Vous êtes fan de Malick , c'est ça ?

Once Upon A Time... In Hollywood
J'ai adoré pour ma part, j'ai eu exactement ce à quoi je m'attendais, voir plus.
C'est un film de passionné de cinéma, fait par un passionné, pour des passionnés. Et je parle de "vrai" cinéma, à l'ancienne si l'on veut, à l'opposé du ciné post 2000 avec CGI et storyline infantile, qui recherche avant tout à faire un max de thune plutôt que de la qualité.  
Ici, on nous replonge dans le cinéma du Nouvel Hollywood. Les spectateurs ne connaissant pas ce mouvement seront forcément lésés.
Et ce mélange de fictif et de réel, un peu comme Inglorious Basterds, rend le produit assez unique en son genre.
C'est un film de QT certes, mais très personnel et donc très fidèle à l'artiste. Que je conseille grandement à ce topic, ou du moins au intervenant(e)s cultivés de celui-ci
Le thème du film n'est pas la vengeance et ce n'est pas un film de gangsters, mais plutôt une réflexion sur le métier d'acteur (et autres métiers du 7e art) à cette époque : la transition vers un nouveau cinéma, la ringardisation des acteurs populaires par de nouveaux jeunes acteurs prometteurs, leurs mode de vie, leurs dérives, leurs succès. Rajouter à cela l'histoire de l'époque à L.A. avec notamment la famille Manson.
La fin est déroutante, j'en dis pas plus Il est certain que les personnes ne connaissant pas le destin tragique de l’épouse de Polanski à cette époque passeront à côté de la fin, et de la saveur générale de cet arc narratif.
Tellement de références bandantes dans ce film, je spoile au cas où celles que j'ai retenu :

Bah voilà, tu dois faire parti des personnes lésés justement Et qui du coup, se tourneront plutôt vers du cinéma d'action US comme les F&F ou les Marvel, beaucoup plus accessibles pour le public lambda.

Attention, glisser beaucoup de références dans un film est une facilité bien connue pour séduire l'audience et donner l'illusion d'un film de qualité. Les grands films servent de référence mais n'en font pas. Et Tarantino est le maître de l'artifice.

Attention, glisser beaucoup de références dans un film est une facilité bien connue pour séduire l'audience et donner l'illusion d'un film de qualité. Les grands films servent de référence mais n'en font pas. Et Tarantino est le maître de l'artifice.
 
Un film de Tarantino qui s'adresse à un public cultivé ? Pourquoi pas. Jusqu'à présent, ses films m'ont surtout "lésé" par leur vacuité, ce sont des films d'action lambdas dans un emballage prétentieux, le F&F du bobo pseudo-cinéphile No-offense, ce n'est pas contre toi.
 
Mais le dernier film de QT auquel j'ai donné une chance, Django unchained, m'a dégoûté pour pas mal d'années : caricatural à l'extrême, puéril, bête, gratuit...

Un peu comme balancer "films d'action gnagna CGI gnagna F&F gnagna Marvel" pour faire croire qu'on a de la culture, la démonstration de valeur du pauvre

Attention, glisser beaucoup de références dans un film est une facilité bien connue pour séduire l'audience et donner l'illusion d'un film de qualité. Les grands films servent de référence mais n'en font pas. Et Tarantino est le maître de l'artifice.
 
(...)

+1
 
Rien de plus facile que de foutre une réf' dans un film, mais ça doit être un outil, un moyen, pas un but. Foutre une ref' pour la ref' est à la portée de n'importe qui.

le réalisateur a pris tout les ingrédients d'un polar coréen mais a oublié l'intrigue.
ça donne un film plat du début à la fin.

Quand on voit que 2001 est surestimé par certains ici, je sais pas qui est le plus pauvre. Je comprends pourquoi Prodigy, meriadeck & cie ne viennent plus ici.
(no redface)

Surtout quand ils lisent ce genre de sentence. No redface.

j’étais à deux doigts d'aller le voir vendredi, mais j'ai eu peur d'une énième caricature de film policier coréen.
Depuis Burning je fais attention...

Tu peux y aller. C'est à l'opposé de burning. Ici on est dans le film bien burné où la tatane part vite.
Moi j'ai bien aimé burning. J'ai été un peu déçu part celui-ci qui parfois un peu caricatural.
Dans le genre film avec la mafia, récemment, j'ai plus accroché à Sans pitié.

https://upload.wikimedia.org/wikipe [...] eotape.jpg
30 ans pour Sexe, Mensonges et Vidéo le mois prochain.
Jamais vu. Ca se tente?

Je me suis infligé Bastille day.
 
Beaucoup trop de conneries pour en faire la liste ici mais si jamais vous hésitiez, n'hésitez plus... passez votre chemin.

C’est déjà fini ?

Tanguy, le retour
 
Grosse déception.
les 955K sont étonnants, surement les mêmes ( avec quelques morts en moins) qui ont été voir le 2.

 
Y'a pas eu de Tanguy 2 entre l'original et le retour

Once Upon A Time... In Hollywood
J'ai adoré pour ma part, j'ai eu exactement ce à quoi je m'attendais, voir plus.
C'est un film de passionné de cinéma, fait par un passionné, pour des passionnés. Et je parle de "vrai" cinéma, à l'ancienne si l'on veut, à l'opposé du ciné post 2000 avec CGI et storyline infantile, qui recherche avant tout à faire un max de thune plutôt que de la qualité.
Ici, on nous replonge dans le cinéma du Nouvel Hollywood. Les spectateurs ne connaissant pas ce mouvement seront forcément lésés.
Et ce mélange de fictif et de réel, un peu comme Inglorious Basterds, rend le produit assez unique en son genre.
C'est un film de QT certes, mais très personnel et donc très fidèle à l'artiste. Que je conseille grandement à ce topic, ou du moins au intervenant(e)s cultivés de celui-ci
Le thème du film n'est pas la vengeance et ce n'est pas un film de gangsters, mais plutôt une réflexion sur le métier d'acteur (et autres métiers du 7e art) à cette époque : la transition vers un nouveau cinéma, la ringardisation des acteurs populaires par de nouveaux jeunes acteurs prometteurs, leurs mode de vie, leurs dérives, leurs succès. Rajouter à cela l'histoire de l'époque à L.A. avec notamment la famille Manson.
La fin est déroutante, j'en dis pas plus Il est certain que les personnes ne connaissant pas le destin tragique de l’épouse de Polanski à cette époque passeront à côté de la fin, et de la saveur générale de cet arc narratif.
Tellement de références bandantes dans ce film, je spoile au cas où celles que j'ai retenu :

Bah voilà, tu dois faire parti des personnes lésés justement Et qui du coup, se tourneront plutôt vers du cinéma d'action US comme les F&F ou les Marvel, beaucoup plus accessibles pour le public lambda.

Oui, pas compris non plus

Once Upon A Time... In Hollywood
J'ai adoré pour ma part, j'ai eu exactement ce à quoi je m'attendais, voir plus.
C'est un film de passionné de cinéma, fait par un passionné, pour des passionnés. Et je parle de "vrai" cinéma, à l'ancienne si l'on veut, à l'opposé du ciné post 2000 avec CGI et storyline infantile, qui recherche avant tout à faire un max de thune plutôt que de la qualité.  
Ici, on nous replonge dans le cinéma du Nouvel Hollywood. Les spectateurs ne connaissant pas ce mouvement seront forcément lésés.
Et ce mélange de fictif et de réel, un peu comme Inglorious Basterds, rend le produit assez unique en son genre.
C'est un film de QT certes, mais très personnel et donc très fidèle à l'artiste. Que je conseille grandement à ce topic, ou du moins au intervenant(e)s cultivés de celui-ci
Le thème du film n'est pas la vengeance et ce n'est pas un film de gangsters, mais plutôt une réflexion sur le métier d'acteur (et autres métiers du 7e art) à cette époque : la transition vers un nouveau cinéma, la ringardisation des acteurs populaires par de nouveaux jeunes acteurs prometteurs, leurs mode de vie, leurs dérives, leurs succès. Rajouter à cela l'histoire de l'époque à L.A. avec notamment la famille Manson.
La fin est déroutante, j'en dis pas plus Il est certain que les personnes ne connaissant pas le destin tragique de l’épouse de Polanski à cette époque passeront à côté de la fin, et de la saveur générale de cet arc narratif.
Tellement de références bandantes dans ce film, je spoile au cas où celles que j'ai retenu :

 
Y'a pas eu de Tanguy 2 entre l'original et le retour

Oui, pas compris non plus

Perso j'ai bien aimé Once Upon a Time… in Hollywood. C'est vrai qu'on a l'impression de regarder un film à sketchs autour des trois personnages principaux plutôt qu'une vraie histoire. Mais ça ne m'a pas dérangé, j'ai trouvé le film cool, c'est tout.

 
Pour référentiel, j'ai beaucoup aimé Inglourious Basterds, mais pas Django Unchained ni The Hateful Eight, que j'ai trouvés trop longs et qui manquent de rebondissements à mon goût.

Depuis IB, ses films durent plus que 2h30. C'est même devenu le standard actuel des films aujourd’hui. Alors ouais, si on est pas dedans, ça semble interminable