu de 440 milliards d’euros et avant tout destiné dans sa conception à rester dissuasif.
 
Un plan qui suppose d’emprunter sur les marchés, les sollicitant avec des conséquences imprévues, pour prêter aux Etats en difficulté à des taux élevés pour les inciter à l’effort budgétaire. Alors que ce fonds vient de bénéficier de la note AAA, attribuée par Moody’s, Standard & Poor’s et Fitch, augurant de taux dans la fourchette basse s’il devait emprunter. Une note maximale qui pourrait cependant être revue à la baisse, a-t-il été précisé, si celle de l’un des principaux pays garants était baissée.
 
Simon Johnson, ancien chef économiste du FMI dorénavant plus connu pour sa critique acérée des mégabanques et de l’oligarchie, vient une fois de plus de mettre les pieds dans le plat. Il propose aux européens d’émettre des Brady bonds (des obligations du nom de leur initiateur), en référence au mécanisme qui avait été mis en place en 1989 afin de sortir l’Amérique latine de la crise financière dans laquelle elle était alors plongée depuis le début des années 80. Pour faire bonne mesure, il a proposé de les appeler « Trichet bonds », celui-ci appréciera….
 
Sans entrer dans les détails, des pays en situation de défaut ont pu, selon ce mécanisme, émettre des obligations bénéficiant de garanties extérieures. A ce propos, un montage financier complexe associait des T-bonds US et des fonds provenant du FMI et de la Banque Mondiale, afin d’appuyer les nouvelles obligations sur des collatéraux présentant bien. Les intérêts des obligations émises étaient eux-mêmes garantis par le Fed de New York ! Les Brady bonds ont à l’époque permis aux banques d’échanger leurs créances sur les pays en difficulté avec ces obligations négociables sur le marché, afin d’évacuer de leurs bilans les dettes souveraines soumises à dévalorisation. Le parallèle avec la situation actuelle est évident.
 
Si les Européens devaient s’inspirer de ce précédent, toute la question serait celle des garanties qui devraient être offertes à l’appui du dispositif. On a vu, à l’occasion de la laborieuse mise au point de l’EFSF, que le principe même d’une mutualisation de celles-ci était inacceptable notamment par l’Allemagne. Et l’on voit mal la BCE, en raison de son statut, participer à un tel montage pour elle acrobatique. Les Brady bonds étaient nettement mieux dotés.
 
Un plan de ce type n’est donc pas d’actualité, laissant pendante la crise européenne avant qu’elle ne rebondisse, d’autant qu’il ne serait rien d’autre qu’une pirouette de plus, ne réglant rien comme d’habitude. On en resterait à émettre de la dette afin d’en financer d’autres…


 

Citation :


Jeudi 26 août 2010 4 26 /08 /2010 15:40
Automne 2010: La course à la ruine généralisée
 
             
 
Ce que nous appelions fordisme boiteux dans l’article du 19 juillet dernier correspondait à la construction – depuis la fin des trente glorieuses- d’un désajustement macroéconomique entre offre globale et demande globale. La mondialisation (étape 2) permet d’échapper au partage classique des gains de productivité. Mais la demande globale se maintient par « artificialisation de la plus value relative » (étape 3), mais aussi par la magie financière  au profit des ménages (étape 4) et la magie financière au profit des vieux Etats- providence ( étape 5) . La crise elle-même apparaissant comme le dépassement des limites autorisées par la fuite en avant par la dette et donc la dislocation de la magie financière.
 
Nous disions aussi qu’il n’y aurait pas de rétablissement du paradigme perdu.
 
 Certains souhaitent apparemment aggraver les choses,  et  soutiennent que  la crise n’est pas mondiale et se borne pour l’essentiel aux vieux pays victimes d’un défaut de productivité devenu abyssal. Point de vue jusqu’ici majoritaire, d’où les purges qu’il faudrait infliger, et que l’on inflige, par exemple aux pays du « club med ». Comme le rappelle fort justement Paul Fabra, la mondialisation est plus que le libre échange, et les « moins bons » ne disposent pas « d’avantages comparatifs » qui faisaient que dans le célèbre exemple du vieux Ricardo, l’Angleterre ne disparaissait pas malgré la surproductivité absolue  du Portugal. Aujourd’hui, la mondialisation, est en théorie, un déménagement autrement radical, puisque tout ou presque, peut être produit à meilleur compte en Asie. Le défaut de productivité n’est pas seulement abyssal : il est irrattrapable. D’où notre proposition -dans  notre article du 16 juillet- d’un accord international sur l’obligation réglementaire d’un équilibre des comptes extérieurs de chaque pays. Les entrepreneurs politiques au pouvoir dans la plupart des pays, parce que nourris à la théorie néoclassique dominante, pensent qu’il y a va de leur intérêt  de continuer à agir  comme avant  le séisme de la crise.
 
D’autres, apparemment  moins écoutés  par les entrepreneurs politiques présents, pensent que le conflit de répartition de la valeur ajoutée doit connaitre une modification des rapports de forces. S’il y a eu développement de la magie financière, ce que nous appelions la « gigantesque finance » dans notre article du 6 mars dernier, c’est précisément en raison de la chute - en longue période-  de la part des salaires  dans la valeur ajoutée brute. Point de vue repris dans nombre de travaux économétriques et parfois- mais très rarement- contestés s’agissant de la France (Denis Clerc). Approximativement, cette thèse repose sur le mythe du paradigme des 30 glorieuses qui par la redistribution des gains de productivité permettait un partage satisfaisant des PIB. Il s’agit donc d’une pensée issue de la famille keynésienne, pensée qui depuis quelques mois, se structure chez des auteurs anglo-saxons comme Krugman  ou français comme Artus.
 
Il est tout d’abord exact de constater que le conflit traditionnel de répartition de la valeur ajoutée brute continue de fonctionner au  désavantage des salariés. Le tableau suivant mérite attention :
 
 Variation prévue de la productivité      Variation prévue de la part des salaires
 
           Entre  2008 et 2010  (en%)                          entre 2008 et 2010 (en%)
 
Irlande                                  8,8                                                     -1,6
 
Espagne                               5,5                                                     -0,7
 
USA                                       4,6                                                     -2,2
 
France                                  1                                                        -0,4
 
Zone euro                            -0,2                                                   0,9
 
Japon                                    -0,6                                                   -0,3
 
Italie                                      -0,9                                                   0,7
 
Grèce                                    -1,9                                                   1,2
 
RU                                          -2                                                       0,6
 
Allemagne                           -3,4                                                   1,4
 
 
 
Sources : Commission européenne et calculs Alternatives économiques  
 
Il révèle,  en premier lieu, une corrélation entre l’importance des gains de productivité et la chute de la part des salaires dans la valeur ajoutée brute. C’est particulièrement vrai pour le cas des USA. Cela signifie que la première économie mondiale (14204 milliard de dollars pour 2008 contre 13565 pour la zone euro et 4909 pour le Japon) souffre d’un déficit de demande interne qui ne justifie pas un investissement élevé malgré l’accroissement des profits. Les ménages titulaires de salaires, voient leurs revenus décroître, et se mettent à épargner 6% de ces mêmes revenus en 2010 contre 1% en 2007. Autant dire qu’il ne peut être mis fin à l’abyssal déficit fédéral  (plus de mille milliards de dollars) sans effondrement de l’économie américaine.
 
En second lieu si la zone euro est en meilleure position sur le plan de la demande globale, elle souffre d’une extrême  hétérogénéité. L’Irlande et l’Espagne sont dans une situation désespérée, et là aussi , une baisse en valeur absolue des déficits publics risque de se matérialiser par une hausse des valeurs relatives, le dénominateur  (PIB) baissant plus rapidement que le numérateur (déficit absolu).La position de Standard § Poor’s qui vient de dégrader la note de l’Irlande est probablement justifiée. Les chiffres concernant la Grèce, ne révèlent pas encore l’importance des mesures prises au printemps dernier, mais rejoindront bientôt ceux des deux pays sus visés : la chute brutale du niveau de l’emploi  se traduira par une augmentation rapide de la productivité et une baisse de la part des salaires dans la valeur ajoutée brute.
 
De fait, si la zone euro est en meilleure position en termes de demande globale, c’est- fort peu- en raison de la position de la France et presqu’uniquement en raison de la position de l’Allemagne. Si dans ce dernier pays la productivité a beaucoup baissé, c’est en raison des mesures prises concernant le chômage partiel. De fait la croissance allemande nouvelle (jusqu’à plus de 3% de croissance prévue pour 2010) va se traduire par l’augmentation de la productivité sans qu’il soit possible de dire quoi que ce soit sur l’évolution future de la part des salaires.
 
Nous n’avions pas à notre disposition les chiffres concernant la Chine. Toutefois l’effet de l’énorme plan de relance  a logiquement abouti - en maintenant artificiellement une très forte croissance - à une chute de la part de la consommation dans le PIB, laquelle n’a -avec seulement 32% du PIB- jamais été aussi faible. La Chine est donc aussi dans une position de faiblesse de la demande globale, avec une consommation trop faible mal compensée par des investissements pharaoniques dans le secteur public ou immobilier ( 62 millions de logements neufs seraient aujourd’hui inoccupés).
 
Au niveau mondial maintenant, selon Natixis, la productivité par tête progresserait de 3% en 2010, tandis que le salaire réel ne progresserait que de 1,5%.
 
Au total, les partisans d’une répartition de la valeur ajoutée plus favorable aux salariés semblent voir, dans l’inversion d’une tendance lourde d’augmentation de la part des profits, la solution à la crise, et la possibilité de voir le secteur privé, prendre le relai des relances publiques aujourd’hui à bout de souffle.
 
Les lecteurs de ce blog savent que les deux points de vue exposés mènent également à l’impasse.
 
 Les partisans de la « logique sacrificielle » ( Stiglitz) ne font qu’accélérer la catastrophe annoncée : la Grèce risque de mourir sur l’autel du « dieu productivité » lequel exige des  sacrifices toujours plus élevés et jamais libérateurs.  
 
Les partisans de la nouvelle répartition devraient comprendre que la mondialisation, telle que conçue jusqu’à maintenant, est une barrière à toute élévation de la demande globale. Dans les années 30, la barrière à l’élévation de la demande autorisant les débouchés à l’énorme production de masse d’un fordisme naissant, était l’absence d’entrepreneurs politiques, qui ne voyaient pas encore la gigantesque rente qu’ils pouvaient percevoir en faisant naître l’Etat- providence. Ce que Ford avait conçu par tâtonnements successifs : production de masse associée à des salaires élevés- le fameux « five dollars/day » de 1913-  n’était pas généralisable à l’ensemble de l’espace social. La barrière était la concurrence sauvage, empêchant une augmentation des salaires payée par la productivité, et assurant les débouchés de la production de masse. Ce sont les entrepreneurs politiques, qui ont vendu sur les marchés politiques, la régulation globale, c'est-à-dire la généralisation du fordisme : législation du travail, protection sociale etc. Pour le plus grand succès du paradigme fordien, et ce pendant plusieurs dizaines d’années dans beaucoup de pays. Aujourd’hui,c’est d’une nouvelle généralisation dont le monde a besoin. La forme nouvelle de la concurrence sauvage, est ce qu’on appelle la mondialisation dont on pense à tort, qu’elle est l’aboutissement naturel  du libre échange. Elle est au contraire ruineuse en ce qu’elle disloque les sociétés et contrarie des droits fondamentaux (cf. notre article du 5 juillet dernier). Les entrepreneurs politiques des pays dits émergents l’ont parfaitement compris. Les BRIC ne sont pas des entités solubles dans le marché mondial. Ce sont simplement des Etats en développement. Etats reprenant, de façon au moins temporaire,  tout ou partie des recettes qui firent le succès de l’occident.
 
La nouvelle généralisation, est pour le moment utopique en ce qu’elle bouleverse l’ordre des marchés politiques à l’échelle de la planète. C’est la raison pour laquelle, le paradigme qui sera plus probablement mis en place, passera par  la négociation planétaire de la sortie de la mondialisation. Comme on le sait, même pour ce qui n’est qu’un « second best », les esprits, comme les intérêts, sont encore très loin d’y voir autre chose qu’une utopie rétrograde. C’est la raison pour laquelle les idées en vogue aujourd’hui – idées que nous venons de rappeler dans le présent texte- additionnent leurs forces pour accélérer la course à la ruine généralisée.
 
Bonne rentrée à toutes et à tous.
Par Jean Claude Werrebrouck


Message édité par Absolument Fabuleux le 20-09-2010 à 18:30:16
n°24018715
freeza01
Posté le 20-09-2010 à 19:30:22  profilanswer
 
n°24018920
KimBrendel
X JAPAN 01/07/2011 @ Paris
Posté le 20-09-2010 à 19:56:12  profilanswer
 

La vache, pour une fois un mec qui passe sur BFM a donné un méga bon plan, ID Identify Solutions, qui pourrait se prendre une OPA, peut être par Safran, il en parle y a 1 semaine, aujourd'hui +20%
http://www.google.com/finance?q=NYSE:ID

n°24019665
Absolument​ Fabuleux
Et en plus, je suis immortel.
Posté le 20-09-2010 à 21:00:13  profilanswer
 


 
 
Le 1er : le blog de Paul Jorion : http://www.pauljorion.com/blog/?p=16098
 
Le second : le blog de Jean Claude Werrebrouck : http://www.lacrisedesannees2010.com/

n°24024021
AirbaT
Connection timed out
Posté le 21-09-2010 à 09:49:17  profilanswer
 

Ben alors les filles, c'est la déprime ? Personne pour shorter les 3800 ?

mood
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Posté le   profilanswer
 

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