Reprise du message précédent :
Après la Vie : ATTENTION, ENORME SPOILER
 

• En fait, c'est Melki qui balance la planque de Belvaux à Jaquillat (la scène était louche dans le 2e, on voyait bien que ce n'était pas la police dans le garage, mais sans plus d'explications) qui, rajouté au fait que Melki ait vu sa femme avec Belvaux, explique la fin de Cavale, et la mort de Belvaux. Le seul moyen de laisser une porte de sortie à Belvaux, c'était d'occupper les flics sur place; c'est pour ça qu'il a mis Jacquillat dans le coup: les deux cotés se neutralisent, et Melki espérait que ça permettrait à Belvaux de continuer sa cavale

Hum là j'avoue ne pas bien comprendre. Pourquoi laisse-t-il une porte de sortie à Belvaux? Parce qu'il a aidé sa femme?
 

• La rencontre Melki/Docteur, que Morel prenait pour une conspiration, alors que Melki cherchais à se renseigner sur la Metadone Exact!

• Le fait que Blanc aille chercher sa drogue. On sait que Melki ne peut plus la lui fournir, mais on sait maintenant qu'il refuse d'aller lui en chercher lui-même, dans la rue, à cause de la qualité douteuse. Par conséquent, il est responsable de la rencontre de sa femme avec Belvaux (et d'un certain énervement de Jacquillat, dont un des dealer s'est fait tabasser, et qui ne sera plus fourni). Exact aussi

FIN DU SPOILER
 
C'est nu des gros trucs de la trilogie : après coup, c'est vraiment la séance de décortiquage!

Moi j'adore Altman.
Je place Short Cuts parmi mes 10 films favoris.  
Et je n'oublie pas:
McCabe & Mrs Miller, Nashville, Quintet, 3 Femmes, Un marriage, Reviens Jimmy Dean, Reviens, The Player, MASH, Brewster McCloud  sans oublier enfin ce petit chef d'oeuvre méconnu: Secret Honor.
A+,

"PRET A PORTER"
 

Comme tu as vu, il ne figure pas dans ma liste, celui la, ni le Dr T...
Mais ceux que j'ai cités sont excellents (bon Quintet, faut etre un mordu des films de SF, parce que c'est plutot un nanard...).  
A+,

il était mieux avant    
Altman est devenu vieux, franchement taper sur le haute couture ça montre kil est ramoli du bulbe  

 
Je croyais que Discussions avait été fait pour éviter ce genre de réponse à 1 smiley. Tu as kkchose à dire ?
 
Prodigy

Je pense surtout qu'il a traité d'un milieu qu'il ne connaissait pas du tout, et qu'il a ete mal conseillé sur ce film là.
A+,

   
Ban me up Scotty!
  Adieu

Oui... C'est comme ça que je l'ai prit en tout cas. Pourquoi il file la plaque à Jacquillat? Parce que Melki ne veux pas tuer (seul moyen d'obtenir sa drogue). Mais pourquoi avoir risqué un affrontement flics/gangsters? Belvaux a aidé sa femme, et Melki sait la seule chose qu'il peux faire, c'est continuer sa fuite, et rester calme (il ne sait pas encore que Jacquillat est mort), alors, la cavale de Belvaux doit en rester une, loin. L'histoire lui donne raison puisque Belvaux a, littéralement, disparu dans la nature. D'un point de vue plus thématique, Melki, c'est le héros: il est juste (policier, pas n'importe quel job), n'est pas un meurtrier, et doit gagner à la fin; Belvaux ayant laissé vivre sa femme (qu'il aurait pû laisser crever par la faute de Melki), Melki le laisse vivre (sachant pertinnament que les coups d'éclats, c'est fini pour lui); à la fin, le truand (Jacquillat) est mort, l'homme en cavale disparaît, et sa femme arrête la dope. Il a gagné.
FIN DU SPOILER
 
Enfin, c'est comme ça que je l'ai comprit, moi.

 
 
Prodigy

 
Ce n'est pas une réponse à un smiley c'est un up shaolin
 
   
 
Prodigy

LE CERCLE - THE RING     /!\ spoiler free /!\
 
     Remake du film d'Hideo  Nakata (dont je suis fan), je m'attendais pas à une merveille: Gore Verbinski aux commandes (La Souris, sympa sans plus / Le Mexicain, hum, sans commentaires), scénario réécrit par Ehren Kruger (Arlington Road, plutôt bon, voire plus / Scream 3, pas de commentaires non plus), avec Naomi Watts (saurait-elle confirmer après Mulholland Drive?)...
 
     Est-ce qu'ils ont réussi ce remake? Réponse simple: oui. Enfin, plus exactement: "OUI!!!". On va pourtant commencer par les griefs:
- A peu près tous les détails de l'histoire sont expliqués clairement, alors que dans l'original, il y a pas mal de suggestion, de sous-entendus. Ces non-dits devenant des dits, certaines scènes paraissent moins tendues.
- Le côté "légende urbaine" se transforme (au bout d'un tiers de film) en coté "fantastique", peut-être justement à cause du fait que le spectateur a trop de cartes en main, et du coup, l'aspect film de cinéma, lisse, travaillé ressort plus que dans l'original.
- Sadako gardait beaucoup de mystère dans le film de Nakata, alors que dans la version de Verbinski (où son nom est Samara), elle est exploitée sous toutes les coutures, et son aura me semble moins présente.
 
     Maintenant, je n'énumérerais pas de bons points, ils seraient trop nombreux. Et je vais même adoucir mes critiques: cette abondance d'explications apporte une clarté, qui pourrait étonner de part le sujet, mais grâce à Verbinski et Kruger, ce traitement américain est tout aussi valable, parce que plus fluide (dans le sens: plus abordable par le spectateur lambda). Maintenant, vouloir faire de Ring un film purement fantastique (/frissons), c'est ce qui m'a le plus gêné, mais le remake gardant un côté vraiment malsain (plutôt étonnant et réussi, d'ailleurs), l'habileté de l'équipe fait passer ça comme une lettre à la Poste; le fait étant que, dans la version originale, on a tendance à croire à la légende urbaine (c'est bien arrivé au Japon, pourquoi pas ça arriverait pas dans mon patelin?), alors que dans le remake, on perd cette sensation (ça arrive aux States, tant pis pour eux). Pour l'exploitation de Sadako/Samara, ça va dans les sens des deux critiques précédentes: tant pis pour le mystère, le tout restant trés efficace.
 
     Now, il y a des ajouts dans ce remake; le plus évident étant l'importance de la mère de Sadako, qui devient un facteur important dans la nature de la vie et du psychique de celle-ci. Par la même occasion, une histoire de cheval se greffe (pour étoffer le personnage de la mère) sur l'histoire originale, mais je n'en dirais pas plus. Il y a d'infimes disgressions, influençant plus ou moins l'histoire (et même la fin, trés similaire, et pourtant plus perverse), ce qui est loin d'être désagréable. Il y a aussi, et surtout, tous ces clins d'oeils à la culture asiatique (une estampe par-ci, des caractères japonais par-là); et, à ne pas manquer, une trés bonne séquence d'intro: deux jeunes filles, habillé façon écolières japonaises (mini-jupes écossaises plissée, chemises blanches savamment déboutonnées) commencent l'histoire, et le spectateur se croit tout droit sortit d'une resucée de Scream (éclairage, lieux...), avant de se rendre compte qu'il vient de se faire berner.
 
     Verbinski assure. vraiment. C'est pas un génie, pas un grand innovateur, mais sa caméra ne défaille pas, et il arrive même sur certains plans, sur certaines scènes, à nous foutre vraiment les chocottes; il y a du Carpenter chez ce gars-là, aussi incroyable soit-il. Ehren Kruger a réussi là où beaucoup de gens le voyaient échouer, il a sû prendre le scénario original, en y retirant que peu de choses, et en rajoutant des petits raccourcis, des petites touches qui savent à la fois destabiliser le spectateur fan de l'original (en l'intriguant, c'est bon signe), tout en faisant croire à ceux qui déécouvrent cette histoire qu'ils sont en terrain connu. En ce qui concerne les acteurs, Watts en tête, vraiment rien à redire, ils sont moins intériorisés que dans l'original, mais rien ne détonne, et tout l'ensemble est cohérent.
 
     Bon, comme vous pouvez le constater, j'ai bien aimé. J'ai pas le bon goût ultime, mais je pense que, que l'on soit fan de l'original ou qu'on ne l'ai pas vu, ce remake américain est à voir, parce qu'il apporte quelque chose, sans détruire le potentiel. Pour ceux qui ont vu la version japonaise, et qui ne l'on pas aimé, je conseille quand même de lui donner une chance: le traîtement est différent, et même si l'histoire est identique à 95%, le film est efficace.
 
       
 
 
 
DITA IN RUBBER
 
     Là, j'ai pas le droit d'en dire plus, ce serait pas charte-compliant. Mais je conseille à Krapal, Lorelei, et autres fans de cuir/latex/fetish de se jeter dessus (pétÿ indice: c'est une VHS de l'internet). Même DM y trouvera son compte (aaah, ce pétÿ ensemble en latex mauve!!). Dita Von Teese est toujours aussi jolie, ses habillages (un anti-striptease, quoi) son savamment délicieux, et, rien que pour ce bruit de latex qui se plie, se frotte, et luie à la lumière, ça vaut le coup d'oeil.
 
     
 
 
EDIT: mise en page.

MARIAGE A LA GRECQUE (My Big Fat Greek Wedding)     /!\ trés trés légers spoilers /!\
 
     Tula est grecque. Elle mange grec, elle vit grec, elle parle grec. Et sa famille aussi; sa grande famille. Le problème est qu'elle a 30 ans, elle est célibataire, et ses parents se posent des questions... C'est alors qu'elle rencontre Ian. Mais Ian, il n'est pas grec. Comme le dit le père de Tula: "il y a deux sortes de gens dans le monde; les grecs, et ceux qui voudraient bien être grecs". Ian optera donc pour la deuxième proposition.
 
     Si vous trouvez que le mot "grec" à été utilisé trop souvent à votre goût dans le premier paragraphe, n'allez pas voir ce film. Pour les autres, vous pouvez y aller les yeux fermés; ce n'est certe pas la comédie romantique du siècle, mais il s'agit quand même de 1h30 de bonheur sur pellicule. Contrairement à d'autes films, on ne rie jamais des coutumes (grecques), mais ont rie avec elles. Il n'y a pas de méchanceté, pas plus que d'habituel retournement de situation bidon ("oh, je suis célibataire, je te rencontre mon chéri, mais keskessé que ça tu m'as menti; oh pis, flûte, je t'aime quand même mon mamour choupinet" ): ici, tout le monde est attachant, Tula aime Ian et il n'y a pas d'accrocs dans l'histoire. Ca ne veut pas dire que c'est inintéressant, ça veut dire que vous aussi, à la fin, vous serez de la seconde catérorie: ceux qui ont envie d'être grecs.
 
     Ils sont envahissants. Ils parlent fort. Ils sont grecs. Un peu comme la communauté judaïque de La Vérité Si Je Mens (l'humour est différent, mais la tendresse envers un environnement familial différent est la même): on s'attache vite à des personnages hauts en couleurs, portés par Nia Vardalos (Tula) - le film est basé sur un de ses one-women show - dont la prestation aurait presque value une nomination aux Oscars. Le scénario et la réalisation s'effacent assez vite, pour faire place au casting, mais, après tout, ce n'est ni pour le réal ni pour le scénariste qu'on va voir ce film. On y va pour passer un bon moment, et on y ressort avec un grand sourire aux lèvres.
 
 

Ce week end j'ai vu Charlotte Gray, avec la toujours excellente (et jolie   ) Cate Blanchett, plutôt correct, bien joué, réaliste quand il le faut, même si voir la France parler anglais ça fait quand même super "hollywood" et du coup ça atténue grave le propos. Regardable quand même
 
Par contre In the bedroom, le film encensé par la critique, nominé 5 fois aux Oscars, avec mise en scène pseudo sans effets (ce qui est un effet en lui-même), discours psychologique façon soirée Thema sur Arte, pour obtenir au final un discours pas si loin des films de Charles Bronson où il pétait la gueule aux méchants qui avaient fait du mal à sa fille. Là c'est pareil mais enrobé dans des allures de film 'arty' et 'intelligent'... Le danger du cinéma indépendant qu'on considère forcément comme moins con que le cinéma d'hollywood, mais qui véhicule parfois les mêmes inepties... Gerbant
 
Prodigy

j'viens de voire le cercle
 
c'est bien flippant, j'etais   dans mon fauteuil.
L'est vachement bien fait, les ptites musiques de fond, les images "flash" bien surprenantes quand tu t'y attends pas...
 
 
un spectateur satisfait

j'ai vu monsieur N et vraiment c'est bien!!! les acteurs jouent super bien et assez vrai... les images sont belles...
ça change "des morsures de l'aube"!!!
 
enfin à voir...
 
sinon en DVD j'ai revu cette nuit "Arlington Road"... celui qui ne le connait pas.. loupe quelque chose!!!

Bien aimé les Morsures de l'aube, moi, malgré un scénar tout bidon
 
Prodigy

 
la nana italienne fille du gars spécialiste en fil ghor...
est vraiment nul de chez nul... d'ailleur elle est aussi dans triple X et ça continue à fair peur!!

 
Asia Argento...j'ai pas vu ceux-ci, mais elle pas si mauvaise dans La Sirene Rouge.

elle a un lien de parente avec le cineaste?

Bah stun peu sa fille.

 
+ Cookie's Fortune.

merci de l'info

Bon, je suis en retard au niveau critiques, donc je vais tâcher de faire court. Si certaines choses paraissent un peu légère, je pourrais approfondir plus tard.
 
 
 
MAGIC BASKET (Like Mike)     /!\ trés trés légers spoilers /!\
 
     Lil' Bow Wow est orphelin (c'est triste), mais il a Jonathan Lipnicki pour ami (c'est bien). Dans leur orphelinat, ils se font maltraiter (c'est re-triste), mais le jour où une bonne-soeur leur ramène des vêtements usagés, il y trouve une paire de basket, soit-disant ayant appartenu à Michael Jordan (c'est re-bien). Par un concours de circonstances - fantastisqme? Magisme? -, ces basket se retrouvent magiques (d'où croyez-vous qu'ils tiennent le titre?). Par conséquent, il sera embauché dans une équipe de NBA...
 
     Bon, allez, je vous raconte la fin: le méchant est puni, et Bow Wow est adopté. Mais on s'en fout. Tout le scénario est prévisible, aucun rebondissement n'est visible à l'oeil nu; la réalisation est d'une platitude consternante et le jeu d'act'eur est limité.
 
     Ceci-dit, le film se laisse regarder. Surtout si vous avez 10 ans. Si j'y suis allé, c'était pour Crispin Glover, qui y joue le méchant-pas-gentil; et c'est la meilleure raison de voir ce film (si vous avez plus de 10 ans): pas que le personnage soit réussi, mais, enfin, bref. Pour résumer: n'y allez pas, attendez qu'il passe à la télé pour coller votre petit frère devant.
 
 
 
ARRETE-MOI SI TU PEUX (Catch Me If You Can)     /!\ spoilers free /!\
 
     Les parents de Frank ont des problèmes, et ils en arrive à divorcer. Du coup, Frank fugue; mais l'argent manque. Par un concours de circonstance, il se dit qu'être pilote de ligne, ça doit être bien payé. Il se dégotte un costume, des faux diplômes, et même si ça ne lui donne aucun salaire, ça lui permet de voyager gratuitement, et d'avoir une bonne image auprès des banques pour faire accepter ses chèques falsifiés.
 
     Spielberg derrière, Hanks et DiCaprio devant (c'est pas sessuel) la caméra (vous voyez que c'est pas sessuel). Une sacrée affiche, même en faisant abstraction du reste de l'équipe. Le réalisateur est dans ses bons jours, et ça se sent; le sujet lui tient à coeur, et ça se sent aussi. Hanks, DiCaprio et Walken s'appliquent en s'amusant. Que du bon.
 
     Le film fait 2h20, et franchement, on ne les voit pas passer. Une fois qu'arrive le générique de fin est apparu, j'ai crû que ça faisait qu'1h30 que j'étais assis. Un film à voir, donc, même si vous n'aimez pas Spielby ou l'un des acteurs; ils vous feront changer d'avis. J'argmente pas trop, parce que beaucoup de monde ira voir ce film quoi qu'il arrive.
 
 
 
18 ANS APRES     /!\ trés trés légers spoilers /!\
 
     Marie a maintenant 18 ans (d'où le titre), n'a plus de couffin, mais a toujours ses trois papas. Le jour où sa mère revient des USA, avec son nouveau mari, et ses deux nouveaux beaux-fils, les papas précédemment cités s'inquiètent. Du coup, ils vont tous se retrouver dans le sud de la France pour passer leur vacances.
 
     C'est filmé en DV: certains peuvent donc dès maintenant passer à la critique suivante; ce film n'est pas un film de cinéma, c'est un film de famille. C'est là que le bât blesse. Parce que l'histoire se suit sans trop de problèmes, les actors s'amusent; mais cette réalisation batarde gâche tout: trop étudiée pour pour passer inaperçue, et trop "libre" (0 cause de la DV) pour passer pour du cinéma. Pour être franc, je crois que Coline Serreau est une réalisatrice surestimée, et ce film ne fait que confirmer mes position. Filmer cette suite avec le caméscope de papa est une (trés) bonne idée, mais elle n'a pas sû l'appliquer, et c'est bien dommage pour la réunion de famille.
 
     Certaines blagues font mouche, d'autres non. Si vous avez l'humour facile, allez-y. Si vous êtes fan du premier, allez-y. Sinon, c'est pas gagné pour pour que vous en sortiez content; ceci-dit, l'ensemble reste sympathique, si vous avez pas le choix (ou que vous avez vu tous les autres films à l'affiche).
 
 
 
MONSIEUR N.     /!\ spoilers free /!\
 
     Napoléon est déterré à St Hélène, pour que sa dépouille puisse être déplacée aux Invalides. C'est là que commence l'enquête d'un officier anglais, qui faisait partie de la garde rapprochée de l'Empereur durant ses dernières années. Mais, justement, que s'est-il passé sur cette île, pendant toutes ces années, sous ses yeux? Et surtout, comment est mort Napoléon?
 
     Deuxième réalisation d'Antoine DeCaunes (après, hum, "Les Morsures De L'Aube" ), centrée sur le mystère de la mort du fameux Monsieur N... Beaucoup de théories à ce sujet, mais je doit avouer que la version choisie ici est trés agréable (en donnant un côté trés humain au personnage). Le cinémascope choisi peut paraître étrange, mais, finallement, c'était le meilleur choix pour magnifier les décors, et donner de l'ampleur à Philippe Torreton. Autre bon point, avoir fait de ce film un film policier; le cadre est historique, bien sûr, mais c'est belle et bien décortiquer des indices, et résoudre l'énigme d'une mort qui est au centre de l'intrigue.
 
     Bon film; pas trés bon, juste bon. La faute à des longueurs, dont une grosse demie-heure de flottement après 1h15 de film. Mais tout le reste vaut le coup d'oeil, la mise en place, les détails de l'histoire; certaines choses ont une réalité Historique, d'autres sont purement imaginaires, mais l'ensemble est trés homogène. A voir, donc, si vous êtes pas allergique au genre.

 
Très bonne critique, elle résume ce que j'en ai pensé.
 
Plus explicatif mais cela apporte quelque chose je trouve, tout prend un sens  et cela ressort moins comme bancal que l'original.
 
Vraiment un bon travail sur le scénar. J'ai peu apprécié l'original mais ce remake m'a bluffé!!! gore verbinski, auteur du médiocre méxicain m'a épaté, très bons chois esthétiques en général.
 
L'intro est d'ailleurs excellente, j'ai vraiment sursauté tout en étant sous tension durant tout le film(le fait d'avoir vu l'original a surement adouci la surprise mais cela permet d'augmenter le malaise ressenti, connaissant le sort des personnages. L'attente est alors fébrile et stressante.)
 

 
 
Toujours d'accord!!!
 
le plus surprenant étant le manque d'en jeu dramatique: pas d'obstacles, de évélations ou autres lourdeurs. C'est le point fort du film qui devient entièrement porté sur ses personnages, assez truculens il faut le reconnaitre. Bien sur, on ne peut échapper à quelques caricatures propres à ce genre de comédies mais l'humour est bien supérieur à la moyenne des comédies romantiques. La "normalité" de toula(enrobée, brune et pas un canon... mais charmante tout de même) apporte une crédibilité auquel je ne m'attendais pas.
 
On rigole souvent et comme tu l'as dit, avec les personages pas contre eux.
µ
 
Ca me donne envie de moussaka.
 
 
 
 
 

Alors, résumé du week end : Calculs Meurtriers, polar pathétique et sans intérêt, où Sandra Bullock essaie de nous faire croire que c'est une bonne actrice (raté), que son personnage est profond et marqué (raté), que le scénario du film, qu'elle produit, est intéressant (raté aussi). Pas nul ni détestable, juste sans intérêt aucun, je trouve.
 
K-Pax : gentil, mais larmoyant et appuyé, un peu trop orienté "lacrymal", ça me gave. Spacey est bon même s'il en rajoute un poil, par contre Bridges est impeccable comme d'hab (quand est-ce qu'on reconnaîtra enfin le talent immense de ce bonhomme, bordel   ). La mise en scène alterne entre le plan plan et le "techno fou" (Iain Softley c'est quand même un briton clippeux et le réa de Hackers ) ça fait un peu bizarre. Original, dommage que le film aille pas plus loin, se contente comme d'hab d'effleurer son sujet avec des bons sentiments et une "non fin" qui ne dit rien, en substance, sur ce dont le film parle.
 
Prodigy

c'est bizarre que sandra bullock aie encore tant de renommée, elle enchaine pratiquement daube sur daubes...
Pour speed et demolition man ça va mais le reste  

Elle capitalise à mort sur son image de "girl next door" et enchaîne les romances à 2 balles, et ça marche. Son film à la con là, Miss Detective, a super bien marché aux US, donc elle continue
 
D'où le ridicule achevé de projets du style de Calculs Meurtriers, où elle essaie de se forger une image d'actrice, alors que ça saute aux yeux que le projet est construit par et pour elle, autour de son personnage, au point que dans la scène d'amour (d'une torridité à toute épreuve ) elle refuse d'enlever le haut, passke son personnage a une cicatrice (elle co-produit, donc c pas dur de deviner les intentions).    
 
Bref, on atteint vraiment le fond.
 
Prodigy

 
attends, mercerdi sort sa comédie romantique avec hugh grant, je crois que ca va etre gratiné!!!!(pas plus que l'infame bande annonce de coup de foudre à manhattan avec lopez)
 
par contre étant jeune, j'étais "amoureux" de bullock, j'avais acheté toutes les cassettes: speed, l'amour à tout prix, traque sur internet,...
 
C'est bon la honte
 
J'avais bien envie de me louer calculs meurtriers, tu m'as refroidi!
 
A part ca:
 
-jespers creepers: (NO SPOILERS) bonne réputation, énorme envie de le voir et au final grosse déception... Les ados sont encore plus cons que dans les slashers moyens(il est ironique le film?) et après une première partie regardable, la seconde(dès qu'on découvre le creeper) est un grand n'importe quoi, ca vire au guignolesque...
 
3/10(pour le camion et l'atmosphère du début)
 
-jason 10: (LEGERS SPOILERS) bon, d'abord une précision, je suis fan du tueur le plus monolithique de l'histoire. Sachant pertinnement que la qualité objectives des précédents opus est médiocre mais que j'aime ca, comment puis je avoir un avis détaché pour ce dixième numéro?
 
Ben je pense que c'est le meilleur, le réa prend le parti  de rire du mythe jason, le tout culminant dans un cristal lake virtuel où j'ai ri aux éclats, la meilleure scène de la série..
 
A part ca jason tue vite et bien mais le contexte spatial et futuriste qui aurait pu donner une utilisation intelligente et fun de la technologie pour  se confronter à jason  est malheureusement absente!!!
 
reste des meutres sympas non dénués d'humour et un regard lucide sur la série du metteur en scène qui joue avec les codes de la mythologie jason.
 
Mention spéciale au comabt contre une androide.
 
6/10

Mieux que Jason 6 (qui est vraiment excellent, revu récemment) ?
 
Prodigy

 
Si c'est celui avec le paintball dans la foret, non. Crystal lake a un charme que l'espace n'a pas.Celui avec le paintball est vraiment bien(enfin dans mon échelle jasonienne)
 
Le 10 joue plus avec jason et voir un jason cybernétique peut en choquer plus d'un
 

Ouèp. Pas de beaucoup, mais ouèp. Mon Top 3: 10-6-1/9 (ex-aequo)...

Au fait Gordon dans la liste de films que j'attends à mort y'a Freddy vs Jason
 
Prodigy

Ah, oui, aussi. Pas de date pour la France, par contre, il vient d'être repoussé d'un mois et demi aux USA, il sort en août, now.

Tiens gordon, je constate que tu vois beaucoup de films et que tu es au courant des dernières nouvelles.
 
C'est juste une passion ou tu es dans le milieu?
 
J'espère que tu as la cart gaumont ou ugc, sinon bonjour les frais:ouch:
 

 
Ouaip, ils avaient fait la même chose pour Jason X
 
Et quand je vois comment sont traités Below & Equilibrium, ça me fout hors de moi    
 
Prodigy

Comment tu sais?!? J'aime pas être sur les côtés, ça fait mal au cou, et le son est déséquilibré; du coup, c'est vrai que je me place en général au milieu de la salle.  
 
 
 

Je suis même pas sûr qu'Equilibrium ai une date de sortie en france. Y'a des chances pour que je prenne le DVD z1, du coup; en plus, il aura le droit à quelques suppléments, il me semble.

 
Sur Below y'aura celui de Twohy, ça risque de saigner un max
 
Il paraît qu'il a du financer une partie de la promo de sa poche
 
Ca me fait marrer après quand on me dit que les films "ricains" monopolisent les salles françaises, quand tu vois que Taxi 3 a 900 salles sur la France, et que même le dernier Disney en a pas autant (680 et des brouettes, 50 de plus que la suite de 3 Hommes et un couffin). C'est pas les films US qui monopolisent nos salles, c'est les gros films de merde, qu'ils soient français ou américains. Et ça empêche pas que certains films, même US, galèrent pour sortir. Pour voir Muholland Drive ou Donnie Darko sur Paris, fallait se dépécher, par contre Astérix 2 ça, tu pouvais pas le rater
 
Prodigy